par Christian Duval

À mon humble avis, seule l’expérience peut être révélatrice .Je vous invite donc à partager quelques aléas de ma quête récente en forêt de Brocéliande.

J’aime tout particulièrement la culture celto druidique et tout ce qui touche à la Quête du Graal, au roi Arthur, à Merlin et au Petit Peuple des Elémentaires qui œuvrent dans l’invisible et participent ainsi à nos périples initiatiques destinés à révéler notre Légende intérieure. Les celtes pratiquaient le culte à Dame Nature et détenaient ainsi une connaissance illimitée en tout ce qui concerne les plantes guérisseuses et autres pratiques utilisant les « simples » comme remèdes. Cette tradition se transmettait de parents à enfants et aussi d’initiés à adeptes tels les bardes, ovates, druides et prophétesses celtiques. Celle-ci faisant partie intégrante de nos gènes cellulaires à nous qui sommes nés en cette terre de Gaule. L’histoire d’Astérix le rebelle combattant le méchant romain envahisseur fait partie intégrante de notre Légende. Il fut un temps où la plupart des humains sensitifs étaient capables de communiquer avec le petit peuple des fées, ondines, elfes, nains, korrigans, devas, sylphes et autres résidents des bois, landes et forêts.

Le Petit peuple évolue de plein droit dans la 3° dimension unifiée qui est la fréquence de vie en laquelle il a établi son Royaume. Ce «Petit Peuple » est en quelque sorte gardien et protecteur des éléments générés par Dame Nature : les elfes s’occupent des animaux et forêts ; les fées utilisent la magie, les ondines gardent les sources, les nains s’occupent des pierres précieuses. Les 4 clans élémentaires œuvrent en parfaite harmonie vibratoire, chaque clan accomplissant sa mission en ce monde.

Cependant après la « chute vibratoire » dans la dimension dissociée, le Petit Peuple décida de ne plus communiquer directement avec les humains car ceux-ci se révélaient plus ennemis qu’amis.

La tradition celto-druidique ne vient pas de Bretagne ou d’Irlande, mais de bien plus loin. Elle puise ses racines dans la Terre d’Aryana (partie de l’Inde actuelle) où après l’anéantissement de l’Atlantide les survivants se sont regroupés sous la conduite de Ram (Rama) qui, de chef guerrier est devenu par la suite l’instigateur d’une nouvelle tradition basée sur le culte de la Nature. Le druidisme est né en Inde. Ram était appelé le Bélier pacifique et ce n’est pas pour rien : cela signifiait un nouveau départ pour une période de paix (le signe du Bélier étant le premier de la roue zodiacale).

Pour ceux que cela intéresse je publierai dans quelque temps une série de textes sous la rubrique « Merlin, Viviane, le Graal et nous » donnant plus de détails sur ce sujet.

C’est donc suite à la chute vibratoire que le Petit Peuple est devenu invisible à nos yeux et nos perceptions sensorielles, l’humain étant considéré comme dangereux pour ces Clans. L’instauration de la religion catholique assistée des troupes romaines en Gaule, en Irlande et en Grande-Bretagne a précipité la fin de ceux et celles qui étant plus sensitifs étaient encore en communication avec ce Petit Peuple. Les druides, bardes, ovates, sourciers et sourcières (appelés à tort sorciers et sorcières) qui disposaient d’une connaissance phénoménale sur tous les processus de guérison ont été torturés et tués. Quant aux lieux de cultes (cercles de pierres levées, sanctuaires de pierres etc.) ils ont été détruits et remplacés par des chapelles ou églises vouées au nouveau culte.

