Faut-il croire à l’Astrologie ? Les planètes nous influencent-elles et à quel niveau ? Pourquoi douze signes ?
Peut-être ces questions ne vous préoccupent pas, et pourtant toute votre vie, toute votre personnalité est reliée à l’ensemble de votre univers, celui-là même que vous engendrez à chaque instant lorsque vous « séparez le Ciel et la Terre ».
Souvenez-vous : là où JE est (évidemment partout), JE sépare la Terre et le Ciel et se situe donc entre les deux, en intermédiaire, comme le disait Moïse, c’est-à-dire que vous séparez –(et réunissez) d’un côté la part d’infini que vous avez intégrée (la Terre, votre passé, votre support matériel), et en face la part d’infini que vous n’avez pas encore intégrée, à laquelle vous ne pouvez encore vous identifier : le Ciel, la liberté, « l’inaccessible étoile ».
Symboliquement, on a toujours le sentiment que la matière est en bas, sous nos pieds, et que le Ciel est en haut. Alors qu’il n’y a évidemment aucune différence : nous sommes sur une planète qui n’est pas différente des autres dans le ciel.
Selon le niveau auquel s’opère cette séparation, vous vous définissez. Vous définissez votre personnalité et l’univers qui va avec. En tant que Terriens, nous définissons tous la Terre comme notre constituant essentiel. Nos personnalités individuelles sont des superstructures à partir de là. C’est notre passé commun. Mais nous créons aussi ce qui nous différencie.
On l’a déjà dit dans nos précédentes chroniques : il va de soi que ce processus créateur est totalement inconscient. Puisqu’il n’y a conscience qu’une fois qu’il a opéré : lorsqu’il y a un univers. On a donc toujours l’impression de débarquer dans un monde préexistant alors qu’on le crée à chaque instant, inconsciemment.
Ensuite, ce qui est conscient, c’est la « quête » qui, elle, est totalement et seule consciente, tout ce qui va arriver à cette personnalité, tout ce qu’elle va faire ou penser, c’est de l’amour conscient, la recherche d’unité avec cet infini apparemment extérieur qu’on a créé inconsciemment. Ainsi on aime sans savoir quoi ni pourquoi. On n’y peut rien. Tant que cet amour est conditionnel, on n’a pas l’impression d’aimer tout, et on a l’impression qu’il y a aussi autre chose que l’amour, mais finalement cela devient inconditionnel et on comprend qu’il n’y a que l’amour sous de multiples facettes.
C’est en définissant mon niveau de personnalité que je définis l’univers que je vis, et cela se lit dans les relations des astres entre eux. Les symboles sont les mêmes pour tout le monde, tout existe pour tout le monde, mais il s’agit pour chacun d’un « dosage » entre ces différentes réalités symboliques, dosage que je détermine à chaque instant par mon niveau d’amour et qu’ensuite j’ai le sentiment de subir.
C’est donc l’amour que j’exprime dans le présent qui engendre les apparences futures, et lorsque je les perçois, c’est donc du passé, et ce passé me sert à nouveau à manifester telle ou telle forme d’amour. On interprète cela comme un karma lié à nos actions, il est lié en fait à nos réactions, car l’univers (illusoire bien sûr puisque spirituel) n’est là que comme prétexte à ces réactions. Et mes réactions l’orientent ensuite à chaque instant, car ces réactions sont une certaine façon d’aimer plus ou moins et de telle ou telle façon. Je réagis à ma création inconsciente, et ensuite cela conduit à une nouvelle création inconsciente en fonction des besoins spirituels ainsi exprimés par ma réaction consciente.
Il n’y a rien d’autre. Cela est la vérité de l’Etre.
Vous connaissez cette représentation de l’Etre humain énergétique ci-dessous. Comme tout « aimant » (l’homme est un aimant comme une planète est un aimant, comme une particule atomique est un aimant, etc.), il y a une circulation énergétique du pôle Nord vers le pôle Sud (du Yin qui disperse vers le Yang qui concentre) qu’on peut observer physiquement par différents moyens :
Dans notre cas, le champ part du sommet de la tête vers le haut et se rassemble par les pieds également vers le haut.
