Transmis par Sylvain Didelot
Bonsoir à tous, mes frères et sœurs de lumière.
Je vous invite ce soir à nous rejoindre, à nous rejoindre dans votre espace de paix intérieure, à nous rejoindre dans votre espace d’amour et dans la profondeur de ce que vous êtes.
je suis Sananda.
Vous m’avez connu sous bien des noms, sous bien des noms, Jésus, Joshua et d’autres encore.
J’aimerais porter à votre connaissance, ce soir, beaucoup d’éléments qui vont vous permettre d’améliorer la vie qui est la vôtre, d’améliorer votre existence dans un monde, dans ce monde que vous percevez, et je vais d’abord, peut-être, insister sur cette notion de monde que vous percevez seulement. Vous ne vivez pas le monde, vous n’êtes pas le monde, vous vivez la perception de ce monde, vous vivez la perception d’un monde illusoire, d’un monde qui vous amène des expériences, des expériences dans un monde d’information, dans un monde de pouvoir et de quête.
Je vais vous expliquer cela.
Quand nous parlons d’un monde de pouvoir, il s’agit d’un monde ou Dieu peut se révéler à la forme, non par la force mais par l’exercice même de sa présence dans l’illusion, par l’exercice même de son pouvoir de pensée. Vos pensées sont sans doute ce qu’il y a de plus matériel sur votre terre. Je sais que cela vous paraît très étrange de vous dire que c’est ce que vous pensez de plus éthéré, qui est en vérité l’outil même de votre existence, mais il en est ainsi.
Les pensées sont des informations, or l’information est la seule réalité de votre monde. L’amour ,qui est tout, c’est une information qui se condense autour d’une énergie, et c’est de cela dont je veux parler ce soir, quand je parle de pouvoir. Exercer son pouvoir, c’est exercer la loi d’attraction, la loi de manifestation de l’amour à travers votre pensée et vos émotions, et la réflexion de ces émotions dans l’action.
Vous avez tous l’impression de subir votre vie et de ne pas pouvoir en changer, l’impression que vous êtes coincés, parfois un peu enfermés dans un carcan de croyances. Alors, il y a vos propres croyances et il y a les croyances de ceux que vous appelez « les autres ».
En vérité, je vous le dis, chacun de vos frères, chacune de vos sœurs n’est que l’éclat de votre propre présence universelle, dans un univers si complet, si juste, et si bon finalement, si équilibré, sans que vous le perceviez. Ainsi, ce que je veux vous dire par là, c’est que, à chaque fois que vous libérez une croyance, quelqu’un d’autre la récupère, à chaque fois que vous libérez une force, quelqu’un d’autre la récupère, une autre énergie est récupérée.
Si vous désirez lâcher quelque chose qui vous semble négatif, sachez que cette chose négative ne l’est peut-être pas à l’autre bout du monde. Sachez que cette chose que vous pensez être négative, ne l’est peut-être pas, même pour l’énergie de cette planète, de ce vaisseau terre capable de recycler tout ce que vous produisez en quelque sorte.
Libérez-vous. Libérez votre conscience, libérez votre espace intérieur, libérez votre mental. Le mental c’est un outil de communication, mais un outil qui jusque-là vous a joué des tours, parce que vous vous êtes associés à l’outil et non à celui qui manipule l’outil, et non en l’être psychique spirituel, qui lui est, entièrement, uni dans la force du Divin en lui.
Alors exercer votre pouvoir, exercer votre force, exercer votre Divinité sur terre : c’est amener l’amour à l’amour, ce qui veut dire : apporter foi, conviction et savoir à une croyance, transformer cette croyance en une foi, en un savoir.
Vous connaissez ce cycle, il a déjà été évoqué. Arrêtez de croire n’est pas une chose si compliquée. Arrêter de croire, c’est croire au fait que la croyance n’existe pas, qu’elle fait partie, elle aussi, d’une illusion. Une croyance elle est basée sur votre expérience, elle est basée sur une peur et non sur l’amour. Alors ne vous sentez pas limités, ne vous sentez pas inutiles, n’ayez pas l’impression que, après ce que vous vivez, il n’arrivera rien.
Non. Vous êtes tous, plus ou moins ce soir, en train de vous révéler à vous-mêmes, en train de révéler ce qui, à l’intérieur, s’éveille, en train d’éveiller cette joie et cette puissance magnifique qui est la vôtre.
Comprenez ceci, mes frères mes sœurs, comprenez vraiment ceci : vous êtes les Dieux que vous voulez devenir, vous êtes déjà cela.
