Channeling Sylvain Didelot du 13 Septembre 2016
Bonsoir à tous, chers Maîtres de lumière, parce que c’est ce que vous êtes.
Je suis Sanat kumara.
Je suis venu ce soir vous parler des choix, des choix justes.
Un autre de mes frères a exprimé cela déjà, plusieurs fois, mais j’aimerais vous rappeler quelques principes importants dans l’humanité. J’aimerais d’abord soulager votre conscience à ce message, simple. Une illusion ne prévaut pas sur une autre. Une décision ne prévaut pas sur une autre. Un choix ne prévaut pas sur un autre.
Quoi que vous fassiez, quoi que vous décidiez, vous êtes dans un monde d’illusions. Cela, bien sûr, ne soulagera pas votre conscience égotique, physique, mentale, de sa décision de faits qui sont justes et d’autres faits qui seraient injustes, de faits qui sont bons et d’autres faits qui ne seraient pas bons. J’aimerais vous inciter à recevoir notre message comme étant celui de vos frères, de vos sœurs qui ont déjà vécu ce que vous vivez, qui ont déjà vécu ce processus d’ascension, ce processus de renouveau de l’âme.
Vous êtes souvent confrontés à la douleur, la douleur elle est bien sûr l’expression du refus de ce qui est, le plus souvent. Elle est aussi l’expression d’une volonté parfois à vouloir comprendre, emmagasiner, informer l’univers de ce que vous êtes, de ce que vous aimeriez être, à la différence de ce qui est, encore une fois. C’est cet écart, cet écart entre la réalité perçue, la réalité manifestée et la réalité souhaitée, cet écart, ces écarts génèrent en vous la douleur et la peine.
Vous êtes, dans votre illusion, équipés d’un matériel fort utile, celui-ci s’appelle LE CORPS.
Votre corps est l’outil idéal pour comprendre, pour savoir. Lorsque vous devez prendre une décision, lorsque vous devez faire un choix, souvent vous entendrez des êtres dits spirituels, vous dire d’être alignés avec votre choix, vous dire de le faire en conscience. Qu’est-ce qu’un choix fait en conscience ? Un choix fait en conscience est un choix qui d’abord regarde à l’intérieur de vous-mêmes, non ce qui se passe à l’extérieur dans un premier temps, mais d’abord ce qui se passe en vous :
« Quelles sont les émotions qui me traversent, quelle est cette histoire à laquelle je crois, quelle est cette circonstance que je refuse ».
Alors vous prenez cet espace en vous, cet endroit en vous, et vous prenez conscience de votre responsabilité, non forcément comprendre tous les choix qui vous ont mené jusque là, mais juste d’informer le corps que ce chemin est parfait, d’informer le corps que tout cela était prévu, que tout cela était écrit par vous-mêmes. Même si vous redoutez ce qui arrive, c’est vous, c’est votre Déité, c’est votre Divinité qui a choisi cela. Alors en vous s’infuse une énergie douce lente profonde, c’est une énergie de lumière qui va rentrer en vous.
C’est une énergie d’amour, c’est une énergie de constance, c’est une énergie de passion.
Quand cette énergie entrera en vous, quand vous ressentirez l’amour de celui qui Est, l’amour de votre présence Divine, l’amour de l’être Divin que vous êtes déjà, en vous une décision sera déjà prise, et dans ce choix que vous penserez devoir faire, une porte s’ouvrira et une autre se fermera sans doute.
Vous êtes dans le monde de la dualité, vous continuerez à vivre dans le monde de la dualité. Vous continuerez à exister, créativement, dans ce monde, alors vous continuerez à exercer ces règles de choix. Le bon choix laisse en vous une impression de liberté, de paix et d’amour, pas une notion de vengeance, pas une notion de colère, une notion de paix, un espace de paix ce fameux espace de paix dont nous parlons tous, à travers cette âme et à travers d’autres âmes.
