J’ai commencé ma journée à 5h et des boulettes, la joie de vivre au cœur, remplie d’une immense gratitude pour les miracles de la vie, pour le bien-être que procure la libération des vieux schémas archaïques et faux. Je vais encore me répéter mais le changement en moi et autour de moi est si spectaculaire depuis que j’ai choisi de lâcher la notion de bien et de mal, que je ne peux m’empêcher d’en témoigner.
L’acceptation de tout ce qui fait drame dans ma vie, amène un sentiment de légèreté, de liberté et de grandeur que le mental ne pouvait appréhender.
Mes petits rituels du matin, totalement personnalisés et spontanés, se transforment en moments de gratitude, de reconnaissance pour ce temps béni, magique, extraordinaire, que nous vivons, présentement.
Tu as bien fait mon âme, de cocréer avec ma présence divine, toutes ces conditions de vie, de ma naissance jusqu’à aujourd’hui ! Je te remercie de tout mon être, d’avoir eu l’intelligence du cœur associée au pouvoir de manifestation de l’esprit, pour imaginer et concrétiser cette personnalité unique que Je Suis.
Osez suivre votre cœur, osez changer vos habitudes. Il ne s’agit pas de suivre un régime alimentaire, d’arrêter de fumer, de boire ou de méditer dix fois par jour.
Il est question de s’autoriser à être libre, souverain et heureux.
Ce genre de vie, à partir du cœur, se réalise en abandonnant toute idée de petitesse, de victimisation, de sens du jugement, de l’auto-critique, de la punition et même de la récompense. Pour résumer, on en revient toujours à la base de tout conflit : La division.
Le fait de séparer le bien du mal, le divin de l’humain, le cœur de l’ego, le masculin du féminin, et d’un autre côté, d’associer la pureté à la morale, l’avoir au faire, sont les erreurs de base que nous répétons depuis des centaines de vies alors qu’il suffit d’être soi-même, d’être tout simplement, de façon authentique.
La pureté n’est autre que la transparence, la connaissance de soi et la certitude d’être innocent, la sincérité, l’honnêteté envers soi-même et envers les autres.
L’amour est en nous, il est notre essence vitale, existentielle, l’énergie miraculeuse qui ne demande qu’à circuler, à rayonner sur tout ce que nous sommes afin de nous révéler à nous-même.
L’amour de soi n’a rien de narcissique, c’est le résultat de la reconnaissance de tout ce que l’on est, sans exception, nos pensées positives ou négatives, nos émotions agréables ou désagréables, nos forces et nos faiblesses, notre légèreté et notre lourdeur.Quand on accepte ses défauts, on a l’honnêteté d’accepter ceux des autres.
Tout ceci créé un magnifique équilibre, une harmonie libre et heureuse quand nous l’acceptons sans distinction. Quand on se reconnaît acteur, scénariste et spectateur de la pièce que nous jouons, on ne s’identifie à aucun d’eux mais à l’ensemble qui forme un « Je » spécial, atypique. Une création unique qui se suffit à elle-même de par sa complétude.
J’ai eu quelques douleurs assez violentes dans le dos, du côté droit, pendant trois jours et j’ai commencé par me dire que la clope en était l’origine puis j’ai eu l’image d’une aile qui sortait et la force qu’elle déployait pour ce faire, causait les pointes douloureuses.
Hier soir, j’ai constaté que je n’avais plus mal à cet endroit, que la douleur avait cessé comme elle était venue.
Ce matin, des petits pics se font sentir de l’autre côté, à l’extrême opposé, juste dans le même axe. Selon la puissance du désagrément, je saurais si je suis dans la résistance ou l’abandon. Si je cherche encore à forcer les choses ou si je laisse venir, dans la confiance que tout se réalise pour ma progression et pour mon plus grand bien-être.
J’ai déjà guéri de deux hépatites de façon spontanée, d’une maladie héréditaire au pied droit qui nécessitait une intervention chirurgicale, d’une énorme tendinite au poignet droit qui n’est pas tout à fait résorbée puisqu’elle est liée au déséquilibre qui persiste, dans la loi du donner et recevoir. De quelques bobos laissés en héritage par ma mère, mes grands-mères…Toutes ces « tares » génétiques qui correspondent à des fausses croyances et perdurent de génération en génération. J’en ai parlé un peu hier mais je suis partie sur un autre sujet.
J’aime écrire de façon spontanée, sans trop relire, sans chercher à convaincre ni même à avoir raison. Je laisse mon âme s’exprimer dans son unicité sachant qu’elle touchera le cœur de ceux qui appellent l’inspiration de leur propre divinité intérieure et qui n’osent pas encore le faire directement.
