COMMENT ET POURQUOI
L’UNIVERS NOUS PARAÎT SOLIDE ET STABLE
ALORS QU’IL N’EST QU’ESPRIT IMMATERIEL.
Question fondamentale qui devrait vous tenailler
tant que vous n’avez pas une réponse valide.
Avez-vous jamais touché quelque chose ? Lorsque vous touchez la table, vous êtes-vous jamais demandé qui touche qui ? Quoi touche quoi ? Cela paraît solide et vous pensez que votre main touche la table, mais y a-t-il une seule particule atomique de votre main qui touche une seule particule atomique de la table ? Pensez-vous que ce soit possible ?
Les particules sont tellement minuscules et séparées par tellement de vide qu’on voit mal comment chaque fois que vous touchez quelque chose, deux d’entre elles trouveraient le moyen de se rencontrer. Votre impression de contact n’est que la rencontre des deux champs énergétiques, ces champs qui remplissent l’espace à partir des particules et qui font qu’il n’y a de vide nulle part. Mais ces champs sont différents, ont des longueur d’onde différentes (on verra ce que cela veut dire), et c’est cette différence qui donne l’impression de contact.
Amusez-vous à pousser un aimant en répulsion avec un autre aimant, vous avez la même sensation. On dirait qu’il y a contact mais en fait il n’y a que de la répulsion magnétique. Aucun contact matériel.
Un atome peut-il en toucher un autre ? Non. On a des exemples de cela dans le cosmos : parfois, on peut voir une galaxie en traverser une autre. Une galaxie c’est un atome. Rien à voir avec l’idée qu’on s’en fait en Physique. Nous sommes constitués de galaxies. Les galaxies constituent quelque chose toutes ensemble. Quelque chose qui a une consistance homogène aussi longtemps que ces galaxies ont la même fréquence vibratoire.
Tout comme les galaxies de votre main qui, en tant que carbone organique principalement, ont à peu près toutes la même fréquence vibratoire.
Vous vous souvenez de ce qu’est une fréquence vibratoire ? Quand on a compris qu’un atome (ou une galaxie) est constitué de myriades de petits aimants ronds en rotation synchronisée, on comprend que le rythme d’alternance des polarités de chacun de ces aimants est le même. Dans notre galaxie, c’est vingt-quatre heures terriennes.
Quand un aimant tourne, les champs magnétiques Nord et Sud alternent, sont « projetés » à l’infini alternativement au rythme de cette rotation. C’est ce rythme qui, confronté à un autre rythme, plus rapide ou moins rapide, s’en différencie et permet de distinguer des matériaux différents.
En aucun cas le nombre de particules n’influe ni sur la densité ni sur la qualité du matériau, comme on le prétend en Physique. Les numéros atomiques sont des mythes. Dans quelques siècles on se demandera comment on a bien pu un jour inventer une idée aussi saugrenue : des atomes ayant le même nombre de particules de chaque espèce ! Qui plus est des particules qui ont la même taille !
Quand les longueurs d’onde (fréquence, rythme d’alternance des pôles) est la même pour beaucoup de ces galaxies, cela constitue un même matériau. Même mélangé à d’autres fréquences. Elles restent toutes parfaitement distinctes. Et certaines sont compatibles, d’autres pas.
Ce SYNCHRONISME DES ROTATIONS POLAIRES (à chaque demi-tour, un pôle Nord se trouve face à un pôle Sud sans décalage) au sein d’une même galaxie, ou d’un même atome, et de plusieurs d’entre eux dans le même matériau, est une obligation absolue. Rien ne se mettrait à tourner autrement qu’en synchronisme, c’est strictement impossible parce que ce sont des aimants et des aimants ne peuvent se comporter autrement. Si c’était des particules positives ou négatives selon le cas, elles n’auraient aucune raison de tourner (donc la Terre, si elle n’était régie que par la gravitation, par exemple, ne tournerait pas), et ne sauraient faire qu’une chose : tomber les unes sur les autres si elles sont contraires, ou se repousser pour ne plus jamais se rejoindre si elles sont identiques. Aucune matière ne peut exister dans ces conditions, quels que soient les subterfuges théoriques qu’on veut adjoindre pour rendre compte quand même de la réalité.
