par Lydia
Et bien je ne m’étais pas trompée, accueillir la colère, pacifier le masculin en soi, libère le potentiel créatif, le désir d’agir, de passer à l’action. Le fait que je prenne plaisir à faire du ménage en est l’expression ! C’est le signe que le désir d’habiter mon corps physique, grandit de jour en jour à mesure que je connais mieux ce que je suis et que je me sens plus à l’aise avec mon corps émotionnel, avec tous mes corps, qui s’harmonisent à la fréquence d’amour et de lumière de la source.
Cette douce association entre le féminin et le masculin qui se réalise dans l’accueil des émotions, l’abandon du jugement, désactive les anciennes croyances et conditionnements liés aux genres.
Je pouvais comprendre que ma façon de considérer le ménage était fortement influencée par l’inconscient collectif féminin, par le vécu de mes ancêtres, de ces générations de femmes soumises à leur mari qui étaient obligées de prendre soin du foyer. Mais ma vision du ménage était également influencée par ma propre enfance puisque comme ma mère travaillait, dès l’âge de 6 ou 7 ans, il fallait participer activement aux tâches ménagères. Les mémoires ancestrales ont été activées dans l’enfance à travers ce vécu.
Ce n’est pas tant les faits qui me dérangeaient mais plus la façon dont c’était imposé, le fait que ce soit amené comme une obligation, une corvée, plutôt que comme une forme de responsabilisation ou un acte d’amour.
Associer le fait de prendre soin de la maison ou de soi, à un devoir, une obligation, une contrainte, en abaisse la vibration et en pervertie le sens véritable.
Par contre si les parents expliquent aux enfants combien il est important de s’occuper de soi, d’être soigneux, comment prendre soin de son corps, de son environnement peut procurer de la joie parce que c’est de l’amour, c’est une façon de montrer qu’on aime son corps, la vie, la vibration n’est plus du tout la même.
Apprendre aux enfants l’importance et la valeur de l’amour, comment on peut se donner cet amour et le partager à travers le respect de soi et de l’autre, les amène à éprouver de la gratitude, à se sentir responsable et à constater l’impact de leur comportement sur les autres, sur leur environnement.
L’enfant va pouvoir comprendre où est sa force et si en plus le parent lui explique la puissance de la pensée, de l’intention, de l’émotion, il sera capable de comprendre sa valeur, de s’affirmer, de s’épanouir et de s’accomplir.
Quand je vois l’énergie avec laquelle j’ai fait du ménage hier, sans me lasser, sans me contraindre et en éprouvant de la joie, cela m’encourage à suivre mon intuition.
C’est clair que cela démontre que je libère les croyances collectives et individuelles.
Les croyances et les conditionnements liés au genre sont lâchés dans cette reconnaissance et cet abandon.
Pour libérer une croyance, il faut déjà en être conscient, savoir qu’on la porte mais pour que ce soit désactivé, il est nécessaire de libérer aussi la charge émotionnelle.
Et bien évidemment il faut vouloir lâcher cette croyance, avoir compris que cela ne nous servait pas ou que ça n’était pas juste. Injuste dans le sens où ça n’est pas l’expression de l’amour sans conditions. Il est clair qu’il ne s’agit pas d’avoir raison mais de voir qu’une croyance n’apporte pas la paix, qu’elle divise au lieu d’unir.
C’est sûr que la femme a longtemps été opprimée mais elle a sa part dans les conflits avec les hommes et surtout, la seule chose qui puisse servir le bien commun, c’est de vouloir sortir des conflits, passer à autre chose.
D’autant plus qu’on sait maintenant que tout ce qui se vit à l’extérieur est le reflet de ce qu’on porte en soi.
Dans l’accueil des pensées émotions, on découvre le pouvoir de l’abandon du jugement, de la lutte et celui de l’union avec l’âme qui révèle notre pouvoir véritable, celui de l’amour, de l’unité et de l’harmonie en soi.
Nous ne sommes pas encore suffisamment conscients de notre pouvoir créateur mais à mesure que nous pouvons offrir à la source, ce qui nous dérange et qui se manifeste par un mal-être, une émotion difficile, une tension, la compréhension de ce potentiel devient évidente.