Alors la paix parfois pourra peut-être vous « imposer » des éléments qui pourraient ressembler à des éléments de guerre, à des éléments de combat, mais c’est un combat, quelque part spirituel, celui de faire valoir cette ouverture en vous. Nulle raison d’utiliser la colère et la haine, juste la justesse et la justice.
« Voici ce que je sens bon pour moi, voici ce qui ouvre en moi des portes, je ne sens plus d’exercer mon énergie dans ceci, dans cela, ou je sens d’exercer mon énergie ici, je sens à quel point il est juste pour moi d’aller sur cette voie, d’aller sur ce chemin ».
Derrière ce choix qui est le bon pour vous, parce qu’il est aligné dans l’amour et la lumière, votre mental, votre personnage, votre égo pourra intervenir. Il viendra vous dire que c’est difficile, que cela ne peut pas correspondre à qui vous êtes, qu’en faisant cela vous n’exprimez pas votre Divinité. Quel est ce discours ? Quel est ce discours à part celui de quelque chose qui voudrait juger, caractériser, forcer peut-être l’expérience à sa façon et nous à la façon Divine qui vous traverse.
Il s’agit bien sûr d’une part de contrôle, d’une part de peur, mais il y a toujours cet indice très fort pour vous indiquer quel chemin vous devez prendre : la peur, ou l’amour, la peur ou la lumière. La peur n’est en aucun cas bonne conseillère, dites-vous dans votre sagesse.
Alors, une fois qu’en vous le choix est fait, le comment et le temps appartient encore à l’humain, oh vous aimeriez tellement que tout se passe si vite :
« Je sais que ce travail est fait pour moi » et vous voulez très vite accéder à ce travail.
« Oh je sais que cette période n’a plus rien à faire dans mon existence, je voudrais vite passer à autre chose ».
« Oh je sais que cette personne n’est plus faite pour moi » et vous voudriez passer à autre chose, effacer cela en espérant que cela ne crée absolument aucun problème.
Et bien sachez ceci : cela ne créera aucun problème si vous êtes, encore une fois, alignés à la Paix en vous, en exprimant ce que vous ressentez, en exprimant ce que l’énergie en vous vous dit. Peu importe que vous ne connaissiez pas le comment ou la bonne méthode pour le faire, exprimez déjà ce ressenti, exposez-le à la lumière de la réalité par votre voix, parce que la voix crée, le verbe crée, le verbe est et reste créateur.
Vous êtes des êtres de lumière, vous êtes des êtres d’amour, vous êtes des êtres de pure brillance, le verbe EST créateur.
Les dégâts ne seront qu’imaginaires, en exprimant votre ressenti. Vous commencerez, dans l’application de vos choix, à émettre des énergies qui pourraient alourdir votre karma généré dans cette vie, votre histoire personnelle, que si vous blessez, que si vous jugez, que si vous condamnez, au lieu de passer par ce que vous êtes, au lieu de passer par ce que vous ressentez, vous.
Laissez-moi vous dire ceci : que d’autres vous-mêmes soient d’accord ou pas avec vous, finalement importe peu si vous êtes dans cette paix. Car dans la paix tout glisse et tout s’échappe. Alors parfois à la place de cette ouverture, un autre choix que vous pensiez pourtant bon, en vous, provoque, à l’inverse, une sensation de rupture et de fermeture en même temps. De rupture avec comme quelque chose en vous qui racontait votre histoire, et de fermeture des énergies, comme si vous perdiez cette énergie, cet alignement pour utiliser vos mots. En réalité il s’agit simplement de cette trame que vous avez décidé de traverser, de traverser en conscience et en acceptation, ce qui est prévu pour vous par l’être Divin, qui aime.
Alors parfois vous préférez appliquer cette solution de fermeture parce qu’elle est souvent beaucoup plus simple. Elle n’impose pas de changement, elle impose de petites modulations, mais vous verrez que, comme vous êtes dans ce monde duel, j’aime à vous le répéter, vous utiliserez la dualité, vous utiliserez des jeux de pouvoir. Parce que vous ne pourrez pas exprimer ce que vous ressentez, dans ce choix qui ferme, sans utiliser un jeu de pouvoir. Ce n’est pas possible. Alors ouvrez-vous. Si vous voulez changer votre avenir, si vous voulez trouver un autre travail, un autre espace, une autre personne avec qui vivre : commencez déjà par vous centrer, par accepter, par pardonner à vous-mêmes surtout, et après encore une fois, à exprimer ce que vous désirez à haute voix, à haute voix.