On ne va pas revenir sur le fait que tout est magnétique, que l’énergie magnétique est nécessairement la seule existante, toutes les autres formes d’énergie en découlant. Car le magnétisme, c’est la dualité de l’esprit, et tout est l’esprit, on l’a déjà démontré ici.
L’esprit (champ magnétique) ne peut faire autrement que se concentrer par endroits sous forme de particules, il ne peut être homogène car cela supposerait son infinitude. De deux choses l’une : ou bien on est infini et alors il n’y a pas de raison d’être particulaire, ou bien on ne peut pas être infini, ce qui est le cas de l’esprit, et alors il n’y a pas d’autre solution que d’être particulaire, peu importent les dimensions de ces particules. Si vous voulez vous en convaincre davantage, faites comme nous, méditez-le.
Sans rotations synchronisées des particules (ou des astres), aucune attraction n’est possible. Il n’y a aucune gravitation dans l’univers. L’effet de « gravitation » n’est que le résultat des rotations synchronisées. Pur magnétisme. On le démontre aisément, et nous vous invitons à venir voir près de Paris les appareils magnétiques qui vous en convaincront instantanément.
Dommage que les physiciens ne reconnaissent pas cette évidence car cela leur permettrait d’unifier un peu leurs théories. Ainsi, l’électromagnétisme et la gravitation ne seraient plus les deux forces les plus incompatibles de l’univers : la première étant dualiste, attractive et répulsive, l’autre purement attractive, il est impossible de les unifier. Sauf si on regarde cela de plus près : la gravitation est un effet du magnétisme dans des conditions particulières, essentiellement lorsque les rotations des particules ou astres sont synchronisées. Dans la nature, elles le sont toujours, et lorsque les rotations ne sont pas totales, comme pour la Lune ou Mercure, il y a quand même synchronisation.
C’est d’ailleurs pour cela que le Soleil brille. On croit généralement que des explosions thermo-nucléaires sont à l’origine de la chaleur du Soleil ! C’est l’inverse, comme bien souvent. Ces réactions très limitées sont le fait de la chaleur. Sinon, si c’était du fait de la concentration de matière, il y a longtemps que le Soleil aurait disparu car ces explosions s’enchaîneraient sans contrôle aucun. Pour échapper à cette évidence, on prétend que ces réactions nucléaires sont « autolimitées ». Par quoi ? Détail laissé sous silence.
Non. Si le Soleil brille et est chaud, c’est simplement parce que son noyau tourne en vingt-quatre heures. Comme celui de la Terre, sinon il n’y aurait pas attraction entre eux.
Lorsqu’on observe le Soleil, on voit bien qu’il ne tourne pas en 24 heures. Il tourne en 25 jours ! Notre théorie devrait donc être fausse. Mais que nenni ! En fait sa rotation n’est pas homogène : plus on se rapproche d’un pôle, plus la rotation est lente ! Voilà qui au contraire contredit la théorie de la Gravitation toute-puissante : si la rotation du Soleil était le fait d’une lancée initiale comme le « big bang », il tournerait d’un seul bloc à la même vitesse. Pourquoi ces différences ?
Au contraire, on voit que le Soleil tourne en trente-cinq jours aux pôles, vingt-sept jours à 45 degrés de latitude, et vingt-cinq jours seulement à l’équateur ! Preuve que le Soleil ne tourne pas d’un seul bloc : le noyau ne tourne à aucune de ces différentes vitesses. Et pourquoi donc ? Qu’est-ce qui le ferait se comporter ainsi en Astrophysique officielle ?
Evidemment pour nous cela va de soi : il ne peut pas tourner d’un seul bloc car le noyau tourne beaucoup plus vite que la surface et entraîne les différentes couches comme il peut. Il est bien trop gros pour tourner en 24 h dans toute sa masse. Si le noyau tourne en vingt-quatre heures, ce que nous prétendons (et il y est entraîné par toute la galaxies où chaque étoile et chaque planète en fait autant au niveau de leur noyau malgré les apparences trompeuses de surface, sinon cette galaxie n’aurait aucune cohésion et n’existerait même pas, et bien entendu le Soleil et la Terre ne pourraient pas s ‘attirer), alors différentes couches, elles, du fait de leur inertie, tournent bien plus lentement. Plus on se rapproche de la surface, plus c’est lent (et cela change aussi avec la latitude) car il y a trop de masse à entraîner. Et évidemment cela occasionne des frottements terribles entre ces différentes couches. Ces frottements continus sont facteurs d’échauffement, de liquéfaction, et finalement de lumière.
