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Le paradis tropical d’autrefois

Par Peter Mungo Jupp – Le 21 mars 2013

L’Antarctique est l’endroit le plus froid sur Terre. Les vents catabatiques hurlent autour des côtes battues par les vents de l’Antarctique. Mais, autrefois, ses vallées verdoyantes étaient remplies de forêts de pins et ses plages étaient magnifiques. Comment le savons-nous ? « Scott de l’Antarctique » a été le premier à découvrir les fossiles révélateurs sur le glacier Beardmore en 1912. Depuis ce temps, des souches et ses feuilles d’arbres pétrifiés, des ossements de dinosaures et de marsupiaux, et des fossiles riches en charbon ont été découverts dans cet environnement maintenant hostile.

Selon la géologie classique, cet environnement précédemment luxuriant a prospéré pendant des millions d’années durant l’âge permien. Le continent antarctique, en mouvement, s’est déplacé inexorablement sur quelques millimètres par an, en se dirigeant progressivement vers une hibernation glaciale. La flore et la faune ont été recouverts par la glace et se sont lentement fossilisés, comme au Groenland !

Mais, attendez ! Cette formation d’une couche de glace épaisse de trois kilomètres n’est pas un mince exploit. L’Antarctique contient 80% de la glace du monde, pourtant, certaines des vallées de l’Antarctique sont les endroits les plus secs de la planète. L’Antarctique est techniquement considéré comme un désert. Incroyablement, très peu de neige tombe à l’intérieur (cinq centimètres par an en équivalent de pluie) là où la couche de glace est beaucoup plus épaisse.  Les tempêtes catabatiques de neige se produisent seulement sur la côte où la glace est plus mince. Est-ce une contradiction ?  Néanmoins, les géologues classiques affirment que des éons de temps peuvent expliquer ces anomalies de la calotte glaciaire.

Curieusement, les études de la carotte glaciaire contredisent les millions d’années de couverture glaciaire nécessaire pour expliquer le paradigme de la dérive des continents. Par exemple, la station Vostok implantée sur  la calotte glaciaire affirme que l’épaisseur moyenne de trois kilomètre de cette calotte est âgée de seulement environ 250000 ans. Comment cela se peut-il ?  La calotte glaciaire devrait présenter des millions d’anneaux de glace distancée avec des couches très denses, si la théorie de la lente dérive des continents des tropiques jusqu’au froid s’avèraiet correcte. Certes, la couche de glace serait beaucoup plus épaisse là où un continent à la lente dérive serait d’abord entré dans l’Antarctique.

Même ce jeune âge géologique est maintenant remis en question. Est-il possible que la calotte glaciaire antarctique soit seulement âgée de quelques milliers d’années ?

Il y a trois contradictions intrigantes qui remettent en question l’âge de la calotte glaciaire de l’Antarctique. Ces contradictions semblent bizarres et difficiles à expliquer. Deux cartes anciennes, celles de Piri Reis et d’Oronteus Finaeus (vers 1500 avant Jésus-Christ), montrent étrangement l’Antarctique libre de glace.  Mais, c’était avant que l’Antarctique ne soit découvert ! Plus curieux encore, la carte de l’amiral turc, Piri Reis, provenait apparemment des bibliothèques de Pharaon à Alexandrie, il y a 2000 ans.

Les cartographes qui enquêtaient pour l’armée de l’air des États-Unis ont été intrigués. La carte dépeint la côte de l’Antarctique libre de ces calottes glaciaires d’une épaisseur de trois kilomètres. Ces lignes côtières enterrées n’ont été que récemment dessinées par les expéditions polaires britanniques. Même les rivières et les montagnes enterrées par la calotte glaciaire ont été dessinées. Les cartes d’Oronteus Finaeus étaient encore plus complètes et montrent l’ensemble de l’Antarctique libre de glace ! Comment les marins de l’antiquité pouvaient-ils connaître un littoral maintenant enterré par la glace ? Est-il concevable que ces côtes aient été libres de toute glace lors de leurs observations ? Comment pouvaient-ils même avoir navigué dans les environs de ces côtes déchirées par de vicieuses tempêtes catabatiques ? Est-il possible qu’elles aient été cartographiées à l’époque des pharaons, il y a quelques milliers d’années ? Ces possibilités devraient exiger une révision de la géologie et de l’histoire !