Merlin le grand druide Barde sans âge a pu constater de visu tout cela. Il savait cependant que la fin de cette tradition vouée à la Mère divine était nécessaire pour que le culte du « Fils » puisse s’installer. Jésus était le dernier des prophètes et le dernier des Druides et son message révélait à qui voulait bien l’entendre que tout être humain peut être druide ou barde inspiré ou guérisseuse capable de pressentir l’avenir. La Reine Guenièvre, épouse d’Arthur, était catholique et de ce fait le changement était inévitable. Cependant Morgane, grande prêtresse et initiatrice dans l’Ile d’Avallon (située prés des iles bretonnes) ne voulait pas « passer le flambeau » et par son attitude a desservi en quelque sorte le plan rédempteur en provoquant la fin funeste de l’empire d’Arthur et la disparition du Graal qui maintenait l’abondance du Royaume. C’est ainsi qu’après la mort d’Arthur, Merlin se retira dans la forêt de Brocéliande où Viviane l’enferma dans une « prison d’air ». Merlin l’initié avait accepté de se laisser emprisonner par la Nature, Viviane la Fée. L’un et l’autre ont ainsi vécu pendant longtemps en cette forêt enchantée jusqu’au jour ou Viviane, mordue par le serpent Gorsif qui n’obéissait qu’à Merlin, rendit son âme. Sa mort libéra Merlin de l’enchantement et avec Viviane, tous deux s’envolèrent vers l’Etoile Vega de la Lyre où depuis ils résident et inspirent tous ceux et celles qui portent leur attention vers eux.

Ainsi Merlin, depuis son Etoile d’Origine – Vega – demeure en communication vibrale et télépathique avec tous les Végaliens – connus sous le nom d’Anges du Seigneur – qui, œuvrant au sein de la 3° dimension unifiée sur Terre, aidaient l’humanité résidente à retrouver l’Unicité perdue.

Nombreux sont ceux et celles d’entre nous qui, friands d’aventures celtiques et merlinesques ont été un jour ou l’autre tentés de se rendre en Terre celte pour y communier avec la Force émanant des lieux sacrés comme le tombeau de Merlin, la fontaine de Barenton, etc. Certes la Légende montre la voie, cependant il importede ne pas se perdre dans les « imageries » issues du collectif « fantastique ». Nombre de films et livres magnifiques sont porteurs de messages de sagesse mais souvent ceux-ci sont noyés dans la masse exorbitante des effets spéciaux agrémentant les divers « combats héroïques ». Le film « le seigneur des anneaux » est à tout point remarquable car il reste dans le « juste milieu » entre l’imaginaire fantastique et la sagesse révélée par certains dialogues.

Fervent de lectures médiévales, j’ai donc consommé et digéré une multitude de contes et légendes dont mon âme raffolait mais cela ne pouvait remplacer l’expérience.

Mon chemin d’initiation m’a amené à rencontrer le Maitre Omraam Aivanhov qui n’était pas sans me rappeler Ram et Merlin, car il véhiculait un message à la fois pacifique, simple et rempli d’humour qui ouvrait les portes des mondes enchantés, tout comme le faisait Merlin. La voix du Maitre Omraam était comme une mélodie et son corps était une harpe enchanteresse et toute personne qui buvait à cette eau céleste s’en trouvait rajeuni. Lorsque plus tard un « Channel » a révélé que ce Maitre avait été Merlin dans une autre époque, je n’en ai pas douté un instant car d’autres messagers avaient révélé son origine stellaire : Vega de la Lyre ?… Ai je véritablement rencontré Merlin ? Nul humain ne saurait le dire, mais en tout cas j’ai rencontré celui qui m’en a réactivé la souvenance et qui m’a donné envie d’aller plus loin.

Fraternité solidaire

Lorsque le Maître Omraam a ascensionné et s’est libéré de son corps, il ne restait de lui que son enseignement. Tout au long de sa mission il ne s’était pas contenté de parler mais avait réussi à réunir une multitude d’âmes autour de lui afin de permettre la Co-création d’une nouvelle humanité, comme l’avait accompli Ram de son vivant. L’enseignement du Maître était simple et efficace, il consistait à apprendre à vivre en communautés d’amour, à se respecter les uns les autres et à participer avec joie aux activités quotidiennes, à pratiquer quelques exercices pour le corps et l’âme, à chanter en groupes afin de générer de merveilleuses harmonies, et à s’alimenter de produits naturels et non carnés afin de ne pas surcharger notre corps astral de « messages génétiques provenant de la mort provoquée par violence » (tueries animales). Pendant l’été tous les disciples se réunissaient en des lieux de nature où ils pouvaient ainsi passer des « vacances » dans une ambiance fraternelle et nourrir ainsi leur âme et leur corps pour se préparer à l’Ascension et à la nouvelle vie.

