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par Lena ARTAO

Vous êtes vous demandé pourquoi la plupart d’entre nous, se retrouve de façon cyclique, dans des challenges qui fixent notre ligne de temps et notre futur de manière irrémédiable ? Et pourquoi en ce moment exactement ?
Pourquoi faut-il que l’univers vienne perturber cette zone de confort ?

Bien sûr, j’entends par zone de confort non pas le changement extérieur, géographique ou changement de vie, beaucoup trop de gens font la confusion.
Je parle de la « zone de confort mentale », celle par laquelle nous sommes tous programmés.
Celle qui nous dicte comportements et réactions.
Elle se construit en réponse à une adaptation face au nouveau, à l’inconnu, en outre, à des croyances et autres engrammes.
Par exemple, Quand une personne change de situation d’ emploi ou qu’elle se sépare d’une autre, la « zone de confort extérieure » est déconstruite.
Elle se reconstruit petit à petit, avec les nouveaux éléments à prendre en compte, en vue d’une bonne adaptation externe.
Par contre, la « zone de confort mentale », elle, on la transporte où que nous soyons.
Nos réactions en entraînent d’autres, et les paternes reviennent inlassablement.
Même si géographiquement on est ailleurs ou avec d’autres personnes.
Pourquoi ?

Et bien c’est tout simple :
Si vous gardez vos réflexes et que vous n’adaptez pas, vos réactions, votre mode de penser et autres comportements, alors vous vous poserez toujours  les mêmes questions et obtiendrez les mêmes sempiternelles réponses.
C’est alors que  l’univers se charge de vous remettre face à de nouvelles paternes.
Ou bien sur les rails, tout dépend de vos propres réactions venant de votre zone de confort mentale.
Nul besoin d’explorer le monde comme l’alchimiste pour découvrir que ce que l’on cherchait est chez soi …à l’intérieur de soi …de ce fait, on a perdu confiance, on a peur et on ne veut rien laisser au hasard.
On se met à prendre les rennes avec nos habitudes de tout contrôler.
Nos vieux réflexes comportementaux, s’ancrent et finissent par avoir la vie dure.
Voila le tour est joué, et on a rien vu, on perd tous dialogues avec l’univers et avec l’ordre des choses, qui ne nous appartient pas.
Nous en devenons schizophrène et bipolaire, et on finit par se prendre pour quelqu’un d’autre.
D’un côté, notre âme immortelle, veut grandir et évoluer dans la spiritualité, et de l’autre, elle est enfermée dans une société où nous sommes tous une force de travail, dans des corps périssables.
On répète en boucle nos réflexes de défenses et de survie.

Mais en dehors de la survie, pourquoi restons nous dans cette zone de confort comportementale?
Tout simplement, parce que s’ouvrir à une autre possibilité, demande de remettre en question nos vieilles croyances, d’abattre nos murs de certitudes.
– Parce qu’il faut déposer les armes et cesser nos manigances puériles d’adolescents frustrés.
Et Dieu sait que la société nous veut compétitifs et ça ne se fait pas de dire non aux défis lancés par le regard intransigeant et provocateur des « autres ».
– Parce que nous voulons garder le pouvoir et le contrôle sur tout et n’importe quoi.
– Parce que le « héros » c’est nous, et que l’histoire est plus belle, si c’est nous qui l’écrivons.
Et dans le  « je suis ceci » « je suis cela » ….donc,   » je »…. »je » …. »je » …in facto, ….l’égo a parlé.
On se retrouve alors en face de personnes  instables émotionnellement, avec des comportements de fuites ou de compensations de toutes sortes.
Ce qui finit par les rendre ennuyeux, sans attraits constructifs, sans contenant, pour tout dire, superficiels.
Mais, on ne peut tout contrôler. il nous faut rester humble, lâcher prise et laisser la vie nous envoyer ses futurs bienfaits.

En effet, l’univers sait nous donner des signes, pour nous prouver, quand nous nous sommes encore fourvoyés.
Si on passe outre, c’est que l’on reste (par ignorance des causes à effets, bien sûr), dans les mêmes paternes  ou boucles de temps.
Mais, si on sait apprendre les leçons du passé, dans le silence de la solitude, dans le dépouillement des désirs, et l’humilité, on arrive enfin à tout démanteler.
Et on peut reconstruire mais cette fois ci, en mieux, et plus adapté à nos besoins, afin de nous épargner la répétition infernale.
Cette zone de confort mentale, on peut la modeler chaque jour, et, surtout, la travailler pour son propre développement personnel.
Ainsi, même notre ADN peut également s’aligner, et ce, toutes les 5 minutes s’il le faut, chaque fois que vous êtes dans le désir, le pouvoir, et autres intentions peu louables.
C’est un travail de Titan, et il ne se « transfuse » pas à la lecture d’un livre, mais se cultive bel et bien grâce à une pratique constante.