Personne ne peut agir pour quelqu’un d’autre, c’est à chacun de trouver le contact et la confiance au divin intérieur. Même si des déclencheurs peuvent aider dans ce processus, la souveraineté de chacun est en « jeu » selon la loi du libre arbitre.
Ce processus de découverte de soi et d’abandon à la vie, est magnifique. Il se vit de l’intérieur, dans l’intimité de son cœur. Aucun voyage sur terre, sur mer, dans les airs ou même dans l’espace, ne peut procurer autant de joie, de réalisation et de compréhension de soi-même et de la vie. Quand on l’entreprends, on parcourt les mondes sans même bouger de son fauteuil.
J’ai été poussée à lire la presse galactique, ce matin et quand j’ai trouvé les messages de
Michèle Erena et de
Carmelle Amara, j’ai compris que mon âme m’invitait à accueillir le féminin divin et sacré, avec plus de confiance dans la bienveillante force protectrice du masculin divin intérieur. La résonance ressentie dans leurs écrits, m’amène dans un espace sacré de communion à l’âme du foyer. La descente jusqu’au plus profond de mon être, de cette énergie de la mère, qui a le pouvoir de guérir les blessures et d’effacer les cicatrices les plus marquées, me procure un sentiment de plénitude. La grâce qui se déverse dès que l’on cesse de vouloir contrôler les choses ou même de les maîtriser par la force du mental, suffit à transformer la chenille en papillon.
Je t’accueille avec joie, respect et gratitude, magnifique énergie féminine divine, tu peux compter sur l’amour de l’énergie masculine divine pour te manifester en toute sécurité et en toute liberté, dans ce plan matériel, à travers mon être tout entier.
« Mais vous devez être déterminés à mettre vos pensées sur quelque chose qui permet de vous sentir bien. Nous allons donc faire ici une déclaration très audacieuse : toute maladie pourrait être guérie en quelques jours, toute maladie, si vous pouviez vous en distraire et qu’une vibration différente puisse dominer. Quant au temps nécessaire à la guérison, cela dépend de la quantité de confusion qu’il y a dans tout ça ».
La détermination dont il est question ici, n’est pas un effort à réaliser mais la conséquence de l’unité intérieure créée par l’acceptation de ce qui est. Bien que nous créions par nos pensées, quand on se situe au cœur de son être, le pouvoir de l’amour divin suffit à unir le cœur et l’ego, l’âme et la conscience qui manifeste en conséquence.
Je constate chaque jour que la volonté seule, n’a plus aucun pouvoir, sinon de diviser encore plus et d’amener souffrance et confusion.
Le fait d’accepter ce qui est, tel que c’est, dans le moment présent, est la meilleure « méthode » de cette nouvelle dimension.
Pour mon « problème » relié au fait de gagner sa vie, en gardant mon objectif d’unité, dans la confiance totale en mon âme et en appliquant tout ce que j’ai compris spirituellement, une autre réalité se créé, sans même que j’ai à y penser.
Le seul objectif que je me suis fixée dans cette problématique, c’est de revenir en mon centre et de m’abandonner au pouvoir de l’unification de tout ce que je suis.
Les questions qui commencent par : « Comment », je les laisse de côté, confiante que mon cœur en connaît les réponses. Les pourquoi ayant trouvé raison, en cette phrase simple: « pour grandir en amour et en sagesse», ne sont plus nécessaires.
Cette libération des jeux de l’ego, qui se cherche et qui finalement se rend compte que sans le cœur il tourne en rond, nécessite, comme le dit si bien Carmelle Amara dans
« La blessure devient ouverture », de prendre conscience que nous avons aussi été bourreau et d’accepter cette réalité qui amène la souveraineté et la paix intérieure.
Se reconnaître, trouver sa grandeur, demande de l’honnêteté et l’humilité d’accepter de ne pas être parfait et tout amour.
On n’est pas toujours conscient des dégâts que l’on cause. Le simple fait que je dise que la notion de bien et de mal est un leurre qui cause les pires souffrances, est certainement une forme d’agression pour la majorité des gens.
Et pourtant, l’amour inconditionnel ne saurait faire de distinction, de division ou de séparation. Quand on reconnaît avoir joué tous les rôles, on est plus facilement apte à pardonner aux autres et à ne plus juger.
Du pardon, on passe à la reconnaissance et de la reconnaissance, à la gratitude.
Lorsque qu’on se reconnaît en totalité, on passe du faire pour être aimé à être en amour. Jusqu’au jour où « être et amour », ne font plus qu’UN.