Voilà la vraie raison pour laquelle le Soleil brille et nous réchauffe de façon constante et sans exploser.
Les faits sont là : les petites planètes sont rocheuses et tournent à peu près d’un seul bloc (quand les positions le permettent). Et leur rotation, ou leur balancement est très proche de 24 heures terrestres ou douze heures (il y a quand même du magma, en fait ce n’est peut-être pas exacetement 24 h, mais le frottement est faible et au final toute la masse tourne à peu près à la même vitesse). Les très grosses planètes, au contraire, sont à peu près liquides parce que les couches extérieures sont obligées de tourner beaucoup moins vite que le noyau. C’est ainsi qu’on ne voit pas du tout Jupiter etc. tourner en vingt-quatre heure mais beaucoup plus lentement à la surface. Et les astres les plus gros, eux, sont incandescents et magmatiques, ce sont les étoiles.
Pour qu’une galaxie soit cohérente et maintienne les distances entre les astres, bien que tout soit en attraction, il faut que partout, lorsqu’un pôle se présente, il trouve en face son pôle opposé. Il peut y avoir des déphasages par multiples ou diviseurs, mais régulièrement les pôles contraires se font néanmoins face, sinon il n’y aurait pas attraction permanente entre ces aimants, ni néanmoins maintien des distances, ni évidemment rotations. C’est l’harmonie des rotations qui fait l’attraction. Sans fréquences similaires, pas d’amour.
LA « GRAVITATION » N’EST PAS CE QU’ON CROYAIT :
C’EST LE SYNCHRONISME SYMETRIQUE DES ROTATIONS MAGNETIQUES QUI LA PERMET. Si on a affaire à des aimants, alors ces rotations sont inévitables.
Et c’est donc cette homogénéité des fréquences (s’il y a rotations synchronisées, la fréquence d’alternance des pôles au niveau des noyaux est identique pour tous les astres ou particules concernés) qui, lorsqu’on entre en contact avec une autre fréquence, donne une impression de différence. Parfois de résistance. Ainsi la « matière » purement spirituelle nous paraît stable et solide.
Cela s’ajoute évidemment à l’autre aspect de l’effet de « matière », qu’on a déjà expliqué ici : à la base, l’effet premier de matière est simplement la rencontre de nos deux volontés contraires : la nécessité de s’unir à l’infini et son impossibilité ; donc le fait de se projeter à l’infini et le fait de se heurter à une limite. Limite qu’on appelle la « vitesse de l’énergie ». Cette vitesse dont parlait Einstein n’est propulsée par rien (elle le devrait si on restait dans le cadre de la Physique). Au contraire, elle devrait être infinie mais ne le peut pas. C’est une limitation à « 300 000 km/seconde », vitesse très réduite évidemment par rapport à une hypothétique vitesse infinie. Léon Raoul Hatem appelle cela le « mur de la vitesse », qui donne l’impression d’un « photon », d’une particule, d’une résistance. Mais en fait il n’y a rien. Simple sensation universelle d’inertie.
Il n’y a besoin de consommer aucune énergie pour produire cette vitesse, alors que dans le cadre de la Physique qui veut que rien ne se crée, il faudrait bien expliquer cet exploit.
Donc vous avez eu le temps de réfléchir à ma question : QUI TOUCHE QUI ? Lorsque vous touchez la table, y a-t-il une seule particule de votre main qui touche une seule particule de la table ? Evidemment pas. Sinon vous seriez une explosion en chaîne ou quelque chose comme cela, en tout cas hors d’état de lire cette chronique.
Jamais une particule n’en touche une autre. Ou bien il y a sensation de résistance et impénétrabilité due à l’augmentation des forces répulsives et diminution des forces attractives (tout cela se démontre), ou bien il y a contournement des particules, ainsi que le font les galaxies qui se croisent parfois et se traversent sans qu’aucune étoile n’en heurte une seule !
Ce qui serait bien impossible si c’était la « gravitation » qui les régissait.
La matière est stable et bien organisée. Elle ne doit rien au hasard. Elle doit tout au magnétisme c’est-à-dire à l’esprit.