Père, Mère, Fils : la Trinité incarnationnelle

Le précurseur de la Fraternité Blanche universelle : Maître Peter Denov, initiateur d’Omraam a été le « Père ensemenceur » de cette Fraternité cosmique ouverte à tous les humains, quels que soient leur race, leur couleur de peau, leur origine terrestre ou galactique, leur orientation sexuelle, leur identité nationale…

Le Maître Omraam quant à lui a incarné la dimension « Mère ». Il a été comme la Reine Mère d’une ruche au sein de laquelle bourdons et abeilles œuvraient pour distiller le miel cosmique destiné à tous. Le Maître prenait souvent la ruche comme modèle d’enseignement car la structure hexagonale des alvéoles d’abeilles est identique à celle du treillis adamantin. Il a permis d’installer sur Terre cette structure adamantine nécessaire à l’arrivée de la Lumière blanche de la grande Fraternité cosmique.

Le Flambeau fut ensuite transmis aux « disciples » hommes et femmes qui initiés et réunifiés ont eu pour mission d’incarner l’Energie du Fils androgyne. Le Fils est celui qui rend manifestes les programmes édictés par le Père/ Mère. Tous les humains incarnés sont invités à cette Œuvre grandiose. Le Fils de la Source manifesté en notre Univers est le Soleil : le grand Androgyne solaire est Christ Fils de la Source et Père/Mère de notre Soi solaire. Chaque Fils (chaque être humain) est unique car si nous sommes tous Un par l’Âme universelle, nous sommes tous différents quant à nos cheminements. Chacun d’entre nous se doit donc de se réunifier (corps – âme – esprit ne faisant qu’un) et rayonner la Lumière permettant de réunir les Êtres en affinité vibratoire sous forme de communautés solidaires et fraternelles.

Cellule familiale

Nombreux sont ceux d’entre nous qui déplorent la disparition des cellules familiales, de ces tribus où les générations successives se côtoyaient et s’entraidaient dans une certaine harmonie mais pour un but commun : acquérir l’autonomie sur tous les plans qui seule octroie la liberté d’Être. De nos jours les familles sont dispersées, éclatées aux quatre coins de la planète et chacun doit travailler comme une « bête » pour assumer les besoins quotidiens. Les adultes se sacrifient pour payer des études à leurs enfants et sont obligés de payer des baby-sitters à leurs enfants en bas âge alors que ceux-ci auraient pu être gardés par les « anciens » qui en contrepartie les raviraient de leurs histoires tout en leur transmettant la sagesse révélée par leur vécu.  Afin de masquer ce manque, la société offre à tout individu la possibilité de se relier aux autres via des « portables » et autres tablettes qui par le biais d’Internet donnent uniquement « l’impression « de communication.

Alchimie de l’Âme : trois phases

Le processus alchimique consiste à séparer le subtil de l’épais (l’esprit de la matière) afin d’en purifier les éléments avant de les réunir… l’âme ne peut échapper à ce processus : elle doit se séparer de sa trame génétique (mémoire de l’âme lunaire humaine) afin de se libérer des liens ancestraux qui la maintiennent enfermée dans des traditions et autres croyances générées par des liens karmiques. La plupart des familles sont constituées de personnes qui se sont aimées, trahies, abandonnées, et qui ainsi de vie en vie essaient de réparer les dégâts mais ne font en fait que s’enfermer davantage dans des conflits de générations. Le fils reproche à son père ce que lui-même fera subir à ses propres enfants. Cet enfermement conduit les âmes à s’incarner sans cesse dans les mêmes familles pour réparer les torts. Jésus est venu pour libérer les âmes de ces « karmas résiduels » qui enfermaient celles-ci dans des traditions religieuses, ethniques, sociales, raciales et familiales…