La deuxième curiosité vient de « l’escadron perdu » de la seconde guerre mondiale. Des Lockheed Lightnings ont été abandonnés au Groenland en 1942. Cinquante et un ans plus tard, Patrick Epps les a récupérés à 250 pieds (environ 76 m.) sous la calotte glaciaire ! Mais, ce même exploit a révélé que les couches de glace n’étaient pas annuelles, comme cela est présumé par la science moderne. Chaque couche était le reflet des limites de la fonte des glaces après chaque tempête.

Les études de carottes de glace du « Global Invasive Species Programme », de Camp David, de Vostok et de tous les autres, s’appuient sur le paradigme qu’une couche équivaut à une année. Toutes les analyses isotopiques et chimiques assument cette délimitation fondamentale. La citation révélatrice vient de l’organisateur de l’expédition, « Richard Epps ». Il déclare singulièrement, « Qui vous a dit qu’une couche équivalait à une année ?  Nous avons creusé à travers cinquante ans de temps et avons trouvé des milliers de couches dans 250 pieds ».

La couche de glace de Vostok équivaudrai à un âge de 250000 ans ! Pourtant, si l’on divise le total des anneaux par le nombre d’événements de tempêtes, l’âge total baisse de façon exponentielle. Surtout lors d’époques comme le petit âge glaciaire, avec ses scénarios chaotiques, qui ont produits des myriades de phénomènes météorologiques. La calotte glaciaire pourrait-elle n’être âgée que  de 6000 ans ? Pour ajouter à ce scénario, Charles Ginenthal, dans son article sur « la preuve des carottes glaciaires », a expliqué que la fonte estivale et le dépôt de milliers de couches pendant les époques chaotiques a totalement faussé le paradigme d’une couche par année, sur lequel cette théorie est construite. Il soutient étrangement que le cœur de l’océan et les résultats des forages entrent en contradiction avec les données des carottes glaciaires. Étonnant.

Mais si cela est vrai, alors vient la grande question ! Comment et sous quelles conditions ces récentes couches glaciaires de l’Antarctique se sont-elles formées ? Plus fondamentalement encore, était-ce le résultat d’une destruction ancienne ? Les fossiles pétrifiés peuvent détenir la clé.

L’interprétation classique que ces fossiles proviennent de l’âge permien est contestée par de nombreux géologues révisionnistes. De nouvelles expériences en laboratoire démontrent que la fossilisation est un processus rapide, sous certaines conditions. Ce concept a généralement été ignoré. L’électricité à haute tension, soit à partir de la terre ou due àdes effets cosmo géniques, tels que les comètes, les éjections de la masse coronale ou des planètes en mouvement perturbé, serait-elle l’outil rapide de pétrification et de fossilisation ?  Normalement, ce qui meurt est rapidement recyclé biologiquement, à moins qu’une quelconque intervention géologique catastrophique se produise. A en juger par les positions agonisantes de la plupart des fossiles, l’intervention catastrophique qui pétrifie est presque toujours relié à la cause de la mort.

Au plus profond des calottes glaciaires, on a retrouvé de la flore. Faut-il penser que l’Antarctique a été recouvert de neige dans un seul événement rapide ? Etait-ce un mouvement catastrophique soudain qui aurait passé d’un climat des tropiques jusqu’à un climat ultra froid ? Certes, les mammouths congelés rapidement de la Sibérie suggèrent un événement mondial similaire. A partir des tropiques jusqu’au froid paralysant, avec la flore et la faune enfermées dans une agonie mortelle, semble une preuve insurmontable pour des événements catastrophiques mondiaux!

Source : http://www.thunderbolts.info/wp/2013/03/21/antarctica/

Traduit par PLEINSFEUX.ORG