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Transmis par Sylvain Didelot (suite de Vous ne vivez pas le monde, vous vivez la perception d’un monde illusoire…)

Je vous ai entendu me prier et demander : pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce que j’ai pensé pour voir cela ? Et je peux juste vous dire que vous n’avez pas le recul suffisant. Je l’ai évoqué à mon canal, mais vous ne savez pas ce que vous ne savez pas. Vous ne savez pas la justesse du plan Divin. Vous pensez être la victime sans vraiment savoir qui est le bourreau. Vous l’êtes souvent pour vous-mêmes.

Alors, dans ma propre incarnation, dans ma propre existence, j’ai établi une règle, une règle de vie, une règle de conduite que je me suis donnée et que j’ai respectée dans mon incarnation Christique de Sananda sur terre, à mon retour, et que j’applique toujours, parce que je suis parmi vous, sous bien des formes.
Cette règle est : ne faites pas aux autres ce que vous ne voudriez pas qu’on vous fasse.
Parce qu’en réalité il n’y a qu’une seule personne ici qui a besoin d’entendre cela.
Il n’existe qu’une seule personne, et qu’un seul être, dont l’existence absolue peut être révélée , c’est l’existence de la Source, c’est l’existence de l’énergie de vie, c’est l’existence de l’espace de vie en vous, cette énergie-là est vraie, tout le reste ne l’est pas.

Quitter ce plan d’ existence pour vous est inutile, cela serait comme replonger dans un cycle perpétuel. Respectez votre existence, allez jusqu’au bout de cet espace et de ce temps que vous vivez actuellement. Il est le temps des révélations, il est celui de tous les textes sacrés, celui de la bascule entre un âge et un autre âge.
Alors ce n’est pas la première fois, ce n’est pas la première fois que des êtres incarnés vivent cela, ce n’est pas la première fois que des être de lumière se révèlent à eux-mêmes, et cela arrivera encore, puisque tous les plans d’expérience vivent cela.
Vous êtes comme dans un….je cherche le mot dans l’espace de Sylvain… un escalator voilà, un escalier où tous les plans bougent en même temps, et en dessous de vous, ces plans, qu’aujourd’hui vous appelez « le bas », deviendront ce que vous êtes aujourd’hui.
Vous êtes ce qu’ils étaient, quelque part. C’est dur de parler aussi en terme temporel, dans des dimensions qui n’acceptent pas le temps, comme étant un plan réel non plus.
Vous êtes dans cette phase d’évolution qui vous amène à vous-mêmes, qui révèle la forme à la forme, et le sans forme à la forme aussi.
Quand je dis la forme à la forme :c’est l’unité, le UN, le qui vous êtes,
et quand je parle du sans forme à la forme : c’est sans doute votre espace sacré, votre être Divin votre Divinité, votre Dieu, peu importe comment vous évoquez cette énergie qui passe à travers vous en ce moment, et que j’invoque, à votre présence, ici et maintenant.

Je sais, je sais à quel point certains d’entre-vous souffrent de se croire seuls. Vous ne l’êtes pas. A chaque fois que vous m’avez appelé, j’étais à vos cotés, à chaque fois que vous m’avez supplié, je vous ai embrassés, à chaque fois que vous m’avez aimé, je vous ai aimés encore plus, et à chaque fois que vous ne m’avez pas aimé ou que vous avez crié après moi je vous aimais aussi encore plus, car mon enfant, les enfants que vous êtes , ont besoin de l’amour, à chaque instant. Pas seulement quand cela va bien ou que cela va mal, à chaque instant vous êtes baignés d’un amour profond et Divin, celui de vos guides, celui de vos frères et sœurs de lumière, celui des âmes qui sont désincarnées et qui restent à vos côtés pour vous aider dans la permanence de qui vous êtes, dans l’instabilité d’une expérience que vous regrettez parfois.

