TERRORISME D’ÉTAT :
42 ATTAQUES SOUS FAUSSE BANNIÈRE
ADMISES PAR LEURS AUTEURS.
Cette liste est loin d’être exhaustive. Elle ne représente que quelques exemples d’attaques qui sont aujourd’hui documentées comme étant sous fausse bannière. La liste réelle serait bien trop longue tant cette « culture du false flag » est solidement ancrée dans nos gouvernements « démocratiques ». Voilà pourquoi chaque attentat terroriste fortement médiatisé en Europe de nos jours a tendance à être soupçonné d’être un attentat sous faux drapeau : l’histoire nous montre que nos soupçons sont fondés.
Notons, récemment l’attentat de Charlie du 7 janvier et celui de Copenhague.
Cet article n’aborde pas les attentats en France mais nous aurions tort de penser que notre gouvernement est blanc comme neige.
Cette pratique, quoique fortement popularisée par les Américains, est comme nous allons le voir, extrêmement répandue dans les gouvernements de par le monde. Il s’agit tantôt d’attaques réelles de terroristes soutenus par des états, tantôt des attaques réalisées par des services de renseignements, parfois des attaques simulées que l’on nous vend comme réelles. En gros, nos gouvernements considèrent que tout leur est permis tant que cela permet d’entretenir la peur dans la population et faire avancer leur agenda politique.
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Les gouvernements du monde entier admettent qu’ils organisent des false flags.
Il existe de nombreuses attaques sous fausse bannière documentées, où un gouvernement procède à une attaque terroriste… puis accuse faussement son ennemi à des fins politiques.
Dans les 42 cas suivants, les fonctionnaires du gouvernement qui ont effectué l’attaque (ou sérieusement proposé une attaque) l’ont admis, que ce soit oralement ou par écrit :
(1) Les troupes japonaises ont déclenché une petite explosion sur une voie ferrée en 1931, et l’ont faussement attribuée à la Chine pour justifier une invasion de la Mandchourie. Ceci est connu comme l »«Incident de Mukden» ou le «Manchurian incident». Le Tribunal militaire international de Tokyo a indiqué que : « Plusieurs des participants dans le plan, y compris Hashimoto [un officier de l’armée japonaise de haut rang], ont à plusieurs reprises reconnu leur rôle dans l’intrigue et ont déclaré que l’objet de l’« incident » était de donner une excuse pour l’occupation de la Mandchourie par l’armée japonaise du Guandong …. « .
(2) Un major nazi a admis au procès de Nuremberg que, sous les ordres du chef de la Gestapo, lui et quelques autres agents nazis ont organisé des attaques sur leurs propres peuple et installations, attaques qui étaient attribuées aux Polonais pour justifier l’invasion de la Pologne.
(3) Le général nazi Franz Halder a également témoigné au procès de Nuremberg que le dirigeant nazi Hermann Goering avait admis avoir mis le feu au bâtiment du parlement allemand en 1933, puis en avoir accusé faussement les communistes pour l’incendie criminel.
(4) Le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev a admis par écrit que l’Armée rouge de l’Union soviétique a bombardé le village russe de Mainila en 1939 – tout en mettant l’attaque sur le compte de la Finlande – afin de lancer la «guerre d’hiver» contre la Finlande. Le Président russe Boris Eltsine a reconnu que la Russie avait été l’agresseur dans la guerre d’Hiver.
(5) Le Parlement russe et l’ancien dirigeant soviétique Gorbatchev admettent tous que le dirigeant soviétique Joseph Staline ordonna a sa police secrète d’exécuter 22 000 officiers et civils de l’armée polonaise en 1940, tout en en rejetant faussement la responsabilité sur les nazis.
(6) Le gouvernement britannique admet qu’entre 1946 et 1948, il a bombardé cinq navires transportant des Juifs qui tentaient de fuir l’Holocauste en quête de sécurité en Palestine, mis en place un faux groupe appelé les « défenseurs de la Palestine arabe », puis ce pseudo groupe revendiqua à tort la responsabilité des attentats.
(7) Israël admet qu’en 1954, une cellule terroriste israélienne opérant en Egypte a posé des bombes dans plusieurs bâtiments, y compris des installations diplomatiques américaines, puis a a laissé des «preuves» impliquant des Arabes comme étant les coupables (une des bombes a explosé prématurément, permettant aux Égyptiens d’identifier les responsables, et plusieurs des Israéliens avouèrent ultérieurement).