Le pouvoir de la pensée, de l’intention, de l’émotion donc de l’énergie par le phénomène de projection et par la nature intrinsèque de l’énergie qui n’a pas de limite et qui est en mouvement constant, se révèle à mesure que les corps mental et émotionnel s’apaisent et que l’aura est purifiée dans cet accueil sans conditions et sans jugement de ce qui se manifeste en soi.
Encore conditionné par les croyances du collectif nourries en permanence par les élites, les religions et l’incompréhension générale de ce qu’est l’humain, la majorité des gens continuent de croire qu’elle est impuissante, qu’elle est manipulée de toute part et surtout par des entités.
Mais ce qui est merveilleux, c’est que chacun peut savoir et reconnaitre par lui-même, le pouvoir de la pensée, de l’émotion et de l’offrande à la source, à l’amour lumière de tout ce qui en soi n’est pas l’amour, la paix, la joie.
Par les sensations fortes, l’intensité de la peur, des émotions dites négatives tout comme par celles qu’on considère comme positive, on peut mesurer l’impact de nos pensées, de nos émotions, de nos croyances.
Plus on prend l’habitude de confier à la source intérieure, le soin de rétablir la paix, l’ordre et l’harmonie et plus ce que nous sommes se révèle dans toute sa splendeur mais aussi dans sa simplicité.
Certes, la constitution de l’humain est complexe mais un enfant peut en comprendre le fonctionnement parce que lorsqu’on est dans cette ouverture de cœur et d’esprit, dans cet accueil, cette innocence, dans la reconnaissance des limites du mental conditionné à la notion conflictuelle de la dualité, lorsqu’on nourrit le désir de paix et d’unité, la lumière intérieure révèle le potentiel créatif de l’humain, le potentiel de guérison et de libération.
Déjà, délaisser les croyances basées sur la notion de bien et de mal, l’idée d’un dieu éloigné et inaccessible, va permettre de comprendre la valeur de chacun des corps, des aspects de l’être et par-dessus tout que l’âme, c’est ce que nous sommes en essence.
Nous ne sommes pas séparé ou inférieur à l’âme, la conscience humaine est simplement voilée par les croyances et conditionnements.
On continue de croire en des choses qui nous maintiennent dans l’ignorance, le sentiment d’impuissance et d’injustice.
La pensée est vivante, créatrice et chacune d’elle se projette dans l’espace sous la forme d’énergie, d’images, d’objets. Plus on porte et nourrit les mêmes pensées difficiles et plus leur forme est dense, plus elles attirent d’objets en conséquence et en nombre. La pensée associée à l’émotion créé ces objets énergétiques. Ces projections sont des émanations ou des enfants à qui nous donnons vie.
Les réintégrer, les ramener dans notre cœur, dans l’amour lumière, nous complète et nourrit l’amour véritable tout en révélant notre essence. On apprend ainsi à modeler notre espace énergétique, à rayonner notre essence originelle, l’amour et la lumière de l’âme, de la conscience.
Lorsqu’on adopte une croyance dans l’enfance, c’est parce qu’une émotion forte a créé une association d’idées, on a senti quelque chose de fort et dans la conscience de l’enfant, on a associé l’émotion à une croyance, le ressenti à une pensée. On commence à se forger ses croyances dès qu’on est dans le ventre de notre mère. On est comme une éponge et les émotions qu’elle ressent, s’inscrivent en notre mémoire inconsciente.
Nous ne pouvons pas traiter l’info qui va tout de même s’imprégner dans notre subconscient ou notre inconscient, notre corps émotionnel, sous la forme de sensations, d’odeurs, d’émotions, de vibration fortes.
Une odeur, une sensation marquée d’une forte émotion ou associée à une émotion de peur va servir de déclencheur afin qu’on puisse l’éclairer de notre conscience adulte.
Mais en général on le perçoit comme une agression, quelque chose qu’on ne comprend pas puisque naturellement, la conscience de l’enfant, du bébé, n’a pas pu lui donner un sens. On est ainsi environné de bulles d’incompréhension, de formes et d’objets qui troublent notre vision. On a l’impression que notre malaise vient du déclencheur, de la personne ou de la situation qui aura éveillé cette mémoire alors que la tension ou la douleur est intérieure.
