Depuis des décennies, la NASA nous présente certains aspects de la nature physique de Vénus grâce aux sondes américaines qui se sont aventurées dans son voisinage ou se sont posées sur son sol. Les porte-parole de ces missions d’exploration nous ont parlé d’un environnement particulièrement inhospitalier, d’un air surchargé de gaz carbonique, d’une pression barométrique infernale, d’une chaleur torride de plusieurs centaines de degrés à sa surface ainsi que d’une atmosphère hébergeant d’épais nuages opaques et chargés d’acides sulfuriques. Bref, une planète ne permettant absolument pas de générer ni d’abriter la vie, une planète qui ne donne pas le moins du monde envie d’aller y faire une petite excursion dominicale ou d’y installer un club de vacances.
Pourtant en 1989, un dossier a été déclassifié de l’autre côté de l’Atlantique et ceci dans la plus grande discrétion, car vingt cinq ans plus tard, ce document reste encore pratiquement inconnu du public. Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce dossier rapporte de nombreux contacts humains avec des êtres de la planète Vénus ! Il raconte comment des Vénusiens sont venus et continuent à venir sur la Terre pour y rencontrer des hommes, choisissant de s’adresser parfois à d’humbles citoyens, parfois à des scientifiques et parfois à de hauts responsables gouvernementaux.
Il existe donc deux approches de la planète Vénus complètement incompatibles : d’une part celle de la science terrestre avec ses sondes spatiales et le sérieux qu’on lui attribue généralement ; d’autre part celle d’un rapport quasiment inconnu qui soutient l’existence d’une civilisation sur Vénus et des contacts cachés.
Face à un tel paradoxe, la réaction habituelle est de faire confiance à la science et de bien vite oublier une version si déphasée de la réalité spatiale. Ainsi nous pouvons continuer de dormir tranquilles ! Mais notre objectif n’est pas de pouvoir continuer à dormir sur nos deux oreilles. Il est de connaître la vérité !
Et si les hiérarchies scientifiques en qui nous faisons une confiance sans borne, nous avaient menti ! Le plus grand mensonge de tous les temps ne serait-il pas de nous avoir caché le fait que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire ?
L’éventualité de la vie sur Vénus entraînerait une véritable révolution des mentalités, car nous sommes nombreux à croire que le système solaire est un désert avec une seule oasis, la Terre. Alors comment accepter l’idée que nos frères de l’espace soient là, à deux pas sur la planète voisine, qu’ils nous tendent la main et attendent discrètement en toute patience que les feux verts s’allument dans nos consciences ?
Vénus dans sa dimension éthérique
La civilisation vénusienne, telle qu’elle est décrite dans ce rapport, semble avoir résolu tous les problèmes relationnels particulièrement négatifs que nous connaissons sur Terre comme les guerres, la criminalité et les agressions en tous genres. Non pas en les mettant hors la loi par la force, mais en développant collectivement des valeurs pacifiques basées sur le respect, la compréhension et l’Amour.
Par leurs contacts réitérés avec des personnalités terrestres, des Vénusiens sont venus nous proposer une assistance pour nous aider à résoudre nos problèmes de plus en plus critiques de société et d’environnement. La condition qu’ils posaient à cet appui humanitaire et technologique était d’abandonner nos armes de destruction massive et de faire le choix délibéré de nous engager comme eux dans une voie pacifique. Ces conditions ont malheureusement été jugées irrecevables par les grands dirigeants de notre monde.
Il est urgent maintenant de s’élever tous ensemble contre leurs mensonges et de faire triompher la vérité.
De gauche à droite : Wilburt B. Smith, Nikola Tesla et Arthur Matthews.
Voici donc l’essentiel de ce qu’il faut retenir de ce rapport.
Au début des années 1950, le gouvernement canadien mit en place le Magnet Project [Projet Aimant] pour l’étude des OVNI. Ce projet fut confié à l’ingénieur Wilburt B. Smith. Le domaine de recherche de Smith était la propagation des ondes radio, ce qui l’avait amené à étudier les aurores boréales, la radiation cosmique, la radio-activité atmosphérique, le géomagnétisme, et finalement les OVNI.
