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POURQUOI LA VIE,

POURQUOI LA MORT

1re partie :

Nouvelle Théorie de la Vie et de l’Evolution

 

Si on a compris la cause métaphysique de l’existence de l’atome et de la matière apparente, cette cause étant la poursuite d’un infini nécessaire mais inaccessible, et qu’on a compris que l’atome fige cette poursuite dans un équilibre presque définitif, on comprend immédiatement la cause fondamentale de la vie : si l’atome est un équilibre à peu près parfait, s’il est quasiment éternel, il n’en reste pas moins que le but absolu n’est pas atteint. Il ne peut donc en rester là.

Il ne fait pas de doute que dès qu’une possibilité de reprendre cette course à l’infini se fera jour, l’Etre, qui a pris forme d’atome (minéral), ne manquera pas cette occasion d’aller de l’avant.

Vous avez sans doute remarqué que la vie arrive à se faufiler partout, même dans les pires conditions. C’est un grand mystère pour la Science qui voudrait que la vie soit le fruit du hasard.

L’Etre est la poursuite d’un but, ce but est inaccessible, mais rien ne pourra interrompre sa quête. C’est pourquoi l’équilibre atomique, qui est quelque part la paix parfaite, n’est pas du tout satisfaisant pour l’Etre qui va tout faire, chaque fois qu’il le peut, pour reprendre sa course à l’infini. Et cette reprise de la course à partir de l’atome stable va être un dépassement de cette stabilité. Mais pour cela il faudra que la matière subisse des conditions toutes particulières qui permettent ce dépassement. Pour résumer, il faut du liquide. C’est la liquéfaction de la matière qui crée les conditions du dépassement de l’équilibre. La vie est une rupture d’équilibre à la recherche d’un équilibre plus grand.

Donc tôt ou tard la liquéfaction peut avoir lieu, et il y aura toujours alors un moyen de faire naître quelque chose, une vie organique même la plus élémentaire possible.

Il y a de grandes chances que si on cherche vraiment la vie sur les planètes, on en trouvera, sous une forme ou sous une autre, partout. Les planètes un peu importantes ont généralement des parties liquides.

La vie est tout sauf l’effet du hasard. Elle n’est pas non plus une nécessité en soi. La vie n’est un but pour personne. Elle n’est qu’un moyen. La quête de l’infini se fait mécaniquement au début, avec les particules qui tentent de se rejoindre en attraction mais finissent par tourner les unes autour des autres quand les distances sont trop grandes pour éviter la répulsion, et constituent des atomes et des systèmes planétaires. Et là il y a un moment de répit. Car un équilibre est trouvé. Mais le but n’est pas l’équilibre. Le but c’est l’infinité. Là où est la conscience, là est la quête d’infini (voir les chroniques précédentes pour les explications), et tant que cet infini ne sera pas atteint par le zéro, l’évolution continuera. L’évolution consiste à devenir infini progressivement sans jamais y parvenir (l’infinité de l’esprit étant impossible). C’est pour cela que l’évolution spirituelle est sans limite.

Cette évolution c’est toujours le même esprit, soi, qui passe par des formes de corps de plus en plus élaborés pour permettre de plus en plus de liberté d’unification. Il est plus facile pour un humain de s’unir au voisin (ou à la voisine) qu’à un caillou. Pourtant le désir existe dans les deux cas. On l’appelle « gravitation » pour le caillou. Et notre partie minérale y est soumise aussi. Mais quand l’Etre connaît les conditions pour quitter sa condition de caillou, et finir végétal ou mieux encore, il ne manque pas de le faire.

 

Ainsi l’homme qui est notre état actuel qui nous permet des dépassements très libres que les atomes ni sous forme minérale ni sous forme végétale n’ont.

