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Les diagrammes sonores des crop circles

Les diagrammes de champ (en anglais crop circles) sont des dessins imprimés dans des champs cultivés, effectués à l’insu des agriculteurs et des observateurs, à quelques rares exceptions près. Leur taille peut aller d’une dizaine de mètres à plusieurs centaines (on peut s’en rendre compte sur les photos par les traces habituelles des roues de tracteur dans le champ). Ils apparaissent chaque été dans le monde entier, mais plus particulièrement dans le sud-ouest de l’Angleterre. Les figures ne révèlent leur dessin que vues du ciel. Leur réalisation est souvent d’une grande complexité et témoigne d’une habileté minutieuse et experte. Depuis les années 1980, on a répertorié des milliers de ces figures de toute beauté. (Pour en savoir plus, voir l’article Diagrammes de champs et son diaporama)

La majeure partie de ces figures sont construites sur la base de structures géométriques symétriques. Certaines ont des ressemblances frappantes avec les figures acoustiques. Parfois, on a même l’impression que le diagramme est une imitation volontaire de ces figures acoustiques. Certains diagrammes pictographiques présentent aussi des analogies frappantes avec les codes géométriques de Lumière de S. Cavé.

 

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Crédits photos: Lucy Pringle, © photos 1, 3, 5, 6, 8; Steve Alexander (Temporary Temples), © photos 4 et 7; John Montgomery, (Crop Circle Connector) © photo 3.

La géométrie de ces dessins est parfaite lorsqu’on les observe de haut, même lorsque le terrain sur lequel ils sont imprimés est irrégulier. Quel que soit le procédé de fabrication, il est indispensable qu’il emploie une projection verticale, que ce soit du haut ou du bas. Il pourrait donc s’agir de l’action d’un rayon vibratoire. Aussi, une hypothèse très avantageuse a été avancée. Ce rayon agirait comme une onde sonore. De même qu’un son crée des figures cymatiques, de même on peut concevoir qu’une technique plus avancée crée des formes dans l’air, dans l’eau du sol et dans les plantes par l’usage d’ondes vibratoires stationnaires. D’ailleurs, certains témoins ont entendu un son suraigu survenant juste avant la formation du diagramme (voir Colin Andrews).

Structures géométriques des planètes

Récemment, les sondes spatiales d’observation du système solaire ont apporté quelques surprises aux astronomes. Des structures géométriques sont visibles à la surface des pôles de certaines planètes, en particulier Saturne et Jupiter.

En ce qui concerne Jupiter, la sonde Cassini a recueilli des images en lumière ultraviolette de son pôle nord pendant 11 semaines en 1999. On y remarque la présence d’un tourbillon ou vortex dont la taille est supérieure à celle de la Terre. Ce vortex semble structuré par un ou plusieurs polyèdres. Selon la façon dont on définit les sommets, on peut y voir un pentagone, un hexagone ou un heptagone. Quoiqu’il en soit, une structure polyédrale est bien visible. En fait il semble exister plusieurs polyèdres imbriqués.

Dans le système nuageux de Saturne, la sonde Voyager 1 a détecté en 1980 une structure hexagonale autour du pôle nord. Son existence a été confirmée par la sonde Cassini en 2006. Les côtés de l’hexagone mesurent environ 13’800 km. Il tourne sur lui-même avec une période de 10h 39 mn.

src= »http://www.spirit-science.fr/doc_musique/FormesIMAG/15Jupitervortex.jpg » alt= »Pôle nord de Jupiter » />

