par Lydia
Il semble que nous ayons atteint un nouveau « palier » dans l’ouverture de cœur et de conscience ! Effectivement, comme le disaient les frères de lumière, canalisés par Monique Mathieu, tout s’accélère !
Des nouvelles idées, réponses, ‘visions’, émergent et la révolution, la manifestation de la Lumière, atteint le corps physique.
J’avoue que le fait de voir que le site de Monique est suspendu, a tendance à m’interroger. Au mieux, je me dis qu’elle aussi, passe à autre chose, que son « mandat » s’arrête ici et au pire, j’imagine que son site a été fermé sans son accord.
Toujours est-il que ça me touche de ne plus pouvoir accéder à cet espace.
Non pas que je sois accroc à ces enseignements mais je pense à toutes ces années de service et connaissant l’ingratitude de la majorité des lecteurs qui se baladent de site en site à la recherche de réponses, profitant de l’anonymat, de la possibilité d’être « invisibles », pour prendre sans jamais donner, j’espère que ça n’est pas la cause de cette fermeture.
On va me dire que tout est karmique, que la guérison des blessures implique un lâcher prise des attentes, que ça éveille la victime intérieure, celle qui crie à l’injustice mais sans aller si ‘loin’, en restant au niveau purement humain la gratitude est une vertu qui fait grandement défaut.
Pourtant, cette énergie, c’est de l’amour pur et quand on la porte et la diffuse, c’est avant tout soi-même que l’on sert.
C’est une énergie qui épanouit le cœur, qui guérit, au même titre que l’amour puisqu’elle en est une de ses formes d’expression.
Les humains passent leur temps à prendre, à voler même, en pensant que tout leur est dû, que c’est légitime, normal. Il ne faut pas oublier que si on veut recevoir, il faut d’abord donner, c’est une loi spirituelle, énergétique puisque chacun est un émetteur/récepteur des énergies et comme l’énergie a ‘besoin’ de mouvement, enfin comme elle est mouvante par nature, elle ne peut être accumulée, retenue, emprisonnée.
Quand je parle de l’amour de soi, ça veut tout simplement dire au niveau énergétique qu’il nous faut apprendre à rayonner de l’intérieur, l’énergie de vie, l’énergie d’amour. Ceci se réalise par le centrage au cœur, la tendresse et l’amour inconditionnel de soi.
Il ne s’agit pas de narcissisme puisque l’amour sans conditions n’a rien de flatteur pour l’ego. Pouvoir s’aimer ‘malgré’ ou avec ses défauts, nous prépare à aimer les autres de la même façon. Les autres qui sont des aspects de nous-mêmes.
L’amour sans conditions de soi, amène la puissance de guérison par l’humilité, la gratitude, par ces énergies qui préservent de l’égoïsme.
Le cœur qui s’ouvre va diffuser ses énergies sans compter, sans cibler, sans sélectionner un récepteur. C’est ce que fait le mental qui juge ce qui est aimable ou non, selon des préférences.
Mais ces préférences sont basées sur un jugement arbitraire, sur l’apparence, sur ce qui est superficiel, et très souvent sur des critères véhiculés par la culture qui n’est qu’un conditionnement. Une programmation de l’inconscient, basée sur l’instinct de survie, sur la peur.
Or la peur est l’opposé de l’amour, elle est l’expression de l‘ignorance de sa véritable nature et se effets son destructeur tant pour l’individu que pour l’humanité.
La majorité des gens est subjuguée par l’image, le paraitre, le superficiel, l’instantané, par tout ce qui flatte son ego, par la magie, le spectaculaire…
Tout cela n’est qu’illusion d’optique car lorsqu’on vient en son cœur, en ses profondeurs, lorsqu’on est transparent avec soi-même, on constate sans aucun doute que la seule ‘chose’ qui soit vraie, divine, c’est l’amour, l’énergie de Vie, de création…
Il va falloir trouver un nouveau vocabulaire, redéfinir ce que sont l’âme, l’amour, la vérité, le divin. Ces mots sont chargés d’images toutes aussi fausses les unes que les autres.
Elles sont des projections, des fantasmes. Un fantasme est une image qui nait de la frustration, de l’ignorance. En ce sens, la télépathie demeure le moyen de communication parfait ; plus de mots, plus d’étiquettes, plus de jugement, de division…
Mais qui est prêt à le vivre ?