 

Et l’un des éléments-clefs de l’évolution est le fait que lorsque les moyens de communiquer viennent, concurremment l’épanouissement de l’esprit se fait. Il ne se crée pas, il se libère. L’esprit lorsque les conditions du corps le permettent acquiert instantanément des possibilités qu’il ne pouvait exprimer précédemment. Ainsi l’émotionnel apparaît au sortir du monde végétal, comme le mental au sortir du monde animal.

 

L’homme s’identifie donc au corps mental (l’humain s’identifie au mental tandis que les animaux s’identifient à l’émotionnel et ainsi de suite) contient et concentre tout ce qui lui est antérieur (animal, végétal, minéral etc.) mais ignore ce qu’il n’a pas encore intégré. Il est donc “ plus ” infini que ce qui le précède, mais moins “ infini ” que ce qu’il ne voit pas encore. On ne voit que notre passé (en principe, mais il y a des exceptions) parce qu’il est intégré. Même si notre potentiel spirituel est infini, il est limité en fonction des expériences permises par le corps qu’on a réussi à construire. En fait c’est réciproque. Les expériences acquises dans un corps permettent l’évolution du corps pour l’étape suivante. C’est toujours une assimilation d’information, une image de soi qui évolue, une reconnaissance de ses possibilités qu’on en pouvait reconnaître auparavant. Nous avons tout en nous mais ne le manifestons que lorsque les expériences vécues nous y autorisent. Question d’habitude en fait.

 

Ainsi se « créent » les corps énergétiques de l’Etre fonction du niveau d’évolution physique auquel il a la possibilité de s’identifier. Il s’identifie à tout en même temps et partout évidemment, mais chacun ne s’identifie qu’à son propre corps et à son propre niveau spirituel. Toutes les formes de l’Etre existent potentiellement et cela change tout le temps pour aller vers l’infinité.

 

La vie organique se situe tout entière entre le Minéral (exclu) et le Buddhique (exclu également). Ni le Minéral ni le Buddhique ne sont organiques. Elle commence avec le Végétal (le lichens) ou éthérique, passe par l’Animal (émotionnel) et l’Humain (mental) et finit avec le Causal (au-dessus de l’humain).

 

Mais avant c’est déjà la vie bien entendu, et au-dessus aussi.

 

La vie organique est un dépassement de l’équilibre atomique parfait que l’on trouve principalement dans le Minéral, et en particulier les métaux. Les minéraux les plus évolués, les cristaux, les sels minéraux, sont déjà en passe de devenir organiques. C’est leur volonté, leur désir. Dès que les conditions le permettent (fusion, associations d’éléments chimiques), ils le font. C’est pourquoi les biologistes et physiciens se demandent toujours “ quel est donc ce mystérieux élément supplémentaire impalpable qui fait qu’une association de minéraux donne la vie, alors qu’aucun de ces éléments ne paraît contenir la vie ? ”. Cet élément magique et qu’on dit divin, c’est la motivation intérieure de toute particule atomique de fusionner avec d’autres et qui permet la synergie. Elle ne le peut pas tant que l’atome est stable, mais dès qu’il devient instable, elle en profite pour circuler d’un atome à l’autre.

 

C’est pareil pour nous : quand nous somme seuls, nous ne communiquons pas, nous dépérissons. Lorsqu’il y a la présence de quelqu’un, la vie revient. Et on n’est jamais aussi épanouï, libre et vivant que lorsqu’on sent qu’il y a possibilité d’union avec quelqu’un.

 

Ces échanges rendus possibles entre atomes, c’est le début de la vie avec ce qu’on appelait en Physique le “ mouvement brownien ” et qui est la liquéfaction de la matière. Cela permet des mélanges que la volonté de vivre utilise dès que possible.