La plupart des astronomes pensent que ces polyèdres sont dues à des ondes stationnaires dans l’atmosphère de ces planètes. Dans les études rapportées plus haut sur les tourbillons liquides dans des cylindres transparents (Université technique du Danemark et Université d’Oxford), les chercheurs ont pu simuler la formation de ces structures polygonales en laboratoire. Cela démontre que des formes inscrites dans les planètes peuvent naitre du mouvement circulaire et rythmique de la matière fluide.Les tétraèdres des planètes et de la TerreDes observations sur plusieurs planètes suggèrent qu’elles sont sous-tendues par des polyèdres, en particulier par un double tétraèdre.C’est ce qu’énonce David Percy, un producteur de cinéma et de télévision britannique qui a aussi reçu la fonction de directeur européen des opérations pour la mission Mars. Cela l’a conduit à proposer de nouvelles théories sur les structures des planètes, qu’il a exposées dans son ouvrage Two-thirds (Deux-tiers, en collaboration avec David P. Myers et Mary Bennett). Ses propositions et ses documents photographiques ont été repris et exposés au siège de l’ONU en 1992 par Richard Hoagland, un ancien conseiller de la NASA pour le Goddard Space Flight Center.Percy montre l’existence d’un tétraèdre régulier inscrit dans la Terre. Un sommet est situé au pôle Nord et les autres sommets sont répartis à 120° les uns des autres sur le cercle de latitude 19,5°. Les côtés et surtout les sommets du tétraèdre se manifestent par des flux énergétiques à la surface de la Terre. Ces manifestations sont de nature magnétique et géophysique. C’est à la latitude de 19,5° nord qu’on trouve la grande île d’Hawaï qui est le théâtre d’une activité volcanique importante. Beaucoup de sites sacrés d’anciennes civilisations sont localisés autour de 19,5° Nord ou Sud: par exemple le complexe de Teotihuacan au Mexique. D’autres chercheurs ont complété ces observations et montré l’imbrication de 5 polyèdres, traditionnellement appelés solides de Platon, qui se combinent en une grille de 120 triangles (voir les détails dans l’article La grille énergétique planétaire

 

Tétrèdre inscrit dans la Terrepolyèdre inscrit dans la Terre

Double tétraèdre inscrit dans une sphère.

 

Merci à R. HoaglandPolyèdre 120, base de la grille énergétique de la Terre
Merci à Robert FerréolPercy a également mis en évidence des phénomènes importants à la latitude de 19,5° nord ou sud dans le système nuageux de plusieurs planètes: vortex géants pour les planètes gazeuses, activité volcanique dans les terres solides. La grande tache rouge de Jupiter est à cette latitude. De même la tache noire de Neptune découverte par la sonde Voyager II. Les activités volcaniques majeures de Vénus se situent autour de 19,5°. Le Mont Olympe, cône volcanique de Mars est à cette même latitude. Enfin, les fortes activités magmatiques et thermiques du Soleil se produisent à 19,5° Nord et Sud. (d’après le livre Sedona: Beyond the Vortex, Richard Dannelley – voir en français Le code secret de la NASA).Le pôle nord de Mars est recouvert d’une calotte glaciaire. Comme celle de la Terre, la calotte glaciaire de Mars se réduit de plus en plus et tend à disparaitre (son réchauffement n’est pas dû à l’effet de serre. Tout le système solaire se réchauffe !). R. Hoagland et D. Wilcock ont fait remarquer qu’en se retirant, elle avait pris la forme d’un hexagone (Interplanetary “Day After Tomorrow?”).Ainsi, des formes géométriques polyédrales orientées sont inscrites dans des corps planétaires sphériques. Comment est-ce possible? Cela ressemble fort à des ondes stationnaires créées par une vibration rythmique. Le monde aurait-il été formé à partir de pulsations vibratoires?Le monde a été créé par le sonLa plupart des cultures traditionnelles planétaires possèdent un récit mythologique de la création du monde, dont beaucoup font référence au son ou à la parole. Par le son, la parole ou le souffle, les dieux créent les créatures à partir de la substance primordiale sans forme.< » href= »http://www.acupuncture-ieatc.com/yinyang.php » target= »_blank »>tradition chinoise, le Tao Te King dit: Avant les Temps et de tout temps existait quelque chose existant de par lui-même, éternel, complet, omniprésent. On ne peut lui donner un nom car ce serait définir l’indéfinissable. On l’appelle signifiant néant de forme, informulé; on l’appelle aussi >Tao. Le Yuan Tchi Lun dit: Lorsque les Souffles (tchi) ne s’étaient pas encore séparés en prenant forme, ils étaient unis (mariés) et ressemblaient à un œuf. Puis les Souffles formèrent un globe de forme parfaite que l’on appelait le Grand Un (Taé I). Le Souffle originel, d’abord pur, monta et forma le Ciel; puis, étant troublé, il descendit et forma la Terre.Dans les < sacrés, on lit: Au commencement était l’Unique, la Lumière de la Lumière. Tout était une seule lumière, indicible, sereine et joyeuse, force de vie d’une blancheur infinie, d’une pureté totale, parcourue de grandes ondes blanches et dorées. Les textes bardiques disent: Les ténèbres opaques emplissaient l’infini avant que l’Inconnaissable ne prononce son Nom hors de Keugant; de sa Parole jaillirent la Lumière et la Vie. Cette Parole forma trois rayons lumineux colorés et sonores: les ; »>Trois Cris, véhicules de la pensée créatrice qui firent éclater l’Œuf du Monde. Ces trois cris sont associés à 3 voyelles: I, O, W (ou).L’évangile chrétien de St-Jean dit: Au Commencement était le Verbe. Le Verbe était avec Dieu. Le Verbe était Dieu. Verbe est une traduction française possible d’un mot qui signifie aussi Parole. Enoch précise: Au commencement était le Verbe, cependant le commencement du Verbe se manifesta en un pictogramme lumineux qui prit forme. Provenant des émanations de l’Esprit Divin, les images lumineuses (ou pictogrammes) apparurent; combinées aux géométries des formes créatives, elles produisirent le spectre de toute forme issue de l’alphabet de création. (Le livre de la connaissance; Les clés d’Enoch, Clé 214 J.J. Hurtak).Chez les Hindous et les bouddhistes, la création est issue de l’énergie primordiale qui est à l’origine de tout. Le principe structurant du chaos d’origine est le son ou mantra Om (ou Aum). Les sons ont ensuite le rôle de création permanente. Dans l’Asie et en Inde plus particulièrement, la tradition rapporte que dans un lointain passé, des saints hommes, les Rishis, (littéralement les clairvoyants), auraient perçu dans le silence profond de leur méditation, une série de sons traduisant les vibrations inhérentes à toute construction atomique des différents éléments de la nature. Ils donnèrent à cet ensemble de sonorités le nom de SAM-S-KR ce que nous appelons aujourd’hui le Sanskrit… Ils donnèrent à cette nouvelle langue le nom de « langage des dieux » (André Riehl, enseignant en yoga traditionnel).