Ce matériel émotionnel attire en plus des énergies en résonance tant qu’on ne fait pas la lumière, tant qu’on ne comprend pas le phénomène et le sens de ces émotions.
Ainsi on continue d’être dans la confusion parce que dans notre quête de sens, dans notre désir de comprendre ce que nous vivons de difficile ou douloureux, on va trouver toutes sortes d’infos qui vont amplifier nos croyances et superstitions. On cherchera à comprendre par l’intellect et comme il est limité aux croyances, on va tourner en rond dans cette incompréhension. Le mental n’a pas les réponses, seul notre cœur peut nous montrer la réalité et la lumière de la conscience va instruire le mental qui saura interpréter peu à peu les nouvelles données.
Beaucoup de gens ont intérêt à nous faire croire que nous sommes impuissants, possédé par des entités, que la cause de notre mal-être est extérieure, que l’enfer c’est les autres, que c’est la faute des élites, des étrangers, des ennemis…
La plupart des multinationales fondent leur pouvoir et leur crédibilité sur la peur. Les élites se nourrissent de l’ignorance et de la peur des masses parce qu’ils en connaissent la valeur a bien des niveaux. Ils savent qu’une personne soumise à la peur va chercher un sauveur, un guérisseur, acheter des assurances de toutes sortes, placer son argent dans des coffres et travailler dur pour se préserver de la pauvreté.
Les églises tirent aussi leur pouvoir des peurs innombrables des gens mais aussi de leur sentiment de culpabilité.
La peur, la culpabilité sont des énergies, des messagères, qui nous informent au sujet de nos croyances. De ces croyances qui nourrissent les blessures, le sentiment d’impuissance, d’illégitimité, ces croyances qui activent les scénarii récurrents afin de nous alerter.
De nous amener à les considérer, à les actualiser, à changer notre regard sur nos croyances, nos pensées et nos émotions dites négatives.
Ce sont des infos, des bulles d’énergie tant d’incompréhension que de connaissance, qui nous appellent, qui demandent à être vues avec les yeux du cœur.
L’émotion dite négative tout comme la douleur physique, attirent notre attention vers l’intérieur mais comme nous avons tendance à les rejeter, nous nous privons des connaissances qu’elles portent.
Dans la dualité, une énergie, celle d’une émotion refoulée, contient autant l’ignorance que la connaissance. L’ignorance parce que nous l’avons enfoui dans l’inconscient et parce que nous en faisons un objet indésirable et la connaissance parce qu’en l’accueillant, elle va nous montrer la croyance obsolète, la croyance qui nous empêche de vibrer dans l’amour. Dans ce retour au centre, on va peu à peu intégrer la sagesse de l’âme.
L’intensité du mal être va nous obliger à chercher des solutions, à développer notre curiosité, à porter notre attention sur nous-même et à prendre conscience de la puissance du lâcher prise. Parce que tant que nous apportons une réponse erronée à la douleur, à la souffrance, celle-ci continuera de se manifester.
La réponse qui vaut pour toute pensée difficile, pour toute émotion, toute douleur, c’est toujours l’acceptation de ce qui est, l’accueil ou offrande à la source de ce qui se manifeste en soi.
Le fait de reconnaitre que nous n’avons pas la solution mentalement, ou que nous bloquons la réception de la lumière en résistant à ce qui est, va ouvrir notre canal intérieur, notre cœur.
L’émotion refoulée dans l’enfance n’est pas une ennemie, elle nous montre l’obsolescence d’une croyance, l’erreur d’interprétation d’un fait marquant et la façon dont cela influence encore nos vies. En cela on peut constater le pouvoir des émotions, le potentiel créatif que recèlent tant la pensée que l’émotion.
Une émotion refoulée ou contenue, attire à elle des énergies de même fréquence, elle active des pensées qu’on a associées à l’évènement douloureux et de cette façon, la pensée et l’émotion perpétuent la croyance et les mêmes schémas douloureux.