 

Ce sont des échanges de particules (phénomène que l’on devrait appeler “ mouvement hatémien ” et non “ mouvement brownien ” puisqu’il a été défini par Léon Raoul Hatem), se produit lorsque, du fait d’excitations extérieures diverses (intégration d’énergie) durables et répétées, les atomes d’un corps chimique renoncent à rétablir l’équilibre qu’on a décrit dans la stabilité de l’atome dans la chronique de la semaine dernière. En effet, en principe, après une excitation, les orbites des « électrons » s’agrandissent, car l’intensification de l’énergie magnétique accélère les rotations. Mais dès que l’excitation cesse, les énergies diminuent et les électrons reprennent leur place initiale (cela n’est vrai que parce que chaque particule est un aimant complet muni de ses deux polarités magnétiques. Si c’était des particules à charge unique comme on l’enseigne encore en université, ce serait impossible. Tout s’effondrerait). Mais quand cela se fait pendant de longues durées pratiquement sans espoir de retour à la normale, si la dilatation des atomes est suffisante, des « électrons » ou « satellites »  peuvent circuler d’un atome à l’autre, c’est-à-dire se mettre à tourner autour d’un autre noyau. Et d’autres encore. Ainsi les particules satellites ne sont plus liées à un noyau en particulier. Elles passent de l’un à l’autre. Les atomes échangent leurs électrons. Cela ne change rien à la qualité du matériau puisque, on l’a expliqué, cette qualité ne dépend nullement du nombre de particules mais des vitesses de rotation. C’est le maintien de ces vitesses qui oblige aux changements d’orbites.  Sinon, si les vitesses variaient, ou si les angularités polaires variaient (ce qui est interdit par le phénomène gyroscopique, on en va pas rentrer dans ces détails importants certes, mais complexes), alors il n’y aurait pas forcément dilatation. Ces phénomènes sont inexplicables par la physique. Elle ne peut expliquer que, suite à une liquéfaction qui l’a dilaté, un matériau puisse retrouver ses qualités antérieures en se refroidissant. Nous oui, bien entendu. C’est obligatoire dans ce système magnétique. Sinon cette théorie n’aurait aucun intérêt puisqu’elle ne serait pas plus explicative que les autres.

 

Ainsi, grâce à ce mouvement d’échanges d’électrons, l’évolution peut reprendre son cours, car de nouvelles possibilités de communication et de transformation, d’unification, se font jour. Une sorte de fusion, association entre atomes échangeant leurs satellites devient la règle. A quatre-vingts pour cent, notre corps est d’ailleurs constitué de matériaux qui échangent leurs électrons. L’eau en particulier (lymphe). On reconnaît sa vibration dans le “ corps éthérique ” avec la longueur d’onde “ infrarouge lointain ” autour de 8 micron-mètres.

 

Evidemment, petit à petit, le corps perd cette eau en vieillissant, car cette excitation ne peut être éternelle, tout cherche à revenir à l’équilibre, c’est le lot de la vie matérielle. Animer la matière est un effort même si on a l’énergie, le but, pour le faire. La mort guette. Et finalement, quand il n’y a plus d’échanges entre atomes, il ne reste plus que des sels minéraux : poussière.

 

Mais la conscience ne peut s’avouer vaincue. Le désir d’évoluer vers l’infini reste, même si le corps lui confère une inertie lourde à gérer. Car la conscience a elle-même fait en sorte que ces échanges se fassent (évidemment c’est un aspect inconscient de la conscience, habituel, auquel on ne s’identifie pas), dans le but de pouvoir fusionner avec d’autres individus, et lorsque les atomes reviennent au repos, elle poursuit sa quête pour aller plus loin dans son assimilation d’informations qui ne peut se faire qu’à travers les expériences d’un corps.

 

La conscience aura donc tôt fait de se redonner le ou les corps nécessaires. Elle seule peut le faire, et elle ne peut pas faire autrement. La destinée de la conscience est d’intégrer l’infini par tous les moyens possibles. La “ gravitation ” pour les minéraux, la consommation pour les végétaux, la sexualité pour les animaux, la communication pour les hommes, et au-delà : la télépathie fusionnelle.

