100236933

Fonctionnement du système immunitaire

Comment les vaccins peuvent l’endommager

 

TLB Staff, 9 novembre 2014

 

« Les maladies chroniques sont devenues si communes ! Avoir un enfant malade semble être devenu la « nouvelle normalité», alors que les enfants sont censés être dynamiques, en parfaite santé et exempts de maladie. » Dr Janet Levatin, MD, Pédiatre 

 

La Théorie

 

Selon la théorie médicale, si votre enfant est exposé à une version affaiblie de la maladie, il va produire des anticorps vis-à-vis de cette maladie et être « immunisé », pour ne plus jamais faire cette maladie.

 

A première vue, ceci semble relever d’un principe solide, MAIS il ne s’agit en fait que d’un petit aspect du système immunitaire : les anticorps. Cette théorie n’envisage pas toutes les autres fonctions du système immunitaire qui assurent la protection de la santé de votre enfant.

 

Alors, comment fonctionne le système immunitaire ?

 

Le système immunitaire comprend la peau, les muqueuses du nez et de la gorge, des oreilles et des yeux. Il comprend aussi les poils du nez, la salive, la rate, les intestins, les amygdales, le thymus et le cerveau lui-même. Tous ces éléments travaillent de concert de manière holistique pour apporter l’immunité à tout le corps. Les anticorps ne représentant qu’une partie de tout le processus immunitaire.

 

* La peau agit comme une barrière destinée à empêcher les bactéries d’entrer dans le corps. Elle détruit aussi les toxines grâce à la fièvre.

 

* Les poils du nez empêchent les particules étrangères de pénétrer plus profondément dans le nez. Quant aux muqueuses, elles excrètent une substance antibactérienne.

 

* Les amygdales aident à prévenir les maladies respiratoires de même que d’autres maladies comme la poliomyélite. La salive contient des substances qui neutralisent et détruisent les microbes.

 

* La rate et les intestins entre autres organes, produisent des graisses et des vitamines pour protéger le corps d’invasions virales et bactériennes.

 

* Le thymus produit des cellules appelées « cellules T » qui sont des anticorps destinés à lutter contre les infections.

 

* Il existe différentes glandes dans le corps qui contribuent à éliminer les toxines et les éléments inutiles. Par exemple, les ganglions cervicaux drainent la tête, le cou et la poitrine.

 

* L’hypophyse dans le cerveau dirige tous les systèmes que nous venons d’évoquer. Donc un cerveau fonctionne mal aura un impact certain sur tout le système immunitaire. Il envoie des impulsions électriques à toutes les zones du corps, stimulant la régénération cellulaire et la croissance musculaire. Ces impulsions électriques stimulent aussi le thymus qui est le centre de la fonction immunitaire.

 

Quel est l’effet de la vaccination sur le fonctionnement immunitaire ?

 

La vaccination – donc l’acte de contracter artificiellement une maladie afin d’être protégé– présente de graves lacunes sur de nombreux points. Tout d’abord, un vaccin  contient de nombreux produits chimiques dangereux et pas seulement les virus contre lesquels on vaccine. Chacun de ces produits est susceptible d’exercer une action toxique sur le corps. Deuxièmement, la voie d’entrée est différente de celle d’une maladie qui surviendrait naturellement. La plupart des maladies naturelles pénètrent par la bouche ou la cavité nasale et pas par la peau.

 

Avec l’aiguille le vaccin  brise la peau et injecte des corps étrangers dans le flux sanguin.

 

Ceci court-circuite le rôle de la peau dans sa fonction immunitaire, ainsi que les amygdales, les muqueuses, et ainsi de suite.

 

Normalement, le corps produit des anticorps supplémentaires qui sont d’abord amorcés par les amygdales quand une infection est imminente. Par conséquent si une infection persiste, une armée de globules blancs se formera pour neutraliser l’infection.

 

Dans le cas de la vaccination, l’infection passe directement dans le flux sanguin sans préparation préalable du corps et sans cellules immunitaires supplémentaires pour y faire face.

