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Photo Lydia Feliz – http://lydiouze.blogspot.ca

par Lydia

En ce moment et même si ça fait déjà quelques temps que je remets en question la plupart de mes croyances, je suis dans une phase d’observation en étant le plus neutre possible. C’est aussi en vivant tout le processus tout en sachant que ce qui réagit en moi est l’expression d’une blessure d’enfance que je peux faire la part des choses et guérir ces blessures.

Je suis face à celles de rejet et d’injustice qui a été éveillée par une invitation envoyée à des membres de ma famille élargie sur facebook auxquels ils n’ont pas répondu.

La première réaction, c’est toujours celle de l’enfant en soi, cet aspect que d’autres appellent ego ou moi inférieur.

En fait, selon ma vision et mon expérience, l’enfant c’est celui qui représente le côté émotionnel, à vif, spontané, celui qui exprime les pensées émotions relatives aux blessures et l’ego c’est l’aspect stratégique de l’individu, sa façon un peu plus mature de réagir.  L’aspect qui tente de protéger l’enfant par des stratégies qui ne sont pas efficaces puisqu’elles ne permettent pas de guérir les blessures mais qui apportent tout de même un soulagement temporaire qui permet de pouvoir fonctionner malgré le mal-être intérieur.

La foi à mon sens, c’est prendre conscience qu’une intelligence supérieure à la fois masculine et féminine, est ce que nous sommes en vérité ou originellement.

Lorsqu’on reconnait cela en soi, on va pouvoir rétablir l’ordre à l’intérieur, remettre chaque aspect à sa juste place en détectant et en lâchant les stratégies de l’ego.

 

J’ai donc offert à la source tout ce que suscitait cette absence de réponse à mes invitations et ça m’a permis d’y voir plus clair tout en consolant l’enfant en moi.

Il est évident que ce qui est douloureux, c’est de revivre des situations de l’enfance mais quand ça fait mal, c’est parce qu’on met le doigt sur quelque chose qui a besoin d’être vu avec clarté et compassion.

Peu à peu, des idées me sont venues à propos de ma famille côté paternel, très focalisée sur l’image, le paraitre et la croyance qu’en affichant une image impeccable, à la mode, on prouve sa valeur et on sera respecté.

J’aurais pu rester sur cette première impression mais je suis allée plus en profondeur et j’ai pu voir qu’un tel comportement était aussi l’expression d’une blessure, de la peur d’être rejeté, incompris, exclu. Et ça n’est pas du tout étonnant puisque mes grands parents ont quitté leur Espagne natale, leur milieux bourgeois confortable pendant la guerre civile de 1936 parce qu’ils étaient anarchistes. Un premier choc suivi d’un deuxième lorsqu’ils se sont retrouvés parqués dans un camp de réfugiés à Argelés sur mer.

Ils ont dû renier leur racine, leur terre, un certain confort, pour suivre leurs idées révolutionnaires à l’époque et ils ont payé le prix fort.

Certainement que s’ils avaient pu guérir les blessures de rejet, d’enfance, les choses se seraient passées autrement mais à l’époque, la foi, la spiritualité était réservée aux initiés, l’église et l’état se battaient pour garder le pouvoir contre une classe populaire qui se révoltait de plus en plus.

Je ne vais pas refaire l’histoire avec un grand « H » mais je peux revisiter la mienne, les croyances que j’ai adoptées pendant l’enfance et guérir ses blessures qu’ils m’ont léguées, qui font partie de mon patrimoine génétique.

Je pourrais reproduire ces schémas et réagir de la même façon qu’eux, par la révolte, la fuite, comme je l’ai fait toute ma vie même si ces stratégies identiques dans le fond ont pris une autre forme mais comme je sais que tout ce qui est vécu à l’extérieur est une occasion de venir en soi, d’y mettre de la lumière/conscience, de l’amour/compassion pour les parts internes en souffrance, j’ai opté pour cette solution.

