NP1jlHk-compressor

Cette pierre très particulière connait une histoire qui l’est tout autant. En effet, Edgar Cayce (1877-1945) le médium Américain bien connu a révélé que l’on allait retrouver dans les Caraïbes certaines parties du continent d’Atlantide. Au début du siècle dernier les prophéties de Cayce annonçaient la redécouverte dans l’île d' »Hispaniola », d’une pierre bleue extraordinaire ayant des vertus curatives fabuleuses, et qui serait indispensable aux besoins énergétiques de l’Homme au moment où on la trouverait.

Les lectures de Cayce affirment l’existence de l’Atlantide, un vaste continent avec une technologie de pointe dont les réfugiés ont peuplé l’Égypte antique et les régions précolombiennes d’Amérique. D’après Cayce, la société atlante a été divisée en deux factions politiques d’une grande longévité : une « bonne » faction appelée les « fils de la loi d’Un », et une faction « mauvaise » appelée les « fils de Belial ». Toujours selon lui, beaucoup de personnes vivantes seraient les réincarnations d’âmes atlantéennes, qui doivent maintenant faire face aux mêmes tentations qu’avant.

Visions du passé ou fausses affirmations, chacun se fera son idée ! Mais pour revenir à notre Larimar, une chose est vraie et véritable : Edgar Cayce avait annoncé la découverte de cette pierre dans ses prophéties avec une grande précision. Et c’est bien là que surgit un ecueil ! car le Larimar a été découvert plus de 29 ans après son décès.

Surpris ?


La véritable carte d’Hispaniola lors de sa découverte par les espagnols

Donc, il était une fois une île, appelée « Hispaniola » par les Espagnols, qui aurait fait partie du continent submergé d’Atlantide, et ou, selon Cayce, se trouvait une pierre bleue extraordinaire ! Un conte pour enfants ?

Et bien non ! Car chères toutes et chers tous, cette île d’Hispaniola existe belle et bien ! De nos jours, cette île, est divisée en deux pays : Haiti et La République Dominicaine. Et c’est justement en 1974, qu’une pectolite bleu volcanique, connue sous le nom de Larimar, a été trouvée en République dominicaine.

Coincidence ?

Laissons de coté cette question pour entrer plus profondément dans l’histoire du Larimar. C’est donc dans cette année 1974, qu’au pied de la chaîne de Bahoruco, dans la province côtière de Barahona, une bande bleue dans le sable de la plage a retenu l’attention de deux hommes. Pourtant, ce n’était pas une découverte qu’ils faisaient là, mais plutôt une redecouverte. En effet, le larimar n’était pas inconnu des habitants de la région. Cette gemme bleutée, parfois confondue avec une turquoise translucide, avait déjà un passé, sur cette île, connu de quelques initiés. En effet, les premiers spécimens avaient été retrouvés dans le lit de la rivière du Bahoruco, et les indigènes, qui pensaient que cette pierre venait de la mer, l’avaient appelé la pierre bleue.


La pierre bleu Larimar

Donc, et bien avant l’arrivée des deux hommes en 1974, c’est le 22 novembre 1916, que le père Miguel Domingo Fuertes de Loren de la paroisse de Barahona avait demandé la permission au ministère de la République Dominicaine d’explorer et d’exploiter une mine qu’il avait découvert. Mine qui contenait une certaine roche bleue ! Etant donné que personne ne connaissait ce dont le prêtre parlait, la demande a échoué et la découverte de la pierre a été retardée.

Et voila comment quelques dizaines d’années plus tard, Norman Rilling, un Peace Corps Américain, et Miguel Mendez, un médecin Dominicain ont localisé dans les montagnes, la mine d’où s’étaient échappés les quelques échantillons. Le Docteur Mendez eût le privilège de nommer la trouvaille ! Un savant mélande du prénom de sa fille « LARIssa », et du mot espagnol qui signifie mer : MAR. Ainsi, il composa le nom de cette pierre, semi précieuse, mais de nos jours rarissime : Larimar.

Cette gemme rare, se trouve dans un seul endroit au monde, une mine en République Dominicaine. C’est pourquoi le Larimar est considéré comme une pierre unique et très prisée. En effet, sur un plan géologique, la seule localité où le Larimar, ou Pectolite bleue, apparaît sur la croûte terrestre, est la province de Barahona, dans la région du sud-ouest de la République Dominicaine.


La région de Barahona

Pour être encore plus exacte, le gisement se trouve dans le village de « Los Chupaderos » à environ 10 Km de la ville de Barahona, dans les montagnes. A ce titre, il faut préciser que les quelques et premières pierres trouvées sur la plage, étaient du sédiment alluvial, lavé dans la mer par le fleuve de Bahoruco. Une recherche ascendante a indiqué que la mine de Los Chupaderos constituait l’unique mine de Larimar connue dans le monde. A ce titre, le Larimar fut classé en 1979 comme pierre semi-précieuse.

Continuons notre voyage géologique. Le Larimar est une variété de pectolite, ou une roche composée en grande partie de pectolite, d’hydrate acide de silicate de calcium et de sodium : vous avez tout comrpis ? Moi non ! Reprenons depuis le début.