Dites : « En mon nom Divin (car ces mots sont une clef), en mon nom Divin je désire la paix dans ma relation avec…. En mon nom Divin je désire la paix avec mon employeur, avec ma femme, avec mes amis, avec mes frères, avec cette situation ».
La paix, c’est ce que vous avez appelé longtemps le point zéro, l’espace où tout est possible, l’espace de tous les possibles passe par cet état, neutre.
« En mon nom Divin je demande que cette situation s’améliore, se résolve, se dissolve », car il ne s’agit que d’une information. Et cette information si vous la demandez en votre nom Divin, ira s’effacer dans tous les temps de l’histoire de l’humanité, dans toutes vos vies, dans toutes les caractéristiques de votre être, dans votre corps aussi qui est tout-à-fait capable d’enregistrer une histoire, et d’en faire quelque chose.
Le rayon jaune est un rayon de lumière et d’amour que vous pouvez utiliser en cela.
Vous savez, je vous invite à vous concentrer si vous en avez la possibilité, sur la couleur jaune mélangée à la couleur or, qui de toute façon pour vous est une nuance de ce jaune. En mélangeant ces deux vibrations vous trouverez en vous une réponse équilibrée. Vous n’aurez pas l’impression d’abandonner quelque chose. Vous aurez vraiment, en vous focussant, en vous concentrant sur cette couleur, l’impression de sentir que cela est équilibré, que cela est juste. Le jaune restera la couleur de la justice.
J’entends, ceux qui ce soir, se sentent perdus dans une situation.
« Voilà des années que je pratique sur moi, voilà des années que j’essaye de me transformer et j’ai l’impression que je n’avance à rien ». Vous ne pouvez pas reculer, jamais. Ce n’est pas possible. Votre sensation à vous est de savoir si vous entrez ou non dans le moule, que la conscience a décidé de poser devant vous comme étant la cible à atteindre, l’objet de tous les désirs. Et là, là est ce qui fait que vous stagnez. Le désir.
Le désir est un puissant démon. Je vais m’exprimer différemment, pour vous exprimer cela pour que vous évitiez peut-être quelques images inutiles.
Le désir est la décision consciente d’obtenir, d’avoir, une circonstance une personne, correspondant à ce que vous désirez, si je puis dire, à ce que vous avez décidé comme cible.
Alors, en lui-même, le désir est neutre, la cible peut être neutre, mais il existe un moment où à force de désirer atteindre cette cible, vous ne vous autorisez pas une cible plus importante, plus juste, plus profonde, plus dans votre chemin, plus dans ce que vous avez demandé.
Vous avez demandé à recevoir la paix, à recevoir l’amour, et parfois cela ne passera pas par la cible que vous aurez désignée, et là, là, le désir est un réel frein.
« Je poursuivrai mon chemin quand j’aurai atteint ce jalon ». Mais vous pouvez aller d’une ville à une autre en évitant la ville étape que vous considériez comme indispensable. Beaucoup d’entre vous, aujourd’hui, s’éveillent sans être jamais passés par les étapes de ceux qui ont pris, je dirais, le temps de l’éveil dans un chemin classique et conventionnel. Parce que votre période est ainsi faite, que vous pouvez accéder à une information n’importe quand, pas en ayant les informations précédentes, mais simplement en vous dirigeant avec le Divin, avec cet accompagnement, cette sensation, cette paix, cette joie en vous. Avec cela comme indicateur, vous n’aurez pas besoin de traverser les étapes.