Puis une fois le bagage émotionnel évacué, je me suis dit que j’étais aussi influencée par les apparences, par des codes, des critères d’évaluation différents mais qui restent tout de même des jugements arbitraires et réducteurs.

 

C’est quelque chose dont j’ai pris conscience tout au long de ma vie mais je pensais avoir lâché définitivement cette façon de voir les autres.

A l’adolescence, j’avais été choquée d’entendre ma grand-mère se moquer d’une amie qui n’était pas très jolie. Non seulement elle l’avait dit en sa présence d’une façon infantile mais en plus, en espagnol.

La lâcheté, l’injustice, la stupidité, tout était réuni pour que j’aie un regard différent sur ma grand-mère. C’est beaucoup plus tard que j’ai compris qu’elle soumise aux dictats de la mode, des apparences et que sa position vis-à-vis de mon grand père qui avait une maitresse, se limitait à celle de mère nourricière. Elle qui était née dans une famille bourgeoise, fille unique choyée, gâtée, se voyait reléguée au rôle de « mama », de cuisinière.

Malgré tout, elle aimait ça, elle compensait son manque de reconnaissance par la nourriture et se réjouissait de préparer la paella hebdomadaire traditionnelle, pour ses enfants et petits enfants. C’est elle aussi qui répétait souvent « il faut souffrir pour être belle ! »

Très tôt j’avais décidé de ne pas être belle parce que je ne voulais pas souffrir.

On fait des associations d’idées, on bâti des croyances sur quelques phrases « choc », sur des incompréhensions, des non-dits, des secrets, des sensations qu’on ne sait pas définir.

C’est lorsque je suis entrée dans l’église chrétienne connue sous le nom de « Mormons » que j’ai pris conscience que malgré ce que je pensais, j’étais aussi remplie de croyances, d’à priori et que je n’épargnais pas non plus les autres de mes jugements.

J’avais été rejetée, jugée par ma famille, par la société, parce que je n’entrais pas dans le moule, cataloguée de marginale, de droguée mais je faisais exactement la même chose avec toute une catégorie de gens, ceux que j’appelais les « bourges », les « beaufs ».

Dans les églises, la tendance à dire qu’on est meilleur que les autres, plus éclairé, plus juste, élu de dieu…est assez forte aussi mais comme ça ne correspondait pas du tout aux enseignements du christ tels que je les percevais, je n’entrais pas dans ce jeu.

Même dans l’ancien testament, il est question de peuple élu, d’appelés de dieu, de païens, de gentils, de barbares, d’impies…l’humain a toujours divisé les peuples et c’est tellement injuste à mon sens que ça ne peut pas être « la parole de dieu ».

Malgré que je pensais être juste, j’avais tout de même des à priori vis-à-vis de certains codes vestimentaires et c’est en apprenant à connaitre intimement des gens en costume cravate que j’ai pu changer ma vision des choses.

On a beau savoir que l’habit ne fait pas le moine, ces réflexes instinctifs de jugement arbitraire, sont profondément ancrés.

Et ce qui est magique c’est que lorsqu’on s’accepte tel qu’on est, lorsqu’on reconnait sa propre lumière, au-delà des ses ombres, ses failles, ses défauts, lorsqu’on abandonne les masques, on peut voir la lumière en l’autre, au-delà des jeux de rôles et des apparences.

 

Le fait d’avoir parcouru les routes de France en auto-stop et de jouer de l’accordéon dans la rue m’a aussi beaucoup appris et permis de lâcher les à priori vis-à-vis de ceux que je qualifiais de « beaufs ».

Rien de tel que d’échanger en toute sincérité avec des humains rencontrés « au hasard » de son chemin, l’espace de quelques heures, et qu’on ne verra probablement plus jamais, pour changer son regard sur les autres.

C’était d’ailleurs tout le sens de ce choix, tout l’intérêt de partir avec le strict minimum et de se laisser guider par l’élan de vie, en étant ouvert aux autres, en se mettant à leur portée.