L’île de « Hispaniola » a commencé à se former suite à des éruptions volcaniques, il y a environ 100 millions d’années. Une nouvelle montagne s’est formée avec la chaîne de Bahoruco dans de sud-ouest de l’île, en commençant par sa partie orientale. La formation du Larimar est mise en évidence par des basaltes et des andésites. Les phénomènes volcaniques ont favorisé l’association d’éléments chimiques, et c’est là, que le miracle se produit !

Car c’est à ce moment que s’est formée une association très peu fréquente dans la nature : du silicium-oxygène qui se combine avec des éléments sodiques et calciques. Ainsi, se sont formées dans des proportions adéquates, mais au hasard, des concrétions compactes de petites masses. En géologie elles sont connues sous le nom de pectolite ou encore roche secondaire.

A cause de la haute température à laquelle est soumise la masse incandescente, la cristallisation d’une variété minéralogique connue sous le nom de Pectolite se produit. La cristallisation de cette pectolite s’est faite à l’intérieur de cheminées volcaniques où la matière incandescente a été poussée par le gaz. De ce fait, l’exploitation de pectolite dépend de la localisation de ces cheminées.

Toutefois, dans le cas de notre pierre du jour, bien que le pectolite se trouve dans beaucoup d’endroits, aucun n’a la coloration bleue volcanique unique du Larimar. Cette couleur bleue, distincte de celle d’autres pectolites est le résultat de la substitution de cobalt par du calcium. Donc, unique ! Il faut ajouter, pour une parfaite compréhension, que ce processus de formation du larimar, a eût lieu dans une région montagneuse bien loin de la montagne du Cibao (montagne des pierres), il y a de cela des millions d’années.

En effet, il faut aussi tenir compte de la tectonique des plaques, ou plus simplement, la dérive des continents. Dernière petite précision a apporter à ce chapitre, malgré le fait que cette roche a été découverte il y a peu de temps à l’échelle géologique, force est de constater aujourd’hui, que l’extraction se fait de plus en plus profondément dans l’ancien volcan. Le Larimar devient donc une gemme très rare ! Il est également connu sous deux autres noms : la pierre du dauphin ou de l’Atlantide selon.

Concerant ses propriétés, c’est une pierre féminine d’une extrême douceur qui apporte calme et équilibre. Elle permet une harmonisation parfaite du plan émotionnel. Douce et féminime elle agit en profondeur sur les hommes dominateurs tout en estompant certains penchants sexistes. D’un point de vue psychologiques le larimar agit sur un comportement d’auto-sabordage, les blocages des contraintes que l’on s’impose, car c’est une pierre qui permet de prendre le contrôle de sa vie.

Elle travaille sur la joie de vivre, l’harmonisation et lutte donc contre la colère et l’irritabilité. Elle chasse aussi les peurs et les sentiments de culpabilité. Dans le rapport à autrui elle développe la compassion. Elle permet la franchise et l’ouverture aux autres et au monde et aide à agrandir son espace spirituel et à le délimiter ainsi qu’à assimiler les impressions accumulées. Elle Elargit également la perception, stimule l’activité cérébrale et la sensibilité et aide en cas de douleurs dans la poitrine, mais est aussi conseillée pour la gorge et la tête.

Sur le chakra de la gorge justement, elle sera efficace pour les problemes de cartilages et les cheveux. Elle aidera celui le thérapeute qui doit detecter les points d’acupuncture qui doivent etre activé chez un patient, principalement au niveau de ses pieds. Elle sera donc très utile en reflexologie.

Sur le chakra du plexus solaire, elle atténue la pugnacité. Un travail sur le 3eme oeil nous permettra de comprendre pourquoi on est incarné et permettra aussi de voir les chaines que l’on s’est soi meme imposées. Toujours apposée sur le même chakra, elle apportera serenité et amour dans son environnement.

Accompagnée d’un cristal de roche on pourra purger son enveloppe etherique des entités qui ont pu s’y accrocher. Elle stimule également les chakras superieurs depuis celui coeur à celui de la couronne.

D’une manière générale, le Larimar est utilisé pour faciliter la dissolution de blocages d’énergies qui sont à la base de certains problèmes mentaux ou physiques. Il est recommandé pour gérer le stress et la tension. la propriété la plus connue est de favoriser le flot d’énergie qui permet une ouverture d’esprit aux changements et aux progrès.

La puissance de son action est surtout révélée au 5è Chakra, ou centre d’énergie, situé près de la gorge. Ce centre regroupe le thymus, régulateur du système immunitaire, et la glande thyroïde (près de la trachée), organe important dans la croissance. On lui attribue une action bénéfique dans l’amélioration de l’expression verbale et des habiletés communicatives et en outre, il est a signaler un renforcement dans le processus des guérisons.

Les effets de la gemme curative peuvent être ressentis quand la pierre est portée en pendentif, ou en contact direct avec la peau. Dernier petit conseil si vous avez la chance d’en avoir une, je recommandé chez vous de placer la pierre près de vous ou de la personne concernée, dans une poche, sous un oreiller ou une table de nuit.

Le Larimar se purifie à l’eau. Passez le sous un filet d’eau froide. Pour le recharger préférez le soleil levant. A cet instant, c’est là que les énergies solaires sont les plus dynamisantes.

Source: http://www.cercle-de-samsara.com/