 

On a compris ce que c’est que cette volonté de vivre, il n’est pas nécessaire de répéter à nouveau que tant que l’unité avec le Tout n’est pas réalisée, la conscience cherche à intégrer, à ingérer ce qui lui paraît extérieur.

 

Au fur et à mesure que cette absorption progressive de l’infini “ extérieur ” se fait, le nombre d’individus concernés diminue évidemment, puisqu’on part de la multiplicité apparente en tout point pour aller vers l’unité. Il s’agit toujours, et depuis le début du cosmos où chaque point est énergie dualiste, de former des particules puis des masses cosmiques, donc de diminuer en nombre. Il s’agit toujours d’une absorption du milieu environnant, donc d’une concentration de l’énergie, une accumulation d’information et de mémoire. Le nombre diminue à chaque passage d’un Règne à l’autre : il ya moins de végétaux que de minéraux, moins d’animaux que de végétaux, moins d’hommes que d’animaux, et pas beaucoup d’ « hommes nouveaux » (Causal) saints, maîtres ascensionnés ou anges etc. Et ainsi de suite avec pour objectif de n’être plus qu’Un : “ Dieu ”.

“ Dieu ”, on le sait à présent, étant le but de l’univers (donc source d’énergie et d’évolution) et non son origine. But éternel car jamais atteint, ce qui fait que la conscience est éternelle. La mort ne peut donc concerner la conscience. Elle ne concerne que les assemblages organiques qui permettent à cette dernière de manifester des limites et des formes d’amour correspondant à un niveau d’évolution.

 

Dans l’absolu, le nombre ne diminue pas vraiment, mais c’est un détail. Rapportés à l’infini, qu’on soit trois archanges ou trois milliards de gus, c’est toujours zéro.

 

C’est bien entendu la conscience qui, en se limitant, définit et crée ses corps apparents. Il n’y a personne d’aure. Elle n’a jamais fini de changer de corps, sous une forme ou sous une autre. On parle de “ réincarnation ” quand il s’agit de corps différents d’un même niveau d’évolution, outils de destins successifs indispensables à l’enregistrement d’information.

 

La conscience sait ce qu’elle a à faire, elle seule peut le faire. Aucun corps ne peut être vivant s’il n’est nécessaire dans le cheminement de la conscience. Même un clone. L’évolution n’est donc pas du tout le fait du hasard, mais celui d’une volonté inconsciente. En tout cas inconsciente pour celui qui ne s’identifie pas à ce niveau supérieur de décision. La vie des corps n’est pas non plus le fait d’une nécessité en soi, il n’y a pas de nécessité de perpétuation des espèces. La vie n’est pas un but. La vie est un moyen utilisé par la conscience pour progresser vers l’infinitude.

 

Darwin n’a rien à voir là-dedans. L’explication de l’évolution des espèces selon laquelle lorsqu’un critère physique permet de mieux survivre il est conservé, ne tient pas. D’abord la vie n’étant pas un but en soi, il n’y a aucune raison de survivre s’il n’y a pas désir et décision, même si on est favorisé par rapport aux autres. Ensuite aucun hasard n’est capable de créer de nouveaux critères physiques. Il faut une volonté pour cela. Enfin, pour qu’un caractère physique se transmette de génération en génération et se perpétue, il faut aussi une volonté. Pas un hasard. Il n’y a aucune nécessité à cela. L’idée de nécessité de perpétuer l’espèce n’a rien de scientifique, c’est la même chose que l’affirmation de « Dieu ».