La première œuvre alchimique consiste à séparer et à purifier. C’est le feu de la Lumière ultraviolette Mikhaélique qui accomplit ce travail et nettoie nos 4 corps élémentaires des scories du passé. L’Epée de Mikael est telle l’Excalibur du Roi Arthur qui plantée dans la roche la fait trembler et frémir par la vibration. L’épée de Mikael se plante en tout être humain qui le demande. Elle est comme un rayon de Lumière pénétrant par le chakra Coronal et traversant tout le corps et rejoignant le cœur de la Terre Mère et s’épanchant au niveau de nos épaules en tant que « garde » au niveau des deux points situés au dessus des mamelons : celui de gauche étant le Point d’enracinement de notre Esprit et celui de droite le Point d’enracinement de notre âme… ainsi l’Epée du Verbe nettoie les scories…

Seconde œuvre

Les 4 enveloppes corporelles (mentale, astrale, sensorielle, physique) étant nettoyées notre corporalité retrouve sa fréquence unifiée : celle de Merlin et de la Mère divine (révélée en outre par Omraam). Le Point de connexion avec l’Esprit Saint (énergie Mère) et la Lumière bleue est situé au niveau du plexus solaire. Lorsque notre Conscience s’est affranchie des deux Gardiens du Seuil (Lucifer gardien du futur via les projections en celui-ci dont le siège est dans le foie et Ahriman gardien du passé via les cristallisations, dont le siège est dans la rate) l’Unité primordiale revient. Le contact avec le Petit peuple est rétabli. L’Onde de Grâce s’incarne en nous.

C’est ce qui s’est passé lors de la Présence du Maître ici bas, au sein des différents centres fraternels établis et rayonnant la Présence Unitive : tous les disciples œuvraient pour une cause commune qui est l’humanité tous règnes confondus. Je tiens à préciser que le terme « disciple » n’a aucun sens péjoratif ni limitatif mais être disciple c’est se conformer à une discipline de vie choisie en toute liberté. L’association Fraternité blanche universelle ne perçoit que des cotisations minimes de chaque adhérent comme le fait toute association. Il n’y a aucune autre obligation de pratiquer quoi que ce soit, chacun est libre de pratiquer ou non les méditations conseillées.

Troisième œuvre

Lorsque le Maître est parti, libéré de son enveloppe physique, il importait donc à chaque disciple de suivre l’exemple « communautaire » en générant par son « amour » la possibilité de vivre en communauté solidaire avec d’autres Êtres unifiés et libérés de leurs engrammes génétiques karmiques familiaux. C’est ainsi que ceux et celles venant de Lignées stellaires identiques peuvent se « retrouver ici bas ». Cela ne peut s’accomplir qu’avec des individus ayant réintégré l’Unité primordiale et donc autonomes sur tous les plans. Tant que l’on cherche à s’intégrer dans un groupe avant d’avoir réalisé cette Unicité corps-âme-esprit, on se retrouve dans des conflits d’ego où chacun cherche à tirer la plus grosse part du Gâteau.

L’union d’Êtres Unifiés et réalisés génère un champ de Force extraordinaire et c’est grâce à celui-ci que chaque individu peut exprimer ses talents et qualités pour un bien-être à la fois personnel et collectif. Tout ce que fait l’un profite à tous, chacun apporte ainsi un « plus » au groupe dans lequel il s’intègre en parfaite harmonie. Chacun dispose d’un endroit intime où il peut communier avec les Déités de son choix mais le travail communautaire s’accomplit au-delà de toute religion ou rituel : seule l’Onde d’amour est nécessaire au juste partage.

Cette pratique peut être utilisée dans la vie quotidienne par ceux et celles qui n’ont pas encore choisi la vie communautaire.

Exemple : lorsqu’on se présente devant un employeur pour postuler pour un emploi dans sa société (qui est une sorte de communauté) il est désobligeant de dire « je désire cet emploi parce que j’ai besoin d’argent pour payer mon loyer et élever mes enfants » mais plus adapté de dire « cet emploi me convient parfaitement et j’ai envie d’utiliser mes compétences pour participer à l’épanouissement de votre entreprise ». Naturellement cette affirmation doit être sincère : on doit vraiment être convaincu qu’on est fait pour cet emploi et qu’on va y trouver plaisir en s’y consacrant. Toute entreprise ne peut réellement croître que si elle fonctionne avec cet esprit communautaire qui donne ainsi à chaque participant l’impression de faire partie du Tout, tout en étant une partie du Tout qui assume sa part du travail.

