par Lilaluz
Le corps énergétique est constitué par un réseau de méridiens subtils – équivalent au tissu veineux et sanguin- et nourrissant notre corps physique d’énergie terrestre et céleste par son intermédiaire. Sans ce corps d’énergie vitale nous sommes constamment « dévitalisés », fatigués, réduit dans nos possibilités d’action. Il y a une relation entre l’alimentation, la respiration et l’équilibre entre le corps physique et le corps de vitalité énergétique. On pense que se nourrir de vitamines est un premier pas vers plus d’activité physique, favorise une amélioration de la tension artérielle et entraîne le corps de vitalité vers une expansion de son diamètre. On voit par exemple chez les enfants, une capacité à se dépenser énergétiquement et à « vibrer » leurs énergies bien supérieure à celle d’un adulte mature alors que l’adulte est plus fort physiquement, l’enfant est plus mobile et moins facile à fatiguer car il est dans une proportion où son corps est moins lourd que sa capacité à mobiliser le corps énergétique. Une pensée libre de formatages, un corps souple, plus d’énergie font que l’enfant est naturellement plus vitalisé qu’un adulte et cela consume les adultes qui ne peuvent plus suivre le rythme vibratoire des enfants. Plus on s’affaiblit et moins on aime être en présence d’enfants car le peu d’énergie que l’on possède est réservé à sa propre routine. C’est une forme de pauvreté énergétique…qui souvent se manifeste ensuite par l’affaiblissement physique et financier.
Le corps énergétique est perçu comme un ensemble de réseaux de méridiens, reliés entre eux et à la colonne vertébrale par de gros « nœuds » : les vortex ou chakras. Un chakra est une « roue qui tourne » permettant l’échange entre l’énergie du corps et celle du milieu ambiant. Un chakra est constitué d’un bulbe – à sa racine- qui prend ensuite une forme d’entonnoir dont l’extrémité est fermée par différents filtres ; de fins voiles d’énergie qui, lorsqu’ils sont très sales, obstruent la relation entre le milieu ambiant et le corps vital, diminuant ou bloquant son fonctionnement, ce qui entraîne plus tard, des dysfonctionnement physiologiques sur les organes correspondants au blocage des méridiens. Les maladies physiques ne naissent pas toutes d’une cause physiologique pure, elles sont parfois la manifestation d’un blocage énergétique qui crée un dysfonctionnement psychologique et se révèle par la suite dans une pathologie physiologique. On pense aujourd’hui dans le milieu médical qu’il y a une relation entre les drames tels que les deuils ou les pertes brutales (travail, déménagement difficile, changement de situation sociale rapide, divorce) et les cancers du sein. Lorsque les pistes énergétiques seront prises au sérieux par la médecine occidentale, nous obtiendrons une anticipation des maladies et des guérisons plus rapides, ce qui réduira considérablement les problèmes psychologiques, médicaux et sanitaires pour la société.
Chaque partie du corps énergétique est marqué par un chakra qui capte une certaine fréquence vibratoire correspondant à un spectre d’onde particulier de sons et de couleurs. L’ensemble de ce corps vital est un émetteur/récepteur de tous les types d’ondes existantes auxquelles nous sommes confrontés : notre éducation et notre conscience sont formatés pour que nous n’utilisions que quelques unes de ces fréquences. Sortir de ce formatage demande un certain « lâcher prise » des évidences et l’acceptation de manifestations vitales différentes de ce que l’on nomme la « normalité » ou la réalité. On s’aperçoit que ce qui est Réel est principalement ce que l’on vit soi-même par l’équilibre et la fusion entre le corps physique, le corps énergétique et la Conscience. Ces 3 systèmes fonctionnant sur une même onde fréquentielle permettent de voir ce qui est occulté par la vision collective. La pensée collective est percée comme une toile d’araignée trouée. C’est une chance personnelle et une marginalisation de la part du groupe que l’on paie par une vie d’ermite ou de « fou marginal » !
Le chakra par lequel nous échangeons le plus avec les autres et l’environnement colore l’ensemble de notre aura, nous échangeons l’énergie avec l’extérieur sur sa fréquence, nous sommes réceptifs principalement aux centres d’intérêts qui lui sont associés et nous resterons indifférents à ce qui est trop éloigné de ses fréquences.
Les peuples vivants dans la Nature et dépendants uniquement de la chasse et de la cueillette sont sur la fréquence de l’énergie de la Terre : c’est une énergie rouge et souvent ils se colorent les cheveux, les vêtements ou le corps lors des cérémonies de communion de groupes avec la Divinité. Le monde est vu selon la dualité homme/nature, esprits bons/esprits mauvais, la défense du clan dépasse la notion d’humain et d’entraide, il y a des guerres entre clans et des sacrifices de sang pour nourrir les esprits autant que les hommes. L’identité est mise sur l’appartenance au genre : féminin/masculin, Homme/animal/ ou homme/Esprit, Vivant/mort. Un leader est un individu fort ou supérieur aux autres.