LE MOUVEMENT ORBITAL ET LA STABILITE MECANIQUE, CIMENT DE L’ATOME par Léon Raoul Hatem
Au cours des rotations de ces masses, particules atomiques, même sous-atomiques, planètes et étoiles, les pôles formant des cercles polaires autour des axes de rotation (on se souvient que seuls les systèmes où les axes ne sont pas parallèles mais pas trop écartés de la parallèle néanmoins, sont restés en lice pour former des systèmes cohérents, tous les autres étant tombés pour se réunir à d’autres), les pôles donc agissent comme des manivelles dans un mouvement de va et vient circulaire. Comme ce sont des « champs » magnétiques qui en fait tournent autour de ces axes, tous les « satellites » se trouvent pris dans ces champs, et tout en tournant sur eux-mêmes, se trouvent également ENTRAÎNéS en mouvement ORBITAL les uns autour des autres. Le mouvement orbital n’est pas dû à une lancée initiale, mais il est conduit dans sa course éternelle par entrainement magnétique.
Mais il est bien entendu que ce sont les plus petites masses qui font les plus grands déplacements, au point qu’on a l’impression que seuls les petits satellites sont en orbite, alors que les gros le sont également autour des plus petits.
En fait, les deux masses tournent ensemble autour de leur centre de gravité commun. Mais comme, par exemple dans le cas du système solaire, le centre de gravité de l’ensemble se trouve dans le Soleil, on a l’impression que toutes les planètes tournent autour de lui.
Il n’y a pas de différence de nature entre étoiles et planètes ou entre « protons » et « électrons », seulement une question de rapport de volumes. Un proton est nécessairement infiniment plus gros qu’un électron.
Là-encore, l’intelligence mécanique de la Création est étonnante ; car grâce à ces mouvements orbitaux, apparaît le phénomène de STABILITE MECANIQUE que la science dénomme le CIMENT de l’atome, par simple constatation car elle ne sait l’expliquer.
Il serait fastidieux de décrire ici tous les aspects des relations magnétiques qui entrent en ligne de compte dans l’atome et les systèmes planétaires pour aboutir à cette stabilité mécanique. Il suffit dans un premier temps de comprendre que lorsqu’un atome est déséquilibré par une action quelconque étrangère ou même intrinsèque au système, les satellites électrons ou planètes s »ELOIGNENT ou se RAPPROCHENT des noyaux centraux selon qu’il y a retrait d’énergie dans le premier cas (comme par exemple lors d’un refroidissement de la matière) ou au contraire apport d’énergie (comme un choc par exemple) dans le second.
Par exemple dans le cas d’une perte d’énergie, du fait que le mouvement orbital est produit par entraînement magnétique « mutuel », il y a ralentissement des vitesses, et le satellite tend à s’éloigner car les forces magnétiques ont diminué. Il se trouve alors entraîné sur son orbite avec moins de vigueur par le noyau (qu’on peut éventuellement appeler « proton » même s’il n’est pas que positif). S’il est entraîné avec moins de vigueur, l’effet de fronde diminue. Comme il est toujours en rotation synchronisée, donc en attraction préférentielle (effet de « gravitation ») il a aussitôt tendance à revenir sur son orbite « habituelle », ce qui augmente la force des relations magnétiques et donc accélère les rotations. Cette accélération augmente l’effet de fronde et tend donc à rééloigner le satellite. Et ainsi de suite l’atome reprend son équilibre antérieur.
De même, mais à l’inverse, lorsque le satellite est poussé vers le centre de l’atome par une pression ou autre, les énergies magnétiques augmentent par INTERPENETRATION des champs, et de ce fait augmentent les vitesses de rotation, donc la vitesse orbitale et l’effet de fronde. Le satellite (ou électron) est alors projeté par FORCE CENTRIFUGE à plus grande distance, jusqu’à retrouver son orbite « normale » après quelques équilibrages successifs, sans plus s’éloigner intempestivement. L’atome a à nouveau retrouvé sa stabilité, et cela est très rapide.
Ainsi, la « matière » est SOLIDE par la solidarité de ses atomes qui se refusent à toute modification dans les vitesses et les distances, cette STABILITE optimale étant due simplement à l’attraction-répulsion magnétique entre toutes les masses qui se traduit par un maintien forcé de rotations synchronisées.