Le Projet Magnet put fonctionner grâce à une équipe de scientifiques canadiens qui avaient continué à travailler sur les inventions de Nikola Tesla, l’un des plus grands scientifiques du début du XXème siècle. Tesla, inventeur du courant électrique alternatif/continu, co-inventeur du radar et de nombreuses technologies militaires, fut l’auteur de centaines d’autres découvertes tout aussi extraordinaires, la plupart ayant été brevetées, et il est considéré comme « le père de l’énergie libre ». Il avait affirmé de son vivant qu’il avait inventé un système de communications interplanétaires grâce à des idées qui lui avaient été transmises par des Vénusiens.
Les responsables du Projet Magnet prenaient Tesla très au sérieux. L’un de leurs rapports détaille un site expérimental ultra-secret construit par le gouvernement canadien et conçu pour des atterrissages d’OVNI. L’ex-ministre de la défense canadienne, Paul Hellyear, admit plus tard publiquement que ce projet avait bel et bien existé. Cependant, il ne mentionna pas ce que Smith avait rapporté : le projet avait en fait permis de détecter un véritable OVNI et d’entrer en contact avec ses pilotes qui disaient venir de Vénus.
Pilote de vaisseau vénusien
Arthur Matthews, un collaborateur de Wilburt Smith qui avait été à une époque l’assistant scientifique le plus proche de Tesla, était impliqué dans ce contact. Le Projet Magnet rapporte par ailleurs qu’alors que Matthews était en train de parachever certaines inventions inachevées de Tesla, les Vénusiens l’aidèrent à finaliser ses travaux. Le rapport mentionne également d’autres inventions transmises par les Vénusiens au Docteur Matthews. Elles furent toutes testées et toutes fonctionnèrent à la perfection.
À l’époque, les Vénusiens se sentaient sérieusement concernés par la dégradation de notre environnement et par les dangers liés à l’utilisation des énergies fossiles et aux essais nucléaires. Ils alertèrent à plusieurs reprises le gouvernement américain pour tenter de le convaincre de mettre un terme à ces pratiques. Ils offrirent des systèmes d’énergie alternative non polluante et pratiquement gratuite (énergie libre) que les conseillers du gouvernement, tous enrichis grâce aux milliards de dollars provenant du pétrole, du gaz, du charbon et des industries de guerre, rejetèrent pour « raisons économiques ».
Un beau jour, un vaisseau interplanétaire en provenance de Vénus se matérialisa et vint se positionner au-dessus du laboratoire scientifique dirigé par Arthur Matthews. Une alarme de détection Tesla retentit, puis l’atterrissage eut lieu, peu de temps après le coucher du soleil. Matthews sortit alors de son laboratoire et aperçut cet incroyable vaisseau spatial. Il vit devant lui, à quelques mètres, flottant entre 50 et 80 centimètres au-dessus du sol, un disque de 15 à 25 mètres de diamètre, surmonté d’un renflement central en forme de dôme.
De la base au sommet, l’engin devait bien mesurer aux environs de 9 mètres de haut. Ce disque irradiait, par pulsations lentes, une lueur de couleur blanc-argenté-bleuté éclairant nettement la façade du laboratoire. Cette irradiation semblait prendre sa source dans « l’âme » même de l’étrange métal dont semblait fait cet engin extraordinaire, d’une beauté fascinante. Il en émanait une puissance difficilement concevable pour qui n’a jamais eu l’occasion de contempler un tel objet de ses propres yeux.
Le « métal » de ce disque semblait à la fois matériel et immatériel, ou tout au moins d’une structure interne constamment en mouvement… Presque quelque chose de vivant ! C’était impressionnant, inquiétant et beau à la fois.
Deux êtres en sortirent alors et se dirigèrent vers le scientifique. Il nota qu’ils avaient une taille d’environ 1,80 m. Il pouvait discerner leurs cheveux dorés et leurs yeux bleus lumineux dans la clarté des premières étoiles. Leur visage était très beau et très fin. Leur regard était d’une clarté, d’une franchise et d’une douceur qu’il n’avait encore jamais observées chez aucun Terrien. Il émanait d’eux une impression générale de grande force et ils étaient bâtis comme des athlètes, mais en même temps une aura de douceur et de santé parfaite éclairait leur visage. Il pouvait ressentir en eux une vibration irrésistible de bonté.