 

C’est comme croire que la reproduction est une nécessité, et que c’est elle qui manipule le désir sexuel. C’est l’inverse, comme d’habitude. Le désir sexuel n’est que le désir de communication et d’unité pour tendre vers l’infini, comme toute forme d’amour. C’est ce désir qui est éternel et croissant avec l’évolution, et qui engendre la reproduction parce que c’est le seul moyen de continuer cette quête. En fait la reproduction n’a pas pour but de se multiplier, au contraire, c’est de faire UN avec DEUX, les deux étant appelés à disparaître. Et de continuer cette entreprise à travers un nouveau corps. Nous sommes nos ancêtres. La perpétuation de l’espèce n’est pas le but, même si tout concourt à la sauvegarder dans nos comportements jusque le plus tard possible, c’est le moyen nécessaire pour progresser vers le but. S’il n’y a plus d’enfants, tout le travail accompli depuis des millions d’années sera perdu. Mais l’affaire continuera ailleurs bien entendu.

 

L’Homme ne descend pas du singe, pas plus que les mammifères ne descendent des dinosaures. On sait bien qu’il existe des singes en même temps que des hommes. On sait bien qu’il existe des dinosaures (tout petits ici mais qui peuvent être gros sur d’autres planètes) en même temps que des mammifères. Aucun niveau d’évolution ne peut disparaître. Tous existent toujours. Ils s’ajoutent les uns aux autres au fur et à mesure que, localement, la conscience prend conscience d’elle-même, mais ne se remplacent pas. Simplement NOUS choisissons à quel niveau nous nous identifions de façon à progresser dans notre assimilation d’expériences d’amour et de mémorisation d’information.

 

Pour résumer tout cela, on va présenter un petit dessin : la “ Pyramide de l’Evolution ”. Mais comprenons bien que la notion temps qu’on utilise pour décrire l’écolution (comme on l’a fait pour la formation de l’atome) n’est qu’une impression pour celui qui est concerné par ces changements de mémoire. Dans l’absolu, il n’y a aucun temps, tout est là tout le temps.

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Voilà pour aujourd’hui. On parlera davantage de la mort et de la réincarnation la prochaine fois. Et si ces sujets vous intéressent et que vous avez envie de les approfondir, venez au séminaire qui aura lieu DIMANCHE 19 MAI en Seine et Marne de 10 h à 17 h 30.

 

Vous pouvez vous inscrire avec Paypal sur http://www.hatem.com/ecoleprog.htm.

 

Et pour vous en donner un avant-goût, voici un message de vie que je vous transmets parce qu’il est bien fécond :

 

« Bronnie Ware est une infirmière australienne.
Elle s’est occupée de personnes en fin de vie et les a accompagnés durant leurs dernières semaines.
Elle en a écrit un livre “ The top five regrets of the dying ” dont voici un extrait :

“ Mes patients sont ceux qui rentraient “ à la maison ” pour mourir. Nous avons souvent partagé
des moments incroyables ensemble. J’étais avec eux pour les trois à douze dernières semaines
de leur existence. Les gens grandissent énormément lorsqu’ils sont confrontés à leur propre mort.
J’ai appris à ne jamais sous-estimer la capacité de croissance d’un être humain. Certains changements furent tout à fait phénoménaux. Chacun a expérimenté une panoplie d’émotions, comme le déni, la colère, les remords, puis encore le déni et éventuellement l’acceptation. ”

Selon l’expérience de Bronnie, voici les 5 plus grands regrets émis avant de mourir :

1- Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre ma vie selon mes aspirations.
2- Je regrette d’avoir passé autant de temps à travailler.
3- Je regrette de ne pas avoir eu le courage d’exprimer mes émotions.
4- Je regrette de ne pas être demeuré en contact avec mes amis.
5- Je regrette de ne pas m’être laissé être plus heureux.

Et vous, si tout s’arrêtait demain, quel serait votre plus grand regret ? »

Moi, mon plus grand regret aurait été de ne pas tout faire pour comprendre ce que je fais là. Et sans la mort, s’il n’y avait pas de limite, pourquoi donc faire des efforts pour cela ? Et sans efforts pour se surpasser, comment évoluer ?

 

Heureusement que la mort existe. Comme la particule est discontinue, l’évolution est discontinue parce qu’elle ne peut pas être infinie.

 

Bonne semaine à tous. Frank Hatem