Ces réactions sont donc spontanées, ce qui passe au regard du physicien pour être régi par une « loi » inexpliquée ou une « constante » de résistance simplement constatée, mais il s’agit bien d’une réaction à la suite d’une action, de nature purement magnétique. Ici, nous avons l’explication détaillée de ce phénomène qui n’est pas en soi, une « LOI », mais une « conséquence » naturelle et inévitable si toute masse est un aimant avec deux polarités, autant attractives que répulsives. C’est la seule possibilité d’ailleurs, toute autre option restant inexplicable. Comme l’a expliqué Frank : Le magnétisme, l’esprit, est globalement égal à zéro dans l’instant présent. Toute autre option, en s’éloignant du néant, équivaut à l’affirmation de « Dieu ».
Ces conséquences apparemment matérielles de l’esprit se retrouvent en toutes choses puisque tout l’esprit se constitue en atomes. Tout atome a donc sa résistance intrinsèque qui n’a rien de mystérieux en fait.
CE QU’EST LA « MATIERE »
On peut résumer les éléments théoriques fondamentaux de ce Principe de mouvement perpétuel qui est la base de l’« Hyperscience » comme suit :
1°) Les particules atomiques sont d’une seule nature, mais jouent soient le rôle de satellites (« électrons »), soit celui de noyau (« proton »), et sont en réalité des AIMANTS COMPLETS pourvus de leur double polarité attractive et répulsive. Il est absolument impossible de séparer la dualité en particules d’« électricité positive » d’un côté et d’« électricité négative » de l’autre comme cela est supposé en physique avec Rutherford et Bohr. Cela est fondé sur une erreur datant de la fin du XIXe siècle et qui s’est perpétuée.
En réalité, chacune de ces deux polarités Nord et Sud est à la fois « elle-même » et « son propre contraire » (et ces deux fonctions polaires sont de même valeur puisque c’est la même selon les circonstances); et de ce fait est de somme NULLE. Chacune est la contrepartie de sa propre existence, ce qui justifie qu’elle puisse naître en apparence du Néant sous forme de particules virtuelles, puisque la dualité est le propre de l’illusion. Dès l’instant que la dualité est, alors l’apparence est. La conscience est. Et ce « champ de conscience » étant virtuellement infini, il ne peut être pôlarisé seulement en deux « lieux de l’infini ». On ne peut rien situer dans l’infini. La polarisation se fait donc en tout point, et par suite, conduit à des concentrations séparées d’autres par du vide (relatif).
2°) Dès que deux de ces concentrations se trouvent en présence l’une de l’autre à une distance suffisante (après avoir tout absorbé autour), et dans des positions relatives ne permettant plus la chute l’une sur l’autre, elles se mettent à tourner sur elle-mêmes entraînées l’une par l’autre sur leur axe (« spin de l’électron » habituellement inexplicable), ainsi qu’en orbite l’une autour de l’autre sans aucune lancée initiale. D’abord très lentement et en douceur, mais vite en accélération, et en stabilisation par le principe exposé ci-dessus et ci-dessous (5°) (mais c’est tellement difficile qu’il peut être bon de le répéter autrement) : l’accélération finit par éloigner trop les particules, ce qui diminue les forces, donc la force d’expulsion, et il y a rapprochement. Il ne peut y avoir trop rapprochement car cela augmente les forces en présence et augmente donc la vitesse orbitale, donc l’expulsion du satellite par effet de fronde. ainsi de suite, par éloignements et rapprochements successifs, les vitesses et les distances finissent par s’équilibrer. On aboutit à un atome solide (même pour les liquides ou les gaz évidemment).
3°) Dans ces mouvements de couples magnétiques, l’accélération des mouvements est dû à la DEGRAVITATION (ou suppression du freinage magnétique) entre deux des pôles en attraction potentielle lorsqu’ils s’éloignent mutuellement l’un de l’autre, comme s’ils ne s’attiraient plus, tandis que les deux autres se rapprochent en accélérations, l’attraction augmentant dans les mêmes proportions que la libération.
