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DONC NOUS SOMMES DES ÊTRES LIBRES

et non prisonniers de notre passé ou de la matière

ou de quelque autre autorité extérieure.

Affirmation en contradicion flagrante avec la prétendue « Loi de conservation de la matière et de l’énergie » chère aux physiciens, et qui leur sert à interdire tout brevet ou théorie faisant appel à ce qu’on appelle le « mouvement perpétuel ». Et d’ailleurs il ne s’agirait pas d’une « loi » mais une conséquence logique et inévitable du But de l’Etre et donc de l’univers. Quant au fait que la quantité, le « stock » d’énergie se conserve dans ce cadre « matériel », c’est acceptable, mais la cause est clairement établie, c’est ce Principe de mouvement perpétuel lui-même.

Dire que c’est une « loi » est simplement un subterfuge pour considérer comme acquis un phéonomène que l’on n’expliquerait pas.

Ce discours peut paraître destiné à des spécialistes, et évidemment ce sont les physiciens qu’il va faire réagir en premier de façon hostile, mais qui va, petit à petit, les déplacer de leur option physicienne vers l’ «ANTI-PHYSIQUE » hatémienne. Mais en fait cela nous concerne tous au plus haut point et nous avons tous besoin de comprendre ce qu’il y a de faux dans le matérialisme, et à quel point nous sommes des êtres libres en perpétuelle auto-création. Et on ne l’établiera pas simplement en l’affirmant comme on le fait généralement dans les milieux spirituels, mais en le démontrant de la façon la plus incontournable, rationnellement, afin que cela puisse convaincre tout esprit honnête jusque là croyant dans la matière, dans le « big bang » ou dans un univers physique qui s’imposerait à nous comme notre passé semble s’imposer à notre personnalité. Pure illusion mentale.

 

 

Il faut bien comprendre que le fait que les choses durent, que l’univers dure, est un miracle indicible. Qu’il ne suffit pas d’une pichenette ou d’une lancée de départ, ou d’une décision si divine soit-elle, pour que ce qui apparut hier soit encore là aujourd’hui et perdure demain. Cela est le mystère fondamental de l’Etre qu’il convient absolument d’expliquer si on veut qu’une théorie soit valide. Dire « que la lumière soit » ou lancer la gravitation universelle dans le vide pour multiplier les particules, c’est une idée sympa, mais ça n’a pas de sens car cela n’a aucune raison de durer dans aucun temps. Pour que cela dure il faut que la cause dure, et pour que la cause dure, il faut que ce soit une nécessité et certainement pas un hasard ou une volonté.

 

Et c’est justement en tant que PRINCIPE-CREATEUR ou CAUSE ORIGINELLE, que tous les phénomènes physiques sont ce qu’ils sont dans leur continuité ou leur pérennité pour l’éternité. Là où est l’Etre, là est ce Principe, là est cette cause. LA OU EST LA CONSCIENCE, LA EST LE CREATEUR. Et en fait, il n’y a pas de principe de conservation indépendant en soi ; il est intégré au Principe-Créateur ; il y a effectivement continuité pour la raison que le Principe-Créateur est issu de la même cause perpétuelle à chaque instant (répétons-le, on l’a démontré dans des chroniques précédentes, cette cause éternelle c’est le fait que le BUT unique est impossible à atteindre), et donc ce Principe devient lui-même également CONSERVATEUR ; c’est-à-dire que ce qu’il crée, ou plus exactement ce qu’il DEVIENT (atome ou système planétaire) apparaît IRREVERSIBLE, et continue indéfiniment à être ce qu’il est pour l’éternité. On comprendra petit à petit qu’il est régi par un mouvement en AUTOACCELERATION perpétuelle. Cela est primordial pour la compréhension des phénomènes qui se poursuivent indéfiniment. (atome, système planétaire, saisons, reproduction et naissance des divers êtres organiques de toutes espèces avec tous leurs caractères physiologiques, et bien d’autres).

