lila luzpar Lilaluz

L’ADN est la constituante commune de tous les êtres vivants, c’est une longue chaîne d’acides aminés dont la combinaison des éléments entre eux détermine la forme de l’être vivant et ses caractéristiques. En changeant quelques acides aminés ou leur ordre d’ordonnancement, la forme et les caractéristiques changent.

L’arbre génétique humain comprend plusieurs branches car à plusieurs reprises l’ADN mitochondrial, -c’est-à-dire celui que la mère transmet à ses enfants- a muté, donc cela crée des mutations de couleur ou de forme corporelle. Ces différences expliquent pourquoi la race humaine contient des groupes de population aux traits variés. Le Corps causal est le nom pour déterminé le lien physique et psychologique reliant l’espèce humaine à son identité : le corps causal est le lien qui unit la personne à la conscience de son identité d’être humain. C’est un lien invisible et psychologique mais aussi génétique : l’Adn humain est une certaine combinaison de marqueurs qui ensemble définissent des traits caractéristiques de notre espèce, ces marqueurs évoluent, ce qui produit une évolution de notre physionomie et de nos aptitudes.

D’où viennent ces « mutations spontanées » cela n’a pas encore été expliqué par les scientifiques, pourtant on peut se baser sur ce que l’on sait : la lumière et la chaleur du soleil ont stimulées les enzymes de l’Océan primordial et c’est grâce aux premières bactéries monocellulaires que la Vie a débutée. Ensuite, les cellules monocellulaires se sont clonées, puis les relations entre les cellules se sont complexifiées pour créer des groupes de cellules de plus en plus complexes puis des êtres vivants assez grossiers et au fil du temps, les formes se sont affinées, les intelligences sont devenues plus spécifiques ou bien plus complexes et adaptables à différents milieux, plus larges.

Chaque fois que l’on constate un palier évolutif majeur en géologie, il s’accompagne de grandes disparitions d’espèces, de changements climatiques brutaux, d’un réchauffement de la température et d’un « petit quelque chose » d’indéfinissable.

Pouvons-nous penser que cet aspect invisible et impalpable soit un rayon solaire très condensé, suffisamment puissant pour entrer profondément dans la couche d’oxygène qui sert habituellement de bouclier protecteur ? Ce faisant, la température et la chaleur dégagée par un tel rayon solaire changerait immédiatement la nature de l’atmosphère et la luminosité d’un tel « souffle » ordonnerait aux femelles d’inclure de nouvelles aptitudes chez les bébés à naître en agissant sur leur glande pinéale et les glandes endocrines (donc sur leurs hormones). Les hormones sont les moyens que notre corps possède pour communiquer avec l’environnement, avec les autres personnes, entre les différents systèmes de notre physiologie. Les phéromones sont produites par tous les êtres vivants, qu’il s’agisse des plantes, des insectes, des poissons, des espèces rampantes ou des mammifères, et chez tous les individus elles servent de signature par l’odeur. Il se trouve qu’avec plus de lumière, ces phéromones changent également.

Si une eruption solaire majeure créait un long bras solaire de particules, ce « code de lumière » s’inscrirait directement au cœur de toutes les espèces, ordonnant -telle une baguette magique géante- un nouvel ordonnancement des acides aminés pour que la Vie continue et évolue. La lumière organise tous nos cycles vitaux, on sait qu’une personne privée de lumière ne peut rester en vie. On voit aussi que l’angle avec lequel la lumière solaire entre en contact avec la planète agit sur les traits physiques d’une personne. Le taux d’ensoleillement est différent selon que l’on vit dans l’hémisphère nord ou Sud, ou à l’Equateur, la nourriture et le mode de vie sont différents également. La quantité de lumière soleil entrant dans l’atmosphère crée des adaptations physiques de la part des populations. Le taux de mélatonine (qui définit la couleur de la peau) et de sérotonine (définit la joie de vivre, la sérénité) sont plus élevés dans les pays tropicaux même si l’on s’expose pas au soleil directement et même durant les périodes nuageuses qui sont plus nombreuses dans les pays tropicaux humides. Les rayons solaires touchent profondément notre planète et la traverse. Il ne s’agit pas seulement de se protéger des dangers du soleil, en fait, rien ne nous protège d’une évolution génétique globale, les particules solaires les plus fines ne sont pas perceptibles par nos yeux. L’energie éthérique de nos chakras lorsqu’ils sont développés sert de protecteur et de structure nourricière. Ceux qui ont fait l’expérience de l’énergie du Reiki, ou du Tai Chi savent que cette énergie ondule à la surface de la terre créant des « vagues », ces vagues sont directement influencées par l’échange électro-magnétique qui existe entre le Soleil et la Terre. En structurant notre énergie individuelle et ensuite en regroupant les personnes stabilisées en « piliers ancreurs » , il est possible de créer des zones protectrices, des pépinières. L’objectif des messages est de rendre cela possible. En attendant, les liens psychologiques qui unissent les personnes avec leur identité humaine est nettoyé des anciennes structures : certains gènes nous reliant à la barbarie sont affaiblis et de nouveaux marqueurs sont en train d’apparaître.

A bientôt. Lila

Source: http://www.lilaluz.net/

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