par Alyna Rouelle

Ce texte naît d’un désir de clarté, d’élan, d’enthousiasme et de sentiment concret et créateur de pouvoir intérieur. Ce désir naît d’une incompréhension à laquelle je suis fort souvent confrontée : celle de personnes ne croyant pas en la puissance des actes individuels, des petites choses du quotidien, des choses simples mais… qui font la différence.

Dans mon domaine d’investigations, de recherches, d’expériences et d’enseignement, j’ai souvent en face de moi (ou de l’autre côté de l’ordinateur) des réactions agressives ou consternées, de l’incompréhension, du mépris voire des tentatives d’humiliation. J’entends ou je peux lire : « Alors comme ça tu penses changer le monde en disant aux gens qu’ils faut qu’ils mangent d’une certaine manière ? » ; « Parce que vous croyez que le régime alimentaire des gens va faire disparaître les guerres de la surface de la terre ? » ; « C’est se murer dans le déni, la fuite de la réalité et la niaiserie que de se comporter comme vous le faites Alyna, c’est dangereux ! » ; « C’est le gouvernement qu’il faut changer, pas tes habitudes au quotidien, tout le monde s’en fout de tes habitudes au quotidien ! » ; « Le mal dans le monde ne régresse pas quand on médite, quand on fait du yoga ou quand on se place dans l’amour, et même pas non plus quand on mange vegan ! »

Tout cela est bien normal. Je comprends si bien et respecte aussi tellement ces raisonnements que je ne peux même pas dire que ces personnes ont tord ! Elles n’ont pas tord, elles expriment leur réalité. Il est vrai que même lorsque l’on se réveille le matin plein d’amour, de gratitude, d’élan pour vibrer harmonieusement avec tout ce qui va constituer notre journée, on peut constater qu’au journal de vingt heures, le « résultat » mondial reste désastreusement inchangé. 

Mais laissez-moi vous conter un peu de mon histoire… Vous connaissez jusqu’ici la jeune femme prânique, qui s’est libérée du besoin de s’alimenter physiquement, et qui continue d’avancer sur ce chemin de la Nutrition de la Liberté. Mais qu’y a-t’il derrière tout cela, que s’est-il produit dans ma vie pour que je fasse ces choix, que je prenne ces directions, que je décide d’assumer un statut difficile, dangereux, attaqué, épuisant, etc… autant qu’il est béni, merveilleux, et offre une vie enchantée et gorgée de vitalité toujours croissante.

 

Depuis ma plus tendre enfance, je voyais ma vie toute tracée. Je voulais être danseuse. Mes deux parents sont artistes et ont exercé le métier de comédiens de théâtre durant longtemps, et je suis née dans cette ambiance magique des répétitions, des coulisses, des cours de théâtre, des scènes diverses, des festivals, des arts de la rue, des spectacles… Être sur scène me procurait le plaisir le plus immense et insubmersible, la joie la plus profonde, et me nourrissait intensément. Je n’imaginais pas mon existence différemment. J’y croyais plus que tout, je posais tous les actes possibles et imaginables pour réussir (et je réussissais très bien, malgré que je fus très jeune encore ! ), et tout semblait me sourire et fonctionner le mieux du monde. Je suis devenue première danseuse dans plusieurs compagnies et voyageais sans cesse.

À l’âge de dix sept ans je suis partie à l’étranger pour perfectionner ma technique en même temps que j’allais enseigner. Je rentrais en France pour assurer les spectacles. J’ai eu là-bas une expérience violente, horrible, destructrice, et je suis rentrée en France en catastrophe, littéralement sauvée par une amie et collègue de l’époque qui s’était transformée pour l’occasion en véritable ange gardien et à qui je suis reconnaissante pour l’éternité. Durant une année entière j’ai vécu quasiment sans énergie vitale, sans envie, sans forces, survivant simplement en m’accrochant à ma tristesse et ma douleur de devoir arrêter la danse, la scène, suite à des blessures à répétitions après le traumatisme vécu et qui me dévorait littéralement de l’intérieur. J’ai longtemps cherché un sens à tout cela… Je voyais ma vie s’effondrer, changer du tout au tout pour mon plus grand désespoir. Rien n’y faisait. Malgré tous mes efforts pour soigner mes chevilles, elles demeuraient douloureuses et m’empêchaient de courir, de m’entrainer, même de marcher vite. 

