Que faut-il faire pour sortir du vortex?
D’abord, observons ce que fait la concurrence – pour ne pas dire « l’adversaire » car nommer par son nom le carnassier qui les dévore est insupportable aux ruminants. L’élite est organisée en réseaux occultes relayés par des clubs et des loges où l’on maintient les esclaves de la technocratie mondiale sous contrôle. Ils sont organisés depuis des siècles, et ils obéissent à des chefs implacables qui leur procurent des privilèges et un pouvoir sur le genre humain. Pendant que ces messieurs se réunissent dans leurs loges pour décider de votre sort, vous batifolez en brandissant le « Livre Jaune », expliquant à votre concierge éberluée le complot des Illuminati.
Et lorsqu’elle prête attention à vos élucubrations sans vous traiter de dingue, vous pensez « les choses évoluent, ma concierge commence à comprendre ». Et pendant ce temps, vous continuez à rêver, vous ne vous organisez pas. Vous passez d’un complot à l’autre sans chercher à comprendre. Vous zappez. Laxisme, paresse ? Vous ne voyez pas que le système politique que vous dénoncez est fondé sur une organisation technocratique militaire où rien n’est laissé au hasard. Les journalistes, les banquiers et les stars mangent et couchent ensemble. Ils sont organisés. Pas vous. Vous, vous êtes isolés, donnant votre âme en pâture à l’Internet du Pentagone. On vous fait croire que vous représentez une force morale, unis autour de toutes les bonnes causes. Internés sur Internet.
Quant à elle, l’élite vit dans le monde réel, se côtoie physiquement, travaille et s’amuse ensemble. L’élite est une fraternité qui applique le principe « aime ton prochain ». Ils s’entraident, ils se poussent en avant, ils échangent des bons procédés, et ils se mangent aussi selon l’adage « c’est plus drôle avec de la compétition ».
Ils s’amusent beaucoup lorsqu’ils font semblant de se chicaner devant les médias, et ils se moquent de vous pendant que vous les applaudissez. L’élite jouit de tous les plaisirs raffinés pendant que vous êtes devant votre écran, triste masturbateur des bonnes causes.
Quand bougerez-vous votre derrière plombé ? Quand comprendrez-vous qu’il faut s’organiser, se fixer un objectif, un but fort, établir un programme, réunir des forces et passer à l’acte ? Quand passerez-vous à la riposte ? Même ce mot vous fait peur. Alors, si l’on vous parle d’une stratégie de reconquête de l’espace planétaire, vous trouvez que cela « manque d’amour » alors qu’il s’agit de sauver vos âmes. Finirez-vous par comprendre la loi de cette jungle où vous servez de canard, ou continuerez-vous à vous bercer de rêves de prolétaires ? (Prolétaire signifie « sans pouvoir ».) Lorsque vous travaillez bénévolement dans l’humanitaire, l’élite vous en sait gré car tout le profit est pour elle. Vous donnez bonne conscience au système. Vous servez de serpillière.
Désirez-vous réunir des fonds pour des médicaments ? C’est très bon pour les labos. Lutter contre la faim dans des régions vampirisées par les lobbies ? Excellent pour leur image. Ils vous sponsoriseront et vous pourrez faire carrière dans la bureaucratie humanitaire en vampirisant à votre tour les maudits de la terre. Avec bonne conscience, car « il faut bien faire quelque chose ». Il faut construire des hôpitaux pour éponger les ravages de la civilisation matérialiste tout en faisant des profits (la vente continue pendant les travaux et les massacres).
L’élite vous utilise pour régler les problèmes générés par son avidité. C’est un système machiavélique parfait. Ils font la guerre pour augmenter leur fortune et vous descendez dans la rue pour bêler « la paix, la paix » jusqu’à ce qu’ils vous donnent le prix Nobel. Vous êtes un super-gagnant au dîner de cons et vous avez bien mérité le prix. Alors, le trafic d’armes peut continuer, avec votre caution, en attendant qu’un nouveau Don Quichotte se lance à l’assaut des moulins à Rothschild qui tournent dans l’astral en aspirant votre énergie.