Les étapes seront parfaites, quoiqu’il arrive. Ce sera parfait et pour votre plus grand destin, votre plus grande destinée. Alors cette impression que vous avez de stagner, parce que vous avez décidé d’un but à atteindre, elle implique aussi de, sans doute, changer ce chemin, d’arrêter d’utiliser cette méthode que vous considériez comme la bonne, cette technique, ce chemin, ces phrases, ce comportement…. Lâchez prise, restez naturels, vivez avec vos qualités, vivez avec vos défauts, affirmez vos qualités, affirmez vos défauts. Acceptez tout cela, acceptez-le pour pouvoir le transformer.
Vous possédez aujourd’hui une technologie dans vos véhicules, qui vous permet d’aller d’un point A à un point B, d’une destination à une autre destination, d’un départ à une autre destination. Ce que vous oubliez souvent, c’est qu’une fois que vous avez donné la destination, elle sera atteinte. Vous arrivez à faire confiance à ces boîtes et vous n’arrivez pas à faire confiance à la Divinité, parce que vous avez décidez qu’il y aurait des indices, des étapes décidés par vous même.
Comprenez comment fonctionne la nature en elle-même. Pensez-vous que la graine s’imagine qu’un jour elle sera une fleur, mais qu’avant elle devra passer par des milliers d’étapes. Pensez-vous qu’elle ne vive que pour Ce jour, où la fleur s’ouvre.
Avez-vous décidé de ne vivre que pour Ce jour, où votre fleur intérieure, vos centres énergétiques s’ouvriront pour vous ouvrir à la conscience Divine et totale de l’illusion. Non.
Le chemin est important. Le moyen pour y arriver est décidé par votre propre Divinité selon votre acceptation. Mais si vous choisissez, si vous êtes dans le désir de l’étape, vous perdrez ce que vous appelez du temps. Vous perdrez de l’espace en fait. Vous perdrez la possibilité de trouver un chemin plus juste et droit, vers ce que vous voulez réellement vivre.
Ce que vous voulez réellement vivre n’est pas un avoir, n’est pas une situation, n’est pas un métier précis, n’est pas une personne précise. Ce que vous voulez vivre est une émotion.
Vous voulez vous sentir bien, vous voulez vous sentir en paix, vous voulez vous sentir droit, juste. Ceci est votre destination. C’est la destination finale. Parfois cette destination s’appellera la mort. Certains d’entre vous ayant appelé la plus grande des initiations ont fini par mourir, car c’est la plus grande des initiations. Mais vous n’êtes pas là pour mourir. Vous ne vous êtes pas placés vous-mêmes sur cette terre pour uniquement vivre cette expérience, mais pour vivre le chemin de l’être Divin en conscience, l’être humain qui est conscient qu’une illusion ne prévaut pas sur une autre, comme je vous l’ai dit au départ, et que donc, choisir exactement ce que vous voulez, c’est choisir votre illusion. En soi c’est accepter, et c’est tout-à-fait possible. Et si c’est un chemin spirituel, si c’est un chemin de conscience intérieure que vous voulez vivre, alors laissez cette conscience intérieure vous montrer par le corps et par ce oui indiqué toute à l’heure, par cette ouverture quelle est la bonne route.
Alors parfois cela mettra quelques jours, quelques heures, quelques instants, pour qu’en vous la paix se fasse. Mais voilà, si vous avez décidé d’être un élément de la nature dans une évolution naturelle des choses, vous ne pourrez décider de quelle branche va pousser avant quelle autre branche. Cela se passe naturellement. Avez-vous déjà vu des arbres porter des fruits avant de porter des feuilles ? Les fruits de votre existence sont l’amour, l’aide de votre prochain parce que c’est l’aide de vous-mêmes. Quelque soit le moyen que vous utiliserez pour aider votre prochain, en lui parlant, en fabricant quelque chose pour lui dans de certaines structures, dans certaines de vos usines comme vous les appelez. Nous ne parlons pas d’usine ici, sachez que de ce côté de l’existence nous ne parlons même pas de métier, nous parlons de vocation : « quelle est ta voie, quelle est ta vocation… ». Quand quelqu’un ici viendra vous dire : « je suis un sonneur », sonneur vous ne connaissez sans doute pas ce « métier », ce qu’on appelle ici un sonneur c’est quelqu’un qui reçoit des personnes et qui leur dit quelle est leur résonnance, à quoi est-ce qu’ils résonnent, avec quel élément ils résonnent. Parce que, ce avec quoi ils résonnent, ils doivent le rencontrer pour apprendre des choses, parce qu’on continue à apprendre, parce qu’on continue à traverser des informations, et le sonneur c’est celui qui va résonner, qui va trouver la résonnance de celui qui lui demande quelle est la suite de mon chemin, quelque part.
