Je n’aime pas le café.
Je trouve que le café sent incroyablement bon, mais que son goût n’a pas l’ombre de son parfum.
Je n’ai rien contre les gens qui boivent du café; je ne comprends tout simplement pas ce qui les attire vers ce mélange goudronneux.
De mon point de vue, les gens qui sont accros au café agissent d’une façon extra-terrestre. Cette habitude de certains à en consommer des dizaines par jour m’est incompréhensible et je ne vois pas pourquoi ni comment je pourrais un jour faire la même chose. Je ne suis pas un amateur de café. Je ne peux pas entrer dans leur groupe. Je ne peux pas m’identifier comme un connaisseur de café.
Je ne bois pas de café et je suis heureux comme ça.
Et si c’était la même chose pour vous face aux gens pauvres et malheureux? Et si vous ne pouviez pas, vous non plus, vous identifier à leurs problèmes ou à leur vie? Et si vous n’aviez aucune idée de comment ils peuvent rester pris dans cette façon de penser limitée, difficile, souffrante, et ne pas voir l’infinité de possibilités qui s’offrent à eux pour changer leur vie?Et si vous ne pouviez pas un seul instant comprendre comment il est possible que des gens choisissent, consciemment ou inconsciemment, de se croire victime de la vie, victime des situations, victime « des autres » au lieu de choisir de changer leur conscience, leur vie et leur réalité et de suivre leur coeur vers ce qui leur apporte de la joie?
Et si de votre point de vue la vie était merveilleuse, aisée, empreinte de liberté et que c’était l’ultime expérience de création, d’expression de votre essence, de votre créativité?
Votre réalité est la représentation physique de votre conscience en temps plus ou moins réel. Et si vous cessiez de vous identifier aux groupes de gens ou aux rôles qui vous empêchent d’être heureux, comment serait votre vie?
Je vous invite à explorer toutes les parties de votre être qui vous gardent dans ces vibrations qui ne vous permettent pas de vous épanouir.
Sur ce, je vais prendre mon thé.
Namasté,