par Jean-Pierre Garnier Mallet

Il y a une propriété physique très importante, propre à l’eau, dont le corps humain est composé à plus de 65%. L’eau est capable de stocker l’information. Et si je suis capable, avec ce corps « énergétique », de sortir de mon corps physique, d’aller chercher une information, et de revenir la transmettre à l’eau de mon corps, je récupère dans mon temps à moi, instantanément, l’information que j’ai été cherchée dans un autre temps.

Cela signifie que toutes les expériences que j’ai pu faire ailleurs, dans un autre temps, j’en dispose instantanément. Même si je n’ai pas le temps de les mémoriser, je vais néanmoins en avoir une rapide synthèse… C’est comme une idée venue d’ailleurs. Cela nous est tous plus ou moins arrivé d’avoir des idées qui nous surprennent, dont on ne comprend pas comment elles nous sont venues à l’esprit, ou encore de vivre une impression de déjà-vu… On sent bien qu’il y a quelque chose derrière ces réalités. Et les lois scientifiques du XXe siècle et maintenant du XXIe siècle n’entrent pas du tout en contradiction avec la théorie du dédoublement du temps.

Cette dernière nous permet même de calculer la vitesse de la lumière et de montrer qu’il existe des vitesses superlumineuses. Si un corps énergétique est capable de voyager à des vitesses qui dépassent celle de la lumière, alors le changement de temps est prodigieux. Or des scientifiques ont démontré l’existence d’une vitesse d’information supérieure à la vitesse de la lumière.
NEXUS s’en est fait l’écho dans son n°59 (p. 10)

Dernièrement, Antoine Suarez a même expliqué que le temps d’information entre les deux particules dédoublées était instantané. On a appelé cela « l’intrication ». En réalité, il y a bien une particule qui informe l’autre, et ceci à une vitesse d’information gigantesque. La théorie du dédoublement montre qu’elle est de 857 milliards de kilomètres par seconde. Cela prouve qu’il y a une particule qui informe l’autre, et réciproquement.

Si nous sommes également dédoublés, cela signifie que nous pouvons aller chercher les informations d’un double et les rapporter, donc bénéficier dans deux temps différents de deux informations différentes : l’un fait l’analyse, l’autre la synthèse. Celui qui fait la synthèse peut poser des questions en fonction de la synthèse dont il dispose, l’autre va chercher dans l’analyse la réponse à une nouvelle question, mais dans son temps à lui. Il est capable aussi de poser des questions qui vont entraîner une nouvelle analyse dans son propre futur.
Nous aurions alors passé, présent et futur… Nous retrouvons la condition vitale, cette « triade », comme l’appelaient les Grecs, que Platon résume ainsi : « Pour vivre, il suffit d’être celui qui était, celui qui est et celui qui sera ».

à suivre

Extrait du journal NEXUS n°61
Site web de l’auteur: http://www.garnier-malet.com