par Ozalee
Je vous partage un texte qui m’a été soufflé/inspiré en prévision de l’Équinoxe dans une semaine. Douce Lecture.
Quand les choses se répètent, elles deviennent omniprésentes, au point qu’on peut aisément en oublier le reste.
Souvenez-vous pourtant, que tout n’est que période. Que le soleil est toujours présent, même s’il n’est pas visible. Ainsi en va-t-il de votre lumière. Ce n’est pas car vous touchez vos ombres que vous êtes dénués de lumière. Au contraire. Celui qui pénètre dans ses ombres n’en a plus peur et peut voir enfin les merveilles qui l’habitent.
Car bien souvent, les trésors sont dans des grottes, des coffres, ou encore des cavernes. Des endroits obscurs, fermés, blottis au fond de la terre.
Et si pour connaitre votre divin, il convenait d’accepter votre humanité. Il convenait de s’incarner pleinement, peu importe les mauvais souvenirs, peu importe les blessures, les tristesses et les désarrois.
Pour atteindre la terre ferme, on passe indubitablement par les océans. Ces derniers peuvent se montrer calmes ou au contraire tumultueux. Mais ce qui ne change pas, c’est le mouvement inhérent à l’eau. Ce mouvement on le retrouve dans l’air, avec le souffle, on le retrouve dans la terre avec les tremblements, et on le retrouve enfin dans le feu avec l’oscillation.
Rappelez-vous donc que toute vie comprend le mouvement. Et que tout moment difficile est un mouvement irrégulier. Qu’il soit trop calme, au point d’être immobilisé dans les flots, ou trop fort, au point d’avoir peur de chavirer.
Celui qui reconnait le mouvement, reconnait la vie en lui. Et ainsi, il reconnait les rythmes de chaque saison, de chaque période, et de chaque homme. C’est ce que l’on appelle l’essence. Et c’est cela qui mène à une direction.
Auteur: Ozalee – Farah Sahbi
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