Les découvertes de Nikolas Tesla
L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C’est une théorie unifiée pouvant être directement expérimentée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla. Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de gravitationnel est vice versa. Cette transformation énergétique peut être structurée et localisée sur des zones ou des objets spécifiques.
La « charge électrique » d’une particule chargée (celle d’un atome ou des protons de son noyau) représente une différence d’intensité (potentiel) de fux entre la particule locale et son vide environnant.
C’est un épanchement continuel de la charge gravitationnelle et de la charge électrique. Si cet épanchement est inversé ou arrêté, il ce produit un effet radical sur la charge gravitationnelle : Le potentiel-5 et la charge-5 deviennent respectivement un potentiel-4-G et une charge-4-G.
En « chargeant » la structure EM scalaire d’un objet, on le charge aussi gravitationnellement. Un « canal d’épanchement » se produit alors à travers le champ de force 4-G. Dans un noyau les nucléons vont et viennent continuellement entre protons et neutrons, ce qui fait que la charge électrique est « éparpillée » à travers le noyau et partagée par tout les nucléons. Chaque isotope a alors son propre et unique « pattern d’ensemble » de fréquences scalaires d’expansion de Fourrier, d’amplitudes, etc.
Bien que ce pattern peut être reproduit artificiellement et être émis par des émetteurs EM modifiés, il y a cependant, une sorte de pattern (EG) d’EM scalaire « clef maîtresse » pour les nucléons (protons et nucléons s’intervertissent en échangeant des courants de charges virtuels). Si on inverse la charge par l’inversion de cette structure et qu’on applique cette « charge inversée à une masse », pour un observateur externe cette masse paraîtra de plus en plus légère (acquisition d’une masse négative) et son inertie de moins en moins importante (acquisition d’une inertie négative).
L’objet subira alors une accélération l’éloignant de la Terre (il tombera vers le haut au lieu de tomber vers le bas). Cela engendrera aussi d’étranges effets sur le temps, un objet pourra ce déplacer plus lentement à travers le temps que l’observateur dans le laboratoire, ou même ce déplacer en arrière dans le temps par rapport à l’observateur.
Un exemple concret :
Si l’on prend 2 aimant, chaque aimant à une polarité nord, et une polarité sud et quand on les rapproches en fonction de cette polarité les 2 aimants s’attirent ou au contraire ce repoussent. Si ils s’attirent, c’est que les polarités des 2 aimants sont différentes (nord et sud) et si il ce repoussent ces qu’au contraire la polarité des 2 aimants est identique (nord et nord). Tout objet (récepteur) évolue donc en fonction de sa polarité par rapport à une masse plus importante (émetteur). Il est donc tout à fait possible même irréfutable que l’on puisse adapté par des moyens électromagnétique scalaire la « polarité gravitationelle » d’un objet comme un vaisseau spatial par rapport à la terre pour diminuer, annuler ou inversé complétement l’attraction électromagnétique Terrestre.
la résonance électromagnétique scalaire, ou résonance électrogravitationnelle.
En premier, imaginez que vous ayez une cavité résonnante standard, dans cette cavité on a une onde EM résonnante qui va et vient, selon les conventions, le vecteur de champ-E et le vecteur de champ-B sont à angle droit dans ce front d’onde en mouvement. Lorsque l’onde va et vient, les vecteurs varient en allant et venant ; cependant, à n’importe quel point entre les parois, les deux vecteurs ont toujours la même valeur. Donc notre onde EM résonnante forme une onde stationnaire dans la cavité.
Maintenant imaginez qu’un second front d’onde, précisément comme le premier et de la même fréquence, est superposé au premier et voyage avec lui. Cette seconde onde — « l’anti-onde » — a ses vecteurs forces déphasés de 180 degrés d’avec les vecteurs forces de l’onde de référence. En conséquence la somme des champs-E et des champs-B des deux ondes superposées est toujours égale à zéro, en n’importe quel point de la cavité. Pour un observateur externe, la cavité contient des champs de forces électromagnétiques non-ordinaires, d’où une énergie EM non-ordinaire.
Cependant la densité d’énergie d’une onde sinusoïdale EM dans le vide est donnée par :
Densité 2 [E + B] / 8 Pi
Cette densité d’énergie est toujours positive, de là la densité d’énergie des deux ondes en n’importe quel point entre les murs est égale à :
2 * 2 [E + B] / 4 Pi
où E = E(x) ; B = B(x)
Ainsi la densité d’énergie du vide varie avec X, rigoureusement, puisque la résultante des champs E et B est de zéro, cela décrit une onde gravitationnelle stationnaire. En conséquence nous avons une onde EG stationnaire existant dans la cavité, voici un exemple de résonance scalaire. Rigoureusement la cavité a une masse et une inertie, pour un observateur extérieur, en résultat des deux courbures d’espaces-temps qu’elle contient.
