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Trois confirmations astrophysiques récentes de la véracité de la Théorie

de la Création Perpétuelle selon Léon Raoul et Frank Hatem

Par Frank Hatem, Président de l’Université Francophone de Métaphysique.

L’Etre est une évolution, non un état, on l’a assez démontré dans ces colonnes. Et cela change tout. Toute science, toute compréhension, sont impossibles si on croit que l’Etre est un état. On veut saisir la particule atomique en interrompant sa course, croyant qu’elle a une réalité autre que dans son mouvement, ce faisant on la nie. Un état pourrait être analysé, non un mouvement, et tout est mouvement. L’analyse est la mort de la Science.

La même erreur a conduit à la théorie du « Big Bang » : l’univers ne peut être analysé comme un objet saisissable. On doit l’appréhender dans son ensemble en tant que tendance, en tant qu’évolution vers l’infini. Mais pour cela il faut d’abord avoir compris le But de toute chose : l’infinité. Ce qu’on a déjà démontré abondamment dans ces colonnes.

On a largement démontré ici que l’univers n’est que la manifestation de la nécessité de l’infini. Une simple nécessité qui, en elle-même, est une énergie. Car si une nécessité ne se manifeste pas par un mouvement, c’est que ce n’est pas une nécessité.

L’énergie universelle est magnétique puisque ATTRACTIVE dans la mesure où elle est une projection vers un but, et REPULSIVE dans la mesure où ce but est inaccessible, puisqu’infini. On se maintient toujours à distance de ce but, c’est ce qu’on appelle la Répulsion. Et c’est cette impossibilité du but qui fait que l’énergie a une « vitesse limitée », qu’elle est « mesurable ». Que c’est donc une véritable énergie. Si le but pouvait être atteint, il le serait, et il n’y aurait pas d’énergie.

Plus on semble se rapprocher du but, plus le temps, c’est-à-dire la mémoire en fait, paraît long. C’est une expansion du temps ressenti. Et de façon accélérée puisque plus on se rapproche du but, plus l’attraction (volonté) est forte. Même si, dans l’absolu, on ne se rapproche pas vraiment du but : l’infini est toujours aussi loin. On est toujours ici et maintenant, au « centre du tout », mais avec une mémoire plus riche, plus « infinie ». C’est cela, être.

Le mouvement est ainsi pure illusion. Cela ne surprendra aucun spiritualiste, mais cela peut choquer bien des physiciens.

L’Astrophysique considère que l’expansion (accélérée) de l’univers ne fait aucun doute. Comme d’habitude, c’est l’inverse. On l’a également démontré à plusieurs reprises dans nos articles : l’espace n’évolue pas. C’est le temps qui change. L’espace manifeste la répulsion, qui est une donnée, immédiate et définitive, et non une évolution.

La répulsion ou l’espace sont d’ailleurs un autre nom pour la CONSCIENCE. Etre conscient, c’est s’opposer à quelque chose qui n’est pas considéré comme soi, qu’on considère comme EXTERIEUR à soi, processus dû à l’impossibilité de l’infini, et qui fait que l’espace apparaît comme une donnée définitive et « objective ».

On n’a conscience qu’une fois qu’on a créé l’espace. Ce qui se passe auparavant, la genèse de la conscience donc, ne peut pas être conscient. C’est ce qui fait qu’on se trouve toujours planté quelque part à se demander ce qu’on fait là et pourquoi il y avait cet univers avant moi. Ce qui d’ailleurs est une erreur, l’univers naît avec la conscience, à chaque instant. C’est ce qu’on appelle ici la « Création Perpétuelle ». Et ce qui fait croire qu’il était là avant, c’est que « être », c’est être des mémoires, donc croire à un passé. La conscience n’est pas possible sans mémoires d’une façon ou d’une autre, ce sont les moyens de rester « quelque chose » au lieu d’être infini.

L’espace n’évolue donc jamais, la séparation d’avec l’infini étant totale et définitive à chaque instant (et donc la conscience éternelle). Il n’y a aucune possibilité pour l’espace, ni d’être en expansion, ni d’être en récession, et aucun mouvement n’est réel.

