libre-arbitre

par Théo Friant

 

Accueillir et accepter de « tout être » et de « ne rien être » à la fois (hommage à Shakespeare)… permet d’accueillir les paradoxes du « programme de l’humain ». Accepter que ma réalité est tel un reflet dans un miroir à l’instar de Néo dans le film Matrix. En effet, rien n’est réel dans l’expérience que Néo fait dans la Matrice toutefois, son esprit croit en cette réalité. Lorsque jaillissent ses prises de conscience qu’il n’est pas seulement son corps physique, il devient maître des lois de la matrice (à l’instar des lois universelles). Néo restaure ses pouvoirs créateurs, en termine avec la notion d’espace et de temps liée au mental linéaire, il fusionne l’unité au sein même de la dualité (processus d’ascension de la conscience, fusion des « trames/matrices/matières »). Dans cet article, je vous éclaire sur la « matrice holographique » et le basculement actuel du « mental analytique » vers le « SupraMental » (mental 2.0), les paliers dimensionnels pour comprendre la différence entre le « mental humain » et la « conscience absolue que nous sommes ». Bienvenue dans « Être Libre & Libre Arbitre – L’Ascension de la Conscience ».

 

Être Libre & Libre Arbitre – L’Ascension de la Conscience par Théo Friant – StarseedAstro.

 

La fusion des Plans de Conscience ou l’équation : « Trame/Matrice/Matière ».

« Être conscient » c’est accueillir nos mécanismes liés à nos croyances inconscientes, accepter qu’elles vont toutes y passer, les sentir nous abandonner, vous aurez alors la sensation que ce n’était pas vous le mécanisme toutefois, un voile déformant le prisme de votre réalité. « Être conscient » c’est accepter que le mental soit le serviteur de la conscience, que le mental soit celui qui abat les murailles de l’inconscient, de l’ignorance qui a engendré la peur de mourir, la peur de l’autre.

L’ « Ascension de la Conscience » c’est comprendre qu’il n’y a pas de frontière entre le monde en nous et autour de nous. Cela peut paraître narcissique que la conscience s’auto-expérimente et que l’interface qu’est l’ego ne serve qu’à nous différencier d’autrui, voilà simplement son rôle. Seulement, vécu sur le prisme de la dualité, il s’est chargé de se trouver des ennemis et de se raconter des histoires, ces mêmes histoires que nous nous racontons en boucle à longueur de journée, les mêmes mécanismes, filtres, croyances, identifications… La liste des faux semblants qui nous donnent l’ « illusion d’être séparé » d’autrui et du monde est longue, parfois drôle, parfois tragique car trop de sang versé en les strates terrestres de cette planète, les hommes s’entretuent à cause de ces histoires d’identités qu’elles soient politiques ou religieuses.

Le « Sauveur Externe » dans l’héritage judéo-chrétien. Sortir du « déni de soi » pour accueillir « ce qui est » et non « ce qui parait ».

« Aider autrui » découle de la croyance que « je dois m’occuper de l’autre » car « je ne peux m’autoriser à me reconnaître » et à « penser égoïstement à moi ».

Voici donc la liste des casseroles héritées du judéo-chrétien :