4°) Qui dit dualité consciente dit aussi inertie et masse apparente. Les particules, c’est-à-dire la limitation de la vitesse d’unification avec l’infini (qui devrait être infinie), sont une pure sensation d’inertie ou de « masses ». On pourrait décrire le même processus pour les systèmes planétaires qui atteignent ainsi des vitesses colossales par accélération des mouvements : à chaque tour, il y a précipitation de deux pôles l’un vers l’autre, faisant tourner les masses autour d’un axe gyroscopique (orientation non modifiable), alors que de l’autre côté il y a évidemment éloignement des pôles opposés, mais pas freinage lors de l’éloignement bien qu’ils soient virtuellement en attraction (c’est la « dégravitation »). D’où accélération à chaque demi-tour.
Voir les dessins dans « La Fin de l’Inconnaissable » Editions Ganymède, cela facilite la compréhension.
Ici, une parenthèse : nous constatons que ces particules ne sont pas seules, mais qu’à distance, chacune est manoeuvrée par l’autre qui en quelque sorte, lui est extérieure et entretient ses mouvements ; alors qu’une particule isolée et seule dans l’espace, ne pourrait se mouvoir sans cause extérieure. TOUT EST RELATION. Et la matière stable n’est que mouvements extrêmement rapides, comme le disaient les Tibétains il y a cinq ou six millénaires.
La physique croit que l’atome en tant que système fermé ou en court-circuit ne peut pas être perpétuel, comme s’il était un « bloc » isolé, à l’image d’un « corps simple ». Il semble en être de même pour le système planétaire, solaire, nébuleuse ou galactique qui ferait un tout, alors qu’en fait chaque masse est extérieure à l’autre, fonctionnant par couples les unes envers les autres, quels qu’en soient les nombres et les dimensions. Toutes les masses d’un système cohérent sont en rotations synchronisées des pôles magnétiques. Des déphasages sont possibles de deux en deux. Ainsi, la Terre tourne en 24 heures et le noyau central du Soleil peut tourner en 24 ou 48 heures, puis plus loin en 96 heures, et ainsi de suite selon l’importance des masses, et d’autres plus petites en 12 ou même 6 heures (heures terriennes bien entendu).
N.B. Le fait de parler de mouvements alors que ces mouvements ne sont que virtuels (c’est dans la conscience au niveau de chaque particule qu’il y a sensation de mouvement mais en réalité tout est toujours ici et maintenant) n’implique pas qu’il y ait contradiction avec le fait que rien n’est physique. La description ne peut se faire que dans le cadre apparent de la relativité matérielle. On est dans le cadre de l’illusion, pas dans une réalité extérieure à soi.
5°) Par suite de l’accélération, les masses entraînées l’une autour de l’autre par les forces magnétiques, font que les satellites acquièrent des forces centrifuges, ce qui est nié par l’Astrophysique qui pense que le tout est le fruit d’une lancée initiale… Et arrivent en fin de création (mais tout cela est quasi-instantané), disons à un équilibre parfait et IRREVERSIBLE entre la force attractive qui résulte des mouvements polaires synchronisés, et la vitesse orbitale due à cette force centrifuge qui ne peut que se stabiliser (accélération continue mais compensée par l’éloignement qu’il provoque).
Nous retrouvons alors l’apparence du principe de NEWTON (qui en fait est impossible en tant que système d’équilibre « binaire » : une attraction, compensée par un mouvement orbital, cela ne tient pas), mais qui est la conséquence mathématique exacte du Principe-Créateur ternaire de l’atome magnétique (équilibre entre trois éléments et par suite solide) décrit ci-dessus : en apparence, les masses ne font que s’attirer, et il y a un équilibre parfait entre le mouvement orbital et l’attraction, que Newton et ses successeurs ont appelé Gravitation alors que ce n’est que la résultante attractive des trois éléments avec 1°) la dualité attractive-répulsive, ensuite 2°) l’harmonie des rotations polaires qui se traduit par une attraction permanente des masses en toutes positions relatives, où la répulsion et devenue indécelable (bien qu’effective et permettant le respect des distances), mouvements rendus possibles et inévitables grâce à la « dégravitation » (voir livre cités), et enfin 3°) le mouvement orbital également inévitable qui diminue cette attraction croissante en étant facteur d’éloignement (effet de fronde), entraîné par ce synchronisme, ce qui équilibre l’ensemble, ralentissant les vitesses qui voudraient accélérer, ou accélérant celles qui voudraient ralentir.