 

On verra de façon flagrante qu’il s’agit bien d’une accélération, que cette accélération est auto-contrôlée pour des raisons tout à fait claires, et que s’il y a accélération, c’est bien parce qu’il y a CREATION D’ENERGIE A CHAQUE INSTANT et non conservation. En apparence il y a conservation parce que l’accélération est auto-limitée, mais ce mouvement perpétuel provient d’une création perpétuelle d’énergie. Tout cela grâce au phénomène de « DEGRAVITATION » découvert et déposé à l’Académie des Sciences de Paris en 1955 par Léon Raoul Hatem, mystérieusement disparu depuis, qui est la découvete décisive qui a permis de débloquer toute la connaissance et toute la compréhension du monde. C’était bien caché, il fallait le voir, mais une fois qu’on l’a compris, tout s’éclaire : les atomes comme les galaxies (même celles dont la dimension inouïe échappe à toute vraisemblance dans les théories actuellement enseignées), autant que nos tribulations quotidiennes et notre évolution tant physique que spirituelle. Et rien n’est plus utile et efficace au quotidien.

 

C’est d’ailleurs ce que raconte Léon Raoul ici :

 

« Il m’est arrivé un jour, au Concours LEPINE où je présentais mes premiers appareils (il faut bien les présenter quelque part quand les portes sont fermées à double tour), de rencontrer un physicien qui me rétorqua que si un système était mis en mouvement sans être entretenu extérieurement, il ne pouvait que s’arrêter car le Mouvement Perpétuel ne pouvait exister.

 

Or, si cela est vrai en physique, c’est l’inverse en METAPHYSIQUE qui est la science des CAUSES PREMIERES et des PREMIERS PRINCIPES, et dans le creux de notre main, nous avons des milliards de milliards de mouvements perpétuels que sont les atomes. Mais bien entendu, l’atome n’est pas un système « physique » en soi ; il est le Principe-Créateur sous une forme physicalisée.

 

Ce que disait ce physicien, c’était bien sûr ignorer comment l’univers CREE sa propre Energie Cinétique, son propre mouvement, à chaque instant. Car, la physique n’est pas la réalité ; elle n’est pas rationnelle puisque la « matière » n’a aucune raison objective d’être en tant que telle. Mais du fait qu’elle se manifeste ainsi et que cela permet notre existence, c’est elle, la « matière », qui paraît être la « chose » vraie.

 

En fait, la physique est la CONSEQUENCE de ce Principe-Créateur qui la devance et qui lui-même est devancé par l’Energie Magnétique elle-même (et dont mon fils Frank a expliqué pour la première fois l’origine avec la Nécessité du Néant).

 

Ainsi, c’est cette continuité qui donne à penser qu’il y a « principe de conservation ». Et en réalité il y a « conservation » de cette transformation ; mais elle n’est pas en soi un « principe » ; elle est une conséquence qui découle du Principe-Créateur qui lui, la précède tout en étant une seule et même chose, car l’un ne peut aller sans l’autre, intégrés l’un à l’autre. La « matière » n’existe pas plus comme principe, étant la conséquence du Principe-Créateur qui devient atome et par suite, « matière apparente » ; mais elle est éternelle parce qu’éternellement créée dans un éternel Présent qui seul EST, alors qu’il n’a pas de durée, et « dans » lequel est intégré tout le passé qui bien sûr n’existe plus.

 

Un autre riait aux éclats lorsque je lui disais que je créais de l’énergie. Disant que c’est impossible. Et puis il a observé mes appareils, voyant des dizaines de petits aimants (des kilos) tourner rapidement et régulièrement en synchronisme entraînés seulement par l’un d’entre eux relié à un minuscule moteur à pile. Ce qui, pour un physicien moyen, est une impossibilité. Epaté, il cherchait partout et regardait en-dessous pour trouver le subterfuge, et au bout du compte, voyant qu’il n’y avait aucun « truc », finit par me serrer la main en me disant : « Monsieur Hatem, effectivement, vous créez de l’énergie ». Et il est parti. Hélas.

 