  • « Déni de soi » par la « mystification du Soi » (idolâtrie du Ciel et d’un Dieu barbu assis sur un trône jugeant le petit homme en bas qui n’est autre que le témoin de la conscience).
  • Non-écoute de la présence dans l’instant présent (mental qui tourne à plein régime).
  • « Projections » et « idéalisations extérieures ».
  • Attentes vis-à-vis d’autrui.
  • Brimer la « dimension magnétique » (en référence aux chakras d’expression des premiers âges : Racine, Hara, Plexus solaire) à commencer par une sexualité non reliée au coeuret donc vécue comme animale avec en prime des émotions refoulées et donc empêchant la libération des blessures de l’être.
  • Faux-semblants ( « paraitre » bien ! « être » pas bien ! ^^ ) (enfantin certes, lassant à la longue)…
  • Identifications : « croire » ou « ne pas croire », nos fameux dogmes, si tu crois c’est bien, si tu adhères c’est mieux !
  • Comparaisons : « mon dogme est mieux » ou « plus valable que le tien » (prosélytisme).
  • Signes extérieurs d’ « appartenance à » (attachements aux égrégores = trouver du sens dans une matrice identitaire ou un dogme).
  • « Mythe du sauveur » (Jésus-Christ a racheté les pêchés de l’humanité, pourquoi pas toi ? = culpabilité lié au sauveur).
  • Dévotion + « remettre son pouvoir au Barbu sur un nuage » (qui est la version démodée du Père céleste). Avant que la France ne soit une nation laïque, le clergé (l’église) et l’état étaient fusionnés, cela laisse comme mémoire que les institutions sont supérieures au petit peuple car Dieu est grand, l’homme en comparaison est un pêcheur donc sans pouvoir (sauf les élites à l’instar de Napoléon ou de nos récents présidents). De ce constat, au niveau collectif nous en sommes encore à écumer les deux questions suivantes : pourquoi Dieu m’as-tu abandonné (remplir un vide intérieur par une surconsommation extérieure), moi qui suis ton fidèle ? Ou également : pourquoi Dieu laisserait-il faire les guerres ?
  • « Souffrance par l’idéalisation » (mythe du martyre).
  • Culpabilisation de l’état d’ être l’humain » (soumission à une force supérieurejugement dernier).

La liste est longue… En effet, la blessure de l’humanité (l’abandon) émane du fait que l’homme pense être séparé de l’expérience qu’est la vie, en se disant : « ce que je vis pourrait être mieux » ou encore qu’il est un pécheur, qu’il est faible et impuissant face à « Dieu » qui lui est fort et « Tout Puissant » (Zeus).

Mon expérience en tant qu’ « Astrologue ClairInformant ».



Mon parcours de vie m’a mis très jeune en contact avec mes blessures, mes filtres pour les conscientiser de par les diverses rencontres d’âmes et la richesse des expériences (notamment lorsque j’ai pris contact avec mes capacités de clairinformation à 22 ans). À ce jour je constate que l’ère des Poissons est encore bien présente et que bien des êtres tentent d’aider autrui, ce qui est charitable en soi, cependant, la vérité sous-jacente est qu’ils tentent en fait de s’aider eux-mêmes. En effet, ils projettent sur autrui la somme de leurs blessures et de leurs mécanismesinconscients (attentes, certitudes voir rectitudes mentales, jugements inconscients) sans avoir entamer de démarche approfondie de « dépouillement de la personnalité ».

Aider l’autre est naturel, toutefois l’expérience peut devenir éreintante, en outre, l’être n’en peut plus de s’en remettre à l’extérieur, de satisfaire l’autre, la société et de nier ses désirs profonds, le mouvement de la vie en lui. Le « déni de soi » amène son lot de souffrances, la pression devenue tellement forte que le corps montre les premiers signes d’oppressions jusqu’à la maladie. Alors le temps de la victimisation permet enfin le temps de l’introspection. Nos sociétés occidentales n’accordent que très peu de valeur et encore moins de temps à l’introspection, elle est jugée comme étant une forme de faiblesse, de dépression. Ce monde patriarcal (voir l’article : Les Enjeux « Hautes Fréquences » d’un Nouvel Âge – Vivre l’Éveil de Conscience dans une Société Patriarcale)  tourné vers l’extérieur est plutôt tourné vers l’extraversion, valorisant les hommes et les femmes qui réussissent à tout prix en trahissant et en écrasant les autres au passage (mythe du SurHomme).

« Être hors de soi » est la rançon de cette gloire éphémère. Cette illusion que l’homme contrôle le vivant.

Les comportements « introvertis » sont jugés, les êtres « faibles ou marginaux » raillés… paraitre  devient la norme.