(8) La CIA admet qu’il ont embauché des Iraniens dans les années 50 afin qu’ils se présentent comme des communistes et organisent des attentats à la bombe en Iran dans le but que le pays se révolte contre son premier ministre démocratiquement élu.
(9) Le Premier ministre turc a admis que le gouvernement turc a réalisé l’attentat de 1955 sur un consulat de Turquie en Grèce, endommageant aussi le berceau du fondateur de la Turquie moderne à proximité – et rejetant la faute sur la Grèce, dans le but d’inciter et de justifier la violence contre les Grecs.
(10) Le Premier ministre britannique a admis devant son secrétaire à la défense que lui et le président américain Dwight Eisenhower avaient approuvé un plan en 1957 pour mener des attaques en Syrie et en rejeter la faute sur le gouvernement syrien comme un moyen pour effectuer un changement de régime.
(11) L’ancien Premier ministre italien, un juge italien, et l’ancien chef du contre-espionnage italien admettent que l’OTAN, avec l’aide du Pentagone et de la CIA, ont réalisé des attentats terroristes en Italie et d’autres pays européens dans les années 1950 et ils accusèrent les communistes, afin de rallier le soutien des gens pour leurs gouvernements en Europe dans leur lutte contre le communisme. Comme un participant à ce programme autrefois secret a déclaré : « Vous deviez attaquer des civils, des gens, des femmes, des enfants, des innocents, des personnes inconnues éloignées de tout jeu politique. La raison en est assez simple. Ils étaient censés forcer ces gens, le public italien, à se tourner vers l’État pour demander une plus grande sécurité « (ceci en anglais) (l’Italie et d’autres pays européens soumis à la campagne de terreur avaient adhéré à l’OTAN avant que les attentats n’aient lieu). Documentaire de la BBC. Ils auraient également mené des attaques terroristes en France, Belgique, Danemark, Allemagne, Grèce, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Royaume-Uni et d’autres pays.
(12) En 1960, le sénateur américain George Smathers a suggéré que les Etats-Unis lancent « une fausse attaque sur la base de Guantanamo qui nous donnerait l’excuse de fomenter effectivement un combat qui nous donnerait une excuse pour y aller et [renverser Castro] » .
(13) Des documents officiels du Département d’état montrent qu’en 1961, le responsable du comité des chefs d’état-major interarmées et d’autres responsables de haut niveau ont proposé de faire exploser un consulat de la République dominicaine pour justifier une invasion de ce pays. Les plans n’ont pas été mis à exécution mais ils ont été discutés comme des propositions sérieuses.
(14) Comme cela fut admis par le gouvernement américain, des documents récemment déclassifiés montrent qu’en 1962, les chefs d’état-major interarmées américain ont signé un plan visant à faire exploser des avions américains (en utilisant un plan élaboré impliquant la commutation d’avions), et aussi de mettre en oeuvre des actes terroristes sur le sol américain, puis à accuser les Cubains pour justifier une invasion de Cuba. Voir le rapport suivant d’ABC News ; les documents officiels; et cette entrevue avec l’ancien producteur d’investigation de Washington pour ABC World News Tonight avec Peter Jennings.
(15) En 1963, le département américain de la Défense a écrit un article sur la promotion d’attaques sur des nations au sein de l’Organisation des États américains – tels que Trinité-et-Tobago ou la Jamaïque afin de les imputer faussement à Cuba.
(16) Le ministère américain de la Défense a même suggéré de payer secrètement une personne dans le gouvernement de Castro pour attaquer les Etats-Unis : « La seule hypothèse restante à considérer serait alors de soudoyer un des commandants subordonnés de Castro afin qu’ils lancent une attaque sur Guantanamo. »
(17) La NSA admet qu’elle a menti sur ce qui se s’est réellement passé dans le golfe du Tonkin en 1964 … manipulant des données pour faire comme si des bateaux nord-vietnamiens avaient tiré sur un navire américain de manière à créer une fausse justification pour la guerre du Vietnam.
(18) Un comité du Congrès américain a admis que – dans le cadre de sa campagne « Cointelpro » – le FBI avait utilisé de nombreux provocateurs dans les années 1950 à 1970 pour perpétrer des actes violents et les attribuer faussement à des militants politiques.