Par contre le temps n’est pas du tout une donnée ni une circonstance pour l’Etre. Il est l’évolution elle-même de l’Etre. Le temps consiste à percevoir des variations dans l’espace, alors qu’il n’y en a aucune. C’est le temps, c’est-à-dire la MEMOIRE, qui change. Toute évolution est une évolution de la mémoire.

La mémoire de qui ? On ne va pas revenir là-dessus, on en a parlé abondamment dans d’autres articles. C’est la mémoire de SOI, qui prend toutes les formes possibles, à l’infini potentiellement, et qui fait la multiplicité de ce qu’on appelle les « âmes », la multitude des personnalités, humaines, antérieures à l’humain comme le végétal, le minéral etc., ou ultérieures comme les Manassiens (nom que nous donnons à l’Etre lorsqu’il s’identifie au Causal et non plus au Mental comme les hommes), et au-delà (Buddhi, Atma).

Ne nous méprenons pas, ce n’est pas parce que nous disons « antérieur » ou « ultérieur » que cela donne une réalité absolue au temps. Il s’agit d’états différents de l’Etre, qui existent tous en même temps, mais auxquels on ne s’identifie qu’un par un, passant du précédent à l’ultérieur, nous faisant croire que nous sommes un de ces états et non tous potentiellement. Nous sommes (en tant que conscience) l’évolution elle-même et non aucune de ces étapes (corps, ego).

Le fait qu’il y ait des hommes et des animaux n’empêche pas qu’il y ait en même temps des végétaux, des minéraux, des particules etc. L’Etre se vit toujours à tous les niveaux d’évolution en même temps, mais ne s’identifie partout qu’à un seul. C’est l’évolution dans le temps qui est illusoire, relative à chacun par rapport aux autres, tout comme l’espace est uniquement relatif entre les corps, et certainement pas absolu indépendamment des corps.

Tout cela n’est pas facile à cerner, mais l’Université Francophone de Métaphysique est précisément là pour que ce genre de notions ne soit plus une difficulté, et que la compréhension de l’origine et de la nature de l’Etre et de l’univers ne soient plus un mystère pour personne. Pour ceux qui ont envie de comprendre évidemment.

La croyance physicienne en l’expansion de l’univers est donc, comme à l’accoutumée, à l’inverse de la réalité, puisque le monde des apparences est strictement à l’inverse des réalités métaphysiques. Cela non plus ne devrait pas surprendre les spiritualistes qui savent que ce monde est illusion, « reflet du miroir » comme on dit souvent.

En effet, l’Astrophysique pense que cette « expansion de l’univers » (dont l’observation en 1924 par l’astronome Edwin Hubble a donné naissance à la théorie du « Big Bang » de l’Abbé Lemaître en 1927), ne consiste pas en fait en un déplacement des astres, mais qu’il s’agirait plutôt d’une « dilatation de l’espace », donnant cette impression de déplacement.

Néanmoins, on pense souvent que la gravitation régnante devrait ralentir cette expansion alors qu’elle s’accélère, ce qui conduit actuellement à l’idée d’une « répulsion universelle ».

Ces conceptions ramènent à l’idée d’un déplacement réel. Quand on parle de vitesse de la lumière (utilisée pour mesurer les distances), on parle bien de déplacement, alors qu’en fait en aucun cas la lumière ne se déplace. On ne va pas ici entrer dans ces explications qu’on trouvera dans le module 3 de l’enseignement de l’Université Francophone de Métaphysique.

Bien entendu ces fausses conceptions conduisent à des interprétations fausses, comme l’âge de l’univers par exemple. Il n’a aucun âge, il se recrée à chaque instant éternellement. L’infini étant éternellement impossible, la création d’espace illusoire conscient est inévitable.

Mais le plus important ici est que ce qui est en expansion, nous l’avons dit, c’est toujours le temps subjectif, et jamais l’espace. Mais on a l’habitude d’observer l’espace, et jamais d’observer le temps. On ne « s’étudie pas soi-même » (on n’étudie pas cette genèse des mémoires), pour « comprendre l’univers et les dieux », comme disaient Socrate et Pythagore, on préfère observer l’observable, c’est plus confortable, et on se sent moins seul face à sa propre création universelle.