 

Avec la vaccination, on a souvent affaire à plus d’une maladie à la fois (par exemple :  rougeole, oreillons, rubéole en un seul vaccin). Jamais un enfant ne contractera naturellement 3 maladies en même temps. Cette façon de faire met une pression supplémentaire sur le système immunitaire.

 

Quels sont les problèmes qui peuvent survenir ?

 

L’injection d’un vaccin par cette voie non naturelle peut utiliser jusqu’à 70% des ressources du système immunitaire, au lieu de l’habituel 3 à 4% avec une maladie d’origine sauvage (Cynthia Cournoyer : « Qu’en est-il des vaccinations ? » Dennis Nelson Publishers, 1991).

 

Parce que le corps ne possède pas d’extra-anticorps en attente pour contrer le vaccin, il peut entrer en suractivité pour tenter de faire face à la situation en prélevant des vitamines indispensables aux organes et aux os pour la production d’un nombre plus élevé d’anticorps. Ceci signifie que d’autres organes vitaux du corps vont manquer de vitamines. Dans des cas extrêmes, ces carences peuvent aller jusqu’à produire des fractures suite à un manque important de vitamines mobilisées pour faire face au vaccin. Ce manque de vitamines peut aussi provoquer des ecchymoses, des saignements de la rétine et des hémorragies. Ceci pourrait expliquer pourquoi le cas de certains bébés dont la santé a été endommagée par les vaccins a été faussement étiqueté « Syndrome du Bébé Secoué ». Ces dommages vaccinaux ressemblent à ceux qui sont provoqués par un traumatisme.

 

L’afflux massif d’anticorps créés par le vaccin peut donc amener l’organisme à devenir hypersensible, et cela est responsable de l’augmentation des allergies et des maladies auto-immunes. Les allergies  proviennent d’une surexposition à des éléments toxiques dont le corps est incapable de se débarrasser.

 

Si les glandes surrénales, le pancréas, la glande pituitaire et la rate sont trop stimulés par exemple par la vaccination,  cela peut intoxiquer le corps au point qu’il devienne incapable de s’autoréguler. Le rapport a été établi avec des maladies cardiaques, le diabète, l’asthme et la bronchite pour n’en citer que quelques-uns. La sur-stimulation des glandes surrénales entraîne aussi une diminution de la circulation du sang dans tout le corps ; elle atrophie également les vaisseaux sanguins.

 

C’est à la suite de cet état de dysfonctionnement, de surcharge chimique, des vaccins, de la pollution, de la malbouffe, des médicaments et ainsi de suite que nos corps deviennent de moins en moins en mesure de rester en bonne santé.

 

Quand le corps se trouve dans son état d’équilibre et d’harmonie, il n’ pas besoin de « l’immunité ». Dans un réel état d’équilibre et d’harmonie, le thymus fonctionne correctement comme régulateur central  d’une bonne digestion. Donc tout ce qui pénètre dans le corps est digéré puis excrété. » (Stonebridge Associated Colleges, 2005).

 

Dans les temps qui suivent immédiatement la vaccination, le fait que les vitamines supplémentaires soient utilisées pour combattre le vaccin, peut rendre la personne plus vulnérable aux maladies. A titre d’exemple, dans l’information  de Merck, Sharp & Dohme LTD pour le vaccin HIB, il est précisé : «  Des cas d’Haemophilus B peuvent se produire dans les semaines qui suivent la vaccination. » et dans la feuille d’information  de Lederle Hibtiter : « Des cas d’infection à HIB, bien que rares, peuvent se produire après la vaccination. ». Ceci est connu sous l’appellation « maladie de PROVOCATION », c’est-à-dire : maladie causée par le vaccin.

 

Les vaccins vivants sont davantage susceptibles de transmettre la maladie à leur destinataire ou à ses contacts proches, du fait que les virus sont excrétés dans l’urine, les selles, et la salive jusqu’à trois semaines après chaque vaccination.

