par Marie-Pierre Aubert
Telle est la phrase entendue, si souvent…
Comment puis-je accepter comme vrai ce que je ne vois pas ?
Il est extrêmement difficile d’adopter les idéologiques invisibles, lorsque l’homme n’accorde crédit qu’à ce qu’il remarque.
Sa vie se déroule au fil des complications à mettre en œuvre l’observabilité de ce qui est substance.
Il est heureux ou malheureux aux résultats de ses réalisations.
Pour les expérimenter, il emprunte des matériaux plus ou moins nobles qui sont déjà inventés.
Il a développé de multiples productions, certaines performantes offrent à la collectivité le confort au quotidien, d’autres sont très destructrices.
C’est ainsi que le nuisible usage ou la malfaisante combinaison provoque l’instabilité, la disharmonie et les maux de l’Être.
Le fait ‘’de ne pas considérer comme probable’’ ne facilite absolument pas le mouvement créateur de l’expansion de la Vie.
Le ‘’je n’y crois pas’’ engendre la paresse, l’indolence, l’assistance des autres.
C’est par eux que sera fournie l’impulsion de se maintenir dans l’attente, de se décharger de l’obligation d’aller à la récolte de ses besoins de première nécessité.
Tout ceci est contraire à la responsabilité, à l’engagement et à l’avancement évolutif.
Cette attitude nie le fait que le terrien est un créateur à part entière, qu’il accorde crédit à l’invisible ou non, il se méconnait.
S’il voulait bien répondre à la potentialité d’action, et arrêter de s’emprisonner dans les illusions de définitions dont il ne sait donner le sens, il s’apercevrait qu’il n’est pas indispensable d’accepter comme vrai pour pouvoir.
Tout vivant possède l’inné et pose d’instinct les actes lorsque sa survie est en jeu.
Le ‘’je n’y crois pas’’ n’est que l’excuse trouvée pour ne pas s’affirmer afin de poursuivre ‘’le rien faire’’.
À quand le ‘’j’y crois’’ ?
Cela fait combien d’années que la vie se déroule dans l’incroyance accompagnée de ‘’toujours pareil et rien ne change’’ ?
N’est-il pas temps d’arrêter de se promener dans les culottes courtes afin d’éprouver personnellement et d’étudier le ‘’j’y crois’’.
Le ‘’je crois en moi, en mes capacités, en mes potentialités’’ et ainsi m’offrir les vérifications qui apporteront les richesses en me permettant de grandir afin de porter haut.
En finir avec la crainte de la transformation, car il s’agit bien de cela !
Cache-t-elle la peur du bonheur, l’effroi d’être heureux afin de rester figé dans ses souffrances ?
Cher ignorant, comment veux-tu changer si toi-même refuses de boire la Vie ?
Elle ne peut s’écouler en toi !
Akasha, Marie Pierre AUBERT
Site: http://akashaphilosophiempa.free.fr/
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N’oubliez pas d’exercer votre discernement en rapport à ces textes. Vous avez Un Libre Arbitre, utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre Cœur.
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