Les peuples dont l’organisation repose sur la base de la soumission des individus à la communauté, la transcendance des conflits par l’Humilité devant le groupe ou l’esprit de famille utilisent la couleur orange, correspond au chakra du nombril : d’où nait la fertilité, la créativité, l’agriculture, l’élevage, la domestication de la Nature par le collectif humain, en échange d’une soumission aux divinités terrestres et célestes ainsi qu’une rétribution d’une part des dons reçus par le travail de la Nature et de l’Homme. Les décisions sont prises collectivement par un conseil de sages.
La société organisée par la politique est basée sur le prisme du jaune et du doré. L’organisation de la communauté se fait à travers la représentation d’un groupe d’idée par un leader. Chaque groupe de pensée possède son leader, ensuite un système complexe d’élection et de rouages permet à certains leaders de représenter l’ensemble de la société et les peuples ou groupes concernés. Ce type d’organisation induit les fréquences de l’appartenance conceptuelle ( l’ego) : on appartient à un groupe humain, à une structure religieuse, politique orthodoxe ou anticonformiste, on se définit par son image, par ses acquis intellectuels et financiers, par ses goûts et ses désirs matérialisés visiblement. Une partie de ces choses sont irrationnelles, elles n’existent pas dans la nature, elles ne sont ni nécessaires à la vie, ni utiles socialement mais constituent la structure de ce qu’est la Norme du réel. Ne pas s’y conformer, ne pas leur donner d’énergie et de crédibilité constitue une forme de rejet induisant la marginalité ou la rébellion. Cette société conceptualisée sur l’image de soi projetée sur le monde crée des marginaux et des égos surdimensionnés.
Le chakra du Cœur est lié par nature à la Nature et aux ondes solaires. Personne n’échappe à l’Amour universel se manifestant par le rayonnement solaire, le mystère de vie. Ses fréquences balayent tout le spectre des fréquences inférieures et les calibre sur la Sienne qui est immanente et adoucie par l’énergie terrestre. Lorsque l’on atteint l’énergie du Cœur : la barbarie du sacrifice de sang, la soumission à un groupe ou à une image sociale semblent totalement dangereux et immature. L’énergie principale du corps d’énergie s’aligne sur les fréquences solaires qui sont infinies et bienveillantes lorsque nous les captons depuis la Terre ; la couleur exprimant cette fréquence est le rose. L’ensemble du corps vital est nettoyé, les tensions psychologiques s’estompent laissant place au SOI.
Le Soi est l’identité que nous possédons lorsque nous vivons sous la dominance de la fréquence solaire. Notre Soi a un nom et c’est avec celui-ci que nous communiquons avec l’environnement. Nos vibrations rencontrent d’autres vies, plus ou moins évoluées, plus ou moins gentilles ou égocentriques…mais cela n’altère pas notre Soi qui est comme un soleil, se nourrissant de lumière intérieure et extérieure. Or, le chakra cardiaque nous apprend que toute vie et tout instant sont lumière, autant la nuit que le jour nous recevons de la lumière par l’air dans sa version subtile : le prâna. Le prâna ou « chi » est aussi appelé « manne ». C’est une certaine qualité d’énergie vitale dont la consistance varie selon l’heure du jour et notre aptitude à nous y connecter. Plus nous devenons réceptif, moins notre corps de vitalité aura besoin d’autres nourriture pour maintenir en bonne santé notre corps physique et plus celui-ci aura tendance à vibrer sur une fréquence solaire, donc moins dense qu’aujourd’hui. Cet alignement est progressif, il demande de renoncer aux croyances sur la nutrition.
Or, notre lien à l’alimentation est crée en même temps que notre corps. Notre corps physique est le produit d’une alimentation donnée par l’extérieur, de la prédation d’une énergie extérieure à nous. Tous nos liens et nos réseaux d’identification sont reliés à l’extérieur par l’alimentation : nos liens familiaux, sociaux, religieux, nos liens d’affection avec le terroir et l’histoire de l’humanité avec ses habitudes ancestrales sont contenues dans nos phénotypes et notre ADN : changer d’alimentation est un pas psychologique exigeant de renoncer à notre identité humaine traditionnelle, à nos relations, à nos habitudes. Ce n’est pas tant un changement alimentaire qu’un changement de psychologie et d’identité physiologique : c’est accepter de devenir « autre ».