La Fraternité du système solaire

On rejoint ici le sens de la Fraternité Unitaire Galactique et Solaire. En notre système solaire, chaque planète a un rôle unique et indispensable à jouer et le Peuple de celle-ci accomplit ce pour quoi il a été créé. Chaque planète est régie par des lois et fréquences déterminant le plan existentiel de celle-ci et ces lois sont régies par un « gouvernement d’initiés » travaillant sous la guidance d’un régent ou Maître planétaire. Toutes les planètes œuvrent en communauté d’amour en harmonie syntonique avec le Soleil (Régent du système solaire) les 12 maîtres planétaires se réunissent en Conseil de sagesse et ainsi tout fonctionne parfaitement, chacun accomplissant sa tâche.

La Fraternité organique et la santé corporelle

Notre corps physique est constitué d’organes et chacun d’entre eux est lié à une Planète du système solaire dont il est la projection dans le microcosme. C’est notre cœur qui, projection du Soleil, régit tout notre Vaisseau corps Univers. Il reçoit les influx et infos de la Lumière via le Point couronne et l’Etincelle de vie sise dans notre cœur vibral. Quand tout fonctionne en osmose et que notre corps œuvre en parfaite synchronicité avec notre Ame solaire épousée par notre « Soi », notre état de santé est parfait. Chaque organe remplit sa fonction et échange avec les autres les infos et énergies nécessaires. Cette unité organique est alors projection parfaite de l’Unité solaire et notre vie est facile. Il suffit de se laisser guider pour que le « chant vibral de notre âme » nous guide intuitivement vers la fonction pour laquelle nous sommes venus en ce monde. On n’a plus à trouver sa place, c’est celle-ci qui nous trouve.

Cela s’accomplit donc par un renversement de polarité : on passe du « moi » masculin qui par la volonté « cherche sa place », au « féminin » qui révèle celle-ci. C’est le même principe au niveau affectif : l’homme dit à la femme de sa vie « je t’ai cherchée pendant si longtemps ! » et celle-ci lui répond « je t’attendais depuis toujours ».

On ne peut dissocier le fonctionnement organique de la spiritualité puisque notre corps est notre Terre et tout ce qu’il vit « touche » par effet de résonance la Terre mère et tout ce que vit celle-ci nous touche. Être en santé est notre État Originel et notre seul devoir est de permettre à cela d’Être. Dés que nous sommes dans un État de santé parfaite (mentale, psychique, émotionnelle, sensorielle, organique) nous sommes un « Bien « pour la Terre Mère et toute l’Humanité. La « maladie » nous rend « prédateur ». Tout malade vit au détriment de la société et de ceux qui prennent soin de lui. Être en bonne santé est donc un devoir, une mission.

Le corps est notre Lab-oratoire et il reflète à la perfection dans le plan visible notre État intérieur. Tout état intérieur est « vibratoire » et par Onde de résonance touche l’environnement. C’est le processus de la contamination qui intervient : quand on se sent optimiste et bien dans sa peau on contamine l’entourage par notre joie de la même façon qu’on peut aussi diffuser un climat pessimiste. Dés qu’on est en lutte contre quoi que ce soit, cela nous éloigne de l’Etat de Paix et on diffuse cette énergie de lutte alentour. Qu’on se batte contre le Sida, le cancer, la pollution, les manipulateurs, le gouvernement, la religion, les patrons ou même l’illusion, le résultat est identique : on est générateur de conflits.