Notez que dans un demi cycle la densité d’énergie du vide est plus grande qu’en ambiance, et dans l’autre demi cycle elle est moins grande ; dans la zone d’un demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus rapide que pour l’observateur ambiant, et dans l’autre demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus lent que pour l’observateur ambiant. Une moitié du cycle semble contenir la charge électrique et l’autre semble contenir la charge positive.
Un demi cycle semble contenir un pôle nord (potentiel scalaire magnéto-statique positif), et l’autre demi cycle semble contenir un pôle sud (potentiel scalaire magnéto-statique négatif).
Peut-être que maintenant on peut commencer à comprendre pourquoi un électron en continuelle accélération sur son orbite atomique n’émet pas d’énergie EM, en complète violation des équations de Maxwell, l’électron n’est pas comme tel mais un aspect complexe.
La résonance scalaire n’est pas dans les manuels conventionnels.
La résonance scalaire est une multi-résonance électromagnétique particulière de somme zéro, de sorte qu’elle n’agit pas d’une façon électromagnétique.
Une résonance scalaire est une onde électromagnétique stationnaire, elle peut être produite électriquement, mais elle n’est pas électrique dans son comportement.
Dans n’importe quelle résonance scalaire, l’espace-temps est courbé et c’est l’ampleur (et direction) de cette courbure d’espace-temps qui oscille sous forme « d’onde stationnaire ».
Par rapport au stress du vide moyen, la moitié d’une onde sinusoïdale stationnaire est extensible, l’autre moitié est compressible. Cependant, cela est par rapport au stress ambiant local du vide.
La « masse » d’une particule est juste une caractéristique exhibée par une résonance scalaire piégée, en fait ce piégeage est fait par le « spin » de la particule individuelle.
Le concept de « masse » peut être comparé avec le concept de « capacité ». Ce qui signifie qu’une masse est un accumulateur d’ondes scalaires ; c’est-à-dire de résonances scalaires.
Elle se « charge » et « décharge » continuellement par absorption et émission d’ondes scalaires depuis et vers le flux d’ondes scalaires du vide ambiant.
En conséquence la magnitude d’une masse peut être définie en terme de valeur absolue de ce taux de « commutation » (absorption = flux entrant ; émission = flux sortant).
Dans l’espace-temps linéaire normal, « charge » et « décharge » sont égales dans toutes les directions ; donc la masse exhibée est identique dans n’importe quelle direction.
Par rapport à l’équilibre du flux de « l’observateur externe », un objet en mouvement rencontre une quantité accrue de taux de flux le long de sa ligne de mouvement, exactement comme un objet se déplaçant sous une pluie torrentielle rencontre plus de gouttes de pluie par seconde dans la direction de sa trajectoire, que ne le fait un objet stationnaire.
La rencontre d’un flux accru d’ondes scalaire (par rapport à l’observateur externe) force l’objet en mouvement à absorber et émettre des ondes scalaires à un taux plus élevé le long de sa direction de mouvement que lorsqu’il ne bougeait pas.
Donc pour l’observateur externe, la masse de l’objet s’est accrue, en ce qui concerne n’importe quelle force perturbante le long de sa ligne de mouvement.
Cependant, orthogonalement à sa ligne de mouvement, le taux de flux est précisément le même que quand l’objet est au repos, donc, vu par l’observateur externe, la masse de l’objet en mouvement n’a pas changé par rapport aux forces perturbantes orthogonales.
Ainsi se trouve expliqué les deux parties de l’un des grands mystères de tous les temps, la relativité : (1) comment la masse d’un objet s’accroît selon son mouvement et, (2) pourquoi la masse s’accroît par rapport à sa ligne de mouvement et pas orthogonalement à elle.
L’inertie d’une particule est due à sa masse, c’est-à-dire à la magnitude totale de sa résonance scalaire piégée.
L’attraction gravitationnelle entre deux masses est due à leur courbure d’espace-temps, de plus, la masse est comme une capacité, elle peut capturer des ondes scalaires complémentaires en tant que résonance piégée et de là accroître sa magnitude ou « charge inertielle » ; ou bien elle peut se décharger de plus d’ondes scalaire qu’elle n’en absorbe et de là diminuer sa magnitude ou « charge interne »…
Ces ondes scalaires émises par la résonance sont émises comme un ensemble de patterns de la résonance, elles peuvent donc être considérées comme constituant un courant de résonances scalaires quittant l’objet accumulateur de masse. Les ondes scalaires absorbées dans une résonance piégée peuvent être considérées comme constituant un courant de résonance scalaire pénétrant l’objet accumulateur de masse, donc il est approprié de dire qu’une résonance scalaire est capable de « couler ».
