inelia-benz2013par Inelia Benz

Nous travaillons sur nous-mêmes, cherchons des outils d’autonomisation et modifions notre conscience parce que nous voulons CHANGER. Nous voulons du changement dans notre vie personnelle, nos perceptions et mode de vie et nous voulons assister à un changement plus large, global, dans l’humanité. Il y a différents facteurs sur lesquels nous pouvons travailler pour mettre en place ce changement :

1.  Il y a l’intention originelle, ce que nous voulons voir.

2. Ensuite, il y a un processus de résolution de nos peurs, des obstacles aux croyances et des doutes quant à la possibilité du changement. Cette étape peut aussi inclure des jugements que nous avons sur la situation actuelle.

3. Troisièmement, nous nous libérons de l’attachement aux moyens pour arriver au résultat espéré, ainsi que des limitations du résultat (s’ouvrir à l’énergie du « ceci ou mieux »).

4. Maintenant, nous résolvons les obstacles qui arrivent dans la vie réelle et nous semblent impossibles à surmonter.

5. C’est à ce moment-là que nous décidons que oui, ce changement va arriver. Plus encore qu’une décision, nous vivons maintenant dans une énergie de « savoir ».

6. Nous « ressentons » alors la nouvelle réalité comme existant maintenant. Nous la sentons avec notre corps physique et émotionnel comme étant « réelle ». Pas comme quelque chose de voulu ou de nécessaire ou quelque chose qui arrivera à un certain moment à l’avenir, mais bien comme la réalité ACTUELLE.

7. Et maintenant, nous agissons dans le monde physique.

Imaginons ensemble un exemple d’expérience concret. Une personne, appelons-la Sam, veut changer de travail, mais a de profondes attaches financières et émotionnelles avec son emploi actuel :

 

1. Sam réalise qu’elle veut changer de travail et passer à autre chose.

C’est l’intention originelle. Un nouveau travail.

2. Elle a peur de perdrequelque chose de sécurisant pour un nouvel emploi qui ne conviendrait pas.Elle craint aussi de ne pas pouvoir s’en sortir financièrement et subvenir aux besoins de ses enfants, en plus de verser une pension alimentaire à son mari. Le marché du travail est tellement mauvais pour le moment qu’elle se dit qu’à son âge, elle ne trouvera jamais un nouvel emploi. Elle s’inquiète aussi de perdre l’amitié de ses collègues et de ses supérieurs. Ils organisent à tour de rôle des barbecues toutes les deux semaines. Sans oublier qu’elle participe activement à leur ligue de golf. Et puis, le travail n’est pas si horrible que ça. En réalité, certains jours, elle s’y plait bien.

Ses craintes sont la perte de sécurité et d’un revenu, le fait d’être trop vieille pour le marché du travail, la perte d’amis et d’activités sociales. Elle juge son présent emploi « suffisant » et peut-être vaut-il mieux ne pas en changer. Elle s’assied et utilise le procédé pour résoudre ses peurs et l’exercice du coupe-feu pour traiter ses conclusions et son énergie de « contentement ». Elle décide maintenant de prendre l’initiative de chercher un nouvel emploi.

3. Elle tient beaucoup à trouver un travail qui lui permettra de mettre davantage ses compétences artistiques à profit, situé à moins de 30 km de chez elle et payé 70.000 € par an.

Bien que ce soit un bon point de départ, elle prend soin d’ajouter « ou mieux » à sa liste. Elle se libère également de tout attachement à l’emplacement.

4. Dès qu’elle arrive à un point où trouver un nouveau travail est quelque chose qu’elle souhaite vraiment, son supérieur prend sa retraite et on lui demande de reprendre son poste. Ses heures de travail augmentent ainsi que ses tâches administratives. Sa maison se retrouve infestée de termites et elle est contrainte à faire un emprunt considérable pour le traitement et les réparations associés.

Elle s’assied après sa méditation quotidienne et scrute les énergies qui ont manifesté ces blocages physiques. Sont-ce des moyens par lesquels son environnement manifeste que ce n’est pas le bon moment pour changer de travail ? Ou sont-ce des peurs ou des croyances sociales dont elle n’est pas encore venue à bout ? Ou est-ce une impulsion de son moi supérieur pour changer radicalement sa vie ? Elle décide que c’est une combinaison de peurs et une impulsion de son moi supérieur pour se manifester à cet instant. Elle traite ses peurs et ses réactions émotionnelles vis-à-vis de sa nouvelle charge de travail et de sa dette.

5. Désormais, elle SAIT qu’elle va avoir un nouvel emploi et que ce sera une amélioration totale par rapport à sa situation actuelle.

L’énergie de la Connaissance, par opposition à la volonté, au désir ou au besoin d’une nouvelle réalité, est radicalement différente. Par exemple, nous savons quelle est la couleur de nos cheveux ; nous souhaitons, voulons, désirons partir en vacances plus souvent.

6.  Maintenant, quand elle va au travail, elle ressent totalement sa nouvelle expérience. La satisfaction, l’utilisation de son côté créatif, artistique, l’horaire allégé, le salaire augmenté ne sont plus des souhaits, mais des réalités. Elle se sent en sécurité, appréciée, heureuse et épanouie. Dorénavant, les gens complimentent son sourire et perçoivent sa confiance en elle… et ses vêtements lui vont beaucoup mieux !

Quand nous faisons le changement, il se produit dans le présent. Là où nous sommes. Rapidement, notre environnement commence à refléter notre nouvelle « réalité ».

7. C’est là qu’elle écrit une lettre de motivation honnête et sincère, qui reflète vraiment sa personnalité et ses intérêts (action physique). Elle vérifie sa sonorité, s’assure qu’il ne reflète pas de peurs, de manques ou d’énergies d’attachement et l’envoi à un grand nombre d’entreprises à travers le monde. Soudain, elle s’inquiète d’être rejetée, que son vrai moi soit laissé-pour-compte et jeté aux ordures. Elle examine ces peurs et réalise qu’il n’y absolument aucun attachement aux résultats ou au travail, quels qu’ils soient. Elle est heureuse, contente et satisfaite. Elle SAIT que son job de rêve existe ; le trouver n’est qu’une question de correspondance entre la vibration de sa ligne de temps et celle du travail.

L’action physique libérée de toute planification est très importante. C’est souvent à ce moment que les peurs et les appréhensions surgissent et que nous les résolvons sérieusement.

Cet exemple peut être transposé dans de nombreuses situations de vie. Changer de maison, trouver un compagnon, quitter un compagnon, changer son apparence physique, commencer un nouveau hobby, atteindre l’éveil… J’en passe.

Source: Ascension101.com

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