Seul celui ou celle qui a trouvé la paix intérieure peut diffuser la Paix et on ne peut être en paix quand nos organes sont en conflit ou en état maladif. Comme le révèle si bien l’adage « un esprit sain dans un corps sain » les deux sont indissociables et tout état maladif n’est là que pour nous montrer ce qui ne va pas…

Le foie et la rate : joie et tristesse

Quand notre foie, siège des émotions est engorgé de pulsions et réactions générées par des combats résultants de peurs ou de doute, on se retrouve avec une crise de « foi »… Le foie est régi par la planète Jupiter (le Zeus Mythologique) qui est « bienveillante » et octroie l’optimisme, le déploiement, la dilatation, l’abondance, la joie de vivre et la jovialité. Elle fait de nous des « bons vivants ». Par contre lorsqu’il est contrarié Zeus se met dans des colères orageuses provoquant de gros dégâts. Lorsque nous nous nourrissons d’optimisme, notre foie (qui est notre réservoir d’essence divine) fonctionne à la perfection, et quand nous sombrons dans les luttes, notre foie en subit les contrecoups (sensation de recevoir un coup de couteau à cet endroit) : chaque colère intérieure provoque des désastres en notre royaume corps.

À l’opposé la planète Saturne (Chronos mythologique) maître du temps est « cristallisateur ». C’est lui qui, ralentissant les fluides corporels, permet aux cristaux minéraux de s’amalgamer pour former notre squelette, c’est aussi lui qui nous « clouant au lit par la maladie ou les problèmes articulaires » nous incite à développer des graines de sagesse. Saturne contracte, durcit, freine, retarde, cristallise et provoque aussi la Mort. Elle régit en outre la vésicule biliaire et lorsque nous nous faisons trop de bile (soucis, tristesse, dépression) celle-ci se déverse dans le foie et remonte jusqu’au chakra de la gorge où l’amertume et l’acidité intérieure nous rappellent à l’ordre. Même si la cause de cette remontée vient d’un excédent de nourriture ou d’alcool, la cause véritable est plus profonde : à chaque fois qu’on « va mal » on est tenté d’abuser de nourriture ou d’alcool, ce qui ne fait qu’empirer les choses. La Maladie n’est pas une punition mais un message envoyé par notre corps. Lorsque nous restons trop longtemps cristallisés dans des Etats d’âme de tristesse, de pessimisme dépressif, nous participons à la création de « calculs biliaires » qui finissent par bloquer les canaux du foie.

La maladie est un messager : le corps matérialise ce que le mal-a-dit

C’est souvent suite à des problèmes de santé que l’on est amené à entrer sur une voie spirituelle. Tout d’abord on va voir le médecin qui nous bourrant de remèdes ne résout pas la cause profonde (état d’âme dépressif ou pessimiste) alors on se dirige vers des médecines alternatives et énergétiques qui nous amènent peu à peu à faire le lien entre le corps et les pensées et donc à modifier nos états d’âmes pour retrouver notre état de santé et ainsi être amené à rétablir l’équilibre organique via l’Unité globale.

La conscience collective tend à nous faire croire qu’il est « normal d’être malade » et qu’il faut lutter et se bourrer de remèdes pour avoir droit à la santé alors que celle-ci est notre Etat naturel. On a tendance à croire que la santé, ça se mérite ou ça se gagne par l’effort. La médecine officielle nous impose ces croyances et dès notre enfance nous inculque le fait que nous devons obligatoirement « avoir toutes les maladies infantiles » comme les oreillons, la scarlatine, la rougeole. Celui qui n’a pas les oreillons est averti qu’il risque d’avoir de grosses séquelles si cette maladie se déclenche plus tard, celui qui n’a pas la scarlatine est mis au contact d’enfants contaminés afin de l’être lui aussi et d’être ainsi immunisé grâce à un vaccin salvateur. On a tellement pris cette mauvaise habitude qu’elle est devenue « naturelle » et qu’on passe la plupart de notre vie à lutter contre les virus, bactéries et autres microorganismes qui pourtant sont une partie constituante de notre matière cellulaire.

Il suffit de savoir lire entre les lignes pour percevoir que le mot « santé » et « sainteté » ont la même sonorité… Les maladies ne sont là que pour nous révéler notre manque d’Unité intérieure, notre manque de joie et d’enthousiasme. Là où l’énergie est bloquée, l’organe tombe malade et un remède ne peut s’avérer efficace que s’il est accompagné d’un changement d’état psychique.

