par Corinne Lebrat
Un travail dont on m’a informé quelque jours avant le 16 mars dernier, m’est demandé :
« La transmutation de la domination de l’homme sur l’homme par le biais de la médecine »
Je vois une immense pieuvre avec au bout de ses tentacules des structures d’une puissance incroyable, à eux ils détiennent le pouvoir sur le monde, elles sont installées stratégiquement dans le monde, afin d’être absolument indestructibles et dominatrices.
Je me sens petite, et cela m’impressionne au départ.
Mais il est temps que quelqu’un porte son attention sur cela car c’est la fin de cette domination, abomination.
Je vois les innombrables victimes, torturées, mutilées, détruites par cette machine infernale.
Je me demande bien ce que je vais pouvoir faire, moi Corinne, face à un tel géant ?
Je la situe, je ne sais pas pourquoi, vers la Hongrie, Yougoslavie, dans cette partie du globe ??
L’Allemagne est très impliquée dans cette affaire, j’entends même qu’elle aurait mis beaucoup de choses en place lors de la dernière guerre mondiale.
Je sens le pouvoir des laboratoires dans les volutes de l’encre qu’elle me jette, les fabricants de vaccins et autres poisons dans son haleine putréfiée.
Mais mes guides sont là et m’encouragent à regarder ce qui se passe, je vois les tentacules de la pieuvre s’étaler de toute leur longueur, dans un mouvement lent, mais puissant.
Elle sait pourquoi je suis là et comme un fauve face à sa proie, elle étale sa force, sa domination. Je suis sûre de moi, je ne risque rien, je suis vêtue d’une robe de sage blanche très lumineuse, rien ne peut m’atteindre et je n’ai pas peur.
Elle le voit, le sent, et petit à petit son comportement change, sa stratégie ne fonctionne pas, elle s’agite, elle se recroqueville sur son centre.
Je ne la plains pas, je ne m’y attarde pas au contraire, j’insiste et renforce l’énergie qui travaille, elle ne lâche pas, je vibre comme une corde tendue au maximum, même mon souffle est perturbé, il est saccadé, irrégulier, je suis en transe.
Le combat est rude, je sens ses attaques de chaque côté, je vois mon aura comme une bulle de protection et ses tentacules me fouettent sans me toucher… Je m’approche de plus en plus de sa tête, de ses yeux dénués d’émotions, son seul souci est de faire ce quelle veut, la domination émane comme une évidence et une tragique réalité.
Agressive, elle ne veut pas que j’approche, comme quelque chose d’indestructible devant moi, petit rien qui veut la toucher, elle se défend par la pensée en imposant son autorité.
Mais je n’ai pas peur, mes guides sont là, tout va bien, je suis là et c’est ce que je dois faire.
J’avance toujours vers le centre de cette chose et la réelle menace commence à se faire sentir, petit à petit, la panique la prends, je le sens, sa violence se transforme en peur, le combat va être rude et terrible, mais j’avance comme si de rien n’était.
La tension monte à l’extérieur de ma bulle, la voilà maintenant comme une furie, je lève mon bras droit, j’attire son regard vers moi, je la regarde dans les yeux……..
Son regard, au début rempli de haine, change et devient le regard d’une victime pleine de souffrances, de douleurs aussi énormes que cette chose devant moi.
Je la vois baisser les yeux comme si elle se rendait compte de son abomination, la voilà coupable à présent, ses tentacules se replient, elle se détourne de moi, qui suis toujours là à la regarder sans sourciller.
Mon énergie se décuple, je le sens, je ne peux pas l’expliquer, mais je sens que je prends de la force à mesure que la sienne diminue.
Elle commence à se déplacer comme si elle savait ce qu’elle devait faire, elle s’écarte de moi, ses tentacules se déplaçant sur le sol comme des serpents et je la vois s’enflammer comme un fétu de paille, son regard toujours vers le mien, elle attend un pardon que je ne suis pas certaine de pouvoir donner.
L’immense brasier diminue, je m’approche, elle perd sa force, disparaît petit à petit.
À cet instant, un amour infini m’envahit, une compassion sans borne, je le sens dans mon cœur, dans mon corps physique, je suis moi aussi touchée de cette grâce infinie qui vient lui donner le pardon qu’elle a supplié.
Son regard s’apaise, elle disparaît… totalement ;
Dans un grand tourbillon noir, tout s’écroule, la terre s’effondre dans un tremblement de terre, je regarde penchée au dessus de ce gouffre sans fond, la pieuvre est morte.
L’espace d’un clin d’oeil, une terre neuve apparaît, de l’herbe verte et vigoureuse pousse à grande vitesse, des fleurs apparaissent ici et là, je lève les yeux et je vois de magnifiques arbres qui sont là comme s’ils y avaient toujours été, une petite brise agréable souffle, il y a des oiseaux plein les arbres.
Un oiseau en particulier chante de tout son être, je suis impressionnée qu’un si petit oiseau puisse chanter aussi fort, il me regarde de ses deux perles, des yeux noires qui en disent long…
Le voilà qui s’adresse à moi dans son chant d’oiseau, vient se poser sur mon genou (car maintenant je suis assise dans l’herbe), et chante à tue-tête, je souris, que dire, son chant est tellement beau.
Je m’étends dans l’herbe et me laisse porter par ce moment de calme après la tempête, un monde nouveau commence et ce petit oiseau chante de tout son cœur, comme sonneraient les trompettes du ciel, notre liberté retrouvée, la domination de l’homme sur l’homme, par le biais de la médecine, est terminée.
Je reviens dans notre monde présent, m’étire, me lève et retourne à mes occupations.
Corinne Lebrat
Aujourd’hui 16 mars 2015, je lis ce texte, les médecins sont dans la rue et manifestent avec pancartes et slogans, le système ne les reconnaît plus.
Source: http://lapressegalactique.org