Là encore, ce qui est ‘vendu’ comme un don divin est non seulement à la portée de tous mais ça n’a rien de magique, d’extraordinaire.
L’humain envisage les dons divins comme des moyens de dominer les autres, d’être au-dessus de la masse, d’avoir du pouvoir !
Mais cette vision infantile trahit le manque d’amour vrai de soi, de connaissance intime de soi, qui amène indubitablement à se maintenir dans la peur et l’inconscience.
La télépathie c’est à dire la capacité de ‘sentir’ l’autre, de le percevoir au-delà des apparences, demande d’être transparent, sincère et honnête.
On dit souvent que pour recevoir quelque chose du divin, il faut en payer le prix, faire des sacrifices mais ça n’est pas du tout ce que l’on imagine ; Il ne s’agit pas de jouer les fayots, les héros, de se sacrifier pour la communauté.
Ce que Jésus Christ a fait, c’était énergétique avant tout. Il s’est ‘sacrifié’ dans le sens où il a transcendé son ego, son egoïsme mais il l’a fait en rayonnant l’amour divin.
Pour cela, il a dû libérer ses peurs, guérir ses blessures mais ça, les religions l’ont aussi déformé. Ils ont caché volontairement l’alchimie émotionnelle indispensable au processus parce que c’est justement ce qui permet d’élargir son cœur, sa conscience et de s’affranchir de tout.
Pouvoir se remplir d’amour depuis son centre, libère de tous besoins de prendre quoi que ce soit à l’extérieur et on ne donne pas parce qu’on le veut mais parce que ça se fait naturellement.
Puis comme la source d’amour est intarissable, ça ne coûte rien d’autre que d’être un pur canal. Pur dans les sens où rien ne vient bloquer sa circulation.
Enfin si, ‘ça coûte un prix’, nettoyer les basses vibrations, les laisser se dissoudre dans le cœur.
Il est nécessaire pour cela d’être conscient de sa façon d’être, de ses blessures, de l’origine de ses comportements, de maitriser ses pensées et de savoir accepter d’être traversé par ses émotions, de s’accepter, de s’accueillir en Totalité.
‘Le prix à payer’ c’est de vouloir sincèrement se connaitre et s’aimer mais la ‘récompense’ est un trésor inestimable tant elle est immense !
La vraie liberté, le sentiment de sécurité, le bien-être, la connaissance des énergies et leur maitrise, la clairvoyance, le discernement, l’autonomie affective, énergétique, la souveraineté, la capacité de créer son monde selon ses aspirations les plus nobles, épanouissantes, l’amour universel qui permet de se souvenir que nous sommes UN, issus de la même source, de cette conscience universelle qui nous libère de l’enfermement, de l’espace temps, nous permet de voyager dans les dimensions subtiles…
Celles de la conscience, celle de l’émotion, du mental, des énergies.
Et ça ne se réalise pas en se focalisant sur son troisième œil, ou en voulant faire monter la Kundalini, tout ceci relève de la magie, de l’illusion, du besoin d’extraordinaire.
Nous sommes dans un monde régit par la dualité ce qui veut dire que chaque chose a son opposé. Mais là encore, il n’y a pas de notion de lutte mais de neutralité, d’unité. Ce n’est qu’une question d’énergies à ramener au cœur, au point zéro.
C’est en sondant nos profondeurs qu’on touche ce qu’il y a de plus élevé en soi. Simplement selon ce principe de dualité et c’est d’ailleurs tout son sens, son ‘intérêt’.
Celui qui appelle la lumière extérieur, sera confronté au monde de l’astral, du bas astral qui n’est que la représentation des pensées de la peur, accumulée par les milliards d’individus qui ont peuplé la terre depuis son origine. Bonjour la masse ! Comme c’est la peur et le manque qui le motive, il sera face à ses propres ombres et celles de l’inconscient collectif.
En toute logique la noirceur du monde (qui est aussi en nous puisque tout est inter-relié) va nous pousser à chercher la lumière selon la même dynamique des opposés. Plus on va appeler la lumière et plus elle va éveiller nos propres ombres et aussi celles qui nous entourent.
La seule façon de désactiver l’ombre en soi, c’est de l’amener au cœur, au point zéro, selon le processus alchimique, qui fait appel à l’énergie d’amour, d’acceptation de ce qui est.
Plus on lutte et plus on renforce la résistance, la dualité, le conflit.