Je me suis alors plongée au plus profond de moi.

Ayant été élevée de manière végétarienne par mes parents (à quelques exceptions près), dans l’amour de l’art, de la lecture, du silence, de la nature,  du monde spirituel, je me suis reconnectée à tous ces domaines que j’avais quelque peu mis de côté au profit de mon amour et de ma passion totale pour l’art de la danse qui était devenu mon métier. C’est alors que j’ai expérimenté les vertus du yoga et de la méditation, mais aussi d’une alimentation dynamique, vivante, frugale, adaptée à mon corps et à mes besoins propres. À l’époque je me suis remise à courir ou marcher tous les matins et à beaucoup faire travailler mon corps, en douceur bien qu’en intensité. Je mangeais extrêmement peu et quasiment exclusivement des fruits et légumes, principalement crus et consommés bruts. Je me sentais redevenir vivante, et redevenir moi ; soudain, je réalisais que j’avais absolument tout pouvoir sur ce que je vivais au quotidien, que c’était moi qui décidais, que je n’avais pas disparu derrière ces expériences de souffrances et de chocs. Mon coeur était toujours palpitant, mon corps était là, prêt à bouger, s’étirer, se nourrir, mon esprit était avide de travailler, et surtout, moi, au coeur de tout cela, j’étais toujours là, et gorgée de vie !

Nous ne sommes ni nos expériences ni nos situations ! Nous ne sommes pas notre passé !

Nous sommes ce que nous choisissons d’être et de devenir, bien au-delà de tout cela !

Prendre conscience de cela fut à la fois magnifique et difficile : je ressentais une puissance incroyable, mais aussi une certaine frustration à ne plus pouvoir être cette « victime », dans le rôle de laquelle je m’étais laissée sombrer durant plusieurs mois. Cette frustration n’a pas duré longtemps. Le sentiment d’enthousiasme et de vitalité était tel et aussi tellement grandissant qu’il éclipsa tout le reste, bien sûr. C’est si bon de se sentir en Vie !

Puis, alors que cette régénération globale s’effectuait en moi, le prana est arrivé dans ma vie, et vous connaissez la suite… 

Un parcours sans faute pourrait-on dire, un succès sur toute la ligne, et oui, je peux le dire, je suis émerveillée par la vitesse à laquelle les choses se sont mises en place au fil de mes acceptations pour être qui je suis. J’ai réalisé que dans mon désir de n’être que danseuse (ce que j’ai ressenti pendant longtemps), je fuyais une immense part de ce qui me constituait. Depuis ma tendre enfance j’avais une sensibilité extrême, une conscience particulièrement ouverte et puissante, des perceptions dans tous les domaines et des facultés magnifiques dans chacun de ces domaines. Et quelque part, au fond de moi, tout cela me faisait très (vraiment très très très très très) peur : cette dimension éternelle, infinie, gigantesque que je sentais à l’intérieur de moi, et que je sentais grandir (!) m’effrayais, car au fond de moi, je savais parfaitement ce qui m’attendait. Et lorsque j’ai décidé de l’accepter, de l’aimer, j’ai choisis de partager avec le monde entier grâce à Internet, mon expérience de nutrition par la lumière, mon expérience de pleine conscience. Je m’attendais tout de même (je dois bien l’avouer) à être prise pour une folle et donc à être ignorée par une grande majorité. Ce fut l’inverse. 

