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par Agnieszka Rouyer

C’est avec joie que j’ai répondu aux questions d’Eric Remacle, psychologue et thérapeute,  qui a réalisé cette interview pour nous.

Dans mes recherches pour comprendre comment vivre un bonheur authentique et une vie avec le moins de stress possible j’ai été amené à comprendre que la qualité de notre vie dépend en grande partie de la qualité de nos pensées, et plus que de notre simple mental de la qualité de notre attention.

 Il y a une dizaine d’années j’ai découvert le modèle Transurfing qui se présente comme un concept intégrant les données les plus récentes de la physique quantique et qui bâtit un modèle redonnant à l’homme la capacité de diriger sa ‘ligne personnelle’ de vie.

Pour vous partager ce modèle magnifique, j’ai eu le plaisir de rencontrer Agnieszka Rouyer, coach, auteur et spécialiste du transurfing qui a accepté cette interview :

Eric Remacle : Agnieszka, vous êtes Coach Transurfing au Centre Transurfing Francophone et passionné aussi de développement de la personne. Vous êtes également coach scolaire et votre travail vous amène à travailler sur la réussite et ses stratégies ainsi que l’équilibre de vie.

Pouvez-vous pour cette première question nous expliquer comment vous en êtes arrivé à découvrir le Transurfing et comment vous l’utilisez dans votre pratique de coaching ? 

Agnieszka Rouyer : Les livres de Transurfing ont étaient publiés en 2007 en Russie pour la 1ère fois et ils ont rencontré un grand succès. Je ne vous apprends rien à ce sujet.   Puis, ils ont été traduits en plusieurs langues, et notamment en français, en 2010. Et c’est là que je « trouvé » sur une étagère d’une librairie le premier tome de la série. En le feuilletant, j’étais intriguée par la vision de l’auteur, pourtant la théorie de la physique quantique m’était connue, cependant, dans le livre elle était présentée d’une manière différente.

Par la suite, je me suis intéressée à la version originale des livres et la façon dont je pouvais utiliser et intégrer la théorie. D’ailleurs, à chaque lecture d’un livre, d’un paragraphe, d’une information qui m’intrigue, je mets tout de suite en pratique l’enseignement décrit par les auteurs. Je vérifie par moi-même en quelque sorte. Sinon, l’opinion d’un autre ne restera qu’une opinion d’un autre, sans que je puisse vérifier « comment ça marche quand ça marche ou ne marche pas pour moi ? »

Souvent, les gens s’intéressent beaucoup à la psychologie, au développement personnel, ils dévorent des tonnes de livres, ils acquièrent une vaste connaissance sur le fonctionnement de l’homme. Cependant, même après plusieurs années de lecture, ils demeurent toujours en place. Rien ne bouge dans leur vie. Ils ne réalisent pas qu’il est nécessaire de mettre ces connaissances en pratique. C’est ce que Transurfing nous invite à faire – agir. Sans action rien ne pourra se réaliser, même si nous avons des buts et objectifs bien définis.

Maintenant, il ne faut pas faire n’importe quoi, et c’est là que toute cette philosophie prend son sens. En 2011, quand j’ai vu de quelle manière je pouvais réaliser facilement, ce que je planifiais, j’étais stupéfaite. Je me suis intéressée alors au cursus proposé à l’époque à Bruxelles, afin de pouvoir diffuser cette théorie et techniques que j’utilisais.

En coaching individuel, j’écoute d’abord la personne en tentant de « décoder » ce qu’elle dit et, surtout, ce qu’elle ne dit pas. Car chaque évènement, chaque situation vécue est là pour nous donner une information. Je souligne, l’information. Toute situation passée, et donc vécue dans le passé est la cause de ce qui se passe en ce moment, dans ici et maintenant et qui devient donc l’effetle résultat. C’est la loi de cause à effet.

