wpid-hqdefault

The Reagan Diaires (Harper Collins, 2007)

L’opération Solar Warden

En fait,  nous (les US) aurions une flotte que de nombreux scientifiques (et ufologues) pensent réelle, et sur laquelle nous avons de nombreuses et sérieuses infos et preuves, dont je vais vous en présenter certaines.

La technologie « réelle » dont « nous » disposons (il n’y a pas  que les US) a des dizaines d’années d’avance sur ce qu’on présente au grand public .

Ce projet aurait été lancé par Ronald Reagan, dans les années 80 sous couvert du projet « guerre des étoiles », qui n’aurait été qu’une façade pour ce black project .

L’existence de Solar Warden, si elle est vérifiée, prouverait que la NASA n’est qu’un programme de couverture qui utilise les technologies obsolètes des années 40 , de propulsion avec des fusées.

Qui peut croire que nous n’avons fait aucun progrès en 70 ans et que nous sommes restés bloqués à la technologie des fusées, qui date de l’antiquité ???!!

La première référence à Solar Warden date de Mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs du forum Open Minds, a révélé son existence et ses moyens : tous les programmes spatiaux ne serviraient qu’à occulter la réalité de cette flotte. Nous disposions, dès 2005, de huit vaisseaux, utilisés comme des porte-avions, et 43 « protecteurs » – qui sont des avions spatiaux. Dès lors, le Programme « futuriste » de Constellation serait lui aussi une couverture parce que nous aurions déjà un programme spatial capable de missions interplanétaires utilisant des technologies de propulsion par antigravité.

L’un aurait été récemment perdu, suite à un accident dans l’orbite de Mars, alors qu’il tentait de ravitailler la colonie multinationale.

Cette base aurait été établie en 1964 par une équipe américano-russe.

Des preuves bien établies confirment qu’il existe une flotte secrète d’engins spatiaux à antigravité.

Par exemple, le 6 août 2007, la NASA a honoré « l’Equipe de Soutien aux Vols Habités » parce qu’elle a permis d’éviter aux vaisseaux de la NASA d’entrer en collision avec des débris spatiaux. Cette équipe faisait partie du Space Command, dont il est notoire qu’il est le principal commandement militaire qui fournit une assistance spatiale à l’U.S. Strategic Command.

« Cette récompense… souligne le soutien exceptionnel que l’équipe nous a apporté pour permettre à la navette, à la Station Spatiale Internationale et à leurs équipages, d’éviter les dangers des débris en orbite, les collisions de vaisseaux, et autres accidents potentiels qui sont inhérents aux manœuvres en orbite.«

Toutefois, le public n’a pas connaissance que l’USAF Space Command ni le Strategic Command disposeraient d’engins spatiaux qui puissent assister la Navette ou l’ISS. Normalement, ces vaisseaux de la NASA devraient nécessiter des corrections graduelles, lesquelles prennent beaucoup de temps, et ne permettraient pas de faire face à des dangers imminents.

Selon Ted Twietmeyer, cette récompense est la preuve que des engins à antigravité existent, qui sont dotés d’armes à rayonnement de particules avec lesquelles ils peuvent détruire les débris qui se trouvent sur le chemin des vaisseaux de la NASA.

Autre exemple que j’avais évoqué, cette note étonnante du Président Ronald Reagan, dans son Journal, qui nous parle d’une navette qui aurait la capacité d’emporter 300 passagers en orbite terrestre.

Le 15 avril 2009 The Examiner publie un nouvel article : « Les notes de Reagan & la flotte de vaisseaux à antigravité du Commandement Spatial » :

« Le 13 avril, l’Administration des Archives Nationales a diffusé 250.000 pages de documents concernant le gouvernement de Ronald Reagan. Ça représente des mois de travail avant que les chercheurs aient fini de les recenser.

Nous espérons que cela permettra, entre autres, d’éclairer un commentaire relevé dans son Journal à la date du mardi 11 juin 1985 (page 334) :

« Déjeuner avec 5 savants spatiaux de haut niveau. Passionnant. L’espace est décidément notre ultime frontière, et certaines découvertes en astronomie, etc… font penser à de la science-fiction, mais nous sommes bien dans le réel.

J’ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite. »

The Reagan Diaires (Harper Collins, 2007)

Tout cela est assez curieux parce qu’il n’existe que 7 Navettes spatiales, et que chacune ne peut embarquer qu’un maximum de huit passagers . Même en envoyant ces 7 navettes avec 8 personnes dans chacune toutes ensemble dans l’espace, nous n’arriverions jamais au chiffre de 300 passagers.