Si on maintient l’énergie d’amour en soi, comme elle a le pouvoir d’absorber l’ombre, d’en révéler la lumière, la souffrance sera grandement minimisée à condition de ne pas vouloir se cacher, de ne pas nourrir la peur et le doute.
Je sais maintenant que ma ‘rencontre avec le Christ’ a été une rencontre avec l’amour en moi. Le Christ porte ses énergies parce qu’il a transcendé la peur, l’illusion et comme beaucoup d’humains on cru et croient encore en lui, en son message d’amour inconditionnel, son égrégore est puissant. Mais l’amour ne lui appartient pas, il en est le porte parole. Il le dit lui-même au travers de Pamela Kribbe.
Le monde de l’astral, des égrégores est en train de se dissoudre à mesure que l’humanité se dépouille de ses fantasmes, de ses ombres, de l’illusion.
Mais tant de gens nourrissent encore la peur et les gouvernements font tout pour nous maintenir dans cet état d’inconscience qu’il subsiste encore beaucoup de résistance.
Mais là encore, d’un point de vue énergétique, ça n’a rien à voir avec une quelconque notion de bien ou de mal, c’est l’effet de l’amour et de la lumière;
L’amour; énergie de vie, de création et la lumière; connaissance, c’est-à-dire révélatrice de ce qui est.
Le bien et le mal sont l’expression du principe de vie où l’ombre et la lumière se stimulent, se révèlent mutuellement. L’espace est composé de ‘noir’ et de lumière, pour voir cette lumière dans notre dimension, il nous faut descendre au plus profond de nous-même.
Et pour accéder à la lumière unifiée, il nous faut être au point zéro, accepter ce jeu de contraste afin que tout s’harmonise en soi.
Mais là encore, ça n’est pas l’esprit ou le mental qui a le pouvoir de réaliser cet unification.
Le mental est un outil d’orientation, de focalisation, d’attention et d’intention. Mais il n’a pas le pouvoir de révélation, de guérison même s’il peut l’interpréter. Il nous permet de venir au cœur, de choisir entre l’amour ou la peur, de réécrire enfin de formuler l’intention et c’est l’énergie de vie qui œuvre.
C’est encore chaotique dehors, les rafales de vent sont violentes mais à l’intérieur, c’est la paix enfin je devrais dire l’assurance que tout est bien parce que ça continue de fuser à l’intérieur !
La chatte, Bilou, qui reflète mon corps émotionnel est enfin réapparue cette nuit !
Ce qui me confirme l’efficacité du travail de libération effectué ces derniers temps.
Enfin disons plutôt de tempérance, d’équilibre interne retrouvé.
J’ai commencé à prendre du L-Tryptophane mais je ne suis pas certaine que ça me convienne. J’ai eu mal au crâne juste après et comme je n’ai pratiquement jamais mal à la tête, je soupçonne ce produit d’en être la cause. Mais comme je suis aussi allée dehors, sous les nuages gris/noir, ces bandes de nuages parallèles dont la couleur n’a rien de naturelle, je vais retenter le coup et être attentive à mon corps physique, à ses réactions.
Et évidemment éviter de sortir.
Puis une autre chose à rectifier qui semble néfaste pour mon sommeil, c’est le thé ! Je ne pensais, enfin ne sentais pas qu’il avait un effet excitant mais comme mon corps contenait encore du THC (substance active de l’herbe) et puisque ce produit se dissipe longtemps après son absorption, il se peut que l’effet du thé ait été absorbé par les résidus.
Je ne m’attache pas plus que ça à cette explication bien qu’elle semble plausible mais continue de me fier à mon ressenti en me rappelant que mon corps s’équilibre naturellement, que mon cœur harmonise et orchestre l’énergie.
Donc la chose à faire, c’est de maintenir mon attention sur les sensations physiques et Surtout, maintenir la paix et la confiance en moi. Confiance en tous mes corps, en ses trillions de cellules qui œuvrent jour et nuit afin que la vie s’exprime et s’épanouisse en moi. C’est dingue, chaque fois que je pense et parle de ce ‘peuple’ intérieur, un immense sentiment de gratitude m’envahit ! Elles m’entendent et me répondent de cette façon, c’est magique!
N’est-ce pas merveilleux de savoir que, tout comme vous, je suis un univers entier ?
Il ne s’agit pas de se la péter, de gonfler d’orgueil parce que c’est avant tout une responsabilité immense que d’en être l’hôte et en même temps le gouverneur.