Même si l’auto-stop peut être perçu comme une mise en danger, une façon de se jeter dans la gueule du loup, c’est un moyen idéal de pouvoir connaitre les gens une fois qu’on a posé les choses clairement.

C’est aussi ce qui m’a permis d’être déterminée, d’apprendre à poser des limites, à être vraie plutôt que de jouer le jeu de la séduction pour être sûre de ne pas rester sur le bord de la route et tomber naturellement sur des gens qui pensent qu’on se prostitue.

J’ai pu constater que la façon d’être influençait le comportement des autres et que plus j’étais moi-même, mieux ça se passait. Là aussi la loi de résonance a été démontrée plus d’une fois parce que je ne suis jamais tombée sur un malade, un pervers ou quelqu’un d’irrespectueux parce que j’étais claire avec moi-même, honnête, consciente de mes blessures mais aussi de la force qui vient de l’intuition, du fait de la suivre.

Je n’avais pas peur parce que ma foi en l’humain capable du meilleur était puissante même si je n’avais pas encore collé d’étiquette à la source, à ce qui m’animait de l’intérieur.

J’avais connu le pire comportement qu’un être humain puisse avoir et j’étais convaincue qu’il ne pourrait rien m’arriver de plus douloureux.

Je suivais mon intuition en toutes choses et je devais être présente, attentive, prudente, tout en étant ouverte aux autres. Je ne me prenais pas en pitié malgré mes blessures, je ne jouais pas le rôle de la victime et j’étais respectée en conséquences.

J’ai vraiment beaucoup aimé cette façon de vivre parce que je me sentais vraiment libre et même si la drogue faisait office de carapace ou de protection, je devais être consciente et vigilante. La codéine m’aidait à être plus sûre de moi et comme la douleur des blessures était apaisée, je vibrais sur la fréquence de la liberté d’être, de faire ce que j’aimais, de « gagner ma vie » en jouant de la musique. Une forme d’indépendance qui me correspondait même si ça me marginalisait. Puis je savais que c’était une paire de béquille et comme je n’avais pas d’autres moyens de calmer les blessures, je ne culpabilisais pas du tout de prendre des drogues. J’ai pu connaitre les humains et me connaitre à travers ces rencontres, en ayant un peu de recul du fait d’être coupée de mon passé même si c’était de façon artificielle.

Maintenant, je peux faire la même chose, retrouver cet état d’être, cette sensation de liberté, de ne pas être limitée, simplement en laissant l’amour lumière intérieurs harmoniser les énergies, guérir les blessures du passé.

Simplement en étant lucide et bienveillante à l’égard de l’enfant intérieur.

Ça peut sembler trop simple mais c’est tout à fait juste et réellement efficace.

Juste dans le sens où je suis la seule à pouvoir guérir cet enfant en moi, même si les autres y participent activement.

Mais la différence, c’est que je suis consciente qu’ils me renvoient ce que je porte et pas ce que je suis.

Ils ne sont plus perçus comme la cause du problème mais en quelque sorte comme des éveilleurs de conscience puisqu’ils mettent le doigt où ça fait mal.

Et c’est de cette façon que je peux reconnaitre ce que je porte en moi, ce qui active les blessures auxquelles je ne peux pas m’identifier puisque ce ne sont que des énergies, des croyances et des illusions.

Tout comme le masque de l’acteur n’est pas sa personnalité, les blessures que je porte ne sont pas ce que je suis même si elles ont conditionné mon parcours et ma vision.

