science-cellules-compressor

par Anie St-Amand

Au coeur du grand concerto cosmique, chaque humain aborde sa transmutation dans une fréquence unique. Le cheminement d’une vie humaine sur le plan de l’Être, du ressenti, de la transformation de la personnalité et de la croissance émotionnelle est absolument extraordinaire et variable à l’infini. Naturellement, l’humain se métamorphose car cette aptitude transformationnelle est inhérente à sa mécanique cellulaire. À mon humble avis, c’est un phénomène qu’il est essentiel de ramener à la conscience afin d’accéder au potentiel qu’il recèle, au-delà de l’évidence biologique. Dans un premier temps, marquer une pause pour conscientiser qu’à chaque seconde, il est question de mort et de naissance. Dans un deuxième temps, s’ouvrir à la possibilité d’utiliser ce phénomène naturel pour encoder nos cellules avec ce que nous voulons devenir et manifester dans notre réalité.

C’est une question exprimée par mon professeur de soins philippins qui a ouvert cette nouvelle perspective dans ma façon d’aborder mon travail d’auto-guérison. Une question simple et essentielle : ‘’ dans quel terrain vos cellules naissent-elles ? ‘’ Le terrain ne fait pas seulement référence à notre corps physique, mais à l’entièreté de ce qui nous compose en tant qu’être humain. En d’autres mots, dans quelle réalité, dans quelle FRÉQUENCE nos cellules naissent-elles ? Cette question met en lumière une évidence qui se manifeste dans nos cellules à chaque seconde de notre existence : nous sommes des êtres en état de renouvellement.

Le nombre de cellules dans le corps humain est estimé à environ 100 000 000 000 000, c’est-à-dire 100 000 milliards de cellules à l’âge adulte. Ces cellules sont de 300 sortes différentes. Chaque seconde, près de 2000 cellules meurent naturellement dans le corps humain d’un adulte, soit 50 à 70 milliards par jour. Chaque seconde, 25 millions de cellules naissent dans le corps humain. Biologiquement, à chaque seconde une partie de vous meurt et renaît. C’est une évidence scientifique.

Si nos cellules meurent et naissent à chaque secondes et que cela est le pilier rythmique principal qui soutient la vie dans notre corps, n’y a-t-il pas là une grande clé sur le fonctionnement fondamental de notre être, intégrable à d’autres niveaux ?  Comment aller dans ce sens et transposer consciemment vers notre démarche évolutive et transformationnelle ce qui se manifeste au coeur de la mécanique de notre véhicule ?

Alors, quel terrain accueille et encode nos nouvelles cellules? N’est-ce pas une forme de responsabilité envers nous même qui désirons être heureux que de fournir une qualité d’encodage à nos nouvelles cellules? Je crois que oui. Puis cette qualité d’encodage vient, en grande partie, de notre résonance et de ce qui est cultivé au niveau de nos pensées. L’impatience, la colère et l’agressivité qui nous habite encodent nos nouvelles cellules. La peur, le manque de confiance en soi et le sentiment que nous ne méritons pas d’être heureux programment nos nouvelles cellules. Notre capacité à cultiver des états de bien-être et de se nourrir de pensées élevantes vont également encoder de nouvelles fréquences dans nos cellules naissantes.

Il est important de prendre conscience du pouvoir que nous avons d’offrir un milieu ‘’positif’’ à nos nouvelles cellules. Nous sommes des êtres renouvelables et programmables. Nos nouvelles cellules syntonisent la fréquence qui résonne en nous. Il y a un choix conscient à faire. Un choix qui implique de faire un effort d’encodage et de saisir cette opportunité de programmer nos nouvelles cellules vierges à chaque seconde. N’est-ce pas extraordinaire ? Parce que justement, c’est possible de le faire en tout temps.

Alors attention, ceci n’est pas une invitation à devenir fou. À éprouver de la culpabilité en lien avec nos pensées et nos émotions qui ont une vibration ‘’ négative ‘’. Simplement, ceci est une invitation à revenir à notre pouvoir d’encoder et programmer nos cellules en tout temps.