Mes frères, mes sœurs, soyez justes envers vous-mêmes, il ne vous est jamais rien arrivé.Tout ceci n’est qu’une expérience, tout ceci c’est votre expérience. Elle vous amène à devenir ce que vous êtes déjà, alors ne cherchez pas des milliers de techniques, mais recherchez le contact de vos frères et sœurs, recherchez le contact de la lumière, de ceux dont vous pourrez vous approcher, de ceux qui vous aideront et qui vous amèneront la joie quand vous les écouterez. Vous pouvez recherchez leur présence, mais ne vous y accrochez pas non plus, ils ne sont pas vos béquilles, ils ne sont que ceux qui portent la présence de la lumière pour vous l’apporter, parce que nul maître n’est digne de l’être, s’il ne permet pas à son élève de le dépasser et d’être au moins ce qu’il est.

Alors c’est très humblement que je vous remercie, que je vous remercie de votre présence, que je vous remercie de votre écoute, que je vous remercie dans votre plan d’existence d’être qui vous êtes, et d’avoir accepté la matière, d’avoir accepté l’incarnation.

Dans l’histoire que vous me prêtez, vous avez cru me voir crucifié, sacrifié, mais vous aussi, vous aussi avez fait cette œuvre, et certains d’entre-vous l’ont fait plus fortement que moi.

C’est cela aussi le sens de la phrase qu’on me prête lorsque je dis : les œuvres que j’ai faites, d’autres les feront. Il ne s’agit pas ici de révéler le Christ ou sa propre sainteté, mais aussi ce sacrifice au plan d’existence, ce sacrifice au plan de la forme, car celui qui crée en dehors de la conscience, sans même s’en apercevoir, est finalement le plus grand créateur qui soit. Dans la création involontaire, vous êtes mille fois plus puissants et agissants que vous pourriez l’imaginer. Une seule de vos pensées sous-tend le plan de la matière et sous-tend un plan d’expérience. A chacune de vos pensées votre monde se divise en un nouveau monde de choix, en un nouveau monde ou chacun de vos frères peut choisir de vous suivre ou pas.
Une seule de vos pensées crée un monde entier, alors imaginez quel créateur vous êtes, alors imaginez à quel point la Source vous observe.
Et il est là aussi le sens de ce mot, le libre arbitre. Nous ne devons et ne pouvons choisir le plan que vous désirez vivre, l’espace dans lequel vous désirez exercer la puissance du Divin sur cette terre.
Alors aujourd’hui, nous vous éveillons simplement à la puissance du créateur en vous révélant que vous pouvez reprendre un peu les rennes de ce que vous pensez être un char qui avance trop vite , avec des chevaux incontrôlables. Les chevaux du mental vous semblent incontrôlables. En vérité vous avez toujours été le cocher, mais à qui avez-vous laissé les rennes ? A qui accordez-vous le pouvoir de vous diriger ? A qui accordez-vous votre conscience, votre confiance. ? Commencez par refuser ceux qui vous dénigrent dans la forme comme étant l’être Divin que vous êtes, ne laissez pas ceux-là vous dire qui vous n’êtes pas, permettez-vous d’être qui vous êtes, autorisez-vous à exercer le métier que vous voulez exercer, autorisez-vous à vivre l’expérience que vous voulez vivre, autorisez-vous à être le guérisseur que vous êtes.

Alors… alors vous amènerez la conscience Divine sur ce plan, et dans la lumière des étoiles vous nous rejoindrez tôt ou tard, et vous vous apercevrez avec joie à quel point tout cela était en fait une expérience merveilleuse.

Mes frères et sœurs je vous aime, je vous aime immensément et sans jugement.
Je ne juge aucun d’entre-vous, je ne juge aucun de ceux que vous appelez « les mauvais », car si je jugeais un seul de mes frères je ne serais pas digne de l’unité. Cette unité est sans doute plus facile à vivre sur notre plan que sur le vôtre, et cela aussi est compris. Sachez unifier tout ce qui vous désunit, tout ce qui vous fend et ne vous construit pas. Soyez unis mes frères et sœurs en une seule voix, en un seul ensemble, celui que vous êtes, celui de la nature aimante de Dieu.

je vous laisse sans doute avec Hilarion, l’Archange, mieux que cela même, à ce qui se passe sur votre plan dans ces années qui sont pour vous importantes, à vos yeux, et aux nôtres aussi car nous sommes présents à vos cotés durant ce changement.

 

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