Ce champ est purement et simplement ce dont nous venons de parler. L’esprit. C’est ce processus de séparation du Ciel et de la Terre. JE, qui ne peut être identifié à un point nul, comme on l’a déjà expliqué, mais s’identifie toujours à une partie du tout (une personne, un ego) se projette « extérieurement » à l’infini pour ensuite ramener à lui cet infini et l’intégrer, afin de devenir soi. Ce mouvement est éternel puisqu’on n’a jamais fini d’intégrer l’infini, et qu’on ne peut faire autrement que de l’expulser. C’est la fonction de la nullité du néant que de se distinguer de son infinité.
Si ce mouvement d’énergie n’était un but, une nécessité, cela ne serait pas. Il n’y a aucune raison qu’il y ait une énergie où que ce soit sans poursuite d’un but inaccessible. Un but accessible serait atteint et il n’y aurait plus aucune énergie. C’est pourquoi l’évolution est la seule constante de l’univers.
La personne est un filtre pour cette énergie, qui la délimite et donc lui donne forme. Ainsi chacun de nous vit un univers personnel unique, fonction du rapport de force entre l’émission et la réception d’énergie, car l’équilibre absolu entre donner et recevoir n’est jamais atteint. Il y a toujours une légère différence, et c’est cette différence qui nous détermine personnellement dans nos caractéristiques individuelles et nos destins.
Certains ont plus tendance à donner qu’à recevoir dans tel ou tel domaine et inversement. Ainsi nous ne sommes plus des aimants parfaits.
L’ASTROLOGIE A LA LUMIERE DE L’HYPERSCIENCE
Alors comment voudriez-vous, dans ces conditions, qu’on ne puisse pas lire un destin individuel dans les astres ? Une personnalité est le résultat d’une mise en relation particulière de ses différentes composantes entre elles, et son destin est sa façon de les réintégrer, de les assumer, de les changer. Ce sont les deux éléments essentiels d’une vie : une personnalité et un destin. La personnalité est un état, une création passée, le destin est un mouvement de création.
Double mouvement énergétique : je me définis en expulsant la partie de l’infini à laquelle je ne m’identifie pas, créant le cosmos. Mais pas n’importe quel cosmos : un cosmos exprimant les relations entre mes différentes composantes, entre les différentes fonctions de mon être dont la combinaison constitue un être quel qu’il soit. Et par rapport à ce cosmos, à ce monde qui est mon passé, mes façons de réagir jusque là, ma personnalité, mon vécu, je réagis. Et je réagis comment ? En modulant ces relations. En faisant en sorte ou bien d’accepter et d’aimer ce passé, ou bien de le rejeter. En faisant en sorte de continuer dans mes habitudes ou au contraire de décider comment je réagis et comment j’aime. C’est cela la Connaissance : avoir compris qu’on est totalement libre de réagir d’une façon ou d’une autre à une situation, parce qu’on a une vision juste de ce que c’est qu’être. Et l’ignorance, c’est croire qu’on est quelque chose, qu’on a une personnalité, et donc que pour moi, aimer c’est me comporter de telle façon et pas d’une autre, et c’est aux autres de l’accepter. Alors que ma vérité est d’évoluer dans ma façon d’aimer vers de plus en plus d’infini, d’inconditionnalité. C’est cela ma vraie nature.
Vous comprenez la différence entre éveil et vie profane ?
On l’a déjà évoqué, l’Homme Nouveau est celui qui est en mouvement permanent pour s’unir au tout le plus directement possible, alors que l’ancien reste sur ses positions. Le Nouveau (« Cinquième Dimension ») est identifié au But et non à l’étape qu’il vit à un moment donné, ce à quoi s’attache l’homme de la « Troisième Dimension ». L’un est causal, l’autre mental.
Bon, je synthétise tout cela de façon un peu hard, mais petit à petit vous comprendrez ce que tout cela veut dire.
Il y a douze planètes dans notre cœur.
Ce n’est pas parce qu’il y a douze planètes qu’on a douze secteurs de personnalité, ce ne sont pas les planètes qui nous influencent, cela c’est l’apparence. C’est notre façon de gérer notre personnalité qui se manifeste dans l’espace qui est, on l’a déjà expliqué, notre conscience, et se voit sous formes d’astres. Tout comme notre Soi, que nous refusons, se voit extérieurement en tant que Soleil. En attendant qu’il soit intérieur (« Christ solaire »).