Car seul le synchronisme magnétique des rotations permet ce mouvement auto-entretenu qui prend toutes les apparences de ce qu’on appelle la « gravitation ». Le synchronisme magnétique, c’est le fait que lorsque deux aimants sont en présence l’un de l’autre (dans certaines conditions de position et de distance), ils se tournent l’un vers l’autre pour maximiser l’attraction et minimiser la répulsion. Pôles opposés face à face. Ce faisant, si les conditions le permettent (mais au départ tous les aimants dont les positions relatives ne le permettent pas ont disparu dans l’univers, fusionnant les uns avec les autres, il ne reste donc en lice que ceux qui permettent de créer ce mouvement perpétuel), si ces conditions le permettent, donc, ils dépassent leur position d’attraction maximum entraînés par leur élan, du fait qu’à ces distances l’attraction est moins forte que l’élan acquis. Et c’est là que se produit le miracle de la nature : les deux pôles qui s’attiraient comment à SE DEGRAVITER et non à se freiner. Je ne rentre pas dans les détails pour le démontrer, il faut simplement comprendre le principe. Les pôles qui s’éloignent à chaque tour, au lieu de se freiner, se libèrent, tandis que les deux autres pôles, qui s’éloignaient, maintenant se rapprochent et se tournent donc en accélération l’un vers l’autre. Cela va se faire à chaque tour, et donc l’accélération va continuer jusqu’à ce que les mouvements de translation orbitale (engendrés eux-mêmes par ces mouvements lorsqu’ils ont lieu libres dans l’espace – mais je n’entre pas dans les détails qui sont à votre disposition – s’accélèrent au fur et à mesure de l’accélération des rotations de chaque aimant, ce qui finit par éloigner les deux aimants par effet de fronde. Par exemple la Terre tourne autour du Soleil suite au fait que les polarités du Soleil et de la Terre les ont obligés à se mettre en rotation, et empêchés de tomber l’un sur l’autre.

 

Alors, du fait de l’augmentation de cet éloignement orbital, l’attraction diminue encore et freine les mouvements, compensant au bout d’un moment l’accélération. Et au bout du compte, tout cela s’équilibre, on ne voit plus l’accélération à chaque tour, on ne voit plus la répulsion, on ne voit pas la « Dégravitation », on ne voit que le fait que le Soleil et la Terre s’attirent et tournent sur eux même à vitesse constante ainsi que l’un autour de l’autre à distance constante, et on appelle cela la « Gravitation », on en fait une « loi ».

 

Sans la dégravitation, il n’y aurait rien. Et cette dégravitation se démontre. Et bien souvent des physiciens ont été encore plus surpris en voyant qu’on peut faire tourner deux aimants en synchronisme pôles en attraction face à face, comme dans n’importe quel engrenage magnétique, mais aussi qu’on peut les voir maintenir leurs mouvements de rotation synchronisés A L’ENVERS, c’est à dire quand on a seulement deux pôles en attraction à proximité qui s’éloignent, tandis que les deux autres NE SE RAPPROCHENT PAS ENCORE. Ce qui prouve de toute évidence que les deux pôles qui s’éloignent NE SE FREINENT PAS car sinon tout s’arrêterait. Or ce n’est pas le cas, au contraire. C’est la DEGRAVITATION.

 

Quelques physiciens qui ont bien voulu regarder la démonstration jusqu’au bout sont repartis complètement sidérés, car toutes leurs croyances physiques s’effondraient : on peut créer de l’énergie, et l’univers n’est pas régi par la gravitation mais par la dégrativation.

 

Evidemment, cela suppose que toutes les masses de l’univers, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, soient des aimants complets avec leurs deux polarités magnétiques, mais c’est un choix : ou bien on l’admet parce que c’est la seule réalité qui peut être égale à zéro et dont on peut donc expliquer l’origine à partir du néant, ou bien on préfère des particules positives et d’autres négatives, et de la masse purement attractive, et dans ce cas, au bout du compte, on sera obligé d’attribuer leur existence à « Dieu » car il n’y aura aucune explication rationnelle possible. »

 

 

 

 

COMMENT NAIT L’ATOME

 

Ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas tout tout de suite, vous comprendrez mieux quand vous verrez des dessins dans les livres ou les appareils lors de présentations publiques (rares) comme celle qui a lieu dimanche 14 avril en région parisienne (renseignements sur demande), ou en video. Mais c’est important de saisir le principe d’une façon globale.

 

Lorsque deux « masses » se trouvent en présence à grande distance l’une de l’autre, considérant que ce sont des aimants, elles cherchent spontanément à placer leurs quatre pôles sur une même ligne droite. Elles ne peuvent pas faire autrement grâce à leur double polarité.

Mais lorsque ce sont des sphères, ces quatre pôles se placent sur deux plans.

 

Ainsi, les deux pôles les plus proches au départ accentuent leur approche par attirance et les deux autres, légèrement plus éloignés l’un de l’autre au départ, accentuent leur éloignement.

