pantone

[*Depuis plus 30 ans, une rumeur cours entre automobiliste, il y aurait un homme en france qui aurait inventé un moteur marchant à l’eau !*]

Effectivement au début des années 70, Jean Chambrin, ingénieur et garagiste à Rouen inventa ce procédé qui permettait de consommer un mélange eau-alcool avec une certaine proportion d’eau (jusqu’à 60%). Le principe, similaire à celui de Pantone, consistait à récupérer la chaleur des gaz d’échappement ( 40% de l’énergie d’un moteur thermique est perdue dans l’échappement ) afin de « prétraiter » les gaz d’admission. Cette invention a fait l’objet du dépot d’un brevet FR2302420 le 25/02/1975. Son titre était : Appareil et combinaison de moyens permettant le conditionnement d’un mélange d’eau et de carburant, et, à la limite d’eau pure, en provoquant une réaction thermochimique génératrice de production d’hydrogène et d’un état plasmatique de la matière, pour l’utilisation dans un moteur thermique ou dans un système de chauffage. Cette invention n’a jamais été mise sur le marché. A ce jour, Mr Chambrin semble « disparu ».

[*Surprenant n est ce pas !*]

Mais un autre homme, a lui aussi travaillez sur le projet d’un moteur à eau, Mr Pantone s’est mobilisé depuis 1979 dans la recherche et la mise au point de produits recherchés par le public. Il lui a fallu passer quatre ans ( rater plus de 350 essai) avant de faire fonctionner un premier appareil qu’il a appelé carburateur Pantone, puis réacteur endothermique. Il a mis douze ans avant de comprendre pourquoi cela fonctionnait.

Le souhait de Pantone n’est pas de saigner à mort l’individu comme certains le feraient s’ils avaient le contrôle de cette technologie mais de l’aider à aller de l’avant. Et, c’est dans ce sens que Paul et Molley Pantone ont offert sur Internet, le 21 octobre 1999, tous les éléments permettant de construire soi-même un Processeur à Carburant GEET (ou à Multi – Carburants que par commodité.)

On sait tres bien que les lobbys pétroliers, ainsi que notre gouvernement n’ ont pas interet a voir arriver cette nouvelle technologie, permettant jusqu’à 30 % d’économie de gasoil, mais aussi et le plus important une réduction des émissions de gaz co2. L’enjeu financier est beaucoup trop grand

Il est quand même rassurant de voir que le 31 Mai dernier a été organisée une conférence de Presse par la Mairie de Vitry-sur-Orne à propos du dopage à l’eau via un réacteur Pantone.

En effet, le Maire, Monsieur Luc Corradi (également Conseiller Général), voyant que les solutions « officielles » pour réduire la pollution des véhicules sont soient inexistantes soit hors de prix, a décidé d’équiper un de leur véhicule Citroën C15 communal avec un dopage à l’eau.

Cette très belle transformation (une des plus belles de tous les dopages réalisés) a été faite par Alexandre Gregoire de l’association la Pierre Angulaire (dont le site est malheuresement encore en construction). Elle est basée sur un générateur de vapeur dont l’idée initiale a été développée par Michel (alias Camel1).

Christophe Martz, webmaster d’econologie.com, a été cordialement invité à participer à l’élaboration de cette conférence afin d’évoquer les différentes voies d’explication du procédé.

Les résultats sont sans appel (pour ceux qui bloquent le développement du dopage à l’eau) :

- 36% de consommation en moins soit de 8,25 à 5,28 L/100 km
- plus de 82% de fumées noires en moins (test d’opacité)

Tout ceci pour moins de 750€ (alors qu’il s’agit d’un prototype)…Ce chiffre est à comparer aux coûts du développement du Filtre à Particules et de l’injection Diesel haute pression. De plus, rien ne permet d’affirmer qu’un dopage à l’eau ne serait pas également efficace sur les moteurs modernes…

Voila plein de bonnes nouvelles.

Mais pourquoi l’état est il entrain de développer les stations proposant du bio éthanol alors que celui-ci peut présenter certaines vertus en ce qui concerne les émissions en gaz à effet de serre (selon l’IFEN), tout comme le gazole par exemple, il ne faut pas oublier que les transports routiers génèrent aussi une importante pollution atmosphérique locale (particules, ozone…) dont les conséquences sont graves pour la santé. C’est cette pollution, souvent supplantée dans les discours par le CO2 (qui contribue au réchauffement de la planète), qui a été mise en avant dans un article publié le 18 avril 2007 par la revue Environmental Science & Technology

[*L’appat du gain serait-il toujours plus fort que notre avenir ?*]

Source: http://rustyjames.canalblog.com/