(19) Un haut général turc a admis que les forces turques ont brûlé une mosquée à Chypre dans les années 70 et qu’ils ont attribué l’attaque à leur ennemi. Il a expliqué: « Dans la guerre spéciale, certains actes de sabotage sont mis en scène et imputés à l’ennemi pour augmenter la résistance du public. Nous l’avons fait à Chypre; nous avons même brûlé une mosquée. « En réponse au regard incrédule du correspondant, le général a dit, » je donne un exemple « .
(20) Le gouvernement allemand a admis (voir ceci) qu’en 1978, les services secrets allemands ont fait exploser une bombe dans la paroi extérieure d’une prison et fourni des « moyens d’évasion » à un détenu – un membre de la Faction Armée Rouge – à qui les services secrets souhaitaient imputer l’attentat.
(21) Un agent du Mossad a admis qu’ en 1984, le Mossad a posé un émetteur radio dans la concession de Kadhafi à Tripoli. La Libye a diffusé des fausses transmissions terroristes enregistrés par le Mossad, afin de faire passer Kadhafi pour un partisan du terrorisme. Ronald Reagan a bombardé la Libye immédiatement après.
(22) La Commission Sud-africaine de la vérité et de la réconciliation a constaté qu’en 1989, le Bureau de la coopération civile (une branche secrète des Forces de défense d’Afrique du Sud) a approché un expert en explosifs et lui a demandé « de participer à une opération visant à discréditer l’ANC [le Congrès national africain] en bombardant le véhicule de police de l’enquêteur de l’assassinat », désignant l’ANC comme responsable de l’attentat.
(23) Un diplomate algérien et plusieurs officiers de l’armée algérienne ont admis que, dans les années 90, l’armée algérienne a souvent massacré des civils algériens puis accusé des militants islamistes des meurtres (voir cette vidéo, et l’Agence France-Presse, 27/09/2002, la Cour française Rejette le procès algérien en diffamation contre un auteur).
(24) Une équipe d’investigation indonésienne a enquêté sur de violentes émeutes qui ont eu lieu en 1998, et a déterminé que « des éléments de l’armée avaient été impliqués dans les émeutes, dont certaines ont été délibérément provoquées ».
(25) Des officiers supérieurs militaires et de renseignement russes ont admis que le KGB a fait sauter des immeubles d’habitation russes en 1999 et ont faussement blâmé les Tchétchènes, afin de justifier une invasion de la Tchétchénie (voir ce rapport et cette discussion).
(26) Selon le Washington Post, la police indonésienne a admis que l’armée indonésienne a tué des enseignants américains en Papouasie en 2002 et a blâmé les meurtres sur un groupe séparatiste papou afin d’obtenir que ce groupe soit considéré comme une organisation terroriste.
(27) L’ancien président respecté indonésien a admis également que le gouvernement avait probablement joué un rôle dans les attentats de Bali.
(28) Tel que rapporté par la BBC, le New York Times et Associated Press, les responsables macédoniens ont admis que le gouvernement a assassiné sept immigrés innocents de sang-froid et a prétendu qu’il s’agissait de soldats d’Al-Qaïda ayant tenté d’attaquer la police macédonienne, afin de rejoindre le « guerre contre le terrorisme « .
(29) Des hauts fonctionnaires de police à Gênes, Italie ont admis qu’en Juillet 2001, au sommet du G8 à Gênes, deux cocktails Molotov avaient été apportés et l’agression d’un agent de police simulée, afin de justifier une répression violente contre les manifestants.
(30) Bien que le FBI admet maintenant que les attaques à l’anthrax de 2001 ont été effectuées par un ou plusieurs scientifiques du gouvernement des États-Unis, un haut responsable du FBI dit que le FBI a été sommé de blâmer les attaques à l’anthrax sur Al-Qaïda par des fonctionnaires de la Maison Blanche (rappelez-vous à quoi ressemblaient les lettres à l’anthrax). Les représentants du gouvernement confirment également que la Maison Blanche a essayé de relier l’anthrax à l’Irak pour justifier un changement de régime dans ce pays.