Je me propose donc de choisir cette phrase pour toute direction :
« Je Suis Amour »
Elle exprime la fusion de l’être et de la source, du cœur et de l’esprit, de l’âme et de la conscience, de l’UN et du Tout…
Il ne s’agit pas d’être conforme aux normes afin d’être acceptable et accepté, ni même d’être gentil, mais d’être vrai. On n’a pas à craindre de devenir méchant ou même exubérant puisque le choix d’unifier ce qui est, tout comme celui de reconnaître que nous créons notre réalité, nous responsabilise et apporte la paix.
Nous n’allons pas redevenir comme un enfant qui exprime toute émotion à l’extérieur mais en prenant celles-ci en charge, dans le secret de notre cœur, il saura les apaiser en nous ramenant à la réalité de ce que nous sommes, des êtres d’amour et de lumière.
Et si parfois, la colère nous échappe et qu’elle s’extériorise nous pouvons demander pardon à ceux que nous aurons blessé en n’oubliant surtout pas de nous pardonner à nous-même. L’avantage de se libérer de la dualité, c’est que la légèreté et l’humour remplacent la pression, le devoir et la culpabilité.
Ce sont ces verbes là qu’il nous faut éliminer de notre vocabulaire; devoir, obligation, mérite, récompense qui amène la gravité, la culpabilité, la peur d’échouer qui finalement paralyse, le besoin d’arriver qui fait tourner en rond.
J’ai compris une chose depuis que j’ai créé ce blog, c’est que tout ce que j’écris, est un message qu’il m’est autant nécessaire d’entendre qu’il peut l’être pour vous. Je suis tout à fait convaincue de ce que j’affirme et à mesure que la journée s’écoule me donnant l’occasion d’appliquer ma foi, dans les situations de la vie quotidienne, je fini par m’épuiser à trop vouloir en faire, à vouloir « bien faire ». Comme une élève studieuse qui voudrait montrer qu’elle a bien compris et appliqué la leçon mais c’est par l’abandon dans la confiance totale en la vie que l’être véritable émerge.
Cette notion de « faire » doit laisser la place à « être »
Avoir de la tendresse pour soi-même en reconnaissant tout ce qui a évolué en soi plutôt que de voir ce qui reste à réaliser, facilite la vie et rend le chemin plus joyeux.
Par moments, il m’arrive encore de râler quand des avions laissent dans le ciel des traînées qui me font penser à l’opposition des forces « négatives » qui continuent de vouloir diriger le monde, puis je me ravise en me disant que les énergies émises par l’extérieur, m’amènent à trouver plus de force intérieure, à faire appel à l’énergie masculine intérieure, l’équilibre.J’appelais quelques fois l’aide de l’Archange Mickaël, à venir purifier l’astral, à couper de son épée, les liens éthériques tant ceux qui me relient avec l’extérieur que ceux qui m’attachent à mes propres « fantômes » que sont la matérialisation de mes peurs, mes doutes et mes critiques et je constate le progrès dans le fait que ces formulations ont changé peu à peu.
C’est devenu un appel à mes propres forces intérieures, non dans une lutte un combat à mener mais dans la confiance de ces deux énergies qui sont, par leur union, la puissance de vie éternelle, la source elle-même. Chacun les porte en soi et dans la connaissance que nous sommes UN, dans le plan de la conscience unifiée, nous avons accès à toute la sagesse, la puissance et l’amour qu’il nous suffit d’activer pour qu’elles se manifestent. Quand je dis « activer », c’est simplement ramener cette vérité à la conscience, en raviver la mémoire. Nous avons tout en nous, au niveau de l’ADN et le désir d’unité suffit à équilibrer les programmes intérieurs qui ne sont pas immuables. Ils le deviennent quand nous les croyons figés.
Des pointes douloureuses aux deux genoux me montrent que je manque encore de flexibilité face à l’avenir. Je les traîne depuis que j’ai reçu la convocation de l’assistante sociale ! Ils sont moins douloureux et j’y vois l’appel de mon âme, de m’abandonner encore plus face à cette situation. Je vais aller me connecter à la terre mère, au jardin, afin de puiser en son amour, la confiance nécessaire à ce lâcher prise.
Dans ma précipitation envoyant l’heure tourner et le soleil chauffer de plus en plus, j’ai cafouillé et publié ce message avant d’y insérer les photos!
Je courre encore et continue de me soucier pour l’avenir, mais au moins, j’en suis consciente!
Source: http://lydiouze.blogspot.fr