L’enfant ressent les émotions dans le ventre de sa mère, il capte les scènes de façon émotionnelle et même certaines images qui vont rester imprégnées dans l’inconscient.
La vibration basse va marquer les corps subtils, le mental, dans sa zone inconsciente, l’émotionnel par la rétention de l’énergie ou l’interdiction de ressentir certaines d’entre elles.
On sera environné d’énergie de résistance, de conflit, de violence, de prédation et de manipulation. Les croyances basée sur la notion de bien et de mal vont continuer de gérer nos pensées, de faire émerger des émotions en conséquences.
Si on pouvait voir l’énergie qui nous environne, on serait effrayé parce qu’on les qualifierait de mauvaises. Non seulement celles qui viennent des pensées difficiles qu’on émane forme des images en conséquence mais en plus elles attirent les mêmes objets, les mêmes énergies et les êtres de même fréquence.
Pour peu qu’on ait grandit dans une famille qui fréquente une église, on sera conditionné par leurs croyances en l’enfer et le paradis. Les entités dites négatives sont des projections de notre conscience ou de notre inconscience, de nos peurs, de notre résistance qui attirent des fréquences, images, vibrations similaires. Seule l’intention de paix, d’amour, d’harmonie peut les transmuter. Ces énergies ont le pouvoir qu’on leur donne et on leur donne en continuant de croire en la dualité, au bien et au mal.
L’expérience nous montre la relativité des choses et la connaissance de ce que nous sommes en vérité, nous libère des croyances collectives basées sur la division et la séparation.
Tant qu’on ne porte pas un regard neutre et bienveillant sur ce que nous sommes, on ne sort pas des croyances et conditionnements.
Il ne s’agit pas non plus de nier les faits, les souffrances, les douleurs mais de changer notre regard dessus. Quand on reconnait qu’on a été dans l’erreur, qu’on a interprété les choses dans l’ignorance de notre nature véritable et multidimensionnelle, notre vision s’éclaire. On perçoit alors, les pensées, les émotions, comme des énergies, des infos et pas comme des ennemis, des objets qui ne devraient pas exister.
Les pensées sont comme des enfants dans le sens où c’est notre mental qui les créé, qui les projette et c’est l’expression de notre incompréhension.
On projette cela vers l’extérieur pour les voir et les comprendre, pour les amener à notre conscience, dans le présent mais en général, on croit que c’est un réflexe de rejet.
On pense que le mental repousse ces émotions indésirables alors qu’il les met en scène pour qu’on comprenne son fonctionnement, la loi du miroir, le phénomène de résonance et qu’on y déverse la lumière divine, ou notre conscience élargie.
La pensée associée à l’émotion crée une image, une scène afin de nous aider à prendre conscience de ce que nous portons, de ce que nous ne comprenons pas.
Ainsi par les scènes récurrentes, la maladie, la douleur, on va s’interroger, essayer de comprendre la croyance qui créé l’évènement. En amenant cela à la lumière de la source en soi, on va comprendre peu à peu comment nous sommes faits, comment nous fonctionnons, quels sont les lois qui régissent la vie…et par dessus tout la puissance de l’amour, de l’acceptation, de l’abandon du jugement.
On va pouvoir sentir la présence de notre âme, apprendre à la connaitre et lâcher les croyances communes à propos du divin.
Les anges, les démons, sont la projection mentale de la conscience et de l’inconscient collectif qui tente de comprendre le divin, les énergies, les mondes subtils.
Mais cette vision duelle des choses nous maintient dans l’ignorance, les fausses croyances et les conditionnements familiaux, religieux, culturels.
Malgré tout, il y a une forme de sagesse populaire en ces croyances, une part de vérité. Mais tant qu’on reste soumis à la dualité en pensant que c’est la vérité, on ne peut pas s’en extraire ou la transcender.