Ce faisant évidemment, on confond les choses. Et on croit que l’espace est en expansion alors que c’est le SOI qui est en concentration permanente. Car l’évolution intérieure de l’Etre consiste à se concentrer toujours plus, à intégrer toujours plus à l’intérieur ce qu’on croyait extérieur, autrement dit à AIMER de plus en plus, consciemment. L’attraction c’est l’amour, et la conscience ne vit QUE l’amour. A partir du moment où la répulsion a fait son œuvre, c’est-à-dire à chaque instant, c’est la réintégration « à l’intérieur de soi » de cet infini placé toujours « à l’extérieur » qui prend le relai et occupe la totalité de l’univers conscient. D’où en partie la croyance en la « gravitation universelle » (attraction seulement).

Si nous sommes des humains à présent, c’est parce que nous contenons tous les univers animaux, végétaux, minéraux, atomiques, énergétiques etc. qui nous précèdent. Nous sommes plus « concentrés », « nous concentrons en nous plus d’infini » que les Règnes « antérieurs ». Mais moins que ceux qui nous attendent et dont nous n’avons pas encore conscience. Mais tous sont toujours présents en même temps. Il n’y a pas de passsé.

En termes taoïstes, on dirait que plus je suis Yang (concentration), plus le Yin paraît vaste (dilatation). « Si grande la face, si grand le dos » comme disait Ohsawa.

Le but paraît bien proche pour un minéral, simplement attiré par « gravité » à proximité immédiate. Mais plus on évolue plus il paraît éloigné, au fur et à mesure que nos qualités d’amour progressent.

Et comme plus je m’approche du but, plus mon temps s’accélère, j’ai l’impression d’une expansion accélérée de l’univers.

Pourquoi l’amour s’accélère avec le rapprochement ? Simplement parce qu’évoluer c’est aimer plus puisque c’est contenir plus (de mémoires, d’êtres, d’espace etc.). Je crois me rapprocher du but, en fait je ne m’en rapproche pas vraiment, par contre ce qui s’accroît c’est ma capacité et ma volonté d’AMOUR. « Le temps c’est de l’amour » comme dit Pascal Obispo. Donc l’intensité augmente avec le « rapprochement », et c’est cela qui est à l’origine de la Loi de Coulomb et les calculs de Newton : deux fois moins de distance, quatre fois plus d’attraction, deux fois plus d’éloignement, quatre fois moins de vitesse.

Il ne faut pas mélanger l’Absolu et la Réalité. Le mouvement est une réalité dans la subjectivité des relations entre les astres. Il n’est rien dans l’absolu. Le mouvement n’a pas lieu par rapport à l’espace, qui n’a pas d’existence réelle, mais du point de vue des astres ou particules entre eux, chacune dans sa subjectivité, et c’est dans notre subjectivité que nous observons l’univers et en tirons des théories plus ou moins scientifiques.

Avec cette « expansion qui n’est pas mouvement », on a donc déjà évoqué la première des deux conclusions de l’Astrophysique officielle extrêmement gênantes pour les lois scientifiques habituelles, mais qui sont des confirmations flagrantes de la véracité de la Théorie de la Création Perpétuelle des Hatem (théorie née en 1955 avec la découverte de la « Dégravitation » sans laquelle aucun mouvement atomique ou stellaire durable ne serait possible (dans le relatif), et en 1985 avec la découverte de la cause ultime de l’énergie et de « l’acte d’observation » (tel qu’en parlent les physiciens quantiques), en fait l’ORIGINE DE LA CONSCIENCE qui est à la base de l’origine des univers apparents.

La seconde de ces confirmations est due à ce fait que la conscience est première tandis que l’amour est second, autrement dit que la répulsion « précède » l’attraction (même s’il ne s’agit pas d’antériorité dans le temps mais dans la causalité), et c’est leur combinaison qui engendre l’effet de matière.

