par ANDREW SIDDONS
Ces débats concernant l’existence extraterrestre préparent, je crois, l’avènement de la « grande déception » où l’humanité sera contrainte à accepter la révélation extraterrestre comme étant nos « frères de l’espace », voire même nos « géniteurs », venus nous libérer d’un monde voué à la destruction. Le scénario, à la sauce « V » [remake de la série des années 80], risque de nous proposer une mise en scène où les visiteurs seront accueillis en sauveurs grâce à leurs technologies de sauvegarde de l’environnement et de guérison de maladies incurables. Ils seront d’abord craints pour ensuite être élevés comme « créatures de Dieu » par les institutions religieuses (lire Vatican), ils seront vénérés comme l’ont été les « dieux » des anciennes civilisations venus transmettre les mystères et les connaissances célestes aux hommes. Mais, ces « anges de lumière » se révéleront être notre pire cauchemar, une grande déception…
Alors que le président Obama fait la promotion de la révision de l’immigration au Mexique, six anciens membres du Congrès réunis à deux blocs de la Maison Blanche discutent de ce qu’ils considèrent comme le secret gouvernemental entourant un autre type de visiteurs: ceux qui viennent de beaucoup plus loin.
À chaque jour cette semaine [3 mai], les anciens législateurs ont présidé des comités composés d’universitaires et d’anciens responsables gouvernementaux et militaires, qui étaient là pour discuter de leurs recherches ou de leurs propres témoignages concernant des objets volants non identifiés et des extraterrestres.
«Quelque chose surveille la planète, et ils surveillent très attentivement, car nous sommes une planète très guerrière», a déclaré Mike Gravel, ancien sénateur démocrate de l’Alaska qui a couru dans les deux primaires démocrates et libertaire en 2008.
M. Gravel et ses collègues panélistes ont été rassemblés par le Groupe de recherche « Paradigm », qui se dit engagé à mettre fin à « l’embargo sur la vérité» du gouvernement concernant l’existence d’une vie extraterrestre. Les législateurs étaient là dans l’espoir que leur présence et leur crédibilité politique suffiraient à persuader le Congrès à prendre la question au sérieux.
Source originale: http://www.nytimes.com/
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