 

Le vaccin contre la polio qui a d’abord été administré sous forme orale est maintenant administré sous forme injectable parce que les seuls cas de polio dans les pays occidentaux étaient provoqués par le vaccin.

 

Les maladies provoquées par les vaccins sont souvent plus graves que les maladies d’origine naturelle. Par exemple, la rougeole ATYPIQUE qui touche seulement les enfants vaccinés est beaucoup plus grave parce que le vaccin supprime l’éruption de l’enfant qui est son moyen d’excréter la toxine qui est refoulée profondément dans le corps et affecte des organes importants, parfois même le cerveau, comme l’encéphalite rougeoleuse atypique.

 

Les virus vaccinaux peuvent aussi se fixer sur des cellules, des organes et des tissus du cerveau. Ils peuvent provoquer des cancers, des handicaps et des troubles cérébraux, comme ce fut le cas de ce garçon qui devint autiste et a connu des troubles épileptiques après son vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) à 15 mois. L’hôpital des enfants de la rue « Great Ormand » a entrepris d’effectuer des tests sur cet enfant quand il a eu 13 ans. Les tests ont permis de retrouver des restes de virus vaccinaux dans les parties lésées de son cerveau. (The Sunday Express, 6 octobre 2002)

 

Des anticorps dirigés contre les tissus du cerveau ont également été retrouvés dans les analyses de sang d’enfants autistes.

 

Mutations et Maladies

 

Il est possible que même avec des vaccins inactivés, le virus ou la bactérie tués puissent muter et donner une autre forme de la maladie. Par exemple, une jeune fille canadienne de 16 ans est morte de méningite B après que son petit ami ait reçu le vaccin contre la méningite C. Les tests de laboratoire ont confirmé que le vaccin pouvait muter sous forme B et infecter à la fois le récipiendaire et ses proches contacts. (Pulse, magazine médical, 20 novembre 1999.)

 

Un grand nombre de maladies chroniques ont fait leur apparition à la place des maladies infectieuses depuis l’introduction des vaccinations de masse comme l’encéphalomyélite myalgique (EM) ou syndrome de fatigue chronique, Syndrome de Guillain-Barré (paralysies), Autisme, Sclérose en plaques (SEP), virus Ebola, Sida, Lichen plan et autres problèmes d’hypersensibilité, sans mentionner les taux incontrôlables des cancers, de maladies cardiaques, d’asthme, d’eczéma, et autres allergies. Même la méningite était extrêmement rare avant le 20ème siècle.

 

Nous sommes en train de nous tuer avec nos tentatives de « prévenir » les maladies de l’enfance. Comme la Nature est plus forte que les hommes, toute manipulation des fonctions immunitaires peut avoir des conséquences désastreuses pour tous. […]

 

Un américain sur 5 souffre d’allergies

 

Si les brises printanières vous font éternuer, vous pouvez vous rassurer en apprenant que vous n’êtes pas seul.

 

Pour des raisons que les chercheurs ne comprennent pas bien, les allergies au pollen, à la poussière, à la nourriture sont devenues plus fréquentes chez les américains au cours des dernières décennies. Aujourd’hui un américain sur 5 souffre d’allergies, selon « The Asthma and Allergy Foundation of America. »

 

«  Nous ne savons pas pourquoi l’incidence des allergies est en augmentation » a déclaré Maya Jerath, M.D.,Ph.D., Assistante à l’Université de Caroline du Nord (Chapel Hill School of Medicine) et directrice de la clinique UNC Allergie et Immunologie.

 

Les chercheurs ne comprennent pas non plus pourquoi les allergies progressent. « Cela a dérouté les gens et continue à beaucoup les dérouter. » a-t-elle dit.

 

Une allergie est une réaction immunitaire à une substance inoffensive, comme un grain de pollen ou des protéines d’arachide. Au lieu d’ignorer la substance, le corps produit des anticorps pour lutter contre elle. Les symptômes d’allergie peuvent aller de picotements dans les yeux et d’éternuements à des réactions anaphylactiques potentiellement mortelles.

