Égrégores de pensées qui sabotent nos rêves :
Aimer, c’est risquer le déchirement de la séparation.
Manifester l’abondance, c’est risquer d’être dépassé par le besoin de gérer cette abondance, et ainsi de se compliquer la vie; c’est risquer de côtoyer des jaloux, de se sentir obligé de donner à ceux qui nous envient, ou de se faire voler ses biens,
Dire « non », c’est risquer de se sentir coupable et égoïste, d’être considérée ainsi par son entourage, et de ne pas s’aimer.
Voyager, c’est risquer un accident, la perte de bagages, les longues attentes, le non-familier.
Marcher seule dans le bois, c’est risquer de se perdre, ou d’être attaquée, soit par une bête ou un humain détraqué.
Investir ou partir sa propre entreprise, c’est risquer l’échec, la faillite et la pauvreté qui en découle.
Vivre seule, c’est risquer l’ennui et la solitude.
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Comment surmonter l’anxiété inhérente aux nombreux risques inévitables de la vie?
Il s’agit de changer sa perception et de porter son attention sur le résultat positif du risque.
Je reprends donc les croyances ci-haut :
Aimer, c’est s’offrir l’opportunité d’être heureux, et ainsi d’améliorer sa santé à tous les niveaux; c’est contribuer à rendre les autres autour de soi plus heureux également.
Manifester l’abondance, c’est la liberté et l’opportunité de réaliser ses rêves, ainsi que la joie du partage désintéressé.
Dire « non », c’est écouter ses vrais besoins, prendre soin de soi, se faire plaisir; c’est aussi se donner l’opportunité de dire « oui », quand c’est approprié, en-dehors de toute culpabilité et obligation.
Voyager, c’est laisser derrière soi la monotonie et les soucis du quotidien; c’est la joie de découvrir de nouveaux paysages et de faire des rencontres prédestinées.
Marcher seule dans le bois, c’est prendre contact avec la plénitude du silence; c’est l’opportunité de communier avec la nature : plantes, arbres, animaux, dévas, etc.
Investir ou partir sa propre entreprise, c’est se permettre d’être créatif, de réussir, de partager ses bénéfices avec les autres et ainsi participer à améliorer les conditions de vie ambiantes.
En somme, aller vers l’inconnu, c’est dépasser ses peurs, prendre de l’expansion, et rendre sa vie plus passionnante.
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Comment s’impliquer dans un projet à risque, tout en gardant la liberté et le détachement face aux résultats?
Se voir comme Dieu-Déesse Créatrice qui possède déjà tout en Elle-même, mais qui a choisi de participer à l’expérience de la vie en 3-D.
Ce que j’acquiers n’ajoute rien à ce que Je Suis.
Ce que je perds n’enlève rien à ce que Je Suis.
L’enjeu, c’est la découverte de Soi à travers l’expérience du risque,
et non l’acquisition ou le succès.
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Intentions, affirmations, ou décrets pour ancrer cette nouvelle perspective :
Je n’ai pas de quotas à atteindre, ni de but à réaliser.
Je m’amuse tout simplement,
tout en accueillant le changement qui m’ouvre à du nouveau.
Je jouis du moment présent sans m’inquiéter de l’avenir.
J’ai toujours ce dont j’ai besoin dans le moment présent.
L’inquiétude n’appartient qu’au futur,
alors que les regrets appartiennent au passé.
J’accueille la plénitude de chaque instant.
Je m’y implique totalement
tout en lâchant prise pour accueillir l’instant qui suit.
Je vis constamment dans le moment présent.
Il n’y a pas de risque dans le présent
car nous avons toujours la grâce d’y faire face.
Le risque est une projection appartenant au futur.
Je joue à la vie, comme un enfant-Dieu
créateur de sa réalité.
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De toute façon, le plus grand risque que nous ayons jamais pris, c’est celui de « descendre » en 3-D, de prendre ce corps de matière, de traverser les voiles de l’ombre pour y apporter notre lumière. Le risque était de nous y perdre, et nous l’avons déjà fait!
Nous sommes maintenant sur le chemin du Retour,
au seuil de la Grande Transition des Âges.
Tous les autres risques ne sont rien à côté de ce Grand Risque.
Considérons que nous sommes déjà victorieux.
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