Ce palier évolutif est possible dans le cadre d’une communauté où chacun va suivre ce processus et comprendre qu’il y a des phases d’acceptation, de sacrifice consenti et, des phases de repli sur soi, de peur de mourir, de besoin de ressentir la prédation et l’absorption d’énergie extérieure comme un acquis et une victoire pour la survie. Notre instinct le plus bas nous pousse viscéralement à manger pour vivre – manger sans respect ni conscience- juste pour le plaisir de dominer la proie et s’assouvir de son énergie vitale. Cette pulsion constitue le plus ancien ennemi de l’ascension vibratoire, un défi qui n’a rien de mystique et ne peut pas s’appuyer sur une croyance religieuse ou un désir de vague transcendance. Il faut un profond amour de Soi en tant qu’être Divin, en tant qu’être de Lumière. Si l’amour et le désir de vivre cette identité lumière n’est pas pleinement supérieure aux autres désirs, on ne peut pas se détacher de la nourriture parce qu’elle reste un moment d’intense joie de posséder une énergie extérieure pour se valoriser et se sentir puissant, nourri, victorieux. Etre nourri c’est recevoir une énergie extérieure pour exister ; c’est une forme rationnelle et matérielle d’amour, une manière de se rassurer sur notre valeur et la réalité de notre existence. Je mange donc je suis vivant . Accepter de se nourrir autrement est un renversement de cette certitude institutionnelle.
Note : La course à la célébrité est une autre facette de ce besoin viscéral d’exister plus intensément. En recevant les attentions des autres on est habillé par leurs énergies, leurs regards, leurs conseils, leur soutien ou leur haine. Ceci constitue une richesse, un cocon social utile pour croitre émotionnellement et psychologiquement comme dans une famille. Ainsi, même sans s’en apercevoir, nous nous comportons comme des enfants quémandant de l’attention en permanence, se chamaillant et se compliquant l’existence.
Lorsque l’on a expérimenté les différents paliers fréquentiels, que l’on voit en soi les modifications psychologiques, quelque chose en nous « décroche » des comportements sociaux ordinaires, des attentes des autres . Nos désirs d’expériences ou d’expression changent et s’affirment sur un registre moins égocentrique. On vibre sur la fréquence de l’Expression du Soi. Partager n’est plus une nécessité personnelle, car on comprend que cela fait partie d’une phase d’expansion de notre cœur mais que cela n’est pas utile aux autres fondamentalement ; chacun fera en son heure les expériences, les ouvertures et les découvertes associées à l’amplification des sens et de la conscience. Voir et comprendre au-delà de la normalité n’aide pas les autres à se sortir de leurs croyances et de leurs filtres tant qu’ils n’y sont pas prêts. Accepter d’être l’observateur des micros-changements et des phases d’éveils devient un autre plaisir, comme l’ouvrière de la ruche nourrissant et aérant les larves des futures reines. Le travail de veille pour l’Eveil est tout aussi passionnant ; il exige patience, persévérance et humilité, sagesse et prudence car tout ce qui est donné n’est pas toujours compris et bien utilisé. La notion de responsabilité de soi pour l’évolution du groupe impose de créer quelque chose pour favoriser l’éveil des sens et des psychologies et on propose ses conseils ponctuels sous une forme créative, une expression personnelle utilisant le support qui nous semble le mieux adapté à notre qualité, à notre Essence. Il ne faut pas trahir qui l’on Est ni se tromper soi-même sur ses possibilités. Créer, c’est devenir un père ou une mère, assumer la croissance de ce qui est conçu, fournir l’énergie et donc redevenir un « chasseur » ou un « nourrisseur ».
Au fil du temps, on réapprend le recul face à sa création qui, si elle est utile pour ancrer la Valeur du Soi mais pas nécessaire dans l’Absolu pour la croissance de la Vie, qui s’assume très bien par Elle-même. De détachement en attachement successif, on apprend ce qui reste important au-delà des besoins et des désirs de chaque palier d’évolution. On fait le tour de Soi et l’on découvre les projections de ce Soi chez d’autres. On accepte que mon Soi soit également une parcelle de l’Autre. C’est une nouvelle forme d’Humilité face à l’Absolu, à l’Immanent qui Seul produit Tout ce qui Vit. Ainsi, rechercher l’Essentiel en Soi, nous le fait découvrir par l’effet miroir rendu par nos attirances instinctives, par nos choix de vie, par nos créations ou nos fréquentations, par les haines ou les attachements que nous suscitons.
Notre vie est souvent l’expression de notre fréquence vibratoire réelle.
L’œil de l’auto-conscience et de l’auto-acceptation ouvre chaque corps, élève ou abaisse les fréquences selon les aspirations et les attachements….Puis l’attention peut enfin se détourner de ce Soi pour laisser la place à un autre niveau de Soi, inhumain, non-conformiste, libre de toute forme, de toute alimentation, immortel et capable de vivre simultanément dans des dimensions et des fréquences multiples, sans se perdre dans aucune d’entre elles, car, par essence, il est UN avec lui-même, autonome et appartenant à une Unité encore supérieure, bien plus vivante, dans laquelle Il choisit d’exister tel QU’IL VEUT. Une identité n’est qu’un vêtement divin, plus ou moins orné, plus ou moins voyant….
La maîtrise de l’être énergétique et vibratoire est un exercice où vivre et mourir s’imbriquent l’un dans l’autre…Namasté. LiLa
Source: http://www.lilaluz.net/
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