Enfin disons plutôt que jusqu’à maintenant j’étais plutôt la résistance, l’empêcheur de tourner en rond. J’ai tout fait pour anéantir le vivant en moi ! Bon, je ne vais pas non plus culpabiliser puisque ça fait partie du jeu de l’incarnation que de plonger dans l’obscurité, l’ignorance et la densité de la peur, de la lutte…
Et même maintenant que je sais qui je suis ‘de la tête aux pieds’, il n’est pas question non plus de culpabiliser.
Ce n’est pas parce que je sais ce que je suis en vérité que je vais acquérir la maitrise du jour au lendemain ! Ce serait bien prétentieux d’une part et de l’autre totalement irrespectueux et violent pour les aspects internes encore soumis à la peur et la croyance en l’illusion de la séparation.
Une excellente façon de savoir si je suis dans ma tête ou dans mon cœur, c’est ma perception vis-à-vis de moi-même ou de l’extérieur.
Si je ressens la reliance entre tous, si je vois l’autre comme un frère, un égal, c’est que je suis sur la fréquence de l’amour universel, sur la fréquence de la Vie, la Vraie Vie.
L’ego a pour ‘mission’ de nous permettre d’être conscient d’exister en tant qu’individu, de pouvoir exprimer notre caractère unique, notre façon unique d’appréhender le monde et de resituer l’énergie de Vie, de l’émettre et de la recevoir, de la faire circuler librement en soi, en direction de l’extérieur.
Mais plus on est en son cœur, sur la fréquence de l’amour universel et plus les barrières s’estompent, on ne perd pas le sens de soi mais on se rend compte qu’on est aussi l’autre, qu’on est relié à toute vie, toute chose.
C’est difficile à expliquer et cette énergie s’exprime de différente manière chez chacun cependant, dans cet espace, la vision est UNE.
Il ne s’agit pas de la pensée unique, celle que voudrait nous faire adopter le monde, l’élite et son besoin de contrôle, de pouvoir, mais plutôt de la conscience UNE qui amène à une vision commune de l’humanité, de l’amour.
Une sensation de familiarité en tant qu’humain qui se traduit par une solidarité naturelle, évidente, l’envie de partager, d’aimer la planète et tout ce qui la constitue, l’habite, tout ce qu’elle porte.
Le fait de savoir que je suis un univers, que mon corps physique est intelligent, animé de trillions d’êtres autonome et inter-relié, amplifie l’amour vrai de ce que je suis et en ce sens l’idée de narcissisme n’a aucune raison d’être.
Puisque ces cellules sont autonomes, vivantes et portent en elle, la vie éternelle, je suis honorée d’en être l’hôte, très touchée par la confiance et l’amour qu’elles témoignent concrètement et inlassablement à mon esprit, mon être, ma personnalité.
Quand je m’aime entièrement, c’est le vivant que j’aime en moi, le divin mais aussi l’humain. Et par la même, l’humanité toute entière.
N’est-il pas merveilleux ce corps, cet univers, n’est-il pas divin de par sa constitution ?
Je suis émerveillée par ces capacités immenses, de régénération mais aussi d’expression, de manifestation.
N’est-ce pas fantastique de pourvoir porter toutes ces dimensions, de disposer ‘d’outils’ de perception aussi sophistiqués ?
Je n’ai plus honte de me dire « Je nous aime » ou encore « Je m’aime » parce dans ces mots, il y a la conscience de Tout ce que je suis, la reconnaissance du divin, de l’étincelle de Vie, de mon essence primordiale d’amour et de lumière.
Tout en moi, et en vous, baigne dans cet amour infini, immense et éternel.
De ce point de vue, je ne peux que reconnaitre l’abondance que je suis.
Et ce « Je m’aime » rayonne sur toute vie, par résonance, par inter-reliance.
Une autre preuve de l’importance de l’amour vrai de soi, et de la nécessité de laisser l’amour circuler en soi, en tous ses corps, c’est le geste solidaire d’un voisin qui est venu me dire que je pouvais acheter du bois sec, du chêne, à un prix très raisonnable. A cette saison c’est une denrée très rare! Il a parlé à son marchand de viande, éleveur de la région, petit exploitant, de ma difficulté à trouver du bois sec, et de mes moyens financiers limités (volontairement) sans que je me sois plainte de quoi que ce soit et s’est occupé d’en faire la commande hier soir.
