Les Maîtres Ascensionnés sont là pour nous aider, depuis des siècles et des siècles, essayant de nous guider, de nous enseigner, sans parvenir à nous sortir d’un sommeil profond qui nous a fait oublier même qui nous sommes.

Et au premier plan nous revient notre Berger, Jésus (Maître Sananda), Celui qui a tout sacrifié pour semer en nous les graines de la Vérité et de l’Amour.

Que Ses fidèles se réjouissent ! Il est bien là, plus aimant que jamais, pour nous apporter le bonheur de Sa présence, mais cette fois dans l’allégresse. On ne parlera plus de crucifié, de passion et de mort, mais du Ressuscité qui nous a montré le triomphe de la Vie sur la Mort, de la Lumière Divine sur l’obscurité. Moi qui, comme quelques autres, suis leur canal pour vous apporter les messages qui aideront tous ceux qui se réveillent, tous les êtres de bonne volonté, à ascensionner avec la planète, je vous répète les mots qui jaillirent de mon cœur après un séminaire auquel je viens de participer.

Dès mon retour chez moi, j’étais bouillonnante d’énergie. Le matin de ce 22 mars à 5 heures du matin, je n’avais plus sommeil et je revivais ces deux journées que je venais de connaître, sous le titre « Voie d’Amour – Voie de Transformation, Voie d’Abondance ».

Une pensée m’est venue : « Je n’avais pas vécu quelque chose d’aussi merveilleux depuis … depuis la Pentecôte. » « Et le mot sortit tout seul de mon cœur). Je ne parlai spas d’une quelconque célébration, mais bien du véritable événement vécu il y a 2000 ans.

Cela veut-il dire que j’y étais en chair et en os ? Ce n’est pas impossible pour ceux qui savent que l’on vient sur Terre une fois et une autre. Mais il est probable que, comme des milliers d’autres êtres, peut-être comme vous qui me lisez, j’y étais en esprit, en tant que graine des apôtres des nouveaux temps, graine dans ces semailles qui ainsi se terminaient.

Ces graines sont aujourd’hui mûres et la moisson va commencer. Oui, j’y étais, et peu importe sous quelle forme ou absence de forme. J’éprouve aujourd’hui le même sentiment d’amour profond, d’enthousiasme, de plénitude, comme si mon âme était soudain devenue trop grande pour être contenue dans mon corps et qu’elle se déversait sur toute la planète et au-delà.

Je ressens les dons de l’Esprit retrouvés, encore très mal maîtrisés à portée de main, les potentiels infinis de la Vie, du Père, de toute la Création. Et je ne puis que dire comme Jean-Sébastien Bach : « O Seigneur, que ma Joie Demeure ».

Mon vœu le plus cher, en commençant cet humble, mais exaltant travail de scribe, est de transmettre fidèlement ce qui m’est dicté, afin que dans vos cœurs, chers lecteurs, s’épanouisse la fleur d’amour, de paix, de lumière et de joie qui s’ouvre dans le mien.

Et que nous soyons tous réunis, sur nos plans manifestés et sur ceux non-manifestés, dans cette communion de l’amour inconditionnel et de la fraternité vraie.

Extrait de « Le Temps des Maîtres » – transmis par Marlice d’Allance 2012- – recopié par Francesca  aux Editions HELIOS