 

Ceci ne peut se produire que si la distance qui sépare les masses est suffisante pour éviter leur chute mutuelle l’une vers l’autre. Et si les positions sont à peu près dans le plan de l’écliptique l’une de l’autre, et sans que les axes des pôles soient strictement parallèles. Sinon, dans tous ces cas, il y a chute et fusion des masses. Il ne reste donc en lice que ceux qui ont échappé à ce destin et remplissent les conditions du « mouvement perpétuel ».

 

Et cette grande distance est donc indispensable, car de ce fait, les forces magnétiques sont extrêmement faibles (selon même la « Loi » de Newton à l’inverse du carré de la distance : deux fois plus loin, quatre fois moins d’attraction), tandis que les FORCES CINETIQUES liées à l’inergie (élan acquis) seront rapidement supérieures aux attractions (très important).

 

Les pôles se mettent alors TRES LENTEMENT en mouvement à partir du repos absolu, faisant tourner les masses sur elles-mêmes, et leur conférant d’emblée un mouvement gyroscopique.

 

De même, grâce à la distance et grâce à la répulsion qui est égale à l’attraction, les masses ne peuvent pas chuter l’une sur l’autre, mais peuvent tourner sans heurt. En effet, quand deux aimants sont à proximité, l’attraction peut toujours être beaucoup plus forte que la répulsion, d’où la chute des aimants l’un sur l’autre. Mais à grande distance, il n’y a pratiquement plus de différence entre attraction et répulsion. C’est pourquoi il est à peu près impossible de réaliser un mouvement perpétuel magnétique sur Terre : on est obligé d’avoir des distances trop courtes.

 

Il s’ensuit de ces premiers mouvements que les deux premiers pôles en attraction qui se rapprochent mutuellement l’un de l’autre arrivent à se placer dans le même plan que les deux autres pôles.

 

Ce mouvement de mise en ligne droite dans un même plan est absolument spontané ; il est même nécessaire sans aucune intervention extérieure.

 

Nous voici donc dans un système qui vient de se mettre en route grâce à la grande distance qui sépare les masses, et sans laquelle elles chuteraient l’une sur l’autre. D’ailleurs, toutes celles qui n’étaient pas à grande distance sont tombées les unes sur les autres. C’est pour cela qu’il n’existe que des atomes qui fonctionnent effectivement et avec de grandes distances entre les particules. Tout comme dans le cosmos, avec de grandes distances entre les masses (et des positions proches des plans d’écliptique, c’est-à-dire avec des formes d’assiettes renversées l’une sur l’autre. Les atomes ont sans aucun doute cette même forme).

 

LA DEGRAVITATION ET L’ACCELERATION DES ROTATIONS

 

Problème délicat et subtil auquel il faut apporter une grande attention. L’ELAN fait son œuvre et va inverser les fonctions magnétiques en faisant dépasser cette position dans le même plan (l’équilibre sera donc rompu).

 

On peut s’étonner de ce phénomène assez curieux pour le physicien qui dira que les deux pôles qui se rapprochaient mais sont emportés par leur élan ne doivent pas s’éloigner puisqu’ils sont en attraction mutuelle. Or, cela se produit réellement pour la raison que les masses étant très distantes l’une de l’autre, les attirances sont relativement extrêmement faibles, mais la « FORCE D’INERTIE CINETIQUE » (ou élan) acquise avec la mise en mouvement est SUPERIEURE à cette force d’attraction. Dans le cas contraire, il est évident que les pôles ne pourraient pas s’éloigner si les masses étaient trop proches l’une de l’autre.

 

Comme auparavant, nous avons deux pôles qui, parvenus au plus proche l’un de l’autre sur la ligne droite indiquée, commencent donc à S’ELOIGNER l’un de l’autre toujours pour la raison déjà citée, et les deux autres pôles qui auparavant s’éloignaient, arrivés à leur plus grand éloignement, qui commencent à SE RAPPROCHER.

 

Il est bien entendu que s’il s’agissait de « ressorts tendus », les masses se précipiteraient l’une vers l’autre ; mais ici, il s’agit de « forces » magnétiques » qui attirent et qui repoussent, et les masses sont libres de tourner sur elles-mêmes, ayant acquis une FORCE D’INERTIE ROTATIVE SUFFISANTE pour continuer leur mouvement de rotation, nous le précisons encore, grâce à la très grande distance et à la très faible énergie attractive et répulsive, cette dernière empêchant d’ailleurs la chute des masses l’une vers l ‘autre.

