par Lilaluz
Il est fréquent que les gens doutent de l’existence de lignes temporelles prédéfinissant nos vies.
Nos vies ne sont pas figées à condition que nous choisissions nos actes et l’intensité de notre émotion. La manière dont nous réagissons aux évènements, notre façon d’être attentifs -ou non- aux détails du quotidien font la différence entre une vie qui vibre et se libère des carcans ou une vie soumise aux normalisations, à la masse des pensées collectives.
Les pensées positives servent à conserver l’optimisme mais celui-ci ne suffit pas à réaliser des changements concrets : la pensée positive est comme une page blanche attendant qu’on y définisse des projets. Les pensées négatives sont les pages grises qui ne laissent pas de place aux choses nouvelles, mais font écho aux siècles passés et répètent inlassablement les situations destructrices. Nos pensées – de violence, de vengeance, de tristesse, d’amertume, de révolte- alimentent les conflits autour de nous et globalement. Notre cerveau enregistre les informations selon ses points de repères et d’intérêt, nous appelons cela des « programmations » ou des « habitudes ». Nous réagissons aux informations selon notre degré de vitalité et de réceptivité au monde. Notre vitalité et notre ouverture au monde déterminent notre réactivité et l’intensité de nos émotions. Moins nous sommes optimistes, moins nous percevons les choses autour de nous et moins nous y réagissons. Cela entraîne la dépression et l’apathie.
Nous recevons des influences extérieures à notre planète qui ont un impact sur nos ondes cérébrales et le fonctionnement de notre cerveau. Nous sommes habitués à un type de fréquences solaires et magnétiques qui désormais va changer et s’intensifier. Jusqu’à présent notre physiologie n’avait pas eu à s’adapter à des changements de champ magnétique. Cela touche notre corps, mais aussi nos aliments ; les plantes, les animaux, et nos lieux de vie par les mouvements tectoniques et le climat puisque cela change le rythme des courants aériens et océaniques. Ces changements existent, plus nous tarderont à les reconnaître et moins nous serons à l’aise face à eux. Ils entraînent des modifications hormonales et des transformations dans notre perception de la réalité. Les personnes déjà sensibles aux ondes et aux vibrations voient leur sensibilité augmentée… Ceux et celles pour qui la réalité se situe dans une normalisation trop étriquée vont découvrir que les médiums et les personnes sensibles ne sont pas des illuminés ; ils seront eux-mêmes amenés à percevoir avec plus d’ampleur.
Les gens tristes et déprimés se lient aux plans vibratoires où vivent les esprits vampirisant, ce qui les rend perméables à la « possession » de leur psychisme par des esprits errants, imprimant des pulsions ou des obsessions qui leur paraîtront éloignées de leurs habitudes. De même, la conscience personnelle bien structurée de certains animaux domestiques peut s’intégrer à un corps humain dont la personnalité est faible. De nombreuses possibilités de fusion, de partage ou d’imbrications sont possibles entre les âmes et les corps éthériques, ayant des conséquences sur le comportement social des gens, entraînant des modifications durables de leur comportement.
Les gens croient généralement à ce qu’ils voient, or le champ des perceptions étant augmenté, il y aura une plus grande variété de réalité : il faut développer l’analyse et le discernement intuitif pour reconnaître une réalité « réelle » d’une réalité subjective, c’est-à-dire née dans l’imagination. En revanche la réalité « réelle » ne sera pas toujours « normale » selon nos codes habituels: le réel est ce qui est vécu comme vrai, et les vérités intègreront désormais des choses qui autrefois étaient « impossibles » ou mythologiques, auxquelles on doit ajouter les réalités virtuelles et les modifications corporelles issues des biotechnologies, qui représentent une approche rationnelle du temps et du concept d’immortalité. Résumons : Un plus grand nombre de changements physiologiques, entraînant des modifications de la perception et des comportements, auxquels on ajoute des variantes de la réalité rationnelle avec des technologies et des réalités virtuelles : voilà le champ des possibles dans lequel nous devons choisir notre « ancrage » : le point depuis lequel nous créons notre vie.
Lorsque nos valeurs sont liées au chakra du coeur, et que nous mettons notre énergie principale dans le coeur, nous nous associons aux principes d’amour et de fraternité et la réalité s’étire vers le haut et les mondes de lumière – aussi bien ceux de l’intra-Terre que ceux des systèmes solaires bienveillants à notre égard. Cela a un inconvénient ; dans un premier temps on ne perçoit pas le mal ni les mauvaises intentions : on devient naïf ou trop confiant, car on se sent protégé et intouchable.
Pour voir les aspects négatifs tout en restant ancré dans les vibrations du coeur, il faut ouvrir la connexion à ajna, l’oeil du discernement – qui devient ensuite l’oeil de la Conscience Universelle. A ce moment-là, les énergies du haut (les énergies supérieures), s’harmonisent avec celles du coeur et l’on peut voir les intentions et les énergies des gens, sans les juger selon la morale mais dans leur globalité : on découvre les raisons cachées qui provoquent les actes et les choix. Quand on comprend ce qui motive une attitude, on peut mieux s’en protéger ou lui trouver une solution. En tout cas on peut choisir sa réponse en connaissance de cause. LiLa
Source: http://www.lilaluz.net/