Rappelons en effet que je ne peux avoir conscience de quelque chose qui ne soit DANS ma conscience et que donc ce que je crois être l’espace extérieur et cosmique n’est en fait que la FORME de ma conscience à un moment donné. Ma conscience peut se subdiviser en douze aspects comme en 360, quatre ou dix-mille, peu importe, puisque c’est fractal, on pourrait inventer toutes les astrologies qu’on voudrait, et toutes fonctionneraient. A conditions qu’elles soient reliées à la vérité du Principe créateur tel qu’on l’a défini antérieurement, bien entendu.
Le monde que je perçois est ma création parce que je forme ma conscience à chaque instant d’une certaine façon en rejetant ou en intégrant certaines dimensions. On peut dire ainsi que je suis un filtre dans l’infini des possibles, c’est une autre façon de dire, pas tout à fait exacte mais passable.
Eternellement je percevrai ma conscience comme si c’était un univers extérieur, parce qu’il n’y a de conscience qu’au niveau de l’opposition de la nullité du néant à son infinité. Donc être conscient est se situer au centre. Il n’y a pas d’autre solution que d’extérioriser l’infini si on est un centre nul. Du coup, tout m’apparaît extérieur alors que c’est moi. Il n’y a aucune conscience de l’infini qui, lui, ne s’oppose nullement à la nullité. Tout se passe du point de vue du zéro : création (conscience ou répulsion) comme réintégration (amour ou attraction). C’est cette dualité de l’esprit qui est responsable de la discontinuité des apparences : il ne peut y avoir un tout indifférencié et continu, il ne peut qu’y a voir des « gouttes » d’univers séparées les unes des autres. En l’occurrence, des planètes, des particules atomiques, des vies séparées par des morts, des individus qui se croient séparés les uns des autres alors qu’ils sont un même esprit.
J’en entends qui s’illuminent en lisant ces lignes. Ca fait du bien de temps en temps de comprendre ce qu’on est.
Le résultat ? Eh bien je peux « voir » les douze aspects de ma personnalité sous la forme de douze planètes dans ce que je crois être le Ciel, et puis toutes les étoiles, 9000 visibles à l’œil nu environ, qui sont mon inconscient collectif, ce qui est vrai pour tout le monde. Infiniment plus vaste que les quelque douze mini-lumières qui me différencient des autres personnes et qui sont la surface de l’Etre.
Et ce qui différencie les personnes, ce n’est pas les positions des étoiles, elles sont les mêmes pour tout le monde, c’est notre inconscient commun. Ce n’est pas non plus les douze planètes, elle sont aussi les mêmes pour tout le monde, tout humain a ces mêmes douze secteurs de personnalité si on se divise en douze. Non. Ce qui différencie les personnalités, ce sont les rapports de forces entre ces douze symboles, leurs positions par rapport à ce qui nous est commun. Ce sont les positions, les configurations planétaires. Différentes pour tout le monde car il n’y a pas deux personnes nées exactement au même endroit au même moment. Même les jumeaux. Et donc les positions sont différentes.
Tout cela est mon esprit réparti dans des mondes (les systèmes solaires, les galaxies etc.) qui en fait sont sans nombre, car plus j’en chercherai, plus j’en trouverai : l’infini se révèle au fur et à mesure que je l’intègre. Les galaxies ne sont pas des réalités comptables.
Ce qui ne veut nullement dire que l’univers soit en expansion.
POURQUOI DOUZE ?
Parce que quatre. Et quatre parce que deux.
Je ne vais pas revenir sur la « Genèse des Nombres » dont on a déjà parlé dans la Presse Galactique, mais rappelons-nous simplement qu’il y a une Nécessité du Tout, une nécessité qu’il y ait un tout, et cela est unique et sans limites sinon ce n’est pas le Tout. C’est UN. Donc Un égale Infini, puisque Un est Tout, et égale également Zéro puisque si infini il y a, il est nécessairement nul. Il ne peut pas y avoir d’infini « quelque chose », ce serait le délimiter.
En tout cas ce premier « Nombre » est triple dans sa signification. Ce qui va tout multiplier par trois ensuite.