Nous savons bien que si nous travaillons cet aspect, nous faisons avancer et évoluer tous les groupes d’âmes de mêmes fréquences.
L’univers en bénéficie, et il est, gourmand et généreux, si vous êtes alignés et en phase avec ses vibrations, alors, il vous rend avec justesse, tout ce dont vous avez besoin pour avancer.
Et chaque mensonge, chaque aveuglement d’orgueil, chaque action dépourvue de compassion ou de respect d’autrui, chaque jalousie ou convoitise, ne fera que revenir au galop vers vous.
Dans ce cas, mieux vaut comme le disent les écrits, « ne pas faire aux autres ce que l’on ne voudrait pas que l’on nous fasse ».

Comme le dit aussi la chanson, vous aurez beau vous « teindre en blonde » si on vous le demandait, vous aurez beau vouloir ressembler à votre « rivale » ou votre modèle, même en déployant toutes les singeries possibles que le masque de la « persona » vous le permet, vous ne serez jamais ce quelqu’un d’autre, ou ce modèle. Il n’existe que dans votre psyché.
Vous n’aurez jamais ce « supplément d’âme », si vous n’enlevez pas votre masque.
Vous vivrez ainsi, toutes les guerres et conflits intérieurs ou extérieurs.
Ce supplément d’âme est la pureté des intentions, c’est un positionnement  des valeurs sur l’amour universel. Et, seul le temps est son allié.
Dieu sait que l’amour ça ne se cache pas derrière un masque, ça ne triche pas, en tout cas pas avec le temps, car il est  amour pur.
Souvenez vous qu’il n’y a que le démiurge qui copie et imite Dieu.

Alors ? dans quels camps sommes nous?
Celui de la compétition entre les âmes qui n’avancent pas, qui restent d’éternelles enfants insatisfaits, capricieux et immatures spirituellement?
Est ce cela que nous voulons être ?

Il est donc temps de nous positionner, de quitter toute zone de confort mental, et de travailler à nous rendre le plus clair possible devant nos décisions et responsabilités futurs.
Alors lâchons les rennes et laissons la part divine à l’univers.
Restons nous mêmes, prêts à recevoir enfin le billet pour un nouveau voyage.
Peu importe le décor, peu importe avec la personne avec qui ce sera.
Nous ne voyageons toujours qu’avec nous mêmes au bout du compte.

Il ne faut plus avoir peur de dire non quand il le faut, ou bien être prêt à dire oui à tous instants, surtout au moment où ces portails énergétiques s’ouvrent.
Pas besoin de calendrier pour ça, non, ce sont des choses qui se ressentent.
A chacun sa dose d’espérance, à chacun son seuil de souffrances.
l’essentiel est de savoir prendre du recul et observer quand et où, on s’est perdus.
Oser enfin, tout reprendre à Zéro s’il le faut.

Oui, c’est ça la vie, vous ne pouvez changer rien ni personne à l’extérieur, si vous ne quittez pas cette zone de confort là, d’abord, et avant tout.
Dans ce monde où nous vivons, se défendre, sortir ses griffes par survie c’est bien, mais quitter la ronde infernale c’est encore mieux.
C’est ainsi que naît un nouveau cycle, peu importe le décor ou les personnes qui nous entourent car si le travail n’est pas fait, les réactions en fonction des zones de confort mentales de chacun, resteront à l’identique, partout et avec tout le monde.
Ce n’est qu’une question de temps.

Et justement, en ce moment même, nous sommes dans un grand saut de conscience, où les karmas et paternes, se règlent très rapidement.
Ils n’attendent pas une autre vie pour se manifester, afin d’être résolus, sous peine d’en rajouter de nouveaux.
Mon compagnon de route qui est médecin m’apporte chaque jour les preuves de la maladie qui ronge les gens : le virus du manque d’amour vrai, fait des ravages.

Chaque jour, je remercies l’univers de m’avoir donné l’occasion d’apporter les corrections nécessaires, et de le faire encore aujourd’hui.
C’est ça mon challenge à moi, c’est ça, le défi de mon âme :
Être prête n’importe quand, pour un nouveau voyage, car c’est sur le quai des nostalgies que nous disons Adieu à nos attaches.
Cette année particulièrement l’univers nous ouvre le portail pour nous dire cela :

« Quand on aime le pouvoir on est trahi par l’amour »

Lena ARTAO

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