Extrait de « La Voix des Devas » par Dorothy Maclean

Dans une autre culture, j’aurais pu être cloîtrée dans un couvent ou dans un temple, ou, de façon moins plaisante, être brûlée sur un bûcher comme sorcière. Dans notre temps de scepticisme, une telle proclamation a plus de chances d’être accueillie avec une incrédulité moqueuse ou comme les divagations d’une femme imaginative. Étant une personne pratique, terre à terre, je n’avais jamais entrepris d’apprendre à parler avec les dévas et je n’avais même jamais imaginé qu’un tel contact soit possible ou utile. Pourtant, quand cette communication commença à se produire, cela se fit d’une manière que je ne pouvais pas mettre en doute.

Une preuve concrète me fut donnée dans le jardin de Findhorn et devint la base du développement de la communauté de Findhorn. Ce jardin était planté dans le sable, dans des conditions peu hospitalières, n’offrant guère de support à la croissance d’autre chose que des buissons ou herbes écossais coriaces, peu exigeants concernant l’humidité ou la nourriture. Pourtant, dans mes contacts télépathiques avec les êtres déviques qui illuminent et dirigent la croissance des plantes, des instructions spécifiques et une assistance spirituelle me furent données.

Résultat : le jardin, qui en vint à inclure même des variétés de plantes tropicales, était si étonnant par sa croissance et sa vitalité que les experts agronomes et les horticulteurs qui le visitèrent furent incapables de trouver une explication à cela par les méthodes connues d’agriculture organique et durent se résoudre à accepter l’interprétation peu orthodoxe de l’aide dévique.

Apprendre à parler avec les dévas, c’est réellement apprendre à parler avec nous-mêmes et les uns avec les autres, de manière nouvelle et considérablement plus profonde. C’est apprendre à communiquer avec notre univers de façon plus ouverte, à être mieux accordés à notre rôle de cocréateurs et à participer à son évolution. Les communications modernes se sont développées merveilleusement, très rapidement, dans un mode physique et technologique, mais il y a d’autres formes de communication, plus profondes et plus subtiles, qui restent inexploitées. Pour l’avenir de notre monde et de nous-mêmes, nous devons maintenant commencer à utiliser ces formes plus subtiles. L’ayant fait, c’est par expérience que je veux partager mes découvertes avec d’autres, de sorte qu’eux aussi puissent pénétrer dans cette voie de communication, laquelle est réellement une communion avec l’essence, la joie et la puissance de la vie.

Cela n’est pas une question de technique. Je n’ai pas de méthode facile pour vous apprendre à parler avec les dévas ou avec votre Soi profond en dix leçons ou en deux week-ends. Dans les civilisations industrielles, les gens attendent et désirent des résultats immédiats, mais la vraie communication vient de notre propre être et de notre vie dans le Tout. C’est plus quelque chose que nous devenons au cours de notre existence que quelque chose que nous apprenons. Ce que nous communiquons en réalité, c’est ce que nous sommes, pas tant ce que nous pouvons dire avec des mots. Communiquer réellement avec les dévas requiert une approche globale de sa vie, des autres et de nous-mêmes. Je ne peux pas enseigner cela, mais je peux montrer par ma propre vie et mes expériences ce qu’est cette attitude et comment je l’ai développée et exprimée.

Je maintiens que chacun de nous peut parler avec les dévas. Le fait que moi, avec mes capacités et mes perceptions très humaines, j’ai pu apprendre à le faire, signifie que la route est ouverte à qui que ce soit d’autre qui souhaite changer les orthodoxies et explorer son monde par des voies nouvelles. Cela demande un élargissement joyeux de notre vision de la réalité, une ouverture à nous-mêmes et à notre environnement, et un mouvement conscient pour embrasser notre propre totalité.

Disponible en librairies et amazon.fr

amazonfr4

Livraison GRATUITE en France

ariane30ans

Livraison GRATUITE au Québec

ariane_slogan

[widgets_on_pages id= »NOELJUL »]