Le Un, c’est cela. Ce qui est. L’Etre, ou l’univers, ou « Dieu », appelez cela comme vous voulez. Comme c’est en fait la Nécessité du Néant, c’est une énergie (seule une nécessité est une énergie). Une énergie éternelle, car jamais l’infini n’est réalisé : il reste un But, toujours un but, vécu sous la forme d’une apparence d’ESPACE, comme on l’explique dans « Et l’Univers Fut », le nouveau livre que vous trouverez sur le site hatem.com. Parce que l’espace est le sentiment d’extériorité.
Comme ce but est inaccessible, il y a DEUX : « ce qui peut être » et « ce qui devrait être ». Ce qui peut être est infiniment multiple, car tout peut être. Et cela, en s’opposant à ce qui devrait être, engendre la conscience et l’évolution éternelle de ce sentiment de conscience.
En même temps, évidemment, il y a TROIS, c’est-à-dire que cette dualité est une relation entre but et possible. Entre infini et fini. Le Troisième élément est aussi le premier : c’est le fait de séparer l’infini du zéro, et le fait des réintégrer l’infini dans le zéro. Répulsion/Atraction. Donc énergie magnétique. La relation est duelle, les deux pôles qu’elle manifeste, Zéro et Infini, en fait, n’existent pas. Ils sont seulement nécessaires et tout l’univers est une tentative pour qu’ils soient.
C’est cela l’énergie, qui est.
Et cette énergie dualiste étant de chaque instant, et étant une opposition de deux nécessités, et étant donc une résistance, une inertie, une énergie devant être infinie mais étant en fait limitée, on aboutit à la MATIERE : le quatre, qui n’existe que dans et par le temps. Comme le but n’est jamais réalisé, le temps s’impose. Et comme l’infini n’est jamais, la limite qui s’oppose à l’infini : « l’inertie », s’impose. C’est la limite, la résistance. Les physiciens l’appellent « vitesse de l’énergie » et « masse ».
Ce qui donne sa vitesse à l’énergie (à la « lumière »), c’est son impossibilité d’être infinie. Ce qui donne sa « masse » à l’énergie, c’est cette limitation. Qui est une résistance à l’évolution. Désolé si on a l’air de se répéter, il vaut mieux dire les choses de façon différente.
Quand on a atteint le quatre, on a à peu près fait le tour du problème. En Kabbale, 1 + 2 + 3 + 4 égale 10, qui est en fait le germe de l’univers, le IOD (un un, et un zéro placé à sa droite, ce qui signifie que le néant est le but, car la droite symbolise le Père, le But, et que seul ce but donne sa réalité au Un. S’il était à gauche, il n’y aurait rien d’exprimé).
Fantastique symbolique inconsciente qui transcende les peuples et les âges. Et par conséquent indiscutablement vraie.
Restons-en là pour le moment : Un, c’est l’affirmation de ce qui est, en tout cas de ce qui devrait être, c’est donc la Nécessité première, la VOLONTE qui anime tout l’univers et toute votre vie. On le représente par le BELIER en vous, qui s’impose en toute occasion, qui est une source permanente d’action, d’initiative. Votre volonté a sa planète, c’est-à-dire sa manifestation dans votre esprit cosmique : MARS, dieu de la guerre (celle du moi évidemment en lutte contre son propre changement). Bien peu de chose en réalité, mais essentielle. Avec une couleur rouge qui est la couleur primaire la plus yang. La vibration la plus longue du spectre visible.
En second il y a AUTRUI. Le monde extérieur que moi « constate » après s’être séparé. Et le TAUREAU en vous sait qu’il est dépendant de l’autre. Il doit posséder. Il doit être marié. Il doit être propriétaire. Il est paisible quand tout est en ordre. Perdu et colérique quand les choses ne sont pas à leur place. L’autre est sa propriété car il en a le plus grand besoin. C’est la planète TERRE qui le régit. Vous avez créé la Terre. Super. C’est votre sécurité. Votre territoire. Couleur Orange juste au-dessus du rouge. Qui symbolise aussi le sexe, par conséquent (vous pouvez suivre la suite des « châkras » dans les corps énergétiques en suivant les signes élémentaires du Zodiaque).