Les hommes de l’espace expliquèrent alors en anglais à Matthews qu’ils venaient jeter un coup d’œil sur la machine à rayons cosmiques de Tesla dont il était en train de poursuivre le développement. Après un dialogue de nature scientifique, Matthews accepta de visiter leur vaisseau. Celui-ci était entouré d’un anneau métallique distant d’environ 6 mètres du corps central ; il n’était connecté à la carlingue par aucun système visible, mais plutôt par magnétisme. Il n’y avait aucun système de contrôle visible dans la salle de commandes. Au centre se trouvait une grande plate-forme circulaire avec une zone équipée de sièges. Quatre Vénusiens y étaient assis, le dos tourné au centre et la face orientée respectivement au nord, au sud, à l’est et à l’ouest.
Ces pilotes avaient été spécialement choisis pour leur puissance de pénétration spirituelle sur la matière et ils faisaient fonctionner le vaisseau par transmission télépathique, en projetant les ondes de leur cerveau dans un ordinateur qui relayait leurs commandes.
La complexité et l’extrême précision de la technologie vénusienne permet aux pilotes des vaisseaux, une fois entraînés, de diriger leurs disques par la pensée. De la même manière que nous sommes capables d’enregistrer les réactions des cerveaux humains au moyen d’électroencéphalographes, les Vénusiens ont adapté aux commandes électromagnétiques de leurs disques des systèmes permettant leur pilotage par la pensée.
De minuscules électrodes sont placées sur le cuir chevelu des pilotes qui n’ont plus qu’à visualiser en pensée les déplacements qu’ils veulent faire faire aux disques. Les ordres-pensées passent par l’ordinateur central du vaisseau qui les transforme en impulsions électromagnétiques. Ces impulsions sont ensuite amplifiées et permettent de faire glisser le disque à travers la zone spatio-temporelle à parcourir ou à explorer.
Contrairement à ce que continuent de croire nos savants, il n’existe pas de 3ème, 4ème et 5ème dimensions. Dans la réalité, il existe une multitude de dimensions dont la gamme s’étale à l’infini, de degré en degré.
Comme l’avait expliqué le regretté Pierre Monnet, pour passer de l’un à l’autre de ces degrés dimensionnels, la plupart des vaisseaux produisent un changement de polarité magnétique, qui modifie la fréquence vibratoire de la structure atomique de la matière dont ils sont constitués, et qui leur permettent d’effectuer des voyages intersidéraux à des vitesses quasi-instantanées.
Pour un observateur situé à l’extérieur et à proximité d’un vaisseau opérant une translation dimensionnelle, l’effet est surprenant. Il peut voir le disque vibrer et changer de couleur : parfois, il semble se déformer et devenir une sphère d’énergie intense qui disparaît sur place de façon quasi-instantanée. L’effet de la transformation du disque lenticulaire en une sphère rouge-orangée est presque insoutenable. Cela est dû à la formation sphérique d’une enveloppe ionisée dont s’entoure le vaisseau pendant l’apport d’énergie magnétique qu’il utilise ensuite au moment de sa translation d’une dimension dans une autre.
Deux des pilotes du vaisseau étaient des femmes. Il fit ainsi la connaissance d’une vénusienne d’une beauté extraordinaire. Elle semblait sans âge, avait de longs cheveux dorés, une belle peau bronzée, un merveilleux visage émanant une joie et une paix intérieure indescriptibles. De ses yeux bleus saphir semblait jaillir un amour cosmique. Elle lui transmit de nombreuses informations concernant la vie sur Vénus.
La description du vaisseau vénusien et de son équipage par Matthews ne fut jamais remise en cause par quiconque, car il était unanimement considéré et apprécié pour sa droiture et sa rigueur scientifique. Ce n’était bien-sûr ni un ivrogne ni un drogué, et ce n’était pas non plus un fanatique ni l’émissaire d’une secte. C’était l’un des plus grands scientifiques que le XXème siècle ait connus. On lui doit de multiples inventions créditées de nombreux brevets. Il était extrêmement respecté et apprécié, autant considéré que Tesla ou Einstein.