Pour les Mayas Tzutujils, les dieux ont créé le monde par leurs mots.Les lieux, les animaux, les plantes, le temps et tout ce qui compose le monde extérieur sont aussi à l’intérieur de nous, comme un jumeau, et l’ensemble compose une immense série quadridimensionnelle de cubes concentriques: les épaisseurs s’étendent simultanément à l’intérieur et à l’extérieur, pour former la maison du monde, ou corps du monde. Cette structure est faite par les constructeurs, certains propriétaires, ou dieux, avec leurs sons et leurs paroles. Ces sons et ces paroles prennent une signification tangible quand on les émet. Chaque parole du dieu construit la maison du monde en se faisant l’écho d’autres paroles. Ces sons du monde des esprits, quand ils sont tous émis ensemble, composent le chant spirituel du monde. Cette combinaison de sons devient vibrante et tangible en atteignant ce monde-ci, et lui donne la forme que nous voyons et que nous sommes. Ce chant est le système nerveux de l’univers. (Martin Prechtel, Les secrets du jaguar, 1999)Quand un homme est malade, cela signifie qu’il a perdu sa symphonie intérieure. Le chaman le soigne en recréant l’harmonie par ses paroles sacrées qu’il récite ou chante sur un rythme précis afin de reproduire les Grands Sons Originels.Utilisant les noms secrets des montagnes, des grottes, des rivières, des vallées, des villages, ainsi que les noms de familles des dieux et de leurs royaumes pour chacun de ces endroits, le chaman restructure les composantes de notre esprit. Si ce rituel, dénommé « se rappeler la Terre », est correctement accompli, les corps malades commencent à résonner de l’écho de la Terre originelle, où toute vie prend sa forme, et ils guérissent. (Martin Prechtel, Les secrets du jaguar, 1999)Le chef Navajo Leon Secatero (décédé en 2008) dit à propos des crânes de cristal, qui sont des cristaux traditionnels taillés en forme de crâne, porteurs des informations des origines de l’humanité et retrouvés chez les Mayas (voir article Codage d’information et énergie):Vous avez entendu parler de l’appel de la nature? C’est un son que seuls les animaux peuvent entendre, un son puissant qui les ramène vers leur vraie nature. C’est le son des crânes de cristal. Nous vivions dans un vaste océan de sons et de vibrations. Les sons nous entourent, mais c’est à travers ce vaste océan que le son des crânes de cristal peut voyager.