Vous ne voyez pas que celui qui accorde le prix Nobel est le même que celui qui fabrique les armes. On vous le dit et on vous le répète, mais cela n’imprime pas, et dès qu’une nouvelle mère Thérésa se lève, vous applaudissez de vos petites menottes. Comment des enfants pourraient-ils imaginer que le grand humanitariste est Satan en personne ?
A sa place, vous agiriez pourtant ainsi. Vous vous montreriez sous le masque de la philanthropie. Vous enduiriez vos pattes griffues avec de la farine. Vous vous présenteriez comme un être de lumière.
Pourquoi ne vous posez-vous pas la question juste?
On vous a dit que la candeur est une vertu, et que ceux qui voient le mal partout sont négatifs.
Vous voulez être du côté du bien, mais celui-ci n’est que l’envers du mal.
Videz la corbeille
Vous n’avez pas les bases, vous refusez de les apprendre, et ceux qui vous trompent ont des siècles d’avance. Ils ont pris beaucoup d’avance car ils sont organisés. Et ils ne vous lâcheront pas.
L’adversaire – disons le « concurrent » car vous n’aimez pas les termes négatifs – est très différent de vous. Il est initié à la « science du bien et du mal ». Il peut jouer des deux côtés. Il a deux visages.
Il vous domine depuis des milliers d’années et vous n’osez pas en prendre conscience par peur de découvrir la vérité sur le monde et sur vous-même. Vous ne voulez ni voir ni savoir.
Vous pouvez admettre dans un moment de lucidité que ceux qui vous dirigent sont organisés pour vous dominer, mais vous ne pensez pas à vous organiser par vous-mêmes. Lorsqu’une prise de conscience se fait en vous, alors, brûlants du désir de servir, vous rejoignez les organisations préparées à votre intention : politiques, religieuses, culturelles… c’est pathétique.
Si malgré tout vous êtes un rescapé, vous savez qu’on veut vous désarmer spirituellement avec « l’espoir en un monde meilleur ». Vous comprenez que le monde meilleur est une propagande pour tenir votre système énergétique sous tension. Alors, si l’éclair jaillit dans votre esprit, vous attrapez les stupidités sur l’âge d’or pour les jeter aux cabinets avec tous les autres idéaux planétaires. Vous pouvez tout dégager sans complexe.
Sans haine ni passion, tranquillement, méthodiquement, sans regret, vous allez vider la grosse corbeille culturelle avec la république, les droits de l’homme, le progrès, la démocratie, la dictature du prolétariat, les trusts, la science, la télé, les dieux de l’Inde, le grand lama et la CIA, le baptême et la circoncision, le comte de Paris ou le prétendant des Bourbon, Jack Lang l’éventreur, sœur Emmanuelle du tube catholique, les satanistes associés, le rap et la coke, l’Europe unie, les Verts, les rouges, le dernier channel à la mode, les faux ovnis du Pentagone, les apparitions mariales, les tours du World Trade Center, le sida, Nietzsche, Saint Augustin, Marylin, les reptiliens de Buckingham, Le Livre Jaune, les prophéties mayas, votre manuel « Vivre sainement en enfer », le Zen du non mental, le yoga du yoyo des gagas, la PNL et les thérapies, Hollywood, les jeux olympiques, le 14 juillet, votre soi-disant négritude, votre soi-disant juiverie, Pol Pot, le Coran, le Grand Larousse, le Code Civil, les œuvres complètes de Freud, Mein Kampf, le Kapital, Libération, Le Monde, Le Figaro, l’Humanité, Elle et Marie-Claire, l’Ordre Mondial à visage humain, l’ONU, l’UNESCO, la Sécu, les OGM garantis biologiques, mille et une horreurs et autant de merveilles… sélectionnez tout et puis d’un clic, videz. C’est magique. Voilà comment on commence à sortir du vortex.
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