Depuis ce jour de Mars 2015, je n’ai plus une minute à moi et ne cesse de recevoir toujours davantage de messages d’amour, d’échos sublimes, de reconnaissance, de gratitude, de questions pleines de joie, d’envie de liberté, de puissance, de santé, de joie de vivre… Et je ne sais comment exprimer ma gratitude et l’honneur que j’éprouve pour tout cela. Jamais je n’aurais pu imaginer vivre une telle félicité, une telle facilité. C’était magique et de plus en plus magique. L’Unité s’installait de plus en plus en moi, et la conscience de cette pulsion de vie qui nous enveloppe et nous berce continuellement… de cette magie concrète qui donne forme et existence à tout ce qui est. Cette Unité qui ne demande qu’une chose : un saut dans le vide, un saut qui signifie quelque chose du genre : « J’accepte de n’être rien ni personne, et j’accepte d’être quelqu’un et d’être tout. »

Ça ne paraît rien comme ça… mais c’est à la terreur la plus profonde qui soit que l’on se retrouve confronté. Tous les contraires en un seul point, toutes les énergies et concepts possibles en ce seul point ; et il s’agit de devenir ce point !

J’ai vécu cela de manière parfaite durant ce temps de prana total. La somme de travail qui m’attendait chaque jour ne cessait de croître, mais je gérais tout dans le calme, la joie, la facilité, me laissant guider par cet état d’être, total, lui aussi. Et un matin m’est apparue l’information que j’allais devoir découvrir une autre facette de l’Unité. La vivre non plus de cette manière « innée », facile, autonome, mais de manière consciente, choisie. J’ai compris alors, car en quelques secondes il m’a semblé perdre cet état d’Unité, que j’allais devoir la « retrouver », tout comme après un mois passé sans alimentation j’avais dû rejoindre cette possibilité petit à petit, en transformant mon quotidien et ma vie dans sa plus intime globalité. Pour couronner le tout, j’ai choisi ce moment pour recommencer à manger un peu afin de parfaire la liberté nutritive que je désirais depuis le commencement.

Comme je l’ai écrit récemment dans un article, la somme de travail est devenue insurmontable, irréalisable, ingérable, le stress est apparu et m’a lentement (mais sûrement) rendue malade.

Je réalise aujourd’hui que j’ai vécu quelque chose de semblable à ce que j’avais traversé il y a des années, avant de m’engager sur cette voie de puissance intérieure, de décision et de lâcher-prise pour ma vie, d’acceptation de ce qui est, et d’acceptation de ce que je suis. Je me retrouvais, avec pourtant tout le bagage que je pensais avoir acquis, dans une situation similaire. J’ai remis en question ce que je faisais et enseignais, me disant que si je ne pouvais faire face au stress, j’allais être incapable de continuer, que je n’en étais plus vraiment digne. Mais lorsque ma voix intérieure prononçait ces paroles, cela ne sonnait pas juste. C’est mon corps qui m’a alors pris la main pour apaiser ces doutes et pour me faire réaliser que j’étais dans une illusion totale : je n’avais rien perdu.

Comment avais-je pu douter ? Comment avais-je pu croire que perdre l’Unité était possible ou qu’Elle pouvait faire emprunter de mauvaises trajectoires ?

Tout en moi s’est alors apaisé. L’Unité était toujours là, Elle s’offrait simplement à vivre d’une autre manière : au travers de tout ce que je considérais n’être pas Elle. Elle qui est pourtant Tout ! Tellement Tout, qu’Elle arrivait tout à coup pour bousculer toutes mes « croyances » ou idées figées, ainsi que tout ce que je considérais comme acquis. Je ne répéterais jamais assez combien la vie est une constante leçon d’humilité et d’émerveillement. Ne perdons jamais notre faculté d’être émerveillés. C’est la clé d’une existence merveilleuse.

Au coeur d’une expérience que je ressentais comme chaotique, mon corps m’offrais les preuves incontestables de la perfection et de la dévotion dans lesquelles j’évoluais. Dévotion de ce corps, de l’esprit qui l’habitait, des gens autour de moi, des situations qui se présentaient, des pensées qui surgissaient : tout oeuvrait de concert pour me porter toujours plus haut et toujours plus profond.

J’ai donc emprunté la route qui s’offrait à moi et s’ouvrait généreusement : celle de la Conscience de l’Unité « malgré tout », au-delà des croyances, des apparences, des ressentis contradictoires, des situations paradoxales, même quand tout donne l’impression qu’Elle n’est pas là.