Ce n’est pas pour rien que j’évoque cela. « Avec quoi résonnes-tu, avec quel élément, avec quelle couleur. Ainsi le chemin devient plus naturel et certaines personnes ont cette perception de l’énergie suffisante.
Lorsque certains d’entre nous, sur ce plan, ont décidé d’être des enseignants, pour vous qui êtes dans l’illusion, nous nous sommes posé cette question de l’utilité de transférer des informations dans un monde illusoire. Je dois avouer que cette question ne fait plus débat ici, parce que quelqu’un qui reconnaît dans l’illusion qu’il est le Divin, celui-là se connecte à beaucoup de plans de conscience, à beaucoup d’existences, à beaucoup de plans, de niveaux, de vibrations, de dimensions, il y a tellement de mots que vous utilisez pour parler de ce que j’essaie d’évoquer ici.
Le faire depuis la densité, le faire depuis un être qui se sent séparé, voilà pourquoi le voile d’Isis a été porté sur vous, voilà pourquoi ce voile de l’oubli a été posé sur vous, pour qu’à chaque pas, à chaque incarnation, vous soyez capables de réunir les plans, parce que c’est un véritable tremplin évolutif que de pouvoir faire ça, en conscience. Mais ça ne se fait pas forcément par un chemin spirituel, ça se fait par la joie et le bonheur de se sentir connecté. Certains d’entre vous dans leur métier, sont si joyeux de faire ces métiers, que vous sentez que c’est leur voie, qu’elle est juste, peu importe qu’ils soient spirituels ou non. Quand ils résonnent la joie en eux, ils sont connectés au Tout, et reçoivent les informations qui leur sont nécessaires.
Durant la nuit, durant un autre état de votre conscience, ceux-ci évoluent, parfois et souvent même, plus vite que ceux qui essayent de faire le chemin, je dirais de jour.
Comprenez ceci donc, il n’y a pas d’un côté les êtres spirituels censés devenir plus, et les êtres non spirituels censés devenir moins. Il n’y a ici que des gens en contact avec la paix et la joie, dans la réalité, alignés. Quand ils ne sont plus en conscience en contact avec la joie, le job, le travail, c’est d’être à nouveau alignés avec la joie, à nouveau alignés avec ses choix. C’est ça la spiritualité, c’est ça la spiritualité vraie. Mieux vaut un mendiant qui aime, qu’un gourou qui fait semblant d’aimer.
Comprenez ceci : vous serez observés, à votre arrivée, par votre propre être Divin, par votre propre Divinité. Elle observera l’amour dont vous êtes capables. Elle observera le lien d’empathie, le lien de sympathie, appelez cela comme vous voulez, dont vous êtes capables.
L’égo n’est pas votre ennemi sur cette terre, vous l’aurez toujours, il protège le corps, il protège l’esprit. C’est une structure informative qui vous est fort utile. Mais l’amour, dans le sens vrai de l’unité, ça c’est quelque chose auquel vous pouvez accéder, en conscience, parce qu’il ne vient pas des autres. C’est vous qui acceptez de le recevoir, c’est vous qui acceptez de l’émettre, et ce n’est pas un jeu de pouvoir. L’idée n’est pas de donner pour recevoir, l’idée est de donner pour donner, mais l’idée est d’être en réception de ce qui arrive, car chaque évènement, chaque phase de votre existence est le plan d’amour de la Source pour vous-mêmes. Voici ce qu’est la spiritualité.