Dans ce système à deux ou plusieurs particules ou « masses », qui est « perpétuel » parce qu’il naît tout seul, se lance, s’accélère et se stabilise tout seul, et repartirait de même si on l’arrêtait (ce qui est la moindre des choses et la moindre des intelligences pour rendre compte de la merveilleuse et pérenne harmonie de l’univers), l’équilibre est donc à base TERNAIRE. Ce qui le rend solide et stable, tout en lui permettant d’évoluer, et on verra dans notre prochaine chronique comment la vie (et la mort) prennent le relais de cette stabilité pour continuer la quête d’infini.
Malgré l’apparence, l’atome n’est pas binaire (cette apparence est une résultante : on a bien l’impression qu’il n’y a qu’attraction et mouvement orbital), comme le système newtonien et également l’atome de Bohr le prétendent, mais cela rendrait le système totalement instable et même impossible à réaliser. Essayez donc de réaliser un équilibre dans l’espace libre entre deux forces opposées livrées à elles-mêmes. Comme deux billes à poser l’une sur l’autre. Vous n’y parviendrez pas même avec toute votre intelligence et toute votre patience. Alors pensez en l’absence d’une telle volonté ! Et si d’aventure vous y parveniez, la moindre perturbation romprait l’équilibre, et donc l’atome disparaîtrait, sans lui laisser la moindre chance de se réconstituer. Et c’est ce faux équilibre (newtonien) qui est censé régir les myriades d’atomes et d’astres dans toutes les galaxies, même avec des aménagements comme la Constante de Planck ou la répulsion entre les couches d’électrons ! Une plaisanterie.
Par contre avec trois éléments, vous pouvez. Il faut trois pieds à une chaise pour tenir debout.
On ne peut imaginer en effet que des masses en suspension dans l’espace par hasard, lancées à la volée, livrées à elles-mêmes et sans être réunies par des liens matériels qui puissent maintenir perpétuellement leurs fonctions, puissent se maintenir à distance constante les unes des autres de façon à équilibrer parfaitement une attraction elle-même due au hasard. Et résister à toutes les perturbations qu’on impose en permanence.
La science est tombée dans le piège d’une lancée initiale qui perdurerait indéfiniment, ce qui est une aberration puisque dans ce cas toutes les masses se freineraient mutuellement par gravité ; mais le « savant » se refuse obstinément à l’admettre. C’est ainsi que l’on peut faire de nombreuses erreurs mathématiques en prenant les résultats pour des causes et établir des Lois et Principes qui n’en sont pas mais qui ont l’apparence de réalités.
La gravitation n’est pas un principe ni une loi. C’est une résultante : l’attraction permanente des masses dont les pôles sont synchronisés en rotation symétrique, ces mouvements relatifs étant eux-mêmes dus à la dualité magnétique de chaque masse. S’il manque un de ces éléments, c’est cuit.
Le fait que l’espace paraisse courbé par la masse n’est en dernière analyse que la même conséquence : celle du fait que l’énergie magnétique est universelle mais plus concentrées en certains endroits. Elle ne peut faire autrement parce qu’elle est dans un milieu virtuellement infini. Un champ ne peut être également réparti que s’il est infini. S’il est en recherche de cet infini, il est contraint par ses limites, il devient discontinu.
Vous n’avez rien compris à tout cela ? C’est normal. Il vous faudra sans doute de nombreuses lectures sous diverses formes et des heures de méditation pour saisir toute la subtilité de ce qui nous constitue : la relation magnétique spirituelle.
Ce n’est pas pour autant que ce soit compliqué. C’est difficile mais extrêmement simple. Cela fonctionne partout, tout le temps, sans aucun hasard ni aucun risque. C’est cela notre corps univesel, et grâce à cela, votre cœur bat autant aujourd’hui que lorsque vous lisiez la chronique précédente, et la table que vous n’avez jamais touchée en réalité vous paraît pourtant bien là et bien solide.
Si on arrêtait le mouvement universel vers l’infini impossible qui nous fait tourner les uns autour des autres, il n’y aurait plus rien. Plus rien de perceptible ni personne pour percevoir. Et en fait il n’y a jamais rien eu. Pure impression de conscience autolimitée dans sa nécessité d’être seule, absolu empêché d’être infini, néant empêché d’être nul.
Là où est cela est, là où est Soi, c’est-à-dire partout, là se croit la particule la plus solide de la « matière » la plus dure.