 

Ainsi, les rotations continuent, et ce qui va se produire est particulièrement extraordinaire: Suivez bien. Car au cours de ces rotations mutuelles, les deux premiers pôles qui se rapprochaient et qui maintenant s’éloignent, se comportent exactement COMME SI l’attirance avait disparu. Or, elle subsiste toujours puisque leur rôle initial est « l’unification » quelle que soit leur mouvement, leur distance ou autres. MAIS, par le fait que ces deux pôles s’ELOIGNENT SIMULTANEMENT l’un de l’autre, le FREINAGE qui devrait interdire leur éloignement, DISPARAÎT. C’est la DEGRAVITATION (terme qui n’est pas exactement approprié, mais qui pour l’explication doit être clair et laisse supposer que l’attirance est contrée et n’agit plus comme à l’habitude).

 

POURQUOI un tel phénomène ? Il suffit de savoir que lorsqu’un PÔLE SUD qui s’éloigne par sa force d’inertie, et attiré par un PÔLE NORD qui est FIXE, est FREINE par attraction du pôle NORD et réduit sa vitesse semble-t-il à l’inverse du carré de son éloignement : DEUX fois plus loin, QUATRE fois moins de vitesse. Il ralentit donc, s’arrête virtuellement et revient ensuite vers ce pôle NORD.

 

Mais maintenant, visualisons le mouvement d’éloignement SIMULTANE des deux pôles selon une règle édictée plus loin ; et nous constatons que ces deux pôles, le NORD et le SUD, en s’éloignant simultanément l’un de l’autre, DOUBLENT la distance qui les sépare.

 

Voyez-vous la différence ? Non ? Oui ? Car elle est flagrante : c’est que dans le premier cas, pour une certaine distance parcourue, la vitesse d’éloignement du pôle SUD avait une certaine valeur du fait que l’attraction par le pôle NORD FIXE avait elle-aussi une certaine valeur ; mais que dans le second cas, la distance ayant spontanément doublé par l’éloignement simultané du pôle NORD, le pôle SUD subit maintenant une attraction QUATRE FOIS MOINS FORTE de la part du pôle qui ETAIT fixe, et qui maintenant se trouve DEUX FOIS PLUS LOIN, soit avec une attirance SEIZE FOIS MOINS FORTE sur le pôle SUD pour le même chemin parcouru, mais par chacun des pôles.

 

Autrement dit, pour une force attirante F = 1, la vitesse était V = 1/4

Et maintenant, pour une attirance F = 1/4 , la vitesse est V = 1

 

Ainsi, d’une part la vitesse étant DIVISEE par quatre, et d’autre part étant virtuellement MULTIPLIEE par quatre, elle conserve constamment sa valeur 1 tout au long de son parcours.

 

Comme s’il n’y avait pas d’attraction pour freiner.

 

PRINCIPE DE DEGRAVITATION : La Dégravitation se produit lorsque deux pôles en attraction s’éloignent simultanément l’un de l’autre avec des vitesses inversement proportionnelles à leur masse respective, la plus petite devant s’éloigner proportionnellement plus rapidement que la plus grande. Le freinage magnétique est alors annulé par l’augmentation de la distance qui compense tout risque de ralentissement d’instant en instant.

 

Tous les physiciens à quelques exceptions près qui ont pris connaissance de ce phénomène sont tombés dans le piège en croyant qu’il suffirait de donner une vitesse deux fois plus grande au pôle qui s’éloigne, pour obtenir le même résultat, ce qui est une aberration totale, car ils n’ont rien compris, ce qui est bien normal lorsqu’on veut éviter de comprendre. C’est la simultanéité qui compte, pas les distances.

 

Pour d’autres, l’éloignement du pôle qui était fixe ne doit rien changer au freinage lorsqu’on éloigne les deux pôles ! Est-ce de l’aveuglement ? Alors, à vous de jouer. Si vous trouvez que cela ne change rien, dites-nous pourquoi et vous aurez gagné .