Reagan avait-il révélé l’existence de programmes hautement classifiés ?

C’est apparemment le cas, selon des dizaines d’informateurs des milieux militaires et issus de compagnies privées : le Strategic Command est l’un des dix pôles de commandement dans l’armée américaine; il contrôlerait une flotte de vaisseaux à antigravité qui ont la taille de porte-avions.

Les Etats-Unis ont structuré leurs forces militaires en instituant dix commandements unifiés, chacun sous la responsabilité d’un général ou un amiral à quatre étoiles, qui dépend directement du Ministre de la Défense. Six d’entre eux servent à couvrir toutes les régions géographiques du globe.

A cela s’ajoutent quatre commandements opérationnels dont les activités militaires spécialisées sont orchestrées par un unique « Combattant Commander ». De 1985 à 2002, le Space Command a été responsable des opérations militaires dans l’espace. En juin 2002, le Space Command a fusionné avec le Strategic Command, qui a la charge des activités spatiales comme la gestion des satellites, des missile, du nucléaire, et des missions de renseignement.

Le 23 mars 1993, lors d’une réunion destinées aux ingénieurs, organisée à Los Angeles, j’en ai déjà beaucoup parlé, le Dr. Ben Rich – ancien directeur exécutif des ‘recherches avancées’ chez Lockheed – a montré une image d’un disque noir se dirigeant vers l’espace et a déclaré :

« Nous possédons maintenant la technologie nécessaire pour ramener E.T. à la maison« .

Pourquoi Ben Rich affirmerait-il cela ???

Les rumeurs selon lesquelles les Etats-Unis possèdent une flotte ultra-secrète de vaisseaux à antigravité circulent depuis des années.

Des informateurs des milieux militaires et d’autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu’ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravité, comme l’Aurora et le TR-3B.

Dans son livre, « The Hunt for Zero Point« , l’analyste Nick Cook, du Jane’s Defense Weekly, écrit ceci à propos de l’Aurora : « Depuis la fin des années 80, on s’interroge sur l’existence du successeur secret du Blackbird; il s’agit d’un avion mythique nommé l’Aurora qui serait capable de voler deux fois plus vite et aux limites de notre atmosphère » (p. 14).

D’autres informateurs, comme Edgar Fouche, ancien contractant du Ministère de la Défense, ont soutenu que l’Aurora, à la suite du Blackbird [ou du SR-71] se compose de deux types d’avions hypersoniques pour aller dans l’espace :

« L’Aurora intègre le SR-75, qui est capable de voler à Mach 5, et sert de vaisseau-mère pour le SR-74, qui peut atteindre Mach 18 et aller placer des satellites dans l’espace.«

Plus spectaculaire, il y a aussi le TR-3B, de forme triangulaire, qui selon Fouche génère un champ électromagnétique intense, lequel réduit son poids de 89%.

D’après lui, le TR-3B utilise l’effet Biefeld-Brown (créé par d’importantes charges électrostatiques), puis des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets l’amènent à des vitesses prodigieuses. Ça se situerait bien au-dessus de Mach 18, qui est selon lui la vitesse du SR-74.

Fouche affirme que le TR-3B a un diamètre de 200 mètres, ce qui approche la taille d’un porte-avions.

AF Space Command

En réalité, depuis les années 1980, les États-Unis disposent d’une flotte spatiale secrète, sous le nom de code « Solar Warden », qui est Formée de huit vaisseaux mères en forme de cigare (chacun mesurant près de 150 mètres) et 43 petits navires « scouts ».

La Flotte américaine dans l’espace fonctionne sous le réseau naval américain et l’espace Commandement des Opérations (NNSOC) [Space Command]

Les vaisseaux de la flotte spatiale américaine sont occupés par des officiers de marine du Cadre des techniques spatiales, dont la formation leur a valu le prestigieux 6206-P (désignation de spécialité opérations spatiales) après avoir obtenu leur diplôme d’études supérieures à la Naval Postgraduate School de Monterey, en Californie, Tandis que la Marine et le corps des Marines fournit des hommes et des femmes officiers à ce programme.

Je vous avait déjà montré cette vidéo ci-dessus de l’excellente série Hangar 1 avec le témoignage direct de gary Mckinnon .