Alors en ce temps particulier, en cette fin de cycle, ce début de nouveau cycle devrais-je dire, si particulier de votre temps et de votre existence, il vous est permis de vivre, effectivement, à travers cette spiritualité, que je viens d’évoquer, il vous est permis de vivre l’information plus profondément en vous, d’avoir en vous l’état christique que seulement quelques Maîtres ont pu obtenir en travaillant très dur sur eux-mêmes.
Cet état aujourd’hui va devenir plus simple et plus naturel pour vous. Dès que la paix s’installera en vous cet état christique viendra vous informer. Plus vous recevrez d’informations, plus vous comprendrez dans un monde illusoire, et plus vous comprendrez l’utilité de ce monde illusoire. Vous n’apprendrez pas à quitter, vous apprendrez au contraire à y rester, à y rester en confiance, en conscience, tout l’amour que vous pouvez y répandre, voilà pourquoi ça peut être intéressant, mais absolument pas obligatoire.
J’entends cela, parce que beaucoup évoquent ce soir cette notion de : dans ma famille je suis rejeté pour cette spiritualité, dans ma famille je suis rejeté pour ceci ou pour cela. Etes-vous joyeux ? Ressentez-vous de la joie ? Si vous ressentez de la joie dans ce que vous faites, comment les autres ne le verraient pas ? Si vous ne ressentez pas la joie dans ce que vous faites, comment les autres, vous-mêmes finalement, comment accepteriez-vous cet état ?
« Tu me dis que cela t’aide mais tu n’es pas joyeuse, cela ne te rend pas plus heureuse, cela ne te rend pas plus joyeux, cela te rendrait plus triste parce que tu te poses des questions profondes que tu ne te posais pas avant, quand tu profitais du moment présent », voilà ce que parfois il vous a été dit, qui finalement était la plus grande leçon du plus grand maître qui soit, vous-mêmes à vous-mêmes.
Certains s’imaginent aussi que leur pleine réalisation devra passer par un contact particulier, avec un homme, avec une femme, avec une flamme. Pourquoi ? Pourquoi désirez-vous qu’un autre vienne compléter ce que vous êtes déjà ? Pourquoi désirez-vous qu’un autre vous-même vienne vraiment, à deux, créer une unité ? Mais ce ne sera pas une unité de corps, ce ne sera pas une unité d’esprit, et cette unité de corps et d’esprit elle ne peut être vécue qu’à un endroit : en votre cœur. Alors celui ou celle qui vous accompagnera, sera l’agent le plus parfait qui soit, pour vous aider et vous accompagner bien sûr, quelles que soient les circonstances.
Mais à vous d’entendre les leçons, à vous d’entendre votre propre conscience, et à vous
d’ A i m e r, à vous d’ A i m e r.
L’amour reste la clef quoi qu’en pensent ceux qui veulent railler ce phénomène, l’amour reste la clef, Absolue, de tout ce qui est.
J’aimerais à présent vous inonder de cet amour, vous bénir de cet amour Divin qui est ressenti pour vous.
Pour ceux qui le demandent, tout ce que vous avez fait a été pardonné et accepté, il ne s’est rien passé de réel.
Pour ceux qui le demandent, bien sûr, bien sûr qu’en amour vous allez recevoir ce que vous avez demandé. Acceptez que le chemin ne soit pas exactement celui que vous avez déterminé. Acceptez que celui qui vous offre ce chemin ne soit pas exactement la personne que vous auriez désirée.
Embrassez votre vie, embrassez vos frères et sœur, embrassez la conscience elle-même, la conscience Divine.
Vous êtes des êtres de pureté incarnée. Ce qui est venu se superposer à cette pureté incarnée n’est pas un frein, c’est le moteur de l’évolution. L’idée ici n’est donc pas d’apprendre ce qui peut vous construire, mais tout ce qui vous a empêché de vous révéler, déjà construit, déjà terminé, déjà relié.
Vous êtes admirés et aimés de ce plan. Vous êtes aimés et admirés donc de ces plans que vous appelez supérieurs, les plans des Etres de Lumière, les plans des Anges, vous donnez tellement de noms à tout, parce que l’épreuve, vue de ce côté, semble difficile.