 

Cela dit, même Newton, qui ne connaissait pas la dégravitation, l’a virtuellement constatée et prise en compte : en effet, il observait que LA GRAVITATION EST QUATRE FOIS PLUS FORTE QUE LA PESANTEUR. Pour lui, ces deux phénomènes sont distincts. Ils ne le sont pas. Cela vient simplement du fait que la gravitation est d’origine magnétique, la pesanteur aussi, mais dans le cas de la gravitation elle est due à la réciprocité des mouvements, les deux astres étant massifs et à grande distance, la dégravitation a lieu. On est dans le cadre de la dégravitation qui permet la « gravitation ». A chaque tour l’attraction en chute est égale à un rapport de 16 alors que dans le cas de la pesanteur, comme il n’y a pas la distance, dont pas d’autonomie des pôles les uns par rapport aux autres, on a affaire à une chute SANS RECIPROCITE, le rapport n’est que de 4. Quatre fois moins puissante. Cela pour le rapprochement des masses, mais pour l’éloignement ce serait la même chose.

 

Cela permet bien de penser que « gravitation » et « pesanteur » ne sont qu’une seule et même chose, de l’attraction magnétique, mais dans des conditions différentes.

 

Revenons à notre atome en formation. Nous voici donc avec nos deux sphères dont deux pôles (en attraction) en s’éloignant mutuellement, SE LIBERENT l’un de l’autre, leur permettant ainsi de continuer à s’éloigner sans se freiner.

 

Par contre, les deux autres pôles qui maintenant se rapprochent l’un de l’autre, s »ATTIRENT

en chute accélérée l’un vers l’autre, quatre fois plus fort que si l’un était fixe, réduisant leur distance avec la même vélocité que les deux autres s’éloignent.

 

Et ce sont ces deux pôles qui s’attirent, qui produisent l’ACCELERATION PROGRESSIVE des rotations de chacune des masses puisque les deux autres ne freinent pas du tout ! Cela d’autant plus que selon NEWTON lui-même, l’attraction varie à l’inverse du carré de la distance, et que dans le rapprochement SIMULTANE des deux pôles, elle augmente QUATRE FOIS PLUS RAPIDEMENT, soit pour DEUX FOIS plus de chemin parcouru par chacun, SEIZE FOIS plus d’attraction. Et nous remarquons qu’à chaque demi-tour, les pôles alternent leurs fonctions, tantôt en s’attirant, tantôt en se libérant sans freinage. Ainsi, nous pouvons remarquer que ces quatre pôles se « concertent » pour produire cette ACCELERATION des rotations donc de plus en plus rapide sur leur axe.

 

On pourrait croire que cette accélération sera sans fin et que tout cela va exploser. Ce ne peut être le cas car les masses sont libres dans l’espace et tout cela va vite s’équilibrer.

 

Car aussi, nous constatons que ces masses deviennent des GYROSCOPES, ce qui les oblige à maintenir leur rotation avec des mouvements polaires stables (impossibilité de changer l’angularité entre les axes de rotation), ce qui est particulièrement important. Car à partir de cela, les masses vont conserver définitivement leurs fonctions. L’intérêt primordial dans cette HARMONIE des rotations qui se SYNCHRONISENT , c’est le fait que grâce à cela, les masses apparaissent en ATTRACTION et uniquement en attraction quelles que soient leurs positions relatives, ce qui paraît curieux, mais pourtant bien réel. Bien qu’elles sont aussi en répulsion.

 

Ne vous étonnez pas si tout cela vous paraît encore compliqué. C’est très simple en fait mais très subtil, et si cela a échappé à tous les chercheurs de la matière depuis deux ou trois siècles, vous n’êtes pas une exception. Il faut bien que de temps en temps on avance dans la connaissance, ce n’est pas pour cela qu’on est plus méritant. Croyez bien que cette explication n’est pas une question de se dire qu’on est plus intelligents que les autres. La différence s’il y en a une, c’est simplement une soif plus grande de vraiment comprendre avec un attachement moindre aux habitudes matérielles.

 

Ainsi, LA « GRAVITATION » DÉCOULE DES MOUVEMENTS POLAIRES SYNCHRONISES et n’est pas une simple « Loi ».

 

L’ATTRACTION UNIVERSELLE qui n’est pas en soi une réalité fondamentale mais la conséquence des fonctions magnétiques harmonisées dans les atomes et les systèmes planétaires aussi compliqués soient-ils, dénote une extraordinaire intelligence mécanique ; sans elle, il n’y aurait pas d’univers. Mais ce n’est pas pour autant que l’univers newtonien ait toujours sa valeur du point de vue théorique ; c’est le piège ; car c’est en fait grâce à la DUALITE MAGNETIQUE que cette « attirance » des masses atomiques et planétaires se manifeste. Et de même pour le fait que vous avez les pieds collés au sol.