Résultat, je n’ai rien demandé mais je serais livrée demain après midi. Et il me reste juste de quoi chauffer ce soir ! C’est peu de chose vous allez me dire mais en replaçant les choses dans leur contexte, sachant comment je galérais, quoi que de moins en moins à mesure que j’intègre l’amour en moi, et sachant mon intention de servir mon corps physique avec plus de respect, de m’autoriser à recevoir tout le confort dont il a besoin, cette situation me remplit d’une immense gratitude et booste ma foi en l’amour d’une façon qui me fait encore venir des larmes de gratitude !
Merci à la Vie en moi et merci aussi à la ‘mort’ sans laquelle le renouveau ne pourrait pas être et s’installer.
Voilà encore un cadeau de l’amour vrai de soi, de l’acceptation de ce qui est, qui élargit considérablement la perception et de la conscience UNE, de l’unité en soi qui révèle la nature des choses au-delà des étiquettes !
Le fait de nommer ce qui est, et une stratégie issue de la peur, du besoin de contrôle et même si ça peut aider à être cohérent c’est aussi et surtout un enfermement. Une façon de nourrir l’inconscience, de ne pas être réceptif et de maintenir sa vision limitée aux apparences, au superficiel, à l’illusion.
Le langage conditionne totalement nos perceptions, les limite et c’est un non sens puisque nous sommes infinis.
D’une certaine façon ça nous a permis d’être intégrés à la société, de communiquer, d’entrer en relation avec notre environnement mais tout comme la science qui se base sur des faux concepts, ça nous a éloignés de la vérité, de notre véritable nature.
Mais maintenant que nous avons des bases de connaissances plus proches de ce que nous sommes réellement, c’est un nouveau monde qui s’ouvre à nous, un monde où la télépathie sera la langue commune à tous les peuples.
Ainsi, plus de frontières, de sens de l’appartenance à une nation, plus de racisme, plus de secret, plus d’injustice, de possibilité de mentir, de tricher.
Mais il va nous falloir dépouiller ce principe de toutes les fausses croyances qui y sont encore attachées.
La véritable communication se passe du verbe, on entre dans le monde du ressenti, de l’énergie, de la vibration, dont la porte est le cœur, porté par l’énergie de l’amour universel, le monde de l’intuition et de la conscience ‘nue’…
Pour finir, il me vient une phrase que je formule automatiquement maintenant (preuve que l’inconscient est malléable) quand ça bouscule en dedans, c’est la suivante :
« Je m’aime et je me libère avec amour et gratitude à mes cellules ».
Elle est très efficace pour calmer le mental et intégrer la confiance en soi, en la vie en soi, en l’étincelle divine, en la terre Mère et tout ce qui compose le magnifique temple vivant de chair, de sang, qui héberge gracieusement l’esprit.
Je suis contente d’avoir enfin retrouvé le goût de cuisiner. Ces derniers temps, je n’étais pas motivée et me nourrissais juste pour ne pas faiblir. J’ai amplifié la confiance en mon corps physique (ce n’est pas un hasard si les infos à propos des cellules m’ont tant attirées et ce rappel et venu à propos comme toujours !) et suivi l’élan sans opposer de résistance sachant que l’envie reviendrait naturellement. Je ne me suis pas reprochée de n’être capable que de faire chauffer de l’eau pour faire du thé. Et du coup, je me suis fait une bonne soupe et j’ai remplacé le thé par de l’eau chaude agrémentée de miel et de citron, instinctivement.
Quand on a vécu toute sa vie en servant la pensée, en s’identifiant au mental on ne peut en faire ni un ennemi ni l’incriminer. Le désir se manifestait toujours premièrement dans la tête enfin disons plutôt que je m’y fiais tellement et comme j’étais coupée de mes émotions, je ne le sentais pas ailleurs, dans le ventre ou ne reconnaissais pas l’énergie de vie, de désir comme telle.
Bon mes chers corps, mes chères cellules, qu’allons nous créer de merveilleux ensemble aujourd’hui ?
Fêter la Vie, la joie de ces re-re-re-re-re-trouvailles et nous maintenir dans l’harmonie, ensembles, laisser l’amour circuler entre nous, la pure joie d’ÊTRE NOUS, réunis, unifiés, ENSEMBLES.
Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien modifier (sauf correction des fautes d’orthographe), de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci