ARCHEOLOGIE, PREHISTOIRE, ANTHROLOGIE : CENSURE GENERALE ET FALSIFICATION
Dans ce domaine, aussi, la pensée unique conforme au consensus sur l’ordre établi exclut toute exploration hors dogme. Les chercheurs qui s’y hasarderaient sont immédiatement privés de tribune et de budget. Nos origines lointaines ne doivent absolument pas être connues et en aucun cas l’inavouable identité de nos créateurs. Ils font tout pour que nous les considérions comme les émanations du seul Dieu Unique et Source de tout. Mais nous sommes aujourd’hui entrés dans le temps de la grande révélation, tel est le sens du mot Apocalypse. Ce n’est donc pas la fin du monde matériel, mais la fin de l’arnaque et de l’usurpation. Des textes très anciens récemment décryptés disent ceci : « Nous les fils d’Adam sommes historiquement les descendants génétiques des Déesses Mères Cosmiques qui ont été capturées et contraintes de nous créer sous la domination agressive de puissants prédateurs reptiliens et de leurs clones appelés Annunakis. Après avoir gagné une longue guerre céleste, ils étaient en cavale dans l’univers et à la recherche d’une planque agréable. Comme ils sont immortels et multidimensionnels, il leur était facile de nous leurrer par l’intermédiaire de leurs sbires humains et semi-humains. Voilà ce que devrait savoir demain Monsieur tout-le-monde pour tourner la page et élargir sa conscience au-delà de la culpabilité qui lui a été mise sur le dos grâce à l’invention d’une faute originelle. Pour que cette méga-imposture ne soit pas connue de la masse grouillante des fils d’Adam, depuis les temps les plus reculés, notre culture historique, archéologique, préhistorique et anthropologique est soumise à un régime de censure générale concernant toute découverte sur la période antédiluvienne de notre Genèse. Que s’est-il passé sur notre planète avant le déluge ? Réponse enseignée, rien ou presque selon les académiciens. Même quand j’étais enfant et sans culture, mon instinct me disait que cette longue préhistoire ne pouvait correspondre à la réalité, car j’avais en moi d’autres souvenirs qui surgissaient dans mes rêves. Aujourd’hui des chercheurs inspirés comme Anton Parks, égyptologue et traducteur des plaquettes sumériennes, souligne sans plus se cacher la censure mondiale des autorités officielles pour effacer toute trace des civilisations antédiluviennes. Voilà pourquoi il a bien fallu que ces mêmes autorités créent de toutes pièces des textes fondateurs crédibles afin de répondre à la curiosité du public et pouvoir affirmer que notre histoire ne commençait qu’après le dernier déluge avec Noé. Avant, il n’y avait donc rien eu, si ce n’est quelques peuples primitifs et nomades sans civilisation organisée. Circulez, s’il vous plaît, il n’y a rien à voir. Telle était cette fameuse préhistoire, immensément longue puisqu’elle aurait duré 300.000 ans et plus. Le monothéisme forcé devenait un impératif stratégique. C’est-à-dire bien laver le cerveau de tous en forgeant l’idée de Qui était le vrai et unique Patron et pourquoi ? Sans la crainte de cette autorité menaçante, le peuple aurait été ingouvernable, diront ceux qui commencent à douter cependant de l’honnêteté de nos académiciens et à leur chercher des excuses. Ce grand mensonge était donc un mal pour un bien, diront les Jésuites. Notre histoire officielle ne serait donc que des fables pour faire tenir les enfants humains tranquilles, une sorte de mensonge bienveillant. Tant de sollicitude n’est-elle pas attendrissante ? Aujourd’hui, certes, l’effondrement radical des connaissances acquises risquerait d’entraîner des changements brutaux de conscience et donc de comportement. Les psychothérapeutes appellent cet accident : décompensation psychique. Les sociologues disent que cet effondrement culturel serait un ethnocide, c’est-à-dire un suicide de notre identité collective. Mais la validation actuelle de découvertes révolutionnaires récentes annule déjà, pour notre jeune génération, la valeur fondamentale des enseignements traditionnels. Les dés sont jetés comme vous allez le découvrir et le point de non-retour a été atteint.
Nous étions déjà là il y a 600 millions d’années
Afin que le lecteur puisse ici prendre conscience de l’étendue de la manipulation dont il est question, je prendrai pour exemple un article de la revue NEXUS de juillet 2008. C’est le n° 57 page 34. Vous y découvrirez l’interview par Laura Lee du chercheur, hélas marginalisé, Michael Crémo. Le titre de l’article est celui-ci : « Nous étions là il y a 600 millions d’années ». Après la publication en 2002 de son livre « histoire secrète de l’espèce humaine » coécrit avec le docteur Richard Thomson, le chercheur Michael Cremo a bouleversé le monde de la paléontologie, même si ces découvertes ne bénéficièrent jamais d’aucune publicité officielle. Il faut oser ! Lors de cette interview accordée en 1995 à la journaliste Laura Lee, il explique comment il en est arrivé à la certitude prouvée que le modèle de la préhistoire humaine sur lequel nous nous reposons depuis 200 ans est volontairement erroné. Il en veut pour preuve d’avoir trouvé la trace humaine la plus ancienne qui est une empreinte de chaussure. Elle fut découverte à Antelope Spring, dans l’Utah, aux USA en 1968. Cette empreinte remonte au cambrien soit environ 500 millions d’années. Cet auteur cite aussi ce magnifique vase métallique qui a été retrouvé dans des roches du précambrien à Dorchester (UK). Il a reçu une datation officielle au-delà de 600 millions d’années. Il nous signale aussi que des empreintes trouvées en Afrique et datant de 3,6 millions d’années ne sont pas du tout celles d’un pied d’australopithèque comme l’archéologie officielle a voulu le faire croire, mais bien celles d’un homme moderne. Il énumère de même le plus ancien objet connu à ce jour, une sphère métallique cannelée, découverte en Afrique du Sud. On en a trouvé beaucoup d’autres, parfaitement sphériques et métalliques en alliage inconnu, quelques-unes avec des cannelures au niveau de leur équateur. Toutes ces sphères datent de 2 à 3 millions d’années. Enfin pour faire un jeu de mot, citons le clou de cette énumération. Il s’agit d’un clou en acier et d’un marteau qui ont été découverts en 1845 à Mylnfield en Écosse, insérés dans une roche stratifiée datant de 460 millions d’années. En avez-vous-même entendu parler ? Vous n’êtes pas hélas le seul. Toutes ces découvertes se passent à l’étranger, direz-vous, alors passons à notre territoire bien français.
Lire la suite sur : http://www.la-grande-revelation.com/
***
https://www.youtube.com/watch?v=FwLuDN_rtg4
Le documentaire « Le secret caché des pyramides d’Égypte révélé » nous plonge dans un univers incroyable sur la révélation des pyramides, produit par Ekwanim Productions et distribué par Wild Bunch. Voici la version française de ce documentaire, qui tente de trouver des réponses à de nombreuses question que les scientifiques se posent encore aujourd’hui. Plusieurs sujets sont traités, la construction de la grande pyramide de Gizeh, le nombre d’or, les civilisations Égyptienne, la forme des pyramides, la précision des monuments, le nombre PI et tant d’autres.