eclat-de-rire-a22340977bLettre de Philippe

A mes Frères et Sœurs de Lumière, vous qui marchez dans les corridors sombres de vos pensées sans cesse tiraillées par la bête sombre. Vous qui trébuchez sans arrêt sur les aspérités de vos doutes, je voulait vous offrir le remède parfait.

Oui oui vous avez bien lu, j’ai ce saint Graal qui fera que votre vie s’illuminera et que tout vous sourira. Faites moi confiance et la chance vous sourira, voitures de luxe, palaces, employés dévoués, estime des grands et puissants de ce monde enfin rien ne vous résistera…..

Ainsi lorsque le temps faisant son office vous revêtira du manteau gris de la vieillesse vous aurez eu tout ce qu’un homme et une femme peuvent rêver d’avoir….

Tout?…

Mon  « me » piaffe d’impatience de vous dire ceci et pardon pour la forme !!!
Vous n’aurez rien car pauvre en esprit vous serez, de nul feux votre  « me » brillera et peut-être même vous aura t-il quitté, et oui nous  sommes là pour apprendre dans la matière pas pour autre chose.

Mes Frères et Sœurs de Lumière, parmi tous vos bagages luxueux et vos atours de Pacha, avez-vous pensé à faire une place pour l’Amour? Cette chose impalpable non coté en Bourse, non quantifiable, qui vous a donné vos premiers éclats de rire bébé, puis enfant. Écoutez et ressentez la puissance d’un éclat de rire d’un enfant, voilà et maintenant écoutez le son de votre compte en banque….

Mon  « me » me dit ceci:
Vivez, vivez richement ou pauvrement peu ou prou, peu importe, mais de l’amour revêtez-vous car à l’aune d’affronter la mort qui viendra vous chatouiller les pieds il ne sera plus temps à autre-chose qu’à mettre votre cœur dans la balance du Divin… Mais qui tient cette balance????

Vous et uniquement vous, mes Frères et Sœurs de Lumière, car d’autres l’ont dit avant moi, vous êtes, nous sommes tous et toutes co-créateurs de nos mondes, le seul ciment qui nous relie et que je connaisse est l’Amour, cet Amour inconditionnel vers qui je tends mes mains, mes bras tout mon être incarné et plus encore si affinités……
Je vous aime lorsque vous relevez vos manches pour vous mettre à vous bâtir un cœur de lumière et je nous aime lorsque sous l’effort nous ployons l’échine, mais gardons en nous cette flamme allumée.

Mon  « me » est radieux, mon cœur vibre, je crois avoir été juste dans mes écrits.

Amour et joie en nos cœurs

Philippe