En conséquence, il est possible d’accroître directement la masse d’un objet, en lui transmettant des ondes EM scalaires pour qu’il les absorbe. (Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires à pénétrer l’objet qu’à le quitter, donc l’objet agit comme un accumulateur augmentant sa charge interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur d’onde scalaire est plus élevé que le potentiel de référence de l’objet irradié.)
Il est également possible de diminuer directement la masse d’un objet en lui transmettant des ondes EM scalaires, de façon qu’il émette plus qu’il n’absorbe. (Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires à quitter l’objet qu’à le pénétrer, donc l’objet agit comme un accumulateur diminuant sa charge interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur scalaire est plus bas que le potentiel de référence de l’objet irradié.)
Comme on peut le constater, « l’émetteur » d’onde scalaire est en réalité quelque peu comparable à une pompe à chaleur ; il peut agir soit comme un « émetteur d’énergie » ou soit comme un « extracteur d’énergie », selon la différence de potentiel entre « l’émetteur » et le « receveur ».
Une résonance scalaire peut avoir une structure spécifique : tant dans ses aspects courbures spatiales et fréquences que dans ses aspects « débit d’écoulement du temps ». En effet, du point de vue scalaire chaque objet à son « modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale unique. Puisque cette empreinte est spatio-temporelle, c’est un produit de l’histoire passée entière de cet objet.
Donc – d’un point de vue scalaire – deux objets ne peuvent être identiques.
Cela montre un autre potentiel plutôt étonnant : si un modèle scalaire suffisamment précis d’un objet peut être « irradié » et mis en résonance par des ondes scalaires, on peut, à distance, créer de l’énergie à l’intérieur de l’objet ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en exciter un autre à distance par résonance sympathique. Je vous laisse vérifier le rapport de cette assertion à la clairvoyance, radionique, vision à distance, etc.
Pour le sceptique, cependant, nous devons signaler que — rigoureusement – la mécanique quantique exige que, continuellement, dans n’importe quelle région localisée de l’espace-temps, le « pattern » de n’importe quel objet dans l’univers apparaisse momentanément en l’état virtuel, d’un point de vue purement statistique seulement. Aussi longtemps que la situation reste statistique, n’importe quel lieu dans l’univers peut continuer d’avoir les « fantômes » de tout ce qui est présent là, dans un pattern fin et éthérique, et le monde observable n’en sera pas affecté.
Cependant si on peut distinguer et « charger » scalairement ou « décharger » des patterns individuels dans ce « royaume-fantôme », l’action à distance est directement possible, comme l’est la matérialisation et la dématérialisation. Si on accepte que même une pensée elle-même produit un tel « pattern-fantôme » virtuel dans le flot de particules virtuelles du vide, alors il est au moins théoriquement possible de matérialiser des pensées et des images pensées.
Nous sommes entrés dans une nouvelle sorte de réalité où les anciennes règles et les anciennes limitations ne s’appliquent pas nécessairement.
Comme signalé, nous pouvons grandement simplifier le problème en le considérant comme des « courants de résonances scalaires », ces courants coulent du potentiel le plus élevé vers le potentiel plus bas, indépendamment de ce que nous considérons « émission » ou « réception ». En effet, émettre à un potentiel plus bas c’est recevoir, et recevoir à un potentiel plus haut c’est émettre. Donc « l’émetteur-récepteur » est un système spécial où en biaisant simplement deux nœuds différemment on détermine dans quel sens la résonance scalaire s’écoulera. On peut augmenter et diminuer la masse et l’inertie d’un objet, simplement en biaisant d’une manière appropriée les deux nœuds de l’émetteur-récepteur.
Lors d’une expérience accidentelle d’une durée de quelques heures :
« Golden a chargé une zone de sorte que, localement toutes les horloges ont été faussées, cela incluait des horloges électriques, des montres à piles et une horloge ancienne à pendule, le débit du flux de temps lui-même a été apparemment altéré dans la zone locale par la charge accumulée, laquelle a mis quatre jours à s’épancher et se décharger. Au bout de quatre jours de décharge, toutes les horloges et les montres sont revenues à la normale ».
Source: http://stopmensonges.com/