Preuve de l’existence des sirènes ?

Cette vidéo vous présentera les images d’une créature étrange qui, si l’on en croit la courte phrase introductive, ne serait ni plus ni moins qu’une véritable sirène. Cette découverte étonnante aurait été effectuée le 6 mars 2013, depuis la cabine du submersible d’une équipe de scientifiques désireuse d’étudier la vie sous-marine groenlandaise.

Cette information reste toutefois très sujette à caution puisqu’aucune de mes très nombreuses recherches ne m’a permis de retrouver trace de cette étrange trouvaille ailleurs que sur les sites dédiés au paranormal ou à la cryptozoologie.

Et même si, comme le prouve le site de la NASA (voir l’information mise à jour le 7 mars 2013 : http://investigationsoanisetoceanographiee.wordpress.com/tag/nasa/) une expédition sous-marine a réellement eut lieu aux alentours de cette date, elle ne peut néanmoins en aucun cas avoir été à l’origine de la découverte mentionnée plus haut, puisqu’elle se déroula dans les profondeurs d’un lac situé à l’ouest de l’Antarctique, soit quasiment à l’autre bout du monde par rapport à l’endroit qui nous intéresse.
Ainsi, tout comme les images qu’elle nous présente, cette vidéo reste elle-même un véritable mystère dont nous devrons tenter de discerner s’il s’agit d’une information véridique ou tout simplement d’un fake bien réalisé.

Creature filme au Groeland le 6 Mars 2013 par Mysteretv

Source: http://www.mystere-tv.com/

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Le grand complot des sirènes

C’est en 1997 que des scientifiques ont enregistrés un son dans l’océan pacifique qui serait de nature organique, mais pourtant d’origine inconnue. Ce son a été appelé le Bloop. En 2004, un échouage massif de baleines a eu lieu sur les côtes américaines et deux jeunes garçons affirment avoir trouvé un corps qui n’avait rien d’humain parmi les cadavres de baleines. Le rapport officiel concernant cette découverte a été modifiée par la suite, puis la marine a fait main basse sur les restes qu’ils avaient tout deux trouvés. Mais qu’ont-ils réellement trouvé ?

Paul Robertson était parmi ceux qui ont assisté à l’échouage des grands mammifères, puisqu’il est assistant à la NOAA (The National Oceanic and Atmospheric Administration). Il explique qu’il était intrigué par le fait que certains portaient des combinaisons, ce qui n’était pas le cas de son groupe de scientifique. À cette époque, beaucoup pensaient que les échouages des baleines et autres mammifères océaniques, étaient les conséquences directes d’essais de sonars par la marine américaine, ils étaient donc partis dans cette optique, sauf les hommes en combinaison vraisemblablement.

Rebecca Devis est biologiste de terrain à la NOAA, elle accompagnait Robertson dans cette ‘aventure’ hors du commun ce jour-là. Elle explique que les baleines avaient saignées des oreilles, ce qui était totalement inhabituel dans ce genre de situation. Elles avaient donc subi un important traumatisme interne. Des échantillons ont été prélevés, de cette façon, les scientifiques pensaient comprendre ce qui les avait tuées.
Les autopsies et les échantillons prélevés ont tous affirmés que les baleines avaient subi de violents chocs, puisqu’elles avaient des micro lésions de type circulaire. C’est alors que les scientifiques ont pensé à des infra-sons, ou à un sonar super puissant qui aurait crée une explosion sonique. La NOAA avait une bouée tout près de là, c’est donc naturellement qu’ils ont décidé d’écouter ce qu’elle aurait pu enregistre, car si un sonar aurait été la cause des morts, la bouée l’aurait enregistré.
Les scientifiques ont clairement entendu ce qu’ils appelaient l’amorçage de l’onde sonique, puis un énorme boum. Les plaintes des animaux marins se faisaient nettement entendre et c’était difficilement supportable à l’équipe. Ils étaient tellement choqués qu’ils ont faillit rater quelque chose qui allait changer la perspective de cette enquête, à savoir, des cris d’animaux inconnus jusque-là, le Bloop.

Il s’avère que lors des échouages de baleines, plusieurs corps auraient été découverts, mais pas seulement puisqu’on a aussi retrouvé des harpons. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que des pécheurs racontent avoir trouvé des poissons encore vivants avec des flèches de harpon coincées dans le ventre.

Certains pensent que l’homme, à un moment donné de son évolution, aurait pu avoir les caractéristiques voulues pour survivre dans l’eau, nous en venons au thème de ce documentaire, les sirènes. Mais pourrions-nous vraiment être les descendants d’un groupe de singe ayant évolué en mammifères marins ?

Paul Robertson et son équipe se sont rendu peu de temps après sur un autre échouage, il a constaté que parmi les cadavres de baleines, se trouvait un autre cadavre d’espèce non identifié, mais qui ressemblait étrangement à un corps de phoque, ou autre. Il y avait aussi des perforations au niveau des branchies et de la bouche d’un requin présent, il avait un aiguillon planté dans le flanc.

L’équipe a récupéré ce qu’il restait de l’animal inconnu, pour dans un premier temps établir son profil génétique. Elle tente également de trouver à quelle espèce ces os peuvent appartenir, sans succès. Par contre, les membres de l’équipe en sont venus à la conclusion que cet animal aussi a été victime du sonar de la marine. La structure des hanches rappelle celles de l’homme, ce qui veut dire que cette chose a un jour marché sur deux pieds. Paul se rend compte qu’un os qui a été trouvé sur place s’emboîte parfaitement avec l’aiguillon qu’il avait retrouvé un peu plus tôt dans le flanc du requin, c’est donc un outil fabriqué, fabriqué par une forme de vie intelligente, c’est indéniable.

C’est à partir du crâne qu’une anthropologue a pu reconstituer le visage de la créature retrouvée à l’échouage. Il a une crête qui surplombe le haut de son crâne et son système acoustique est très élaboré. Il est capable de s’écho-localiser, grâce à un organe qui lui sert à diriger le son. Paul est certain que c’est précisément cette créature qu’il a entendu à l’écoute de la balise, lors de l’échouage des baleines. Il serait donc à l’origine du Bloop. Toujours selon Paul, cette créature est capable de chasser avec les dauphins, une entraide spectaculaire si l’on en crois les images de ce documentaire.

Malheureusement, le gouvernement décide de mettre un terme aux recherches de l’équipe, le secret doit être gardé, à tout prix.
Conclusion :
Si vraiment ces êtres existaient, que faudrait-il faire ? Le mieux serait de les ignorer, de les laisser vivre, car nous savons bien que l’homme a la fâcheuse manie de détruire ce qu’il touche. Nous le voyons régulièrement avec toutes les espèces qui disparaissent, jour après jour. Le mieux serait donc de continuer de rêver à ses créatures, sans pour autant en rechercher d’éventuelles traces.

 

Source: http://www.mystere-tv.com/