C’est un son jamais entendu, un son inaudible pour l’oreille humaine ordinaire. Nous ne pouvons l’écouter qu’avec notre « oreille intérieure ». C’est le son inaudible de la création. Sans lui, rien ne pourrait vivre, car il est le son qui anime toute chose. Une feuille qui pousse au printemps produit ce son. C’est le son qui jaillit, au moment de la création quand une vie nouvelle éclot. C’est le son même qui a retenti quand la Terre est venue à l’existence et quand nous avons reçu notre forme humaine. C’est ce même son de la création qui est aussi en nous et c’est un son magnifique. (C. Thomas et C.-l. Morton, Le mystère des crânes de cristal, 1999)La substance primordiale et la géométrie sacréeS’il est vrai que des sons ont créé l’univers, cela impliquerait qu’il existerait une substance primordiale dans l’univers et que les vibrations de cette substance constituerait le son. Des ondes stationnaires y auraient créé les formes. Mais quelle serait cette substance?Les scientifiques décrivent habituellement l’espace comme un vide dans lequel sont disposés des amas de matière (particules, atomes, molécules) comme des objets qui sont éparpillés dans une pièce vide. Par le jeu de leurs influences réciproques d’attirance et de répulsion, des mouvements se transmettent de particule à particule, de molécule à molécule comme le son dans l’air (voir annexe 3, Ondes voyageuses). Les pulsations de cette matière cosmique constituent une sorte de son que les astronomes ont enregistré.Citons l’exemple des astronomes de Stanford (USA) qui surveillent les sons du soleil par un capteur installé dans le satellite SOHO. Des vagues parcourent la surface du soleil et en font le tour en 2 heures environ. Cette pulsation est trop lente pour être directement audible par notre oreille qui est sensible à des pulsations de dizaines ou de milliers par seconde. Il faut accélérer les enregistrements solaires par 42000 fois et compresser 40 jours en quelques secondes pour pouvoir les entendre.

C’est ce qu’a fait l’un des chercheurs, A. Kosovichev. EcoutezToutefois, ces ondes de matière ne font pas appel à l’existence d’une substance primordiale.La substance primordiale de l’univers à laquelle font référence les traditions est d’une nature plus subtile et répond à d’autres lois. Elle a été désignée et nommée prana, éther, etc. La physique quantique la plus avancée commence à décrire une substance de cette sorte, sous le concept de matrice universelle ou champ de cohérence unitaire. Cette matrice a la propriété de recevoir des informations, de les enregistrer et de les transférer instantanément en n’importe quel endroit. (voir les articles de physique quantique de ce site et le livre de D. Wilcock, Investigations sur le champ de conscience unitaire)Les sons primordiaux créent des géométries sacrées dans la matrice. Les sons sont en quelque sorte des codes d’information transférés à la matrice, qui les transcrit en formes. Sons et géométries sont deux expressions vibratoires jumelles d’un même schéma directeur.La géométrie est le fondement de l’univers dans tous ses aspects. Elle est présente aussi bien au cœur des atomes que dans la construction des molécules, des planètes et des galaxies.Alain BoudetDr en Sciences Physiques, Thérapeute psycho-corporel, Enseignanthttp://www.spirit-science.fr/doc_musique/SonForme.html

Hexagone de Jupiter pôle nord de Saturne Photo Aguiar Photo Cymascope
Jupiter, stratosphère du pôle nord.
Photographie en ultraviolets
Merci à NASA/JPL/HST/University of Hawaï 1999
2 hexagones sont visibles dans la structure du pôle nord. L’un représenté en jaune, l’autre en bleu clair (ajout d’A. Boudet) Saturne, système nuageux hexagonal du pôle nord
Photographie en infrarouges par la sonde Cassini. Les parties claires sont les nuages et les parties sombres sont les zones dégagées.
Merci à NASA / JPL / U. Arizonay
Eau en rotation rapide. Les tourbillons prennent une forme hexagonale. Eau glycérinée, avec pigment fluorescent.
© Photo Ana Aguiar, 2010

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