Nous sommes tous régit par les mêmes lois universelles alors qu’est-ce qui fait que certains s’épanouissent et d’autres souffrent ? Zeland nous dit que nous recevons exactement ce que nous choisissons. Nous avons fait le choix de vivre une telle situation et pas une autre. Et ce ne sont pas nos pensées uniquement qui ont influencé notre aujourd’hui mais surtout nos intentions. Nous pouvons nous poser des questions genre : « Quelles étaient nos intentions d’agir de sorte ? Dans quel état j’étais quand je fais ça et ça – la joie ou plutôt la colère ? Quelle était ma motivation ?» Il suffit d’observer ce qui vous « arrive » dans le présent et vous aurez la réponse. C’est pour cela que Zeland nous dit que le passé et le présent existe en même temps, et le futur, nous le vivons en ce moment même. Nous choisissons ce que nous allons vivre.

Et donc lors des séances de coaching, souvent, quand la personne me dit ce qui ne va pas, nous décodons ensemble quels types de comportements, pensées, idées ont été manifestés à ce moment-là. C’est toujours plus facile de focaliser son attention, et donc ses pensées, sur ce que l’on ne veut pas, sur ce dont l’on a peur. On parle avec d’autres de ce qui ne nous plait pas, comment nous sommes mal, nous racontons nos maux, nos douleurs à nos proches, nos prises de tête avec des collègues, on tente de les changer, etc. C’est exactement de cette manière on reçoit ce qu’on ne voulait pas. On l’a choisi en l’observant, en concentrant notre attention à ces sujets en y mêlant nos émotions.

J’aime beaucoup travailler avec les ados – quand je leur explique la façon dont ils fuient l’échec (en observant l’échec) et où ce processus les amène, je leur explique comment ils peuvent agir différemment, ils appliquent les techniques dans la légèreté, ils vivent les expériences sans se poser de questions. Je me souviens de ce jeune qui est revenue me voir en coaching et me dit : « madame, c’est flippant, ça marche ». Je souris quand j’y pense… Oui ça marche  Nous devenons adultes et nous avons plus de difficultés à accueillir ce qui est nouveau et surtout ce qui est inconnu pour notre mental, déjà figés dans nos croyances.

Eric Remacle : Vous êtes donc en train de responsabiliser les personnes afin que celles-ci quittent leurs schémas de victimisations. C’est très puissant et c’est un art difficile car les gens n’aiment pas quand on leur explique qu’ils sont responsables (dans le sens anglais originel « response able » qu’ils sont capables de changer). 

Vous dites « Sans action rien ne pourra se réaliser », quels types d’actions préconisez-vous en Transurfing pour changer ? Sont-ce des actions dans le monde « réel » ou un travail sur la pensée et l’intention ? Vous semblez d’ailleurs faire une différence entre la pensée et l’intention, quelle est-elle ?

Agnieszka Rouyer : Par rapport à l’action, il y a deux choses. Imaginez un chat qui s’observe dans un énorme miroir et essaye de gratter la glace avec sa patte pour changer quelque chose dans son reflet. Il ne sait pas que c’est lui dans le miroir, que c’est son propre reflet. Il tente à tout prix de changer ce qu’il voit. Il ne sait pas que pour changer son reflet il est nécessaire de changer sa position, sa posture, etc. Le reflet va changer tout seul dans le miroir, sans aucune interaction.

La réalité est en dehors de nous aussi longtemps que nous y croyons… Ça prend tout un sens.

Il suffit donc de se concentrer sur soi et retrouver l’état de présence. L’état de présence est un état d’être dans lequel on s’observe soi-même face à ce qui nous traverse. On observe nos réactions, nos émotions. C’est l’observateur qui s’observe lui-même en quelque sorte. Voilà pour moi, la première action. De cette façon on émane une vibration à une certaine fréquence, ce que je peux appeler l’énergie dirigée. Dans le cas de l’observateur cette énergie est dirigée vers l’intérieur de soi et devient donc « positive » ce qui va générer les évènements positifs dans la vie.

Notre réalité est donc la somme de toutes nos intentions. Et c’est là, la différence entre une  pensée et une intention. C’est une pensée accompagnée d’une vibration. Ce ne sont pas nos rêves ou nos désirs qui se réalisent, ce sont nos intentions. Quand vous observez votre réalité, votre vie, considérez cela comme le résultat de la somme de toutes vos intentions.

Comme vous voyez, cela ne sert à rien de s’acharner dans la matière pour changer des choses mais tout simplement se regarder et changer ne fût-ce qu’une petite chose dans notre comportement pour que notre vie change.