Ainsi aujourd’hui, après avoir cru des siècles à l’exclusivité de la gravitation, les physiciens confrontés à cette apparente expansion de l’espace, en viennent à penser qu’il y aurait aussi une « répulsion universelle ». Merci. Il restera à concevoir qu’elles ne sont pas séparées. Il ne saurait y avoir attraction sans répulsion, ni répulsion sans attraction, chacune de son côté, ce qui conduira tôt ou tard à remettre en cause l’erreur fondamentale de la Physique quantique et de l’atome standard qui consiste à croire qu’il existe des particules positives (« protons ») et des particules négatives (« électrons »). Toutes sont en fait des aimants complets munis de leur double polarité attractive et répulsive, ainsi que l’a découvert Léon Raoul Hatem, et on ne saurait les séparer en deux « charges » isolées pour constituer des atomes et des galaxies avec.

La troisième confirmation est plus « terre-à-terre » : c’est la découverte que la Terre contient en son sein, à près d’un kilomètre de profondeur plus ou moins, une énorme quantité d’eau plus importante que celle des océans (qui est relativement faible en fait).

On n’a cessé de le dire, et il y a eu un article dans « la Presse Galactique » à ce sujet, expliquant l’origine des comètes et des anneaux de Saturne pour la première fois dans l’histoire des Sciences : l’eau sur Terre ou sur d’autres planètes ne vient nullement de la glace apportée par les comètes, comme les astrophysiciens l’ont souvent prétendu.

Nous avons toujours dit que l’eau provient de la condensation du magma, liée aux mouvements incessants des noyaux, tous entraînés au même rythme dans toute la galaxie, quelles que soient la taille de ces astres, noyaux qui frottent donc les différentes couches de matériaux lorsque les planètes sont un peu grosses et que la surface ne peut suivre le même rythme, jusqu’à échauffer et liquéfier plus ou moins ces différentes couches, et évidemment beaucoup plus dans le cas des gros astres comme le Soleil que les petits comme la Terre, qui restent des planètes à peu près rocheuses.

L’un des éléments fondamentaux de la Théorie de la Création Perpétuelle est précisément que les astres comme les particules atomiques ne s’attirent que parce qu’ils tournent en synchronisme symétrique, du fait que tous sont des aimants complets. Le synchronisme des noyaux de tous les astres, planètes et satellites d’une galaxie, obligent les rotations à suivre le même rythme, ou des rythmes compatibles, sans quoi il n’y aurait pas attraction, et on ne parlerait pas alors de « gravitation ». Ces frottements sont très puissants lorsque le volume de l’astre est trop gros pour se laisser entraîner, la surface ne pouvant tourner à la même vitesse que le noyau. Et c’est cette liquéfaction de la matière sous forme de magma, jamais vraiment expliquée par l’Astrophysique (sauf précédemment par l’idée de l’explosion d’un « big bang », mais ce n’est plus d’actualité puisque l’expansion de l’espace n’a aucune raison de produire de la chaleur, et d’ailleurs il ne peut y avoir de chaleur tant que les atomes ne sont pas constitués), qui évidemment donne lieu à la production d’hydrogène, d’oxygène, et d’eau en quantité.

Cette différence de vitesse de rotation entre la surface du Soleil et son noyau est d’ailleurs prouvée depuis longtemps par les différences de vitesse de rotation de la surface du Soleil selon les latitudes, et par le pendule paraconique anisotrope inventé par le Pr Maurice Allais dans les années 50. Entre autres expériences inventées par Léon Raoul Hatem.

Il est donc tout à fait important qu’on se soit aperçu que la Terre enferme une grande quantité d’eau. Qui ne vient évidemment pas des comètes, l’eau dans ce cas ayant toutes raisons de rester en surface. D’ailleurs on s’était déjà aperçu que bien des planètes, même les plus arides en surface, contenaient de l’eau souterraine. Nous sommes les seuls à en expliquer la cause, et à présent il va bien falloir que la Science prenne position. L’eau est aussi répandue dans l’univers que le fait que les noyaux des planètes tournent très souvent à des vitesses différentes de la surface (pour les étoiles c’est absolument toujours le cas), ce qui est incompréhensible par les théories en vigueur, et cela signifie aussi, et on s’en apercevra un jour, que la vie est universelle.

SEMINAIRE D’UNE JOURNEE SUR LA THEORIE DE LA CREATION PERPETUELLE (accessible à tous même à ceux qui détestent la Physique, et sans aucune mathématique)

SAMEDI 18 JUIN de 9 h 30 à 17 h en Seine-et-Marne près de Paris.

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