Prenons en exemple le désir de vivre dans l’abondance, d’attirer l’abondance, de cesser de fonder nos choix sur la peur du manque. D’une part, nous pouvons adresser un soin énergétique et un travail de déprogrammation, à ce qui nous empêche d’accéder à l’abondance dans notre vie. D’une autre part, nous pouvons bonifier et renforcer ce travail par l’implantation d’un mantra sur l’abondance totale dans notre quotidien, le plus souvent possible et dès que l’on y pense. Une partie de nos cellules peut encore résonner la peur du manque sans que cela nous empêche d’encoder l’abondance totale dans nos cellules fraîchement créées. Et c’est un choix que nous devons faire. Soit on adresse aucune gestion à nos états d’être et nos pensées, soit on décide de profiter de cette opportunité disponible en tout temps et d’encoder nos cellules avec des fréquences choisies. Je suis dans mes pensées, je pense à mon travail, je pense à mon chien, je pense à mon souper, je pense à la personne qui m’a bousculée dans le métro, je pense à mon rendez-vous demain….. OU ….. J’ai confiance en moi, j’ai confiance en moi, j’ai confiance en moi, j’ai confiance en moi, j’ai confiance en moi, j’ai confiance en moi.

Personnellement, j’ai consacré beaucoup de temps à me nettoyer, à me déprogrammer et très peu de temps à consciemment encoder et informer mes cellules avec des fréquences élevantes. Cette optique me place dans un nouvel angle de vue vis à vis de ma manière d’aborder ma guérison et ma transformation. Bien sûr, tout le nettoyage et la déprogrammation ont augmenté mon taux vibratoire et transformé ma résonance. Je ne suis plus la personne autrefois très parasitée et dominée par ses peurs et ses blocages. Mais mon travail avait consisté essentiellement en une forme de dé-construction. Et c’est en revenant à la question ‘’ dans quel terrain mes cellules naissent-elles ? ‘’ , que je réalise que l’encodage positif de nos cellules, sans chercher à défaire quoi que ce soit, donc le simple encodage en lui-même participe énormément à la transformation. Un temps pour se nettoyer, oui. Un temps pour s’encoder positivement, même si on a encore peur, OUI. Le plus souvent possible et dès que l’on y pense.

Ainsi, l’hygiène émotionnelle, les blocages et les pensées limitatives peuvent être difficiles à transmuter justement parce qu’en dehors de nos séances de guérison ( toutes formes et approches confondues ) nous continuons à programmer et encoder nos nouvelles cellules de manière plus ou moins consciente en omettant d’intégrer une routine de programmation positive dans notre réalité. Car entre le travail qui est fait à des moments donnés, et la réalité des nos états qui vibrent leurs fréquences dans nos cellules, il y a parfois un grand écart.

Dans quel terrain mes cellules naissent-elles ? Nos états programmes nos cellules à chaques secondes, les encodent de la charge qu’ils portent. Dès qu’on y pense, il est intéressant d’en faire l’expérience consciente, d’être dans les états que nous souhaitons développer dans notre vie, et même de trouver des mantras et des prières positives et expansives qui vont s’inscrirent dans nos nouvelles cellules. Et cela déborde en dehors de nous. Quelle est la qualité vibratoire de ce que nous consommons dans l’information, la télévision, le cinéma, la musique, la lecture ? Nous ne pouvons pas décider de ne pas digérer, toutefois nous pouvons décider de la qualité de ce que nous ingérons. Nous ne pouvons pas dire à nos yeux d’arrêter de voir, mais une bonne partie de la journée nous pouvons décider de la qualité de ce que nous regardons.

Il y a là un espace qui nous appartient et que l’on peut s’approprier pleinement.

Ghandi a dit :  » Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde.  »
Oui ! Et résonnons le !

Merci de votre lecture,

Avec Amour,

Bonne Continuité,

Bonne Programmation !

Anie – http://www.boddhi-gaia.ca/

Remis  de l’auteur par mail à la Presse Galactique

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