Eric Remacle : La présence à soi est donc essentielle en Transurfing.. Cela rejoint plusieurs courants spirituels et me fait penser à Eckart Tolle qui délivre le même message en lien avec la désidentification au mental.

Quand c’est l’observateur qui s’observe lui-même, vous dites que l’on émane une vibration à une certaine fréquence positive. Mais l’observation n’est-elle pas neutre ? 

En quoi cette vibration énergétique va t’elle amener du mieux dans ma vie ? Quel est le processus à l’œuvre selon vous ? 

 Agnieszka Rouyer : Je peux en citer d’autres, comme Gregg Braden, Nassim Haramein, Bruce Lipton, Philippe Guillemant des plus connus- tous disent la même chose en employant des mots différents. L’essence est identique. Transurfing nous le présente d’une façon facile et donc accessible à tous.

L’observation peut être polarisée, c’est-à-dire polarisée positivement ou polarisée négativement. Quand par exemple vous racontez à vos amis, puis vous débâtez avec eux, un accident arrivé sur le chemin vers votre travail le matin, vous êtes en train d’observer – observez quoi ? – cette expérience que vous venez de vivre, vous l’amplifiez des émotions et vibrations et donc vous émanez vos émotions vers ce que Transurfing appelle l’espace des variantes.

C’est encore un autre concept. Alors quelles sont vos émotions à ce moment-là? Polarisées positivement ou négativement? A ce moment-là vous êtes en train de choisir ou d’attirer vers vous d’autres évènements de ce genre. C’est très simplifié ce que je viens de vous dire, mais cela fonctionne de cette manière.

Alors, l’observation est neutre quand il n’y a aucun mouvement d’énergie, le point zéro. En transurfing Zeland appelle cela l’équilibre parfait. Mais dans la nature ce n’est pas possible. Oui, tout tend vers cet équilibre parfait mais tout est en mouvement perpétuel équilibré.

Zeland nous démontre que nous sommes régit par une loi – la loi de l’équilibre qui est une loi fondamentale et qui nous dit que si nous provoquons un déséquilibre, il va y avoir des forces d’équilibrages qui viendront réajuster ce déséquilibre afin de restaurer un équilibre le plus proche possible de l’équilibre parfait. Par exemple, je suis pleine de joie jusqu’à l’euphorie pour une quelconque raison, le lendemain, je risque de tomber dans une dépression suite à un évènement survenu subitement, une mauvaise nouvelle ou un accident, etc. L’orgueil peut aussi être l’excès de la joie…. Ce n’est pas la joie qui attire son contraire, c’est l’excès de cette joie et qui devient le potentiel en excès selon Transurfing.

Ce potentiel en excès attire les forces d’équilibrages. Elles agissent et mènent chaque évènement vers son extrémité opposé afin tout remettre en équilibre.

Voilà le processus à l’œuvre. Donc, quand nous nous observons nous-mêmes, nous maintenons une forme d’équilibre proche de l’équilibre parfait et les forces d’équilibrages n’ont aucune de raison d’agir car il n’existe aucun excès.

Je donne un autre exemple: si je commence à devenir arrogante ou je suis en colère contre quelqu’un – je génère donc un excès d’énergie de la perspective de la nature – cette énergie est dirigée vers l’extérieur de moi, et donc j’attire les forces d’équilibrages qui vont rapidement se charger de tout remettre en équilibre en me faisant vivre une journée désagréable – une situation défavorable à mes yeux.

Le sentiment de culpabilité génère aussi le potentiel en excès – c’est l’inévitabilité de la punition, de châtiment que l’humain porte profondément ancrée en lui. Et en accord avec la loi d’équilibre, l’être humain attire vers soi des petites punitions quotidiennes, des situations désagréables, en disant souvent : « tu sais ce qui m’est arrivé…, etc… »  Rien n’arrive tout seul. Je vous invite à vous observer, vous allez vite vous rendre compte qu’il n’y a pas de hasard. Le hasard existe tant que l’on ignore la cause.

Eric Remacle : Dans votre exemple, si je suis négatif en colère ou arrogant(e), vous dites que j’émets une énergie en excès et on va « se faire équilibré » par son opposé mais n’est-ce pas alors l’énergie positive qui devrait venir et non pas une énergie négative comme dans votre exemple ?