Lorsque le civil britannique Gary McKinnon a piraté les ordinateurs des États-Unis Space Command il y a plusieurs années, et qu’il avait annoncé qu’il avait eu accès à des dossiers secrets du Pentagone et de la NASA, dont une ‘liste d’officiers non-terrestres’, ainsi qu’une directive qui évoquait des ‘transferts de flotte à flotte’, et d’un programme secret appelé « Solar Warden », il a été inculpé par le ministère Bush d’avoir commis « Le plus grand hacking d’ordinateurs militaires de tous les temps  » et se tint à faire face à une peine de prison pouvant aller jusqu’à 70 ans après son extradition du Royaume-Uni.

Mais éprouver sérieusement McKinnon en audience publique, impliquerait son témoignage sur les faits ci-dessus classées, et son avocat serait en mesure de citer à comparaître des agents du gouvernement à témoigner sous serment au sujet de la flotte spatiale de la Marine.
À ce jour, l’extradition de McKinnon aux Etats-Unis fut abandonnée .

Cette idée d’une flotte secrète, disposant de technologies avancées, capable d’intervenir pour assister la Navette et l’ISS, est également renforcée par le témoignage d’un ancien employé de la NASA.

Clark McClelland a travaillé comme opérateur pour plusieurs lancements de la Navette de 1989 à 1992. Il a déclaré avoir vu embarquer un passager immense, qui devait faire 2,5 à 2,80m et à côté de lui un engin à antigravité en forme d’aile delta.

McClelland connaissait tous les astronautes de ce programme de la NASA, et il pense que ce personnage en combinaison spatiale était un extraterrestre. On ne peut écarter la possibilité que cet être, ainsi que l’engin, aient fait partie d’une mission secrète en relation avec la Flotte de l’Espace, sous l’autorité de l’U.S. Strategic Command.

Si on considère ces preuves, émanant de diverses sources, la note du Président Reagan rédigée en 1985 dans son Journal apparait comme une reconnaissance évidente d’un programme spatial secret qui permet de transporter et de prendre en charge des centaines d’astronautes. Cette note montrerait qu’il a reçu un ou plusieurs briefings sur ce sujet. D’autres indices importants peuvent émerger des 250.000 pages de documents récemment déclassifiés. L’essentiel serait que le public soit informé des technologies d’antigravité qui ont été développées dans le plus grand secret, et qu’on utilise depuis des décennies pour envoyer des astronautes militaires dans l’espace ». Se pourrait-il que le géant, accompagnant deux autres astronautes, fasse partie d’un groupe d’officiers ‘non-terrestres’, qui peuvent apporter leur soutien aux programmes de la Navette, sous l’égide du Space Command de l’US Air Force ?

Si Solar Warden a permis d’établir une colonie sur Mars, en utilisant des systèmes de propulsion à base d’antigravité, ça pourrait expliquer pourquoi les recherches sur l’antigravité sont devenues hautement classifiées vers le milieu des années 50.

Ça expliquerait également pourquoi les chercheurs civils qui étaient parvenus à répliquer les technologies d’antigravité furent brutalement écartés ainsi que c’était arrivé pour Otis T. Carr en 1961.

Cette mise à l’écart a été révélée pour la première fois en 2007 grâce au témoignage de Ralph Ring, l’ancien fidèle de Carr. (vidéo ci dessus)

Les témoignages d’informateurs et d’experts se multiplient, qui attestent de l’existence d’un tel programme spatial.

Farfelu tout ça dites vous, tous ces éléments ne vous convainquent pas encore ?

Hé bien… Pour finir, la preuve la plus significative selon moi que tout ça est bien réel, nous vient de l’Astrophysicien JPP (Jean Pierre Petit), le plus grand astrophysicien français vivant, rien de moins, qui confirme que les étasuniens ont bien mis en œuvre des blacks projects et qu’ils disposent de « vaisseaux qui sont en train de visiter l’univers en ce moment même » . (vidéo ci-dessous, et j’en ai déjà aussi beaucoup parlé par le passé)

Il a eu confirmation au début des années 2000 par des hauts gradés étasuniens, qui se sont d’ailleurs basés sur ses propres travaux, que Aurora (ou le TR 3B) n’était pas qu’un mythe : il est bien réel … et en action .

Donc à moins que vous ne pensiez que JPP soit FOU …

 

Voilà un affaire qui montre que nous avons sûrement une lecture erronée de pas mal d’événements dont l’actualité, et qui ouvre pas mal de portes ….

Sources diverses sur le net – resistanceauthentique