Flu-Shot

Fabriquer des vaccins plus sûrs en éliminant leurs toxines, ou en disant aux gens qu’ils ont un droit de regard sur les ingrédients du vaccin avant de décider s’ils vont ou non vacciner, peut paraître une forme politiquement correcte de résistance à la vaccination. Cette position sert en effet à éviter une partie de la colère des grands-prêtres de la vaccination. Cependant, si l’on considère la nature même de notre système immunitaire et ce que réalisent les vaccinations pour stimuler artificiellement l’immunité, on s’aperçoit que le fait de vouloir rendre des vaccins sûrs relève d’une contradiction en soi (oxymoron).

 

L’Illusion et les Dangers d’une Stimulation Artificielle du Système Immunitaire

 

Court-circuiter les voies normales de notre système immunitaire et introduire la stimulation (vaccination) d’une réponse immunitaire artificielle avec ou sans toxines comporte des dangers inhérents à cette pratique. Peu de personnes ont mieux exprimé la chose que le Dr Suzanne Humphries.

 

« En faculté de médecine, on n’a jamais enseigné aux médecins comment prendre soin du système immunitaire, de sorte que l’on en arrive à vivre dans une société qui dans son ensemble n’a aucune idée de la manière dont fonctionne un système immunitaire, qui ne sait pas comment en prendre soin, qui ne connaît pas les minéraux et les nutriments qui lui sont absolument nécessaires et alors… quand ça ne marche pas, c’est la faute de Dieu. Il faut alors absolument un vaccin parce qu’ils pensent que Mère Nature est trop imparfaite. »

 

Le Dr Humphries explique que la seule réponse qu’un vaccin puisse engendrer est la création d’anticorps. Or, les anticorps ne sont qu’un seul petit aspect de l’ensemble des facteurs immunitaires humains. L’injection de matière morbide dans le sang au travers de la peau court-circuite le système immunitaire et crée un déséquilibre qui peut souvent entraîner l’infection contre laquelle le vaccin est censé protéger.

 

Le Dr Humphries explique aussi que les enfants ont un système immunitaire en développement. Le lait maternel d’une maman en bonne santé offre la meilleure protection possible au cours de la première année de vie de l’enfant ( protection pouvant atteindre jusqu’à 80%). Injecter aux enfants des contaminants au cours de leurs premiers mois de vie risque de provoquer à la fois des dommages immédiats ou à long terme sur leur système immunitaire en plein développement.

 

Les vaccins sont susceptibles d’encore produire d’autres perturbations de l’immunité. L’interaction en cascade à travers le corps des ingrédients vaccinaux peut à court ou à long terme engendrer des dommages de santé. Il est un fait indiscutable, c’est que les Etats-Unis qui ont le plus vaste programme de vaccinations, ont aussi les taux les plus élevés de santé médiocre et de mortalité infantiles de tous les autres pays développés.

 

La déclaration que Pasteur aurait faite sur son lit de mort a été ignorée par la « Mafia médicale » : « Claude Bernard (et A.Béchamp) avaient raison : le microbe n’est rien ; c’est le terrain qui est tout. » Malheureusement, le fait de tuer les germes ou d’en « protéger » le public est évidemment beaucoup plus lucratif. La contrepartie de cette illusion est l’augmentation des maladies auto-immunes, les dommages vaccinaux, les handicaps définitifs et parfois les décès.

 

Au cours des trois dernières années de ma carrière médicale, j’ai tout spécialement étudié le problème vaccinal. Ce que je pense aujourd’hui sur la question, c’est que les vaccins n’ont jamais été sûrs. Il n’y a jamais eu le moindre vaccin sûr, et il n’y aura jamais de vaccin sûr, parce qu’il n’est pas possible d’avoir un vaccin sûr.

 

La raison de tout cela est que le processus même de la vaccination ignore ostensiblement les fonctions naturelles qui constituent le système immunitaire.

 

Introduire des éléments morbides dans un corps en les faisant pénétrer au travers de la peau, des muscles par un moyen antinaturel, une aiguille, et ce en combinaison avec des produits chimiques, des antibiotiques, des éléments que les fabricants eux-mêmes pourraient peut-être ne pas bien connaître, tout cela ne pourra jamais garantir qu’un vaccin soit sans danger.

 

Quand on court-circuite le système immunitaire en introduisant tous ces éléments dans un muscle, on contribue à engendrer une réponse tout à fait anormale de l’organisme.

 

La seule chose qui intéresse les fabricants de vaccins, c’est la production d’anticorps. Or, ces anticorps ne constituent en fait qu’un petit élément de détail dans la cascade des processus immunitaires. Le fait de vouloir faire équivaloir anticorps (hautement imprévisibles) et immunité relève en fait de la folie.

 

Si ceux qui avaient vu mourir des concitoyens de la variole avaient pu effectivement vérifier que tous ceux que l’on vaccinait échappaient véritablement à la maladie, la chose aurait, non seulement été connue et reconnue de tous, mais se serait répandue dans le monde entier sans la moindre opposition. Les gens se seraient précipités pour recevoir la vaccination salvatrice (sans qu’on les y oblige).Ce n’est malheureusement pas comme cela que les choses se sont passées. Les livres d’histoire montrent vraiment que les populations vaccinées ont toujours été parmi les plus malades.

 

Ceux qui ont découvert que la pratique vaccinale ne s’appuie pas sur une véritable science ; ceux qui savent que la santé peut être endommagée par les vaccinations ; ceux qui savent que les vaccins peuvent tuer ; ceux qui ont expérimenté dans leur propre chair les réactions que peuvent produire les vaccins, toutes ces personnes sont classées parmi les insensés, parmi les dérangés mentaux.

 

Aucun de mes collègues médecins n’a vraiment étudié le problème des vaccinations. Ils agissent en fonction de ce qu’ils ont entendu répéter des milliers de fois, à savoir que les vaccins sont sûrs et efficaces. Finalement le problème de ces médecins se résume à des questions de pouvoir, d’argent et de conditionnement.

 

Les vaccinalistes pensent que la Nature a mal fait les choses quand elle a crée le système immunitaire d’un enfant ; ils pensent que la Nature n’avait pas la moindre idée de la manière de créer un être humain qui pourrait se défendre lui-même contre les maladies.

 

Les inventeurs des vaccins ont choisi d’adopter un système de croyances qui suppose que les nourrissons viennent au monde avec un système immunitaire inadéquat et que la seule façon de les sauver est de les vacciner le plus vite possible contre toute une série de maladies.

 

A la faculté de médecine, les médecins n’ont malheureusement jamais appris comment il fallait s’occuper ou renforcer le système immunitaire (1).

 

(1) Le Dr Jean-François Saluzzo, chef de production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur, et également consultant pour l’OMS, avoue qu’ils « ne savent pas comment marchent les vaccins » et que si on veut développer de nouveaux vaccins dans le futur, il faudra commencer par étudier le système immunitaire.

 

Incroyables confidences d’un vaccinologue :

 

 

immu

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IMMUNOLOGIE FONDAMENTALE ET APPLIQUÉE

I.M. Roitt, J. Brostoff, D. K. Male Medsi, 1985

 

« Nous ne connaissons pas les fonctions effectrices qui constituent le mécanisme de protection normale contre les infections virales chez l’homme. Il existe toujours le danger d’activer des fonctions effectrices inappropriées provoquant des maladies plus sévères et un état immunopathologique. »

Traduction sur http://www.2012un-nouveau-paradigme.com/

Source: http://www.wakingtimes.com/