(31) De même, les États-Unis ont faussement blâmé l’Irak comme ayant joué un rôle dans les attaques du 11 septembre, comme le montre une note du secrétaire à la défense, ce qui fut l’une des principales raisons pour démarrer la guerre en Irak. Même après que la Commission du 11 septembre eut admis qu’il n’y avait pas de lien, Dick Cheney a déclaré que la preuve est «accablante» qu’Al-Qaïda avait une relation avec le régime de Saddam Hussein, que Cheney avait « probablement » des informations indisponibles pour la Commission, et que les médias ne «faisaient pas leur devoir» en ne communiquant pas sur ces liens. Des hauts représentants du gouvernement des États-Unis admettent aujourd’hui que la guerre en Irak a été vraiment lancée pour le pétrole ..( et bien plus!). pas le 11 septembre ou des armes de destruction massive (malgré les affirmations précédentes de «loup solitaire», de nombreux responsables gouvernementaux américains disent maintenant que le 11 septembre était du terrorisme d’État; mais que l’Irak n’était pas l’Etat qui a soutenu les pirates de l’air).
(32) L’ancien avocat du ministère de la Justice John Yoo a suggéré en 2005 que les États-Unis devraient passer à l’offensive contre al-Qaïda, en « faisant en sorte que nos agences de renseignement créer une fausse organisation terroriste. Elle pourrait avoir ses propres sites Web, des centres de recrutement, des camps d’entraînement et des opérations de collecte de fonds. Elle pourrait lancer de fausses opérations terroristes et revendiquer de véritables attaques terroristes, en aidant à semer la confusion dans les rangs d’al-Qaïda, semant le doute aux seins des agents et questionnant la validité des communications. «
(33) United Press International a rapporté en Juin 2005 :
Des Officiers de renseignement américains rapportent que certains des insurgés en Irak utilisent des modèles récents de pistolets Beretta 92 , mais les pistolets semblent avoir eu leurs numéros de série effacés. Les chiffres ne semblent pas avoir été retirés physiquement ; les pistolets semblent provenir d’une ligne de production sans numéros de série. Les analystes suggèrent que l’absence de numéros de série indique que les armes étaient destinées à des opérations de renseignement ou à des cellules terroristes avec le soutien substantiel du gouvernement. Les analystes pensent que ces armes sont probablement soit du Mossad soit de la CIA. Les analystes pensent que des agents provocateurs peuvent utiliser les armes intraçables alors même que les autorités américaines utilisent des attaques d’insurgés contre des civils comme des preuves de l’illégitimité de la résistance.
(34) Des soldats israéliens sous couverture ont admis en 2005 avoir lancé des pierres sur d’autres soldats israéliens afin qu’ils puissent rejeter la faute sur les Palestiniens, comme une excuse pour réprimer des manifestations pacifiques des Palestiniens.
(35) La Sûreté du Québec a admis qu’en 2007, des voyous apportant des pierres à une manifestation pacifique étaient en fait des policiers en civil du Québec (et voir ceci).
(36) Lors des protestations du G20 à Londres en 2009, un membre du parlement britannique a vu des agents de police en civil qui tentaient d’inciter la foule à faire usage de violence.
(37) Des politiciens égyptiens ont admis (voir ceci) que des employés du gouvernement ont pillé des objets de musée inestimables en 2011 pour tenter de discréditer les manifestants.
(38) Un colonel de l’armée colombienne a admis que son unité a assassiné 57 civils, puis les a vêtus d’uniformes et a affirmé qu’ils étaient des rebelles tués au combat.
(39) L’écrivain très respecté du Telegraph Ambrose Evans-Pritchard dit que le chef du renseignement saoudien – le prince Bandar – a récemment admis que le gouvernement saoudien contrôle les « terroristes tchétchènes ».
(40) Des sources américaines de haut niveau ont admis que le gouvernement turc, membre de l’OTAN, a mené les attaques d’armes chimiques imputées au gouvernement syrien ; et des membres de haut rang du gouvernement turc ont admis leurs plans de mener des attaques et de les attribuer au gouvernement syrien.
(41) L’ancien chef de la sécurité ukrainienne admet que les attaques de tireurs embusqués qui ont marqué le commencement du coup d’état ukrainien ont été effectuées afin de blâmer d’autres personnes.
(42) L’agence d’espionnage de la Grande-Bretagne a admis (voir ceci) qu’elle effectue des attaques sous fausse bannière « numériques » sur des cibles, piégeant des gens en écrivant des textes offensants ou illégaux … et rejetant la faute sur la cible.
Sources:
Trouvé sur http://galaxie109.canalblog.com/