influence_de_la_lune-compressor

par Guilaine Lipski

C’est vrai, il y a des jours sans soleil et des nuits sans lune, des jours où nous nous demandons ce que nous faisons sur ce vaisseau Terre à tenter de  faire de notre mieux, quand nous avons ce courage d’appliquer notre connaissance….

Pourtant nous avançons même dans notre inconfort, nous épurons, nous allégeons pourvu que nous restions conscients que : Cela passera aussi. (surtout ne pas en remettre une couche)

Dans ces moments de doutes où les questions envahissent notre cœur et les réponses semblent nous narguer avec cynisme pour cause d’absentéisme, ne jamais oublier que ce moment est utile à notre libération, qu’il a un sens et passera d’autant mieux que nous saurons l’accueillir, l’accepter tel qu’il est.

Tel un orage nous attendrons qu’il passe sans trop nous appesantir sur les difficiles remous qu’il occasionne.

La souffrance est toujours résistance à ce qui est et la vie est une école permanente….oui, pas facile tous les jours.

Pour certains l’amour ou ce qu’ils  croient en être les  fait parfois tomber sur le versant douloureux du cœur, il ne s’agit alors que d’une tentative de nous montrer la faille en nous, car cet endroit  où « ça fait mal » appelle la guérison.

Bien souvent dans les rapports dits « amoureux » nous prenons la douleur pour de l’amour mais cette douleur n’en est pas, cette douleur est la blessure, il ne faut pas confondre.

L’amour est censé nous amener au meilleur de nous-mêmes, souffrir « en amour » revient à patauger (ou se noyer !) dans des sables mouvants et nous avons alors besoin d’une main, d’une présence pour nous aider à identifier les failles en nous, pour mettre en  lumière les mauvaises herbes.

Les moments difficiles sont alors là pour exhumer du passé des semences nuisibles qui n’ont plus lieu d’être.

Oui, les jours difficiles ont leur utilité bien qu’ils ne seraient  pas forcément nécessaires si seulement nous savions vivre dans la neutralité nos difficultés en acceptant ce qui est comme cela est ET dans la paix.

Peut-être vivre notre vie comme une méditation, en ne s’attachant à rien….Laisser faire, laisser être…..plus d’objection à quoi que ce soit tout en restant fidèle à soi-même et surtout dans le respect et l’amour de qui nous sommes. Le début de la sagesse ?

Que le meilleur soit !

De coeur à coeur

Guilaine

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Source: http://lapressegalactique.org

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