Entre Moi et Autrui, entre Zéro et Infini, il y a la relation dualiste qui sépare et unit tout cela. Leur donne leur substance. Cette dualité, cette énergie, c’est les GEMEAUX. Ils sont deux, ils sont inséparables, mais distincts néanmoins. C’est l’énergie magnétique. Ils symbolisent les échanges, la négociation entre deux nécessités contraires, donc le commerce, la circulation, la communication. Le changement permanent. L’imagination. Il est JAUNE, ce qui est la couleur de l’esprit, et régi par MERCURE, ou Hermès chez les Grecs, symbole de connaissance, que Jupiter appelle Ganymède lorsqu’il en fait son sommelier. Ganymède se retrouvera dans le symbole du Verseau. C’est lui qui verse la Connaissance sur l’humanité, à l’Ere qui lui correspond. L’ « Ambroisie » ou vin de la Connaissance, boisson préférée des dieux. On en a d’ailleurs fait un satellite de Jupiter pour qu’il ne s’ennuie pas.
Vous reconnaissez les Gémeaux, et vous reconnaîtrez aussi le CANCER, le quatrième signe, celui qui correspond à la MATIERE, et donc au temps. A la mémoire. Les cancers sont très casaniers et ont une puissante mémoire. Leur couleur est le VERT qui est celui de la nature et leur châkra est celui du cœur. C’est l’atome constitué grâce à la durée, la stabilité.
Voilà. On a fait le tour des Principes premiers de l’univers. Les premières phases du Cycle éternel de l’existence (voir le dessin dans « La Fin de l’Inconnaissable »).
La suite on en parlera plus tard : pourquoi on dépasse l’équilibre de la matière vers la vie et la spiritualité, pourquoi tous ces signes sont doubles, avec un aspect terrestre et un aspect cosmique, pourquoi ces quatre premiers signes sont triples, donnant les douze subdivisions du Zodiaque.
Subdivisions qui n’ont strictement rien à voir avec les constellations, il est donc inutile d’inventer un « treizième signe ». Les constellations n’apportent rien à l’Astrologie qui est personnelle. Ce qui compte ce sont les périodes de l’année, les saisons, car tout est lié au mouvement de la Terre autour du Soleil, c’est la seule source d’astrologie qui soit propre à la Terre et à l’humain. Evidemment les Astrologies chinoise, hindoue, etc. sont tout aussi valables, qu’elles soient fondées sur la Lune ou sur autre chose, pourvu que cela concerne les Terriens.
Car tout est cycle. Les cycles astrologiques ne font qu’exprimer le Grand Cycle de la Création universelle, les différentes phases qui la manifestent, et c’est cela seul qui est à la base de l’Astrologie. Tant qu’on n’a pas compris l’origine de l’univers, on n’a aucune raison de comprendre l’Astrologie, et on est obligé d’apprendre les symboliques par cœur car il n’y a aucune logique apparente. Cette logique est pourtant totale et incontournable, et si on l’a comprise, on n’a plus aucune difficulté pour DEVINER ce que signifie tel ou tel signe, telle ou telle planète, ou telle ou telle relation entre planètes.
Car il n’y a évidemment pas que les signes et les planètes, ce qui est le plus important, c’est leurs relations. Comment on joue avec ces différentes parties de nous-mêmes, comment on établit des rapports de force entre ces dimensions qui nous constituent et sans lesquelles nous ne serions pas des personnes.
L’Astrologie est la plus ancienne science connue avec la Géomancie. On la fait remonter à dix-mille ans sur la Terre, mais bien entendu, ce n’est que dans le monde connu. La Connaissance est de tout temps et de toutes les planètes, et chaque peuple de l’univers a sa propre astrologie, qui correspond bien aux caractéristiques des individus, et toujours reliée aux mêmes cycles que l’on retrouvera forcément partout : séparation de la naissance, réunification de la vie, et puis usure face à cette résistance à soi-même, vieillissement, et mort pour reprendre les choses à leur début et mieux intégrer le cycle éternel de la vie que nous sommes, chacun, ici ou ailleurs, même à des milliards d’années-lumière d’ici, et qui nous unit tous.
Il n’y a qu’un seul homme comme il n’y a qu’un seul atome.
La seule différence, c’est jusqu’où on accepte son universalité.
Une infinité potentielle de façons d’être.
Facile de les opposer, facile de se faire la guerre, mais ce n’est qu’une étape vers la compréhension et l’amour inconditionnel.
Bonnes vacances ou bonne fin d’été à toutes et tous, et à jeudi prochain.
Frank Hatem
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