Peu de temps après les informations publiées sur le programme d’espionnage de la NSA, Snowden a exprimé quelques pensées qui restent toujours intrigantes pour plusieurs personnes.

« Tout ce que je peux dire maintenant, c’est que le gouvernement des États-Unis ne sera pas en mesure de couvrir cela par la prison ou en m’éliminant. La vérité arrive et ne peut être arrêtée. »

La vérité arrive, et elle ne peux pas être arrêtée. Alors que ce sont quelques mots passionnants pour la plupart des penseurs libres, ils ne sont pas si excitants pour un certain nombre à Bruxelles, Washington D.C., Londres, New York, le Vatican, Francfort et pour d’autres.

Si on regarde de plus près ses paroles et le timing de celles-ci, ce qui était après, et non avant qu’il ne publie ses informations, il semble que quelque chose est encore en jeu… il reste encore des vérités à révéler… il y a des gens qui travaillent toujours pour révéler encore plus de vérité. Il y a une fin de partie en vue.

Bien qu’il puisse être difficile pour certains de croire que le gouvernement de l’ombre se retrouvera exposé de ses crimes, la vérité est que nous voyons déjà certaines de ces choses à la lumière, et beaucoup plus de choses sont à venir. En effet, il y a des « bons » dans « le Système » qui travaillent à faire tomber cette élite bancaire et politique.

La première preuve que nous avons sur ce sujet est que Craig Murray, un ancien ambassadeur britannique, a récemment dit au monde que la CIA ment sur la Russie qui serait la source des révélations Wikileaks. Zerohedge a rapporté ce que Murray a dit :

«Je sais qui a fait fuiter les informations. J’ai rencontré la personne qui a divulgué ces données, ce n’est pas un russe, c’est une personne de l’intérieur. C’est une divulgation et non un piratage ; Les deux sont des choses différentes.«

En d’autres termes, un «bon gars» qui travaille au sein du système a divulgué l’information. Quelqu’un à l’intérieur travaille à exposer le gouvernement de l’ombre.

La prochaine preuve est le projet de loi que Tulsi Gabbard a proposé au début du mois de décembre 2016. La loi «Stop Arming Terrorists» proposée par Gabbard vise à empêcher le gouvernement Américain de financer et d’armer ISIS, Al-Qaida et d’autres groupes terroristes. Tulsi a déclaré à propos de sa proposition : « Si vous ou moi avons donné de l’argent, des armes ou un soutien à Al-Qaïda ou ISIS, nous serions jetés en prison. Pourquoi notre gouvernement obtient-il un laissez-passer ? »

Encore une fois, nous avons un initié qui lance un appel public et cherche à mettre fin à une partie de la folie que le gouvernement de l’ombre a créé : Financer et armer les mêmes groupes terroristes que les gouvernements prétendent combattre. Bien que l’action de Gabbard sur ce sujet ait été publique, elle a néanmoins été un mouvement clair contre le gouvernement de l’ombre. Bien sûr, son action a entièrement justifié, ce que Zerohedge a rapporté en mai de 2015 : Les États-Unis ont créé et a financé ISIS. Ce mouvement nous montre aussi que quelque chose de gros est toujours en jeu. Le gouvernement de l’ombre n’a pas encore été pleinement exposé, mais il y a des forces là-bas dans le processus qui tentent de le faire.

Il y a un autre événement que nous devons rappeler, retour en novembre 2015, lorsque Vladimir Poutine a exposé au monde le fait que les services de renseignement russe avaient recueilli des informations sur 40 pays qui financent ou finançaient ISIS. Bien qu’il ait été révélé plus tard que la Turquie était une de ces nations, ce qui est le plus important à évaluer à partir de cette divulgation est que cette situation est toujours en jeu. Devons-nous vraiment croire que Poutine et la Russie s’assiéront indéfiniment sur les informations des 39 autres pays qui financent ISIS ? Serait-il possible que la Russie attende simplement le moment opportun pour révéler de telles informations ? Si de telles informations fuitent, et nous avons toutes les raisons de le croire, alors ce sera une révélation qui aura un impact sur tous les aspects de notre monde. Les retombées seront énormes. Peut-être est-ce l’une des plus grandes raisons pour lesquelles l’élite et leurs médias tentent de diaboliser Poutine comme un «mauvais dictateur». C’est comme si Poutine avait «des cartes à jouer» sur l’élite mondiale… et ils le savent. Le temps est presque écoulé.

Source: http://www.anguillesousroche.com/

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