Elles m’ont enseignée, guidée dans ma quête existentielle et permis de chercher à l’intérieur ce que je cherchais en vain au dehors. Elles m’ont permis de savoir qui je suis au-delà des apparences, des couches superficielles du paraitre, au-delà des pensées, des émotions et des croyances éphémères et changeantes. Elles m’ont amenée à chercher et à trouver la paix, l’amour et la lumière en moi. Puis à reconnaitre en chacun ses mêmes énergies, cette conscience dont nous sommes tous issus. Elles m’ont enseigné la justesse, la nécessité de se centrer, de trouver le juste milieu, l’équilibre et l’harmonie, la libération véritable par le pouvoir de l’acceptation, du pardon à soi-même et aux autres. A cultiver l’amour inconditionnel, à me fier à mon cœur, mon intuition en y associant la raison, la logique depuis le point de vue de l’âme.

Ce n’est pas le fait du hasard si je suis tombée sur ce texte en parfait accord avec ma pensée, ma vision actuelle des choses.

« Nos blessures sont nos plus grandes richesses »

« Nos blessures sont des expériences pour nous permettre d’aller chercher en nous des qualités dont nous avons besoin pour créer notre vie.

Ce sont des bénédictions, des véritables cadeaux qu’il nous faut découvrir tout au long de notre vie.

En fonction de ce que nous sommes venus expérimenter sur terre, nous choisissons les parents parfaits, la situation parfaite sur le plan de notre âme.

La souffrance pourra nous dévier du chemin pour un temps. Soit notre mental se cristallise autour de cette souffrance, soit le besoin de découvrir sa vérité est plus grand et provoque l’ouverture de conscience nécessaire à l’évolution.

Nos blessures ont toutes du sens, elles ont des choses à nous apprendre, elles n’arrivent pas par hasard.

Lorsque nous acceptons de les regarder, que nous les accueillons tel un cadeau, nous cessons de lutter ou de nous sentir victimes.

Quelque chose de plus grand s’ouvre alors à nous. De nouveaux horizons.

Mais cela est compréhensible seulement à celui qui expérimente.

Celui qui sort du rôle de victime et qui accepte de reprendre sa responsabilité de vie.

Pas au niveau mental, mais bien au niveau du cœur.

Sans nos souffrances passées ou actuelles, nous ne serions pas ce que nous sommes aujourd’hui.

Nous avons deux choix possibles face à nos blessures :

– soit notre mental détourne la blessure et conserve son statut de victime où seule la souffrance demeure, et quelque fois le soulagement temporaire.

– soit nous sentons que quelque chose d’autre se cache derrière cette blessure et cherche à voir le jour. Ce n’est pas seulement l’expérience humaine et concrète qui donne le sens, mais bien quelque chose de plus profond, d’invisible avec les 5 sens. Nous descendons alors au niveau du cœur.

Si ce message vous fait écho, c’est que vous êtes probablement invités à descendre au niveau de votre cœur afin de découvrir le message caché derrière votre blessure.

Vous êtes  à l’aube d’une grande libération. Votre âme vous envoie des signes de plus en plus fort. Il faut simplement cesser de tout intellectualiser et suivre uniquement votre cœur, c’est à dire ce qui vous fait vibrer, ce qui vous fait plaisir, ce qui résonne en vous ». Gaëlle Hayere (article lu sur « La presse galactique »)

 

Il est clair que lorsqu’on observe ce qui se vit en nous depuis l’espace serein du cœur, on peut voir la richesse de notre vécu, les enseignements et initiations que ce chemin apporte. Et on a toujours le choix de la façon dont on va réagir, de croire ou non que nous sommes victimes.

Bien que ce ne soit pas facile, c’est tout à fait réalisable et on peut se détacher des rôles en revenant au centre de soi.

Lorsqu’on considère les choses avec du recul et qu’on comprend la vie à travers les yeux de l’âme, avec neutralité, on voit que tout est fait pour nous ramener au centre, à la reconnaissance de l’être, la délivrance de la souffrance en lâchant les jeux de rôle.

On voit que tous ces rôles sont des mises en situation, des opportunités de trouver sa force dans l’offrande à la source, de tout ce qui nous traverse.