Agnieszka Rouyer : C’est toujours l’excès d’énergie qui ramène un autre excès d’énergie, mais à l’opposé.

En soi, la colère ou tristesse n’est qu’une émotion. Et quand elle nous traverse pendant que l’observateur s’observe, il peut juste constater qu’il ressent une émotion. L’émotion de colère juste observée peut être donc vécue sans que l’équilibre soit perturbé.

Cependant quand cette colère devient tellement grande que nous n’arrivons pas à mettre notre propre observateur en marche juste pour constater/observer l’émotion à l’intérieur de nous, cela veut dire que nous avons attribué une grande importance à ce qui n’était primairement …qu’une simple émotion. Le fait d’observer quoi que ce soit ne génère pas de potentiel en excès et donc l’équilibre n’est pas perturbé.

Le potentiel en excès se manifeste uniquement quand nous attachons une importance à ce qui nous traverse et il y a excès d’énergie.

Cette colère à laquelle nous avons attribué une importance, génère un tel excès d’énergie que les forces d’équilibrage vont agir afin de nous envoyer une situation pour nous calmer, à l’excès opposé… Cela peut être donc une situation où nous allons vivre une grande tristesse, presque dépression jusqu’à ce que l’équilibre soit restauré jusqu’au calme.

Eric Remacle : Les principes de la loi d’attraction disent quant à eux que si je suis en colère, ma fréquence vibratoire est celle de la colère et donc par la loi de la résonance, je vais attirer tout un tas de personnes, situations qui vont vibrent à la même fréquence et faire en sorte que je continue à vibrer de plus belle sur la fréquence de la colère. Ainsi une personne anxieuse ou qui dit n’avoir jamais de chance « vibre » la fréquence de la malchance ou de la peur et obtient des situations qui continuent de déclencher ces états. Elle crée ainsi sa réalité. C’est ce que vous dites aussi. Cela est-il différent du principe d’équilibrage de Transurfing ou est-ce encore le même phénomène ? 

Pouvez-vous aussi nous expliquer ce qu’est l’espace des variantes que vous avez mentionné ? Ce concept me semble fondamental et pourrait donner pas mal d’espoir aux êtres humains.

Agnieszka Rouyer : Je vais parler d’abord de l’espace des variantes. Je l’ai déjà évoqué en citant la métaphore d’un chat qui se regarde dans un miroir. C’est un champ énergétique d’informations où existe une multitude de variantes possibles. Tout y existe déjà, nous ne faisons donc que choisir, comme on choisit un produit dans un rayon de supermarché.

Il est important de comprendre que cet espace n’est pas séparé de nous. Tout ce qui se manifeste à nous, dans la matière (ce que nous vivons au quotidien), n’est que le reflet énergétique de ce que nous avons choisi dans l’espace des variantes en émanant nos intentions à travers nos pensées et émotions. On parle alors du miroir quantique.

En Transurfing, on n’attire rien à soi, c’est nous qui nous déplaçons à travers ce champ d’énergies en voyageant d’une ligne de vie à l’autre. Elles peuvent être favorables ou défavorables à notre égard et cela dépend de notre état d’être, de nos intentions. Ayant connaissance de cet autre côté de notre réalité, nous pouvons agir dans la légèreté, en appliquant en quelque sorte ce que j’ai mentionné avant.

Quant à la loi de l’équilibre, c’est une loi sur laquelle reposent toutes les autres lois universelles et physiques. Sans cette loi de l’équilibre les autres lois ne pourraient se manifester, y compris la loi d’attraction. Maintenant, je ne sais pas si beaucoup d’entre nous, en pratiquant la loi d’attraction, ont réussi à obtenir les résultats souhaités.

Ceci dit, il n’y a pas de bonne ou mauvaise méthode. La méthode la plus utile et la plus juste est celle qui marche ;-).

Ce que je veux dire, c’est que Transurfing nous présente quelques règles à suivre sans lesquelles nous ne pouvons obtenir de résultats désirés. En fait, nous n’atteignons pas nos objectifs. Les objectifs, les buts se manifestent tout seul quand nous nous déplaçons sur les lignes de vie favorables pour nous.

Pour que le but se manifeste à nous, premièrement, nous devons prendre la responsabilité de tout ce qui nous arrive.