Les religions véhiculent des semis vérités mais depuis l’espace du cœur, on peut percevoir dans la neutralité, que ce contexte de dualité a permis de poser les choses, de comprendre la valeur de la paix, de l’amour, la puissance de l’intention, du lâcher prise, la force de l’unité. On considère le mal comme l’expression du diable mais ce sont des énergies polarisées qui révèlent la valeur de leur opposé. La valeur dans le sens où ce pôle est une force d’attraction et de répulsion qui s’inscrit dans une dynamique d’évolution, de compréhension.
Une dynamique qui amène finalement à chercher la transcendance, la paix, l’unité, la vérité.
L’humain a été manipulé depuis le début par ses propres émanations, incompréhensions. Il a perdu le souvenir de ses origines afin de connaitre par lui-même et de désirer ardemment revenir à la source.
Il fallait qu’il soit laissé à lui-même pour expérimenter la matière, la pensée, l’émotion, le fait d’être incarné dans un corps de chair constitué de dimensions multiples, de règnes, d’éléments et de forces.
L’émotion vécue dans la chair peut être comprise parce qu’elle est ressentie et perçue depuis le cœur qui l’harmonise, on peut sentir au-delà de ses mouvements, l’énergie de Vie.
C’est sa forme d’expression particulière et son langage spécifique qui demandait la plongée dans la chair, dans le monde des sensations. Monde des sensations, de l’expression, de la communication dans la densité à travers les langages du corps, la voix, les gestes, les émanations énergétiques, les expressions du visage, des mains, la posture…
Par le fait que nous soyons constitués de tous les règnes, le minéral, le végétal et l’animal, nous avons parcouru ces règnes, expérimenté ces états, allant de la matière la plus dense jusqu’à l’essence subtile de l’être.
A l’image de l’évolution de la création depuis la cellule jusqu’à la formation de la planète toute entière, l’homme a parcouru la remontée vers sa source. En chaque incarnation, ce même cycle se revit dans la formation du fœtus.
Au sujet de la réincarnation, on a tendance à vouloir s’identifier aux autres émanations de l’âme, à chercher la meilleure version, à vouloir fuir celle que nous sommes, alors que nous portons tout cela en nous.
L’âme est ce que nous sommes éternellement et en sa mémoire, en notre mémoire, nous portons ces expériences mais notre personnalité n’est qu’un aspect de l’âme.
Plus on intègre la vibration de l’âme et plus on accède au potentiel, aux acquis des autres émanations dont nous portons déjà le bagage. On porte les incompréhensions et la connaissance, simultanément puisque l’un révèle l’autre.
Bon ça n’est pas encore très clair tout ça mais le processus de compréhension est toujours le même. Le mental intègre les données peu à peu dans un mouvement de vidange et de remplissage. Il est nécessaire de lâcher une croyance et son matériel énergétique, émotionnel, pour qu’on puisse intégrer la lumière. Quand on perçoit un blocage et qu’on se tourne vers l’intérieur, l’enfant en soi, il exprime une émotion refoulée qui libère son message dans l’accueil et cela active le masculin et le féminin sacré. C’est alors l’âme et la conscience, l’amour et la lumière qui gèrent l’info dans cet acte d’orienter le mental vers le coeur. Le masculin focalise l’attention et le féminin accueille.
Cela se traduit par une nouvelle forme de compréhension qu’il faudra intégrer en l’appliquant, en reconnaissant la valeur, ou en le validant par l’expérience.
L’énergie est reçue ou à la portée de tous comme les rayons du soleil se diffusent partout et le taux vibratoire de la terre, sa fréquence qui s’élève, rendent disponibles de nouvelles énergies, infos.
On y est plus ou moins sensible et on l’intègre en libérant de vieilles énergies, croyances mais le mental l’interprète selon ses croyances du moment.
Il lui faudra un certain temps, à force de répétition, pour assimiler l’énergie et en faire une réalité dans ses données puis pour que cela se manifeste spontanément dans la matière.
Avec le recul, tant au niveau individuel que collectif, on peut voir combien nous avons progressé dans notre compréhension de l’humain divin, des lois universelles.
On voit bien aussi que nous comprenons les choses par vagues, que nos consciences s‘ouvrent généralement simultanément ou que l’interprétation des flux de lumière est généralisée. On arrive à une vision commune selon notre degré de connaissance et de lâcher prise…
Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr
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