L’illusion de la séparation, cesser de rejeter la vie pour entrer dans l’unité. Vers la fin de la souffrance…

Notre âme c’est nous, le corps comme l’âme sont les véhicules de la conscience.

Tout ce que nous vivons n’est autre que la vie qui s’exprime dans sa perfection et même si cela peut paraître imparfait, lorsque nous commençons à rejeter le mouvement de la vie, lorsque nous commençons à « lutter contre », à nous battre avec les expériences qui nous sont offertes à chaque instant, c’est à ce moment précis que la souffrance émerge. Si nous nous posons un instant, en interrogeant l’expérience vécue, nous sentons que tout ce que nous expérimentons est une projection, nous constaterons alors que le corps n’est pas séparé de l’expérience de la conscienceque nous sommes.

La souffrance c’est aussi lorsque nous commençons à blâmer autrui, qu’il n’est pas comme nous aimerions qu’il soit. Toutefois, l’autre n’est que la perfection de ce qu’il doit être en l’instantcar il est le reflet de nous-même (reflet parfois plus ou moins intense selon l’expérience). Lorsque nous saisissons cet instant de résonance entre nous et l’autre, nous percevons qu’il n’y a que l’amour et la conscience qui en fait l’expérience et peut-être nous libérerons à jamais cette personne de sa propre expérience (en résonance avec la nôtre).

Tout le chemin de ce « travail sur soi » est bien souvent vécu telle une quête extérieure de connaissance, un temps dans les livres, un temps dans les temples.

Posons-nous un instant et contemplons :

  • Quel est ce chemin que j’explore depuis l’extérieur de moi-même et qui m’invite à « être hors de moi » dans une non-écoute de ce qui est présent « ici et maintenant » ?
  • Et si j’invitais la vie en moi afin de l’écouter véritablement ?
  • Quel est ce besoin de sensationnel jamais rassasié qui m’invite à passer par un guruun ange, une nouvelle méthode thérapeutique miraculeuse ?
  • Et si au lieu de me perdre dans de « grandes quêtes spirituelles », j’investissais le microcosme, au coeur de la cellule, au coeur de l’atome, dans le noyau ?

La création est en nous, nous sommes cette création, je ne parle pas ici d’oeuvres artistiques ou romanesques… je parle de ce pouvoir que nous accorde la vie de créer et de contempler nos créations.
Ceci est l’artiste tel que je me le figure : l’accueil du « Je Suis » à chaque succession d’instants présents, l’émanation du « Je Suis Absolu ».

L’ « Ascension de la Conscience ».

En l’homme réside le scénario suivant : « il n’existe que la voie de la dualité » car l’humain n’a pas le souvenir conscient de l’absolu (alors qu’il est aussi cet état qui précède le monde de la forme). Pour que la conscience que nous sommes puisse se reconnaitre, je vous invite à questionner la conscience que vous êtes :

  • Suis-je ce corps physique (issu de la matière et du subtil) ?
  • Suis-je cet ego ?
  • Suis-je la totalité de l’expérience que je vis ?

Lorsque la conscience se reconnaît, les luttes du « petit Moi » et tous les mécanismes du « rejet de la vie » s’effondrent. Cela participe à réunifier dans le coeur nos « racines célestes » (origines stellaires) à nos « racines terrestres » (identités terrestres). De cette reconnaissance émerge alors un état, cet état est la paix. Toutes les histoires de « libre arbitre » ne se posent plus, il n’y a plus d’histoires de « vouloir faire », de « je suis l’agissant aux commandes et je contrôle ma vie ». Nous sommes alors aptes dans ce silence, dans cette écoute, à canaliser la totalité de ce qu’est l’émanation de la vie, via les 5 sens qui s’expansent et fusionnent avec la vie en dedans et en dehors (les capacités extrasensorielles se déploient ainsi).

 

Prenez bien soin de vous.

Théo Friant

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