J’ai été incarné, je sais ce que c’est, et je sais donc que ce n’est pas si difficile, mais vu d’ici par des êtres de pure lumière et d’amour parfois, ils ne comprennent pas, comme ils le disent eux-mêmes, l’enfer dans lequel se sont jetés ces êtres. On parle de votre planète bien sûr, mais de milliard de milliard de milliard de milliard de planètes habitées aussi, dans votre niveau de conscience, dans votre niveau d’expérience, dans votre densité dimensionnelle.
Alors vous verrez que le temps est venu de recevoir de nouveaux enseignements, à l’intérieur de vous. J’aimerais dire que, il s’agira plus de nouvelles manières d’intégrer des informations existantes, que de nouveaux enseignements. Mais d’année en année la conscience s’ouvre, le chemin en vous se fait, cette acceptation se fait, ce « surrender » qui est un mot puissant dans l’énergie, dans la vibration, cet abandon à la Divinité, se fait parfois parce que vous n’avez plus le choix, et beaucoup d’entre vous se disent : « je lâche prise, je laisse tomber parce que je n’ai pas le choix, je n’ai aucun contrôle sur la situation ». Voilà la vérité. Effectivement, vous n’avez pas tout contrôle sur la situation. Les bases se font ensemble, pour votre plus grand bien, selon votre désir. C’est pour cela que je disais, toute à l’heure, que le désir peut être parfois dangereux, peut être l’ennemi. A force de désirer à la place de Dieu, à force de désirer à la place de Dieu quel pourrait être le bon chemin, la bonne chose à faire, vous freinez votre possibilité de bonheur, votre possibilité de paix, votre possibilité de joie.
En laissant tomber, parfois comme vous dites, certaines circonstances, vous verrez à nouveau les coïncidences, vos verrez à nouveau les champs d’expérience, vous entendrez à nouveau des mots qui seront justes pour vous.
Alors dans une grande respiration d’amour et de lumière vous direz : je ne sais pas ce qui va m’arriver, mais je me sens en paix. Je me sens en paix, en moi. Je me sens relié en moi, je me sais ETRE, j’accepte, je vis. Vos yeux s’éveilleront alors, à l’amour le plus grand qui soit.
Pour construire votre futur, et pour terminer mon discours, sachez que le futur ne se construit pas. Le futur n’est qu’un nouveau moment présent, il est donc l’application de votre conscience présente, pas de ce que vous deviendrez demain en accédant à une étape, mais à ce que vous êtes aujourd’hui. En accédant à cela, en informant le présent, vous créez effectivement cette illusion que vous appelez le futur, qui finalement est l’application d’un nouveau présent.
Alors n’oubliez pas de demander en votre nom Divin à être en paix, à être en amour, à être en joie avec ce qui est.
Voyez votre avenir, voyez ce que vous ressentez, voyez ce que vous voulez ressentir.
Ne déterminez pas trop d’étapes, vous ne les connaissez pas la plupart du temps. Ce chemin est une route que vous ignorez, mais c’est une route pavée d’or, et pavée de circonstances qui ne peuvent que vous aider à comprendre ce qui devait être compris, à prendre l’information qui devait être acceptée et digérée, tolérée.
Nous sommes présents à vos côtés bien sûr, nous sommes nombreux à vos côtés, bien sûr, et nous sommes heureux à vos côtés. Toute guérison passe par ce point : je vis.
Oui vous pouvez souffrir, oui vous pouvez avoir mal, oui vous pouvez être contrariés, mais JE VIS.
Ce n’est pas la force de vie ça, ça c’est une information qui est venue s’ajouter qui vient me dire que ça ne se passe pas exactement comme je voudrais. La réalité, vraie, est cette pulsation de vie en vous, elle vous éveille à tous les pouvoirs, à toutes les consciences et à tous les bonheurs.
Je vous invite auprès d’elle.
Merci de votre écoute.
Merci de votre conscience.
Merci de votre existence.
Merci de votre acceptation.
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