par Maxence Férary
Comme toujours je vais partager avec vous mon expérience, mon propre vécu. Parmi les expériences les plus pénibles que j’ai expérimentées, il y a eu celle de la perte d’un être cher. La seule personne au monde que j’aimais. Son départ a été pour moi de me laisser dans un grand vide. La question est donc, peut-on faire face à cette expérience, sans basculer dans le chagrin inconsolable, voir la dépression ou pire encore ? et si oui, comment ?
J’évoque souvent les paradoxes, et là aussi j’ai retrouvé le paradoxe, avec le recul. Cette expérience a été, à la fois la pire et aussi la plus grande. Voici donc ce qu’aujourd’hui je suis en mesure de partager avec vous à ce sujet.
Comme vous le savez probablement, j’ai fait une EMI à l’âge de 7 ans. Je sais donc très bien ce qu’il en est vis à vis de la mort. Qu’elle n’est pas du tout telle qu’on nous la présente et qu’il n’y a aucun doutes à avoir sur notre subsistance dans « l’après. » Nous somme toujours bel et bien là !
Cependant suite au décès d’un être cher, j’ai mis environ 6 années à pouvoir faire mon deuil. Son départ a été pour moi comme un grand vide sidéral, malgré le fait que je sache très bien qu’elle n’était pas morte à proprement parler. Durant ces années, ma peine est restée présente au quotidien.
Savez-vous qui m’a tiré de ce pas ? Qui m’a aidé à transcender ce chagrin ? On pourrait penser au temps. L’on dit cela, le temps fera son oeuvre. Mais non, ce que nous arrivons à enfouir, tant bien que mal, dans un recoin de nous même avec le temps, est toujours là dans ce recoin. Ceci est très important à conscientiser et c’est la différence avec la transcendance qui transmute et évacue, remplace.
La réponse est simple, mes bons amis. C’est notre bien aimé Christ qui m’a aidé. Christ m’a montré ce qu’est le véritable amour. Dans cet amour il ne peut y avoir de chagrin ou de manque, de peine ou de désolation, ou de quoi de pénible. C’est à vivre, je ne peux pas l’exprimer vraiment avec de simples mots. Mais je tiens à dire que l’amour que Christ mettra dans votre coeur sera si fort, si lumineux, si infini, si riche, si glorieux, que plus jamais vous ne pourrez avoir d’autre envie que de vibrer cet amour en continu, ou en tout cas de cheminer vers cet amour inconditionnel.. Quelque part en s’ouvrant à ce désir, Christ allume la flamme de l’étincelle qui est en nous. Il faut être prêt à l’accueillir, et à abandonner le rôle de victime aussi.
Dans ce cheminement j’ai aussi réalisé que bien sur, en rester au stade 3D basique ne permet pas d’accéder aux raffinements et subtilités voulus pour vivre cet amour. Dans ce but il est indispensable de se relier à son moi supérieur pour accéder à la complétude adéquate et aux ressources qui permettent la transcendance. Lorsque nous sommes connectés à notre surmoi nous n’avons plus besoin de rien. Car nous sommes. Avoir un besoin c’est affirmer que nous sommes dans un manque et c’est ancrer ce manque dans notre réalité. Dans le cadre de la réunification avec notre moi divin, nous pouvons assimiler de nouvelles façons de voir les choses, ou d’aborder les « problèmes » qui deviennent plutôt comme des simples exercices. Ces subtilités sont inaccessibles au mental dissocié.
Il nous est nécessaire d’être dans l’unité pour vivre dans l’allégresse et traverser les épreuves plus facilement, si difficiles soient-elles.
Avec tout mon amour,
Maxence
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