 

LA PESANTEUR DES OBJETS PARAÎT CONSTANTE parce que la Terre reste relativement fixe lorsque vous les soulevez. Le mouvement relatif est inopérant. Il n’y a aucune dégravitation et c’est ce qui se manifeste par le que la Terre attire tout et qu’on ne croit pas que c’est du magnétisme dualiste. Mais dans l’univers, donc dans la matière, avec les grandes distances et les masses, la répulsion opère, et lorsque les mouvements sont réciproques, la dégravitation. Alors on constate des phénomènes différents qui ne rappellent plus la simple « pesanteur ». Mais on croit toujours que ce n’est que de l’attration gravitationnelle car ni la répulsion ni la dégravitation ne sont visibles. La résultante est attractive.

 

Au cours des mouvements polaires synchronisés, les pôles en attractions sont tantôt en rapprochement, tantôt en éloignement supprimant le freinage (dégravitation). Mais aussitôt, les pôles opposés se remettent en rapprochement et donc en chute accélérée ; et par ce fait, les masses s’attirent exactement comme si elles étaient continuellement attirées l’une vers l’autre, LA REPULSION ENTRE MASSES étant rendue invisible (bien qu’elle agisse en ayant maintenu les distances) de même du fait de ce synchronisme, et ne laissant donc visible que l’attraction comme s’il s’agissait d’attraction universelle.

 

Car si vous faites le dessin, vous verrez que les pôles de même nom sont en permanence à la même distance les uns des autres ; et de ce fait, lorsqu’un pôle va dans un sens, l’autre se retire pour lui permettre d’avancer ; et lorsqu’après un demi-tour des masses ce premier pôle se retire de lui-même, c’est l’autre qui avance dans le même sens. La distance entre pôles en attraction varie constamment pendant les rotations, alors que la distance entre les pôles en répulsion, elle, est toujours égale. C’est une subtilité extraordinaire. Grâce à tout cela, nous sommes là pour en parler et nous émerveiller.

 

Avec une simple gravitation comme « loi », on ne pourrait obtenir un univers.

 

Cette stabilité de la répulsion soumise aux variations accélérées de l’attraction est exactement ce que nous exprimions (chroniques précédentes) dans le fait que le processus de création de la conscience est inconscient, donc la création de notre univers est inconsciente et involontaire, tandis que l’amour, lui, ou tendance à l’annulation de cette création, est totalement conscient. Et lui seul est conscient. La conscience est une donnée, l’amour est une évolution. L’aimant est inconscient de sa répulsion, il ne vit que l’attraction. Nous sommes donc identifiés à ce qui bouge, l’ego au quotidien, la superficilité des choses, et jamais à ce qui est immuable en nous. Nous nous croyons créature et non créateur alors que nous le sommes. Nous nous croyons soumis à un « donné » universel, alors que nous sommes libres.

 

C’est là vraiment un curieux phénomène qui s’ajoute à l’intelligence mécanique déjà citée ; et l’on comprend que les philosophes qui ont créé les religions se soient attachés à penser que cette intelligence est de nature « divine » tant elle est incroyable. C’est d’ailleurs en cela que l’univers est un miracle tout en n’en étant pas un. Si un seul des éléments subtils qui le composent n’était pas là, il n’aurait jamais pu éxister. Et pourtant il existe, car en fait tout cela est absolument inévitable, même le phénomène gyroscopique qui s’explique dans cette histoire. Comment ne pas être en admiration devant une telle création sur le plan mécanique ?

 

Et comment ne pas voir que ces relations entre aimants, c’est NOUS-MÊMES. Nos relations d’attirance et de répulsion, de refus, toujours dominées, au bout du compte, par la volonté de s’unir, et qui font que, parce qu’on ne peut pas fusionner, on se tourne toujours les uns autour des autres ?

 

Comme dit Alain Facélina, on peut certes se demander pourquoi tout cela, mais finalement, c’est peut-être simplement parce que c’est plus joyeux comme cela quoi qu’il en soit.

 

Nous ne sommes que relations dualistes.

 

Retrouvez les chroniques de Frank Hatem sur la Presse Galactique
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