venusien

 

Extraits d’un ancien dossier Top Secret du Département canadien
des Affaires Interplanétaires déclassifié en 1989

Adaptation : Olivier de Rouvroy – mai 2013

Depuis des décennies, la NASA nous présente certains aspects de la nature physique de Vénus grâce aux sondes américaines qui se sont aventurées dans son voisinage ou se sont posées sur son sol. Les porte-parole de ces missions d’exploration nous ont parlé d’un environnement particulièrement inhospitalier, d’un air surchargé de gaz carbonique, d’une pression barométrique infernale, d’une chaleur torride de plusieurs centaines de degrés à sa surface ainsi que d’une atmosphère hébergeant d’épais nuages opaques et chargés d’acides sulfuriques. Bref, une planète ne permettant absolument pas de générer ni d’abriter la vie, une planète qui ne donne pas le moins du monde envie d’aller y faire une petite excursion dominicale ou d’y installer un club de vacances.

Pourtant en 1989, un dossier a été déclassifié de l’autre côté de l’Atlantique et ceci dans la plus grande discrétion, car vingt cinq ans plus tard, ce document reste encore pratiquement inconnu du public. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce dossier rapporte de nombreux contacts humains avec des êtres de la planète Vénus ! Il raconte comment des Vénusiens sont venus et continuent à venir sur la Terre pour y rencontrer des hommes, choisissant de s’adresser parfois à d’humbles citoyens, parfois à des scientifiques et parfois à de hauts responsables gouvernementaux.

Il existe donc  deux approches de la planète Vénus complètement incompatibles : d’une part celle de la science terrestre avec ses sondes spatiales et le sérieux qu’on lui attribue généralement ; d’autre part celle d’un rapport quasiment inconnu qui soutient l’existence d’une civilisation sur Vénus et des contacts cachés.

Face à un tel paradoxe, la réaction habituelle est de faire confiance à la science et de bien vite oublier une version si déphasée de la réalité spatiale. Ainsi nous pouvons continuer de dormir tranquilles ! Mais notre objectif n’est pas de pouvoir continuer à dormir sur nos deux oreilles. Il est de connaître la vérité !

Et si les hiérarchies scientifiques en qui nous faisons une confiance sans borne, nous avaient menti ! Le plus grand mensonge de tous les temps ne serait-il pas de nous avoir caché le fait que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire ?

À lire sur http://www.erenouvelle.fr/