Deuxièmement, nous rentrons dans un état de cohérence, d’unité avec le monde qui nous entoure, sans lutter nous lui faisons confiance. Pour cela, nous pouvons cultiver de la gratitude pour tout ce que nous possédons déjà. Puis, dans toutes les situations quotidiennes jugées défavorables, nous cherchons du positif. Et il y a toujours du positif car elles ne sont là que pour nous faire grandir et évoluer, et puis il est nécessaire de voir les choses dans la perspective à long terme. Souvent, nous sommes tellement submergés par les émotions du moment, qu’il ne nous est pas facile de voir l’essence et l’utilité de ce qui se présente dans l’instant. Et puis si ce n’est pas ce que nous désirons, posons-nous la question, qu’est-ce que nous pouvons changer en nous pour démarrer d’un autre point de départ?

C’est tout simplement mettre notre observateur intérieur en marche.

Troisièmement, dans cet état d’observation, dans ici et maintenant, nous commençons à ressentir que notre désir est déjà réalisé: vivre son existence avec toutes les sensations, images et émotions provoquées par le fait que nous disposons déjà, dès maintenant du fruit de notre désir, contre toute logique. Transurfing appelle ce procédé le cliché.  C’est proclamer la légitimité de recevoir – j’abandonne donc l’idée que je mérite ou je ne mérite pas, je l’ai déjà.

 Dans le point 4 nous pouvons mettre le fait que Zeland nous conseille de garder ce désir pour nous, ne pas en parler autour jusqu’à ce qu’il se réalise. Le fait de se vanter de ce que nous ne possédons pas devient un énorme potentiel en excès, évoqué plus tôt. Et puis, il y a également une dissipation d’énergie, nous risquons de ne pas en avoir assez pour attirer notre but vers nous.

Le dernier point  consiste à ne pas y attacher trop d’importance, c’est-à-dire vivre dans tout son être le désir réalisé dans l’instant présent pendant un certain temps, et puis tout simplement arrêter d’y penser, passer à autre chose afin de faire de la place pour la réalisation. En visualisant, on continue à demander = on occupe de la place.

Pour diminuer l’importance, qui génère le potentiel en excès, Zeland nous invite à avoir un plan B. En quelque sorte, accepter que si mon plan A ne se réalise pas, ce n’est pas grave, j’ai un plan B.

Mais là encore, j’insiste sur le fait de mettre notre observateur en marche. Vous allez vite vous rendre compte que plus l’observateur s’observe lui-même, plus tout devient harmonieux autour de nous et nous n’avons plus à diriger notre vie – ou notre réalité – car nous devenons la vie.

Et là, on peut dire qu’on surfe à travers la réalité…

Eric Remacle : Merci de nous partager ainsi ce processus extraordinaire de manière si claire. J’imagine que dans vos accompagnements vous avez du observer de beaux changements grâce à cette nouvelle approche.. Comment les personnes intéressées au Transurfing peuvent vous contacter et profiter de votre accompagnement ? 

Agnieszka Rouyer : Je vois de plus en plus de personnes qui s’ouvrent et s’intéressent au bien-être. Elles désirent arrêter de « tourner en rond. » Et ça, c’est merveilleux…  les changements ne se manifestent pas toujours immédiatement. Le processus prend un certain temps, le temps dont chacun a besoin pour le vivre en douceur.

Il est important que toutes les démarches entreprises permettent à chacun d’arriver, non seulement, à la destination, mais surtout de savourer le voyage de l’instant présent. C’est le processus qui nous amène à la destination finale qui compte, pas la destination en soi. C’est de cette manière que nous pouvons appliquer la stratégie identique dans n’importe quel domaine de notre vie et à tout moment.

Il suffit juste de comprendre que le « maître » que nous cherchons toute notre vie demeure depuis toujours en nous-mêmes.

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Puisse cette interview aider et inspirer celles et ceux en quête d’une vie meilleure !

Eric Remacle

Merci à Eric pour cette interview.

Eric est psychologue et psychothérapeute, vous pouvez visitez son site ici :  http://bonheur-ou-stress.com

Vous trouverez l’article sur son site d’origine ici: http://bonheur-ou-stress.com/transurfing-ou-comment-creer-la-vie-que-nous-voulons/

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