Alors j’ai perçu vos questions, j’ai perçu tous ces gens qui se demandaient ce qu’ils allaient devenir ou ce qu’ils pouvaient devenir.
Je ne peux que vous inviter à exercer, encore une fois, la force qui est la vôtre. Vous savez que la manifestation de Dieu sur cette terre, la manifestation du Père c’est la joie, c’est l’amour. Recherchez vraiment en vous déjà, ce que vous avez perdu. C’est-à-dire, souvent c’est ce goût de ce que vous appelleriez les petites choses, de ces choses qui vous semblent si banales, si évidentes, et qui en fait sont déjà des petits éclats de joie, des petits éclats de votre propre création. Alors vous avez créé tout votre univers, vous avez créé tout ce qui est autour de vous et vous voulez vous dissocier de cela, en considérant que c’est le minimum.
En vérité, c’est déjà ce que vous êtes, c’est déjà ce que vous avez, c’est déjà ce que vous émettez dans l’univers. Soyez heureux de votre propre création dans un premier temps, quelle qu’elle soit.
Votre corps, s’il fonctionne et quand il fonctionne, car Raphaël ce soir vous parlera aussi de votre santé, ce corps quand il fonctionne est un outil et un vaisseau de lumière merveilleux, en capacité de vous emmener vers les sphères de conscience les plus hautes, afin que vous compreniez à quel point vous avez été celui qui a créé tout champ d’expérience autour de vous, vous avez été celui ou celle qui a accepté ce qui se passait.
En vérité vous n’avez jamais rien subi, vous avez toujours exercé votre force. Dans le monde qui est le vôtre aujourd’hui, n’imaginez pas que ce qui vous arrive est issu d’un karma, est issu d’une dette. C’est issu de votre acceptation de ce karma, c’est issu de votre acceptation de cette dette, c’est issu de votre croyance encore une fois en cela, car nous sommes, ici et maintenant, à la fin des temps, nous sommes, ici et maintenant, dans cet espace créatif où tout peut être fait, où tout peut être défait aussi.
Agir en tant que maître de lumière, agir en tant que maître d’ascension, c’est d’abord comprendre cette vérité simple de qui vous êtes. Mais vous savez ce n’est pas facile de comprendre le Christ en vous, et je le comprends, moi aussi, parce que je l’ai vécu.
Ce n’est pas facile de comprendre que tout ce qui vous arrive vient de vous, vient de l’acceptation ou du renoncement à quelque chose.
Vous imaginez tout de même que, lorsque j’ai été incarné dans ma vie physique, je n’ai pas vécu que des choses agréables. Et quand je vivais des choses désagréables, souvent ce que je disais c’est : Père, montre-moi… montre-moi…
Ce que je demandais alors au Père, à l’être Divin que j’étais et que je suis, ce que je demandais au Père c’est de me révéler la vision de qui j’étais, la vision de ce qui s’était passé, la vision, le chemin de tout cela, et j’ai compris que tant qu’on est dans la matière, tant qu’on est dans un champ de coexistence, il arrive des choses qui peuvent vous paraître perturbées ou perturbantes.
La réalité : votre essence Divine est pure, elle est pure joie, elle est pur amour, et il ne lui arrive jamais rien. Le champ physique de votre existence, lui, peut être perturbé par d’autres co-créateurs. Alors j’ai vu, j’ai vu ce que ces autres moi, ce que ces autres parts de moi-même sont venues me présenter, ce que ces autres parts de moi-même ont fait pour moi, et sans doute contre moi, parce que vous diriez cela. Il ne se passe jamais rien qui soit contre ma volonté. Il ne se passe jamais rien qui soit contre la propre volonté Divine qui est à l’intérieur de vous.
Vous me voyez toucher ce corps parce que je me souviens de la matière, comme étant une sorte d’enfermement. Vous vous limitez à votre corps et pas à votre conscience. Vous n’avez pas la connaissance du fait que votre conscience emplit le Tout. Vous n’avez pas la connaissance du fait d’être relié à Tout. Dès lors, vous pensez que Tout est autour de cela, autour du personnage, autour de l’être. C’est une erreur d’enfant, et c’est une erreur belle et joyeuse, car c’est celle qui vous apporte le pouvoir de vous révéler à vous-mêmes aussi, de révéler Dieu à sa nature profonde puisque tel est le sens de l’expérience de l’illusion : révéler Dieu à sa nature profonde, à lui-même.
Si vous saviez à quel point nous sommes admiratifs de tout ce que vous appelez négatif, parfois.
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