Ce faisant, on se détache des jeux de rôles et l’amour lumière en soi va rétablir l’ordre et l’équilibre de façon extraordinaire. On est le témoin de cette renaissance et la vie elle-même, les rencontres qui nous renvoient la vibration qu’on porte, nous confirment qu’on s’élève au-delà du drame, des jeux de rôles, des apparences.

J’en fais l’expérience en ce moment et c’est une occasion de pouvoir me connaitre en profondeur, non plus par le phénomène douloureux qui attire des victimes, des bourreaux ou des sauveurs mais par la rencontre d’âmes sœurs conscientes de qui elles sont en vérité.

Même si elles jouent aussi des rôles comme on le fait tous, le fait qu’on puisse le voir et ne pas s’en vouloir, ou encore essayer de changer en force, par le contrôle, l’auto-jugement, le rejet, pouvoir communiquer en toute transparence est déjà quelque chose de merveilleux.

Ces rencontres entre âmes sœurs conscientes des jeux de rôles qui aspirent à être vraies et spontanées, à redevenir l’enfant innocent dans la façon d’être en relation, m’aident à oser dire et être ce que je suis.

Je trouve enfin ce auquel j’ai toujours aspiré, pouvoir communiquer en toute simplicité, depuis l’espace du cœur, en frères et sœurs.

Même si on comprend les jeux de rôles du triangle dramatique et parfois justement parce qu’on comprend que ce sont des comportements conditionnés, automatiques, réflexes, on a tendance à se juger et à s’en vouloir de ne pas être capable de s’en extraire.

On entre alors dans une autre forme de rejet de soi, de jugement et on nourrit la division, le besoin de contrôle, de perfection, l’excès et l’identification à un pôle, au pôle « positif ». On ne sort pas des conditionnements, on en fabrique d’autres à partir de nouvelles croyances.

Les relations qui guérissent sont celles qui se basent sur la confiance, la capacité de dire ce qu’on ressent, ce qu’on pense, sans jugement, sans retenue, sans accuser l’autre, sans projeter ses peurs, fantasmes et croyances.

On reconnait sa propre sagesse, sa capacité à prendre du recul et à se prendre en charge au niveau affectif alors on le reconnait aussi en l’autre.

On sait voir lorsqu’on est dans un rôle et par le fait, on arrête de le jouer.

Puis à ce sujet, on va voir les choses au-delà du jugement et comprendre que c’est dans l’équilibre, l’harmonie, le juste milieu que les énergies des rôles sont bénéfiques, qu’elles peuvent servir le bien-être de l’ensemble, la réalisation de soi, dans le respect de toute vie.

Ainsi, le rôle du sauveur exprime le besoin de tout humain de prendre soin, de contribuer au bien-être d’autrui et en commençant à prendre soin de l’enfant en soi, on ne sera plus dans le besoin de sauver mais l’envie de partager, d’offrir le meilleur de soi non pas pour plaire ou être reconnu par nécessité afin de combler le manque d’amour en soi.

On comprend aussi que la reconnaissance extérieure est bénéfique lorsqu’elle est le reflet de ce qu’on porte, lorsqu’elle s’ajoute à celle qu’on a de soi-même. Elle est perçue comme une expression de l’amour qui ne vient pas combler un manque mais qui nourrit les besoins de l’âme, de la personnalité qui se plaisent dans la communion, la compréhension mutuelle.

Lorsqu’on sait nourrir ses besoins essentiels par l’union des polarités en soi, par l’association des énergies, des corps qui vont s’unir dans le respect mutuel et l’entente, le comportement des autres n’influence pas notre état d’être de façon négative.

Quand l’autre est bienveillant c’est très bien et s’il ne l’est pas, on passe son chemin en ayant pris soin d’accueillir en soi ce qu’il a révélé en nous.

Puis lorsqu’on fait confiance à la puissance de la source en soi, on appelle simplement la paix et l’harmonie en sachant que la compréhension viendra après. On n’est plus dépendant des autres mais on est conscient de l’importance de l’échange, du partage.

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Retrouvez les chroniques de Lydia sur la Presse Galactique

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