Le chômage : une maladie parmi tant d’autres

Cela touche irrémédiablement tous les secteurs de vie. Quand on fait un travail qui ne nous donne pas joie, on se crée un état dépressif et maladif et on tombe malade pour avoir un peu de répit. Saturne nous cloue au lit pour nous inciter à réfléchir et à changer nos orientations de vie. À quoi cela nous sert-il de continuer à faire un travail qui ne nourrissant pas notre âme nous tue à petit feu ? Certes la croyance populaire tend à nous faire croire qu’il faut mieux avoir un travail alimentaire que d’être au chômage et c’est cela qui nous maintient dans la dualité puisque le chômage est fabriqué de toutes pièces par cette « société ». Le pessimisme crée l’état dépressif engendrant la maladie et tout l’argent que l’on gagne en travaillant est dépensé en médications et autres thérapies destinées à nous remettre d’aplomb afin qu’on puisse ensuite retourner nourrir cette « matrice ». Nous sommes les « insectes » qui nourrissent la Bête, l’araignée qui au centre de sa toile nous enferme en celle-ci. Pourquoi avons-nous tant peur des araignées ? Ces petites bêtes que l’on peut écraser d’un coup de talon ? Simplement parce qu’elles nous rappellent dans le tréfonds de nous-mêmes cette réalité d’enfermement illusoire.

Nos pensées créent notre caractère qui tisse notre destinée

Tant que nous nourrissons des visions apocalyptiques du monde nous co-créons cette réalité et notre vie est un enfer-me-ment dans une existence ponctuée de problèmes d’argent, de santé, de recherche d’emploi. Tant qu’on cherche à « occuper une place » pour être « employé »’ on reste sous le joug de Saturne. On ne pense qu’à se « caser » pour être en sécurité alors que celle-ci est fallacieuse, car la seule sécurité que nous apporte la « société » est de mourir à petit feu et de galérer chaque jour pour survivre et non vivre. Afin de se rassurer on achète des multitudes de choses inutiles, on se projette dans des loisirs, on enfante à tout va et cela ne fait que nous enfermer davantage. Quand on arrive à l’âge de la retraite, on est usé et non recyclable, on est placé en maison de retraite où la soi-disant « bonne société » récupère par le biais de « loyers « toutes les allocations retraite qu’on a méritées et toutes les économies qu’on a pu faire sous forme de biens immobiliers qu’il nous faut vendre pour payer notre « mouroir » ( le tarif pratiqué dans les maisons de retraite varie entre 2000 et 3500 euros pour les moins chères )…

Cette constatation peut nous amener à avoir une vision pessimiste du monde ou au contraire à changer radicalement notre façon de vivre et de faire.

J’ai expérimenté en toute conscience les énergies de Saturne et celles de Jupiter qui sont fortement actives dans ma charte zodiacale. Jupiter m’a aidé à passer de l’enfermement saturnien à la liberté uranienne révélée par les nouvelles énergies du Verseau. Mais comme dit le proverbe « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs » et Uranus génère tout d’abord un climat chaotique (révolutions, bouleversements) afin de permettre un nouvel ordre de s’installer.

L’Univers objectif n’existe pas dans la globalité : il n’y a pas un Univers défini et déterminé au sein duquel nous sommes condamnés à subir et à œuvrer sans joie, mais il y a autant d’Univers que d’Êtres Pensants et chacun par son Attention crée sa réalité. Tant qu’on nourrit des visions apocalyptiques et pessimistes, on reste sous influence de Saturne le taciturne, le pessimiste et notre santé s’en ressent. Notre existence passe par deux phases opposées : des périodes de dilatation et de joie (Jupiter) et des périodes de solitude et de réflexion (Saturne) ; les deux sont indispensables et il n’est guère conseillé de rester cristallisé dans l’une ou l’autre, de vivre toujours avec les autres ou de rester toujours solitaire…

A suivre……

Christian Duval

Source: http://lagazettedewydyr.over-blog.com/

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