 

Jerath explique que les causes des allergies  demeurent assez insaisissables parce que le rôle du système immunitaire est complexe. Le système doit défendre l’organisme contre d’innombrables envahisseurs dans la nourriture, l’eau et l’air qui nous entoure.

 

Pour les personnes qui souffrent d’allergies, le système immunitaire doit apprendre à distinguer les particules dangereuses de celles qui ne le sont pas. Pour la plupart des gens, cet apprentissage a lieu dans la première enfance.

 

Jerath précise que si l’organisme n’est pas exposé à certains éléments, les mécanismes de régulation risquent de ne pas se mettre en place.

 

C’est pour cette raison que certains chercheurs pensent  que l’absence d’exposition à des microorganismes tôt dans la vie pourrait  pré-conditionner des personnes à faire des allergies. Cette explication appelée « l’hypothèse hygiénique » suggère que le fait de grandir entouré d’autres enfants, de saleté ou de bétail pourrait aider le système immunitaire à développer une tolérance vis-à-vis d’irritants inoffensifs.

Source : Physorg.com, par Sara Peach, 24 février 2010.

 

Le spectre des symptômes démyélinisants du système nerveux central post-vaccinatoire

 

La littérature a rapporté une grande variété de maladies inflammatoires associées à l’administration de différents vaccins. Une recherche dans PubMed de 1979 à 2013 a révélé 71 cas bien documentés. Les vaccins les plus fréquemment rapportés et associés à des maladies démyélinisantes du système nerveux central sont la grippe (21 cas), le papilloma virus humain (9 cas), la fièvre jaune (3 cas), l’anthrax (2cas), le méningocoque (2 cas) et le tétanos (2 cas). La grande majorité des syndromes démyélinisants du système nerveux central sont à mettre en relation avec la vaccination contre la grippe. On pourrait attribuer la chose à la forte proportion de la population qui a reçu le vaccin au cours de l’épidémie H1N1 de 2009 à 2012. Généralement les symptômes démyélinisants du système nerveux central apparaissent quelques jours après la vaccination (en moyenne 14,2 jours), mais il existe des cas où les signes cliniques sont apparus plus de 3 semaines ou même jusqu’à 5 mois après la vaccination (approximativement un tiers de tous les cas rapportés).

 

En termes de présentation clinique, comme des zones touchées du système nerveux central, il existe une grande diversité parmi les cas déclarés de syndrome de démyélinisation aiguë post-vaccination. C’est la névrite optique qui est apparue le plus souvent  (38 cas) viennent ensuite les 30 cas de démyélinisation multifocale diffuse, 24 cas de myélite et 17 cas d’encéphalite.  […]

 

Les enfants modernes sont plus malades qu’ils ne l’étaient dans les années 1940 et 1950.

 

«  En 1947 je travaillais en tant que puéricultrice dans une crèche pour petits bébés dont les mères devaient travailler (enfants illégitimes). Ces enfants n’avaient pas de pères qui gagnaient leur vie.

 

Ces bébés se portaient très bien et étaient très gentils. Il y avait de temps en temps des rhumes et des grippes; parfois aussi des cas de gale.

 

Il n’y AVAIT PAS d’asthme, d’eczéma, d’épilepsie, d’hyperactivité, de problèmes cardiaques ou de mort subite du nourrisson. Ce n’est qu’à partir de 1957 que l’on a commencé à parler de la mort subite du nourrisson après l’apparition du vaccin DTC (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche)

 

Vous devez être âgé d’environ 80 ans pour vous rappeler comment était la vie à cette époque. Il arrivait que des bébés meurent de pneumonie parce que les maisons étaient très froides, mais ils ne mouraient pas des terribles maladies que nous connaissons aujourd’hui. »

Article originale en anglais : http://www.thelibertybeacon.com/

Traduction trouvée sur http://rustyjames.canalblog.com/

[widgets_on_pages id= »SPOT »]