Matthews fit ensuite une excursion sur la planète Vénus. Il se retrouva au bord d’un lac, debout à côté de ce qui ressemblait à de grands piliers de basalte parfaitement polis. Une chute d’eau gigantesque s’écoulait d’une falaise noire d’ébène de plusieurs centaines de mètres de hauteur. Les rives étaient bordées d’une eau écumante mais limpide, alors que le lac donnait l’impression d’une masse parfaitement lisse aux couleurs rappelant celles crées par la décomposition de la lumière blanche à travers un énorme prisme de cristal. Ce n’était pas de l’eau telle que nous la connaissons, car ces rayons de lumière irisaient la surface de toutes les couleurs imaginables. Elles s’y mélangeaient en paillettes rouges, jaunes, vertes, roses et violettes, transformant le lac en un merveilleux arc-en-ciel. Ce décorum menait à une vaste étendue d’herbe verte émeraude, parsemée ici et là de merveilleux palmiers aux feuilles imprégnées de gouttes d’eau étincelantes comme des diamants.
Dans le ciel vénusien, au-dessus de la chute d’eau, apparaissait une énorme boule de cristal transparente. Elle ressemblait à une gigantesque bulle de savon aux reflets arc-en-ciel. Autour de la partie centrale du vaisseau, il y avait une bande de métal doré et aux pôles, comme des projections d’or. Des fenêtres étaient disposées le long de cette bande dorée.
La campagne qui s’étendait aux alentours avait l’apparence d’un vaste et joli parc. Une montagne coiffée de neige s’élevait au loin et une grande rivière s’étirait dans l’arrière-plan. Des groupes de Vénusiens se tenaient gracieusement sur les falaises surplombant la rivière. Plus tard, Matthews entra dans une cité vénusienne. Les bâtiments avaient des toits ellipsoïdaux formés de prismes de cristal ; ils reposaient sur des piliers circulaires de marbre en forme de colonnades. Les maisons de cristal étaient surplombées de vaisseaux transparents aux reflets multicolores. Un paradis de végétation luxuriante entourait les constructions.
Un dôme également en cristal servait d’assemblée et de lieu de réunions aux Vénusiens. Une vaste avenue bordée de palmiers majestueux conduisait à un grand hall, où se trouvait un immense amphithéâtre entouré de gradins et de sièges de marbre. Un petit lac circulaire aux reflets arc-en-ciel y était comme suspendu en l’air, de sorte que l’on pouvait marcher en dessous ! Dans ce « Palais de la Vérité » – c’est le nom que les Vénusiens ont donné à ce grandiose édifice – Ils lui expliquèrent comment ils avaient transformé leur planète en un paradis bucolique où règne l’abondance, où le climat est contrôlé, et où les catastrophes naturelles sont exclues, de sorte qu’ils y mènent une vie fraternelle de paix et de prospérité.
L’intérieur des vaisseaux était divisé en différents niveaux. Le niveau inférieur contenait 24 vaisseaux éclaireurs, des véhicules de surface et des équipements. Le second niveau renfermait des jardins, des salles de séjour, des aires d’études et de loisirs, ainsi qu’un hall de réunion. Le plancher était couvert d’une sorte de substance souple comme du plastique, mais beaucoup plus douce.
Les Vénusiens sont tous végétariens. Ils font pousser des fruits et des légumes frais à l’intérieur même de leurs vaisseaux et de leurs habitats en utilisant l’énergie solaire. Les parois transparentes permettent à leurs occupants d’avoir une vue de l’espace à 360°. La télépensée est le mode de communication usuel des Vénusiens. Ils utilisent un cristal appelé un « Telolith« pour transmettre des messages à certains humains. Le Telolith a permis à des dizaines de personnes d’avoir des contacts télépathiques et même physiques avec les équipages des vaisseaux !
Le sergent Willard Wannall, qui servait dans les services de renseignements de l’armée à Oahu dans les années cinquante alors qu’il étudiait les OVNI, a raconté que la cité de Retz (la capitale de Vénus selon Omnec Onec), n’était pas une légende et qu’elle existait bel et bien. Il a déclaré y avoir lui aussi été emmené à bord d’un vaisseau vénusien pour y recevoir une série d’enseignements. Il a rapporté qu’il avait atterri dans un centre où est transformée l’énergie solaire. Ce centre est une structure circulaire et comporte de nombreuses pièces, elles-mêmes circulaires, où est stockée l’énergie solaire.
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