Encore une fois, comme presque dix ans auparavant, une expérience de cheminement pour retrouver un état qu’il m’avait été offert de vivre gracieusement se présentait. Et je puis certifier que c’est là que se trouve le véritable trésor. 

L’expérience prânique la plus belle et riche qui me soit donnée de vivre est celle que je vis aujourd’hui, maintenant, et la plus belle Unité est celle dont j’ai conscience aujourd’hui, maintenant.

Lorsque je regarde en arrière et observe les évolutions incroyables qui ont eu lieu dans mon existence propre mais aussi dans celles de tous ceux qui la partagent avec moi, me la racontent, m’en font profiter, je suis tout simplement éblouie et j’ai envie de tomber à genoux. Lors de la dernière journée de conférence à Paris, ou lors de celle de Genève, j’ai pu constater très concrètement combien mes actions individuelles ont porté tellement d’autres individus, qui en portent d’autres et qui en portent d’autres. J’observe chaque jour combien montrer l’exemple est le militantisme le plus fort et inébranlable qui soit et combien son efficacité dépasse celle de toutes les autres actions. 

Voyez la diffusion et le rayonnement de plus en plus phénoménaux du véganisme, de la pratique du yoga et de la méditation, de l’écoute de son corps, de la transmission par l’énergie, de la puissance de l’être sur tout ce qui le constitue et tout ce qui existe.

L’action individuelle est une action collective en devenir. C’est une graine, qui germe, grandit et s’épanouit.

Bien sûr que les guerres ne cessent pas du jour au lendemain et que les maux du monde existent aujourd’hui comme ils existeront demain matin, et la semaine prochaine, que l’on médite, que l’on fasse de plus en plus de yoga ou que l’on se nourrisse de plus en plus sainement et librement ou non. Mais chaque petite pierre, chaque petit grain de sable posé chaque jour avec conscience, amour et précision finit par donner forme à une maison, une cathédrale, un temple, une ville, des nations entières de paix et de stabilité.

Mes parents, dans les années quatre vingt dix, étaient qualifiés de sectaires par certains de leurs amis parce qu’ils mangeaient bio et étaient végétariens ; on les disait dangereux pour leurs enfants car ils les nourrissaient ainsi.  Certains disaient que ma soeur et moi ne grandirions pas car nous n’avons jamais consommé de lait étant bébé : nos biberons étaient emplis d’eau, de jus de carottes, de jus de fruits et légumes variés, de lait d’amande et d’infusions de plantes ; je peux vous assurer qu’en dehors du fait que nous mesurons toutes les deux un mètre quatre vingt, nos corps vont très bien ! 

Aujourd’hui, quelle transformation des consciences et quelle ouverture… Même si beaucoup rejettent encore tout cela, force est de constater l’impact collectif et mondial que ces choix « individuels », pris de manière isolée, partout dans le monde, ont eu et continuent d’avoir.

Les physiciens quantiques nous répètent inlassablement que le monde extérieur est conditionné par le monde intérieur. Si, à une certaine époque, il était courant de qualifier d’ « allumés » tous ceux qui avaient ce type de discours, ce sont aujourd’hui les scientifiques qui l’enseignent ! Ils nous expliquent qu’une cellule, quelle que soit sa nature, réagit, communique et prospère en lien avec chaque cellule identique ou de nature similaire, et ce, quel que soit l’éloignement géographique qui les sépare. Je prends cet exemple pour illustrer l’importance de prendre soin de nos cellules, mais aussi l’importance d’incarner une cellule qui participe à la prospérité de ce que l’on souhaite voir grandir. Cela n’a rien à voir avec le fait de nier quoi que ce soit : c’est au contraire prendre part encore plus intensément au jeu et s’impliquer vraiment profondément ! C’est réaliser au plus profond de soi la véritable dimension des choses, leur importance, leur fragilité, leur puissance aussi, et notre rôle et responsabilité au sein de tout ce qui se produit.

Oui, nos méditations quotidiennes ont un impact mondial et au coeur de chacun, oui, le yoga (ou exercice physique inspiré et respectueux du corps) effectué par chacun contribue à la santé collective, oui, nos choix alimentaires sont des actes concrets et créateurs d’évolution pour le plus grand nombre. Oui, tous ces choix sont des actions politiques ! Ce sont les grains de sables qui font la plage, les gouttes d’eau qui font l’océan, les petites choses qui font les grandes, les petites enjambées faites chaque jour qui nous font avancer et aller loin, réussir, atteindre nos buts. Et plus que tout cela, c’est notre Conscience au coeur de tout qui crée cette efficacité. 

Nous sommes faits d’information, nous sommes de l’information ! Que choisissons-nous de réceptionner puis d’émettre ? Que décidons-nous de devenir puis de transmettre ?

Lorsque la vie nous fait parfois subir ou endurer, lorsque le doute s’insinue et que la peur renaît de ses cendres, quelle information autorisons-nous à prendre possession de notre existence tout entière ? Il est possible de traverser une épreuve tout en demeurant dans l’Unité, il est possible d’être triste, en colère, submergé, d’avoir mal quelque part mais de rester dans cette pleine conscience d’Unité. Elle n’est pas la disparition de tous les soucis du monde : Elle est le choix d’une vie consciente, libre, souveraine. Le choix d’une Information qui dépasse toutes les autres car Elle leur a donné la vie !

Comment pouvons-nous exiger du monde qu’il soit en paix si nous ne faisons pas la paix avec ce que nous sommes ? Pourquoi attendre de tous qu’ils « s’y mettent » pour nous y mettre nous aussi ? C’est à soi, toujours à soi et rien qu’à soi de créer le mouvement, de commencer, de donner l’exemple. Parmi tout ce qui existe sur cette planète, il n’y a rien qui n’ait pas été « enfanté » par la vie intérieure de quelqu’un, puis de quelques uns, puis d’un groupe, puis d’un plus grand groupe, etc…

 

Chacun de nous crée le monde à chaque instant.

On ne peut attendre sans cesse de l’extérieur ou des autres le résultat de ce que l’on refuse de mettre en place et en pratique dans sa propre vie ! C’est en soi que tout commence et que tout prend forme et vie. Et c’est en transformant sa propre vie que l’on commence à voir le monde changer.

Au coeur de cette période si charnière, si cruciale pour notre évolution et notre prospérité sur tous les plans, il nous est demandé (par nous-mêmes !) de cesser de croire, de juger, d’entrer en collision avec quoi que ce soit. C’est la fluidité et l’acceptation active de ce qui est qui constitue le remède à l’époque que nous vivons. Je dis bien « acceptation active », car il ne s’agit vraiment pas de tout nier et de ne plus rien regarder ni écouter, ni conscientiser. Il s’agit au contraire de saisir à bras le corps notre Responsabilité et notre Pouvoir au coeur de tout cela.

Je souhaite vous dire combien je suis fière de tout ce que je lis chaque jour de votre part, fière de toutes vos avancées, fière de tous les miracles que nous effectuons ensemble.

Je vois notre monde comme si la Terre s’illuminait progressivement, en douceur, de milliers de petites étincelles se faisant écho en souriant, vibrant à l’unisson et devenant de plus en plus fortes. Parfois ces étincelles ont besoin de confirmation, de réconfort, de protection aussi, et c’est pourquoi nous sommes là les uns pour les autres et que certaines voix s’élèvent pour répéter sans fin que tout va bien et apporter soutien, félicitations et encouragements. J’espère que ma voix fait partie de celles qui vous encouragent, vous portent, vous redonnent élan et confiance dans les moments de doute ou de crainte. Les vôtres le sont pour moi.

Connaissez-vous vous-même… Écoutez votre corps, apprenez à sentir le plus concrètement possible où la pulsion de vie vous guide, apprenez à dire oui à l’immense beauté et à la puissance ineffable qui se trouve en vous. Vous êtes un miracle ! Ainsi, malgré tout ce que vous pouvez traverser au quotidien, vous êtes unis à l’Information de vie et de prospérité, à l’Unité.

Merci et Bravo pour tout ce que vous êtes, faites et merci pour tout votre amour.

Recevez le mien de manière infinie et illimitée, ainsi qu’une pluie de bénédictions.

Alyna

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