par Guilaine Lipski

….Cette peur de manquer est comme une épée de Damocles au-dessus de notre tête qui  suce notre énergie car nous  la nourrissons presque tous les jours lorsque l’occasion se préente, elle est comme collée à nos  pas et nous sommes entièrement responsables de cela puisque c’est nous qui  créons cet état par notre acceptation de penser….à Elle !.

La peur est une illusion que nous  rendons vivante du simple fait d’y penser et d’y croire, elle est une invention à laquelle notre imagination donne vie parce que nous y adhérons. Bien sûr les archontes ont créé ce processus pour  »tenir » l’humanité mais c’est nous et nous seuls qui adhérons ou pas !! Changer de regard, de lunette, essayer autre chose, quel risque ?

 

La peur est une petite mort, une partie de nous sans oxygène qui ne vit pas mais subit et subir n’est pas vivre mais plutôt une mort lente.

 

Après la peur de manquer, il y a la peur de vivre (toujours inconsciente), la peur du succès, de l’abondance quand bien même nous l’espérons de tout notre cœur, la peur d’aimer ou d’être aimée (encore inconscientes), peur de souffrir en quelque sorte et celle-ci est à toutes les sauces…

Pourtant, la souffrance tue rarement mais…. »on se souvient  » et oui ça fait mal.

 

Est-ce une raison pour arrêter de vivre et perdre un temps précieux sur terre ? Il semblerait souvent que oui ! Malgré nous bien entendu.

Alors, si nous choisissions d’oser prendre le risque de vivre  les élans de notre coeur dans tous les domaines où il se sent d’aller, où il nous pousse ?

Lâcher le frein à main et se dire : « on verra bien, au moins j’aurai essayer » Imaginez que ça marche et que toutes les parties de nous en souffrance, celles qui n’osent pas  n’aient plus peur de vivre car elles auront expérimenté la réussite. Parce que oui, « ça » peut marcher.

 

Imaginez que votre vie revienne dans la VIE, la vraie, le bonheur et C’EST BIEN CELA QUI NOUS EST PROPOSÉ aujourd’hui « en ces temps de grâce » selon la formule d’Yvan Poirier. Sauf qu’il nous faut poser le mouvement, donner la direction par l’intention puis le mouvement, dit autrement: Permettre que cela soit.

Quelle aventure pour nos peurs !

 

Prenons les par la main en leurs parlant avec tendresse, en leurs expliquant qu’autre chose existe, inconnu d’elles, d’autres possibilités AUJOURD’HUI et avançons ensemble à la découverte des possibles de notre vie.

Si nous n’essayons pas, rien ne peut arriver, surtout pas les